Re: Analyser la mouvance Woke
Publié : 10 juin 2022, 08:34
Malheureusement certains ont perdu leur boulot pour avoir osé critiqué ces délires/dérives !
En congé, Julie Duchemin promène son chien, à 13 h 15, lorsqu’elle reçoit un appel de sa cheffe Marie-Ève Brien. « Julie, tu as eu une plainte.
— Moi ? Une plainte ? Voyons donc, ça ne se peut pas !
— Oui, une plainte de racisme.
— Mais ça ne se peut pas, impossible, je ne peux pas avoir une plainte de racisme !
— Te souviens-tu d’un soin qui a mal été ?
— Pas pantoute, non…
— Te souviens-tu d’avoir fait un soin avec une autre infirmière ?
— Oui, je me souviens, avec Sylvie.
— Il ne s’est rien passé ?
— Non, rien. Il ne s’est rien passé. Je ne comprends vraiment pas ce qui se passe…
La dysphorie de genre est une réalité en effet. Le problème étant que ces lobbys veulent qu'on taise une réalité biologique et qu'on se force à mentir pour soit-disant satisfaire aux ressenties de personnes ayant pareille dysphorie de genre.Kraepelin a écrit : 11 juin 2022, 13:45 Il y a des vrais personnes qui présentent une dysphorie de genre et qui en souffrent vraiment. La pire conséquence des dérives wokes LGBTQ2+ c'est qu'elles qu'elles sont tellement débiles et tellement brillantes qu'elles enterre sous le bruit les appels à l'aide légitimes des ceux qui méritent vraiment d'être entendue.
Article très intéressant et illustratif du problème, la communication entre la patiente et l'infirmière n'était pas terrible malgré la bonne volonté de l'infirmière. Un classique cela arrive souvent, la patiente n'est pas à blâmer non-plus, c'est juste que souvent les patients ne sont pas vraiment dans leurs bons jours au vue de leurs maladies, ce qui était le cas ici. Mais donc ironie de l'affaire, l'infirmière dans ces efforts appliquaient ce qu'elle avait appris lors de ses cours de sensibilisation culturelle, or cela semble avoir ajouter davantage de confusion chez la patiente qu'autre chose, démontrant par là la probable valeur de ces cours de sensibilisation. La patiente un peu troublé découvre l'affaire d'une patiente autochtone dont le prénom était le même que le diminutif par laquelle l'appelait l'infirmière. Elle fait un lien malheureux entre ces deux choses lors d'un post sur Facebook et toute une machine politico-judiciaire s'engage aux dépens même de la patiente qui n'a jamais eu l'intention de s'adonner à une accusation aussi péremptoire et nuire ainsi à ces deux infirmières. Le wokisme est un poison qui introduit peurs et suspicions dans les relations humaines de tous les jours, le wokisme contribue à l'atomisation sociale et à la balkanisation, bref à la destruction de ce que certains appellent «le vivre ensemble». Chaque malentendu, ou même chaque mesquinerie peut ainsi être monter en épingle dans des proportions absurdes par ce wokisme ambiant et ses chiens de garde. C'est un poison social je n'ai pas de meilleur terme pour décrire ce phénomène.Kraepelin a écrit : 11 juin 2022, 13:45Tien, un autre beau cas de noyautage des ressources humaines d'un hôpital par des "chevaliers de la vertu" wokes:
Sacrifiées sur l’autel de la vertu
Je travaille en recherche dans le milieu de la santé et les formations à la réalité autochtone en ligne, j'en n'ai pas suivi. Notre groupe a préféré faire appel directement à des autochtones pour discuter de leur problèmes et de leur situation[1]. Quand je lis ceci:uno a écrit : 11 juin 2022, 14:54... Mais donc ironie de l'affaire, l'infirmière dans ces efforts appliquaient ce qu'elle avait appris lors de ses cours de sensibilisation culturelle, or cela semble avoir ajouter davantage de confusion chez la patiente qu'autre chose, démontrant par là la probable valeur de ces cours de sensibilisation. ...Kraepelin a écrit : 11 juin 2022, 13:45Tien, un autre beau cas de noyautage des ressources humaines d'un hôpital par des "chevaliers de la vertu" wokes:
Sacrifiées sur l’autel de la vertu
Les cheveux me dressent sur la tête... Ça me met presque en colère. C'est presque caricatural. Les autochtones, c'est pas des jokes qu'ils veulent, c'est du respect et des soins adaptés à leurs problèmes de santé.Au cours de la formation, la psychologue Sylvie Roy invite les employés à « introduire quelque chose qui crée un rapprochement, une proximité » avec leurs patients autochtones. Elle indique que « les Atikamekw sont toujours prêts à rigoler, à taquiner, à faire une joke. Très efficace ».
