Je me voie rassuré, l'egoisme est humain et peut donc être une gentille nature
L'humain cherche avant tout à se sentir bien, sauf les maso...
En fonction de ses faiblesses, de sa maturité, de ses peurs, de ses outils innée et acquis mais aussi de son éducation, de ses choix de se qu'il "contrôle" ou pas...
J'ai eu à une période une énorme prise de tète sur l'inconscience des comportement d'adulte relatif a l’éducation dans sont enfance.
Et le e Bien et le Mal...
Je me suis dit, un enfant qui apprend la vie dans une éducation produite par une famille dysfonctionnelle aura de forte de chance d'adopter des comportements dysfonctionnelle une foi adulte sans savoir qu'il est tordu...
Pas forcement parceque il a des problèmes inconscient, mais par inconscience pure.
Mais la ou c'est impressionnant c'est que une fois adulte, si la personne est curieuse et raisonne, elle peux voir en elle même ses "blueprints".
Je pense que même si la notion de trauma ou de schéma parentale et sujette a critique par les esprit sceptique on ne peux pas nié le fait qu'un enfant reproduit et prend exemple sur ses parents, que des émotion forte, violente, et des réaction dysfonctionnelle aurons un impacte sur la vie d'adulte et qu'il peux tout a fait ne jamais pouvoir être en paix avec ca.
Les gens qui on connue la violence, même si ils essayent de se contrôler, on souvent des relant incontrôlable, des émotion incontrôlable...
Parfois des anxiétés si forte que des fonctionnement irrationnel et névrotique peuvent intervenir.
Les enfant plus grand qui n’ont pas appris a "frustrer" peuvent fonctionner aussi sur des mode de "violence" émotionnel incontrôlé et parfois incontrolable.
Comment expliquer alors que certain adulte partent émotionnellement en vrille, ne peuvent se contrôler dans cet état etc ?
Et que souvent, les gens qui on vécus des choses pas super merveilleuses on des problème émotif important, des anxiétés amenant à des troubles irrationnel voir des action mené par des pensée dans un but anxiolytique...
Le mal et le bien est conceptuel, mais il se base aussi sur des choses objective et innée comme le plaisir émotionnel ou la douleur, des sentiments empathiques jouent aussi.
Mais globalement les actes sont de l'ordre de l’intérêt.
Un humain a tout intérêt a être "gentil" pour s’intégrer, travailler en groupe, évoluer, se construire une identité perso aussi.
Bref, l'humain est un égoïste parfait, mais l'egoisme n'est pas forcement péjoratif (si ? QUOI !!!!!?????)
Il a aussi quelques sens innée comme les émotions bonne ou mauvaise, une forme empathique innée.
L'empathie innée ? en faite pour moi il y a plusieurs forme d’empathie, l'innée et l’acquise.
L'innée et surtout lier au corp physique, a l'imagination et au miroir de l'autre sur sa propre personne...
L’acquis et lier a la communication, il permet l’empathie des humeurs, des pensées, d'une situation de vie....
De plus nous n'en somment pas sure (prendre avec des pincette) mais une forme de moralité pourrai être acquéri génétiquement...ça c'est hypothétique...
Je sais aussi que des circuit neuronaux lié a la douleur sont automatiquement activé quand on voie un individu en difficulté.
A l’opposé, seul les humain et animaux sociaux sont capable de mimé dans les details, un imitation des models parentaux permettrais avec la socialisation (

) de développer l'empathie par l’acquis...
Peut-être aussi s'agit t'il d'un apprentissage empathique.
L'empathie existerait pas nature mais serait à éduqué et évolutif ?
Ça c'est mon opinion.
Pour en revenir a des recherche dans le domaine, c'est vrais que l'humain agit en fonction de sont environnement.
Si un homme existe dans un groupe extrêmement "donneur" pour s’intégrer il donnera donc...
Que le fonctionnement sois sincère ou pas, égoïste ou simplement un rituel, lié à la culpabilité donc immature, ou lier à la solidité des liens donc raisonnable, l'individu s'y pliera.
