CONCLUSIONS provisoires DE L'ENQUETE de CASAR sur les empreintes inexpliquées dans du verre
Grâce aux précisions apportées par un ingénieur de l'institut du verre dans son mail du 19 août 2005 et aux éléments que Jean-Claude Pantel nous a communiqué en juilet 2005 l'affaire des empreintes se dessine comme étant une affaire paranormale de grande ampleur sur laquelle les scientifiques peuvent maintenant travailler. De toute évidence, les "pochages" , étant donné leur caractéristiques (bords non tranchants et cavité lisse non dépolie) résultent de l'impact avec projectile chaud puisque que dans le securit aucun cratère ne peut être imaginé a froid. Prenons pour hypothèse que les projectiles sont des billes s d'acier, même si JCP n'en est plus certain après tout ce temps passé , (ses écrits d e l'époque sur le sujet ne laissent pas le moindre doute et nous comprenons bien maintenant pourquoi des essais faits par lui a froid n'ont rien donné ) Il y a trois dimensions différentes d'empreintes circulaires sur la photo , ceci correspond bien. aux trois dimensions des billes que Jimmy Guieu avait conservées .
Notre hypothèse peut donc maintenant s'échafauder sur les bases suivantes:
1.Les billes les plus grosses ont un diamètre approximatif de 30 millimètres
2. les billes étaient suffisamment chaudes pour déformer du verre securit
3. La forme de l'empreinte n'étant manifestement pas hémisphérique puisque la vitre n'est pas traversée nous nous trouvons là devant une anomalie de taille qu'il va falloir expliquer parce que jusqu'à preuve du contraire (dans le cadre stricte des lois de physique élémentaires qui gèrent notre mécanique universelle) un projectile chaud qui rencontre une baie en verre ne peut y imprimer qu'une forme en creux étant le négatif parfait du projectile
4. Des scientifiques curieux (s'il en reste ! ) peuvent maintenant se mettre au travail afin de déterminer avec précision quel sorte de projectile serait en mesure de réaliser un impact circulaire de plus de trente millimètres de diamètre et une profondeur de quatre à six millimètres. Les paramètres précieux concernant les effets mécaniques liés à l'inertie ? , la forme réelle de "l'objets" au moment de l'impact? Les paramètres thermiques ; la température du projectile doit être nécessairement assez élevée pour éliminer l'hypothèse d'une balle de fusils quelconque ou autre carabine a plomb
5. La coopération des chercheurs hors norme connaissant bien les phénomènes poltegeist (tel que CASAR ) est ici indispensable car nous disons depuis des décennies que les projectiles poltergeist défient les lois de la pesanteur . il serait temps qu'une coopération (qui s'avère prometteuse) se mette en place entre des physiciens ouverts a des idées nouvelles et des chercheurs spécialisés en paranormal .C'est ici que se pose un des problèmes les plus ardus que les physiciens auront a élucider. Nous connaissons les effets du phénomène par la forme et la spécificité de l'impact ; il reste maintenant aux physiciens de faire une simulation permettant de déterminer quel projectile a été employé et la temperature la plus probable de celui-ci puisque ce verre ne se déforme pas a froid. Les astrophysiciens déterminent bien l'existence des exo-planètes sur la seule base d e la déformation extrêmement tenue de leur trajectoire à proximité d'une étoile.
Pour le physicien, les vitres pochées ont une énorme importances car elles représentent la mémoire des événements, c'est comme si nous avions une pellicule photo qui a été impressionnée. Les conditions de température et de pression lors de l'impact peuvent être reproduites pour déterminer avec précision s'il y a eu un phénomène paranormal ou pas.
Dans l'affaire LJ
http://perso.wanadoo.fr/casar/TEMOIG4.htm un témoin déclare qu'une pièces de 20 centimes d'euros a traversé un boîtier de cassettes vidéo de part en part. Il déclare :" Il y a une force phénoménale ,très très fort! " (Extrait du fichier audio LJ3.mp2 de l'enregistrement de la communication conservé dans les archives de CASAR) Il n'est pas impossible que la température de la pièce de 20centimes d'euros (au moment de son apparition) soit assez forte et que la chaleur facilite le passage de la pièce au travers du boîtier plastique plus facilement que dans le verre. C'est la température qui faciliterait la traversée du plastique mais les témoins n'en ont pas conscience et supposent forcement que la force de l'impact a froid a été capable de cette prouesse. En effet personne ne peut lancer une pièce assez fort pour traverser un boîtier de K7 si la pièce est à température ambiante Si nous avions pu récupérer le boîtier vidéo en question; il aurait été commode de vérifier si l'orifice dans le boîtier a été fait a froid ou a chaud. Ce sont des points qui intéressent la recherche fondamentale mais comme peu de gens sont disposés a coopérer il faut que CASAR se débrouille comme il peut.
Extrait de l'affaire des empreintes dans le verre :
http://perso.wanadoo.fr/casar/M144.htm