Elle raconte que l’utilisation de surnoms est « très habituel chez les Premières Nations », et qu’on nomme les Autochtones différemment « selon la consonance de [leur] nom ».
En effet, une patiente qu'elle soit autochtone ou pas doit être traité de la même façon sans préjugés relatifs à son appartenance culturel. Ton exemple consistant à inviter des autochtones pour partager des problèmes spécifiques à leur communauté, oui, car cela peut constitué des informations médicales et sociales supplémentaires pouvant aider le personnel soignant. Mais lorsqu'on soigne un patient il ne faut pas oublier qu'on parle d'individus différents les uns des autres non pas de clones représentatifs de communautés culturelles homogènes. Déjà au sein de n'importe quelle communautés comme dit (Québecois, Autochtones, Juifs, Haïtiens, etc, etc....) on a différents profils (extravertis, introvertis, nerveux, taciturnes, pinces sans rire, connards, etc, etc....) et si on doit s'y prendre différemment on s'adapte à tout à chacun en fonction de la manière dont le patient semble répondre et interagir avec soi-même c'est la base.Christian a écrit : 11 juin 2022, 17:34Les cheveux me dressent sur la tête... Ça me met presque en colère. C'est presque caricatural. Les autochtones, c'est pas des jokes qu'ils veulent, c'est du respect et des soins adaptés à leurs problèmes de santé.
En mars 2021, le CISSS de Lanaudière a congédié deux infirmières pour propos racistes envers une patiente atikamekw. La Presse a reconstitué le fil des évènements à partir des témoignages entendus au cours des huit jours d’audiences du Tribunal d’arbitrage chargé d’entendre le grief de Sylvie Bellemare, qui conteste son congédiement.
https://www.lapresse.ca/actualites/chro ... -vertu.php
C'est le billet d'Isabelle Hachey que Kraepelin à signaler plus haut.DictionnairErroné a écrit : 15 juin 2022, 15:55 Autopsie d’un dérapage 100% woke. Le cas de Jocelyne Ottawa (Joyce) à l'hôpital de Lanaudière en mars 2021.
Je te retourne la même chose...
Réflexion pauvre et basique sur une situation compliquée et répétitive dans les hopitaux (Québec et France en tout cas)...DictionnairErroné a écrit : 15 juin 2022, 15:55 Autopsie d’un dérapage 100% woke. Le cas de Jocelyne Ottawa (Joyce) à l'hôpital de Lanaudière en mars 2021.
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Oula, un éclair d'intelligence! 30 secondes quand meme hein...Au bout de 30 secondes, Sylvie Bellemare réalise ce qu’elle vient de dire. Et le regrette aussitôt.
Ben non, nous non plus, on voit de l'irrespect, de la stupidité, des récupérations, de l'isolement etc (tout ce que je viens d'aborder)...
Plus d’un an plus tard, Jocelyne Ottawa regrettera profondément cette affaire.
« Je n’ai jamais insinué que j’ai été victime de racisme », dira-t-elle, le 20 avril 2022,
Tu es trop gentille Jocelyne. Tu ferais mieux d'être woke« Ce n’était pas mon intention de faire perdre leur emploi à ces deux infirmières. Je suis vraiment désolée de ce qui est arrivé.
