Re: DOSSIER Mme B...une decouverte scientifique d epremiere gran
Publié : 05 juin 2008, 06:44
Il faut que je vous mettre les points sur les i afin que votre comportement diffamatoire et insultant a mon égard ne soit pas perçu par les quelques personnalités eduquées lucides qui passent ici comme une réalité.
Le niveau d'évolution d'une civilisation intelligente se mesure au temps pendant lequel elle peut maintenir en accélération (constante ou pas ) une masse tournante ayant une symétrie de révolution.
Il y a selon moi trois stades dans cette évolution qui lorsqu'ils sont atteints induisent des modes de vie très différents étant donné les opportunités fantastiques qu'offrent les applications la technologiques liées a l'exploitation de la gravitation artificielle.
- CIVILISATION type 1 (vitesse de rotation du rotor inférieure a la vitesse de libération) les terriens peu évoluée qui s'entre-tuent pour survivre a cause du manque crucial d'énergie.(si vous voulez un dessin lisez le livre de Fabrice Nicolino )
-CIVILISATION type 2 (vitesse de rotation du rotor capable de "contrarier" la gravitation naturelle). Civilisation qui exploite la gravitation artificielle pour les transports terrestres et aériens proches de la terre (satellisation en douceur) et la fabrication d'énergie par des moyens inertiels assez archaïques .
- CIVILISATION TYPE 3 (vitesse de rotation proche de ou égale à c) civilisation capable de voyager partout dans l'univers en des temps records et qui dispose d'énergie a foison l'énergie est produite par " démontage" de la matière: e=Mc2. 1 gramme de matières contient des milliers de tonnes d'équivalent petrole
Comment faire la preuve avec nos maigres moyens intellectuels et financiers:
Pour générer une gravitation plus intense que la pesanteur (au niveau du sol) l'ordre de grandeur de la vitesse de défilement à la circonférence d'un rotor serait de l'ordre de grandeur de la vitesse de libération (8 kms/sec). Il est actuellement impossible d'envisager ce type d'expérience au niveau du sol pour des questions évidentes de résistance des matériaux; par contre en apesanteur la "fabrication" de la densité de gravitation artificielle suffisante pour arriver au décrochement d'orbite est envisageable .Dans ce cas le niveau nécessaire de vitesse de rotation du rotor serait tout à fait compatible avec la résistance des matériaux. Le seul problème qui se poserait serait d'apporter à pied d'œuvre l'énergie nécessaire pour inculquer au rotor une accélération soutenue pendant un temps suffisant afin de provoquer le décrochage (changement d'orbite).
Le niveau d'évolution d'une civilisation intelligente se mesure au temps pendant lequel elle peut maintenir en accélération (constante ou pas ) une masse tournante ayant une symétrie de révolution.
Il y a selon moi trois stades dans cette évolution qui lorsqu'ils sont atteints induisent des modes de vie très différents étant donné les opportunités fantastiques qu'offrent les applications la technologiques liées a l'exploitation de la gravitation artificielle.
- CIVILISATION type 1 (vitesse de rotation du rotor inférieure a la vitesse de libération) les terriens peu évoluée qui s'entre-tuent pour survivre a cause du manque crucial d'énergie.(si vous voulez un dessin lisez le livre de Fabrice Nicolino )
-CIVILISATION type 2 (vitesse de rotation du rotor capable de "contrarier" la gravitation naturelle). Civilisation qui exploite la gravitation artificielle pour les transports terrestres et aériens proches de la terre (satellisation en douceur) et la fabrication d'énergie par des moyens inertiels assez archaïques .
- CIVILISATION TYPE 3 (vitesse de rotation proche de ou égale à c) civilisation capable de voyager partout dans l'univers en des temps records et qui dispose d'énergie a foison l'énergie est produite par " démontage" de la matière: e=Mc2. 1 gramme de matières contient des milliers de tonnes d'équivalent petrole
Comment faire la preuve avec nos maigres moyens intellectuels et financiers:
Pour générer une gravitation plus intense que la pesanteur (au niveau du sol) l'ordre de grandeur de la vitesse de défilement à la circonférence d'un rotor serait de l'ordre de grandeur de la vitesse de libération (8 kms/sec). Il est actuellement impossible d'envisager ce type d'expérience au niveau du sol pour des questions évidentes de résistance des matériaux; par contre en apesanteur la "fabrication" de la densité de gravitation artificielle suffisante pour arriver au décrochement d'orbite est envisageable .Dans ce cas le niveau nécessaire de vitesse de rotation du rotor serait tout à fait compatible avec la résistance des matériaux. Le seul problème qui se poserait serait d'apporter à pied d'œuvre l'énergie nécessaire pour inculquer au rotor une accélération soutenue pendant un temps suffisant afin de provoquer le décrochage (changement d'orbite).