Il peux aussi se "rebeller", trouver que trop de gentillesse c'est hypocrite et chercher un autre groupe.
Cet autre groupe, qui donne moin, et t'il plus méchant ?
Ça dépend pour qui...et les raison de cette personnes.
Certaine personne donnent parce qu’on leurs a donner, d'autre par culpabilité d'avoir reçus, d'autre par politesse simple, d'autre ne donne pas, d'autre simplement pour intègre.
Certain juste par plaisir d’échanger, ou pour servir leurs émotions en donnant et recevant des gens qu'ils aiment, ou qui peuvent leurs apporté quelques choses, sans le piège du "je doit lui redonner" ou du "c'est trop donner".
Dans tout les cas, on fait ca un minimum pour sois, je dirait plus qu'un minimum.
D'un point de vue totalement subjectif pour illustrer cet idée :
La façons de le faire (donner recevoir) et de s'en accommodé intérieurement fait la différence entre mal le faire et bien le faire.
Si je donne par pur égoïsme et que j'assume c'est bon, si j'assume pas c'est pas bon.
Si je redonne par culpabilité d'avoir recus, c'est pas bon.
Si je redonne par politesse en retour, c'est bon.
Pourtant sa servira les deux même individus.
Ya un sentiment qui est plus agréable que l'autre, voila tout.
Quoi qu'il en sois l’être humain cherche à vivre, il cherche la paix mais n’hésite pas a la "detruire" (sa paix) pour en trouver une meilleur.
Il cherche un confort, mais peux le renier, pour en trouver un meilleur...
Dans tout les cas, il cherche a vivre au mieux dans sa complexité, et cela est individuel, donc égoïste.
Meme l'apport au groupe est egoiste et orienté sur des besoins.
Le tout pour moi est que ses besoins ne sois pas dysfonctionel, hypocrite ou incontrolé et sans bornes....
Quand au bien et au mal.
C'est comme la discussion que j'avais eu sur le beau et le mal j'ai l'impression.
Tout cela est conceptuel et subjectif, dans une limite extrême cela devient tout autre.
Prenons l'exemple d'un enfant entre 2 et 10 ans, globalement il sont "manipulateurs", est ce signe d'un mauvais font ?
Je ne pense pas car simplement il sont :
- Fragile
- Immature
- Inconscient
La manipulation n'est qu'un outil a leurs portée pour avoir se qu'ils désirs et se protéger de mauvaise émotion.
La raison les atteindra plus tard, en partie parfois inégale sur différent niveaux.
Un adulte a toujours certain cotée immatures qui traine, pour autant est t'il mauvais ?
Un homme qui ne donne jamais, froid, égoïste et vulgaire, "violent", qui ne se contrôle pas, impulsif et dur avec lui même et les autres est t'il mauvais ? je ne sais pas.
Mais si il vous fait souffrir vous, que cette souffrance est reconnu comme telle même subjectivement, vous pouvez, par rapport a une norme sociale ou votre propre norme pensé que oui...et ce a juste titre.
Mis a pare quelques détails (neurone, environnement) les avis que je propose sont plutôt de l'ordre de l'opinion.
D’ailleurs à se sujet (comme bien d'autres) ses opinions évoluent, changent même, parfois je change mon fusil d’épaule...
Je pensai a une époque que les enfant était de simple "pervers" égoïste manipulateurs...avant de me rendre compte d'une forme de projection, d'une peur.
Me suis rendu compte que c’était lier à la maturité et la connaissance plus qu'a un concept Freudien, même si Freud a émis des hypothèse très intéressante sur le sujet elle reste fortement critiquable naviguant entre fondement logique et hypothétiquement viable (idées intéressante et permettant une vrai introspection) et fondement totalement imaginaire (idée flou voir folle, introspection fantasmé, logique biaisé)...
Au moin tout cela a eu le coté positif de placé l'enfant dans un contexte de personnalité présente, les enfant n’était plus observer comme des enfants en devenir mais des être humain complet en bas age, évoluant grâce a l’éducation et a des milliers d'autres choses...