"Faussement contrit" je dirais, parce qu'il y a aussi le problème au niveau du système de santé sociale...Contrit, le ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, qualifie la situation de « totalement inacceptable ».
Tout un changement pour tous et toutes. Le projet de loi responsabilisera le fait d'avoir décidé d'être dans un état intoxication extrême sans avoir eu l'intention de commettre une infraction violente.Le mois dernier, le plus haut tribunal au pays a tranché que l'article du Code criminel empêchant de plaider l'état d'intoxication extrême, en défendant un accusé de certaines infractions de nature violente, était inconstitutionnel. Le juge Nicholas Kasirer, qui a rédigé la décision de la Cour suprême, a écrit que l'article tel qu'il était conçu viole la Charte canadienne des droits et libertés parce que la décision d'une personne de devenir ivre ne signifie pas qu'elle avait l'intention de commettre une infraction avec violence.
Le projet de loi mentionne que les tribunaux devront prendre en compte la prévisibilité objective du risque que la consommation des substances intoxicantes puisse provoquer une intoxication extrême et amener la personne à causer un préjudice à autrui, de même que ce que la personne a fait afin d'éviter ce risque. Il a aussi ajouté que cela fait en sorte qu'un accusé pourrait être déclaré coupable sans que la poursuite ait eu à démontrer qu'il avait l'intention de commettre l'infraction à laquelle il fait face.
Un gars qui bois ou qui se drogue le fait dans le but de se désinhiber. Si après avoir but il est assez désinhibé pour commettre un crime ou faire des bêtises qu'il regrette le lendemain, à mon avis, il est responsable de ses actes.DictionnairErroné a écrit : 17 juin 2022, 22:51 Un projet de loi important concernant l’intoxication extrême comme défense, par exemple en cas de viol ou tout autre de nature violente. Aujourd'hui
Pour le moment, je dirais que ce projet de loi est à sens unique et ne s'appliquerait pas au "regret" du lendemain de veille, si la tendance se maintient.Kraepelin a écrit : 18 juin 2022, 10:27 Par contre, ce principe est également vrai pour les filles. Une fille qui bois ou qui se drogue le fait dans le but de se désinhiber. Si après avoir but elle est assez désinhibé pour commettre des actes qu'elle regrette le lendemain, à mon avis, elle est responsable de ses actes.
La bonne vieille époque où un anglo était assis à la table de cantine, tout le monde parlait en anglais, même entre-nous franco pour qu'il comprenne pauvre lui, même si ça faisant 30 ans qu'il travaillait avec la forte majorité franco. Comme nous étions gentils et comprenions la diversité à cette époque.Kraepelin a écrit : 20 juin 2022, 15:50 Le fait illustratif dans ce scandale est l'alibi du groupe spectra (organisateur du festivale) pour justifier qu'il n'adresse certaines notes uniquement en anglais et oblige tous les mondes à faire les réunion en anglais. Et quel est-il cet alibi: «l’Équipe Spectra, selon lesquelles l'entreprise valorise le français, mais respecte aussi la diversité et l'inclusion.»
C’est fait. La très attendue Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire a été adoptée par l’Assemblée nationale le 3 juin dernier. Cette loi, qui fait suite au rapport de la commission Cloutier, définit la liberté universitaire et s’assure que les universités se doteront d’une politique par laquelle celle-ci sera reconnue, promue et protégée.
J’ai souhaité en parler avec Yves Gingras, professeur à l’UQAM et membre de la commission Cloutier, dont je me sens proche sur toutes ces questions.
Sur la loi et les débats qu’elle a suscités
La première recommandation du rapport au gouvernement était « de faire adopter une loi énonçant la mission de l’université ainsi que les conditions de son accomplissement et définissant la liberté universitaire et ses bénéficiaires ». Yves Gingras est-il satisfait de ce que propose et impose la nouvelle loi ? Il l’est.
