Donc tu justifies l’usage de termes péjoratifs pour parler des femmes parce que c’est l’usage ?
Mais qui souhaite imposer à part ceux qui croient que l’usage impose ?Rendez-vous dans 10 ans pour voir si l'inflexion que tu voudrais imposer à l'usage fera florès... ou pas.
Je n’impose rien du tout, je pose la question de l’usage.
Je suis parfaitement capable de comprendre la signification de ce mot, tout comme vous êtes capables de comprendre celle de « bougnoule » (que je n’emploie pas).Si par contre tu dois te faire comprendre dans une discussion, il me semble préférable de se conformer à l'usage par défaut et préciser quand on s'en écarte.
C’est quoi, un concept obsolète ? Une idée qui a été émise il y a cent ans ?Il me semble que se contraindre à utiliser les mots au plus près de leur usage général renforce la langue. La bonne attitude me semblerait de tenter de se débarrasser des concepts obsolètes avec les mots qui leur sont liés. Donc utiliser de nouveaux termes pour les idées nouvelles.
Si ça se trouve, les inventeurs du mot xénophobie voulaient psychiatriser les gens qui haïssent les étrangers, en faisant comme s’ils avaient peur panique des étrangers comme d’autres ont peur panique des araignées et que ça se soigne, alors que la haine de l’étranger est politique. C’est d’ailleurs ce que font les islamistes et leurs idiots utiles qui utilisent celui d’islamophobie pour faire taire (je ne parle pas de ce forum, qu’on soit bien d’accord).
Moi, c’est l’inverse, justement.Si j'ouvre un livre ancien, je préfère trouver des mots que je ne connais pas que d'être trompé par des mots que je connais mais qui ont changé de sens.