La loi, dit-il, définit, et c’est la première fois qu’elle le fait, « la mission de l’université et rappelle que deux conditions sont nécessaires pour la réaliser : l’autonomie des institutions et la liberté universitaire des enseignants ».
Je lui rappelle que la loi a pourtant suscité des critiques et des réactions négatives. Certaines étaient-elles légitimes, selon lui ?
Yves Gingras pense que si « la première version du projet de loi était critiquable par certaines de ses formulations, la version amendée ne pose plus de problèmes, même si on aurait pu, comme le demandait le rapport Cloutier, inclure le fait de prendre fait et cause pour un professeur attaqué dans l’exercice de ses fonctions, c’est-à-dire pour des interventions publiques justifiées et argumentées de manière rationnelle ».
Il ajoute qu’il revient aussi aux syndicats de négocier des conventions collectives qui incluent cela et souligne qu’aucun député n’a voté contre la loi, ce qui témoigne d’un fort consensus à son sujet. (Rappelons que les huit députés de Québec solidaire présents se sont quant à eux abstenus de voter.)
Un cas de panique morale ?
Certains ont soutenu qu’avec ce débat sur la liberté universitaire, on est devant un cas de « panique morale ». Je ne suis pas d’accord avec eux. D’autant que le rapport Cloutier comprenait une annexe recensant des événements récents impliquant la liberté universitaire au Québec, annexe dont on peut penser qu’elle invalide cette hypothèse. Est-ce aussi son avis ?
Yves Gingras répond que ces critiques ne sont pas fondées. Elles relèvent selon lui d’une volonté de « minimiser les faits, d’imputer des motifs cachés ou de faire de la psycho pop ».
La notion de panique morale, poursuit-il, « fonctionne ici non pas comme un concept neutre et symétrique dans son application, mais comme une tautologie : devient “panique” tout ce avec quoi on est en désaccord. C’est une forme de pathologisation du débat et non pas d’argumentation. Quant au nombre de cas, j’ai toujours considéré que, quand un problème est repéré, il ne faut pas attendre la multiplication des cas pour intervenir. Dire “c’est marginal” est typique de cette rhétorique répétée souvent par certains recteurs ».
La responsabilité des universités
Certains soutiennent que les universités ont une part de responsabilité dans le fait que l’État ait dû intervenir par une loi dans ce dossier. Qu’en pense M. Gingras ?
Sa réponse est sans ambiguïté. « Il est parfaitement clair que si les universités avaient réellement compris l’importance de défendre et de promouvoir la liberté universitaire en pratique, et non pas par de simples “déclarations”, elles n’auraient pas chaque fois pris le parti des demandes étudiantes incompatibles avec cette liberté d’enseignement, de recherche et de création. »
Qu’auraient-elles pu et dû faire ?
Selon lui, elles auraient dû expliquer aux personnes qui se plaignaient ce qu’est une université, que c’est par excellence le lieu de débats argumentés sur tous les sujets. En lieu et place, déplore-t-il, les cas répertoriés montrent une tendance à vouloir ne pas faire de vagues, à « flatter les étudiants dans le sens du poil et à dire aux profs de se taire, de s’adapter, quand ils ne sont pas sommés de s’expliquer comme s’ils étaient déjà coupables ».
Justement. Certains, et j’en suis, voient aussi de sérieuses menaces à la liberté universitaire dans une certaine domination idéologique s’apparentant dans les pires des cas à de la propagande ou à de l’endoctrinement. Devrait-on prendre ces menaces au sérieux, selon lui ?
Yves Gingras rappelle que la défense de la liberté universitaire doit s’exercer devant toutes les tentatives de censure, « qu’elles viennent de l’État, des religions, de l’industrie ou des groupes de pression idéologique de toute nature ».
Un exemple concret de ces pressions idéologiques ?
Il rappelle cette tendance récente à « demander aux chercheurs de dire ce qu’ils vont faire pour faire avancer la cause EDI [équité, diversité, inclusion] ou aux étudiants comment ils s’impliquent socialement ». Tout cela, dit-il, « va à l’encontre de la liberté à l’université et contrevient même à la Charte des droits et libertés, qui ne défend pas seulement le droit de s’exprimer sur un sujet, mais aussi celui de ne pas s’exprimer sur un sujet. Un chercheur a le droit de limiter son travail à la recherche des exoplanètes sans avoir à donner son opinion sur les sujets moralement à la mode ».
Pour finir, j’ai voulu savoir ce qui l’avait amené à accepter de faire partie de cette commission — ce n’est pas chose si courante pour un universitaire.
« J’ai pour principe que, comme professeur, j’ai une certaine expertise, répond-il. Que ma formation et mon salaire ont essentiellement été payés par des deniers publics et que j’ai une sorte d’obligation de ne pas refuser sans bonnes raisons une demande légitime d’un gouvernement élu. »
Hummmjean7 a écrit : 23 juin 2022, 00:54 Ben voilà de l'action concrète qui devrais te rassurer, non ?
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(bon rétablissement)
Moi, je peux les comprendre. J'ai découvert assez récemment (parution de 2019, où j'avais l'esprit ailleurs) cette rubrique sur le site des SDQ :Kraepelin a écrit : 23 juin 2022, 12:14 La Fédération des Initiatives pour le Développement de l'Esprit critique et du Scepticisme Scientifique (FIDESS) est noyauté par les wokes. Tellement, que l'Association des Sceptiques du Québec, dont relève théoriquement le présent forum, s'est fait expulser parce que notre revue a publié des articles sur la "dysphorie de genre" qui n'ont pas plus aux "justice sociale warriors" qui tirent les ficelles.
ce qui m'a fortement déçue...https://www.sceptiques.qc.ca/ressources ... highlight1
Sexologie et politique victimaire
Par Michel Belley *
Je suis complètement en accord avec l’analyse de Yves Boivert, que j’aimerais pousser plus loin, en montrant comment Mme Bergeron, sous couvert de la science, fait la promotion d’un féminisme victimaire.
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Mouais.Kraepelin a écrit : 23 juin 2022, 12:14Tellement, que l'Association des Sceptiques du Québec, dont relève théoriquement le présent forum, s'est fait expulser parce que notre revue a publié des articles sur la "dysphorie de genre" qui n'ont pas plus aux "justice sociale warriors" qui tirent les ficelles.
J'ai hâte de voir l'effet sur le terrain. Une problématique pourrait bien survenir puisque ce sont toujours les universités qui devront s'ajuster, les syndicats doivent inclure des articles dans leurs conventions collectives, en faire la promotion dans leurs rangs et aux étudiants. Nous verrons... du moins, c'est une belle initiative.Kraepelin a écrit : 22 juin 2022, 20:25 Conversation avec Yves Gingras
C’est fait. La très attendue Loi sur la liberté académique dans le milieu universitaire a été adoptée par l’Assemblée nationale le 3 juin dernier. Cette loi, qui fait suite au rapport de la commission Cloutier, définit la liberté universitaire et s’assure que les universités se doteront d’une politique par laquelle celle-ci sera reconnue, promue et protégée.
Nous pouvons critiquer les articles d'un magazine, c'est tout à fait normal. Ils arrivent des dérives, pourquoi pas et c'est bien de les signaler, d'en discuter. Évidemment la culture woke ne se prête pas à la discussion, c'est très dogmatique même en scepticisme. Il n'y a qu'une attitude à avoir et c'est, bannissons, bannissons, bannissons... tout!LoutredeMer a écrit : 23 juin 2022, 13:25 Par Michel Belley *
Je suis complètement en accord avec l’analyse de Yves Boivert, que j’aimerais pousser plus loin, en montrant comment Mme Bergeron, sous couvert de la science, fait la promotion d’un féminisme victimaire.
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