Bref la connaissance pure apporte autant que l’expérience.
Il n’empêche il est plus simple de pensé qu'un enfant manipule parce que c'est sont seul outil pour son cerveau encore immature, sa fragilité, son ignorance et sa raison encore en devenir...
Ainsi j'apporte pas de réponse plus que je ne pose d'autre problèmes
Se débat est pour moi comme un débat sur l'intelligence, c'est a dire relativement flou et encore beaucoup trop vue d'un point de vue de normes sociales pourtant indispensable à la survie, le maintient de la "paix" et d'un sentiment de sécurité.
Ya surement plusieurs connexions qui traverse les rives de plusieurs hypothèses différentes et qui peuvent exister sous une multitude de "vérité".
Bien souvent certains choses simple et unique sont des imbrications de choses complexe et différentes.
Tout ça pour dire qu'il y a mon avis certaines formes empathique de base qui sont innée, mais que beaucoup d'autre fonction empathique sont causé par l’éducation et la société, les contraintes et leurs acceptations dans la compréhension de l’intérêt qu'elle apportent etc...
Que quelqu'un de bien ou de mauvais existe c'est conceptuel en partie et que des normes sociétale ou totalement personnel vous fera juger de qui est bon ou mauvais.
Ensuite certain sens physique, émotionnel (etc) innée agissent comme indicateur de base dans les notions de rejet ou d'attraction (il me fait mal VS il me fait du bien) mais n'aide pas a définir le concept globalement dans la complexité du comportement humain de ses causes et de ses effets en fonction de normes...donc du bien et du mal...
Henri Laborit a parler d'humain qui ne réagissent pas en fonction de leurs pensées mais de l’environnement autour.
En revanche nous sommes capable de juger nos pensée, de les stabilisés parfois, de raisonner sur le pourquoi de cette pensée et du pourquoi mon action était en rapport avec mon environnement avant de répondre a ma logique.
A mon avis il s’agit d'un mixe des deux, la logique de la pensée agit sur la personnalité qui agit sur sont environnement et l’environnement fait de même mais surement dans une proportion plus grande.
Ainsi l’environnement étant le lieux de survie de l’être, c'est en premier lieu cette donnée (la notion environnementale) qui est pris en compte par les actes.
Ensuite la pensé qui serait étudier et formuler, filtrer par le langage peux aussi influencer l’environnement par des actes réfléchies par la logique.
Sauf chez les personnes ayant des problèmes de personnalité, ou la pensée parfois fait preuves d'actes à l'encontre de l’environnement et de sa propre survie...
- La notion de "folie" est aussi très intéressante pour comprendre se sujet à mon avis.
Finalement "l’égoïsme de l'altruisme" est peut-être (mon opinion, rien de scientifique la dedans) un garde fou...
- Je suis asser d'accord avec une phrase s de Tania pour une fois

:
Une nature c'est une nature, un acte n'est même pas nécessaire. Celui qui est altruiste est le même qui aime les animaux et la nature. Ce type là va éprouver de la joie rien qu'en voyant la joie des autres ou de la compassion en voyant le malheur des autres, l'acte n'est pas forcément nécessaire pour que la nature s'exprime.
- Je ne suis pas totalement d'accord avec sa définition de l’altruisme (qui pour moi à une base égoïste naturel et pas de nature "profonde" bien/mal) mais je doit avouer qu'une personne qui ressent de la joie en voyant la joie et la compassion en voyant le malheur n'a pas besoin d'acte pour être pleinement dans son
empathie.
Des gens qui ressente la joie en voyant la joie ça existe et ces gens la sont pour moi mature et digne de confiance dans leur rapport à l’empathie.
C'est un avis personnelle en revanche.
- Mais on doit avouer que la "puissance" humaine qui fait ressentir le bonheur en le voyant et le malheur en le voyant sans en être atteins sois même existe et n'a pas besoin d'acte pour exister.
Cet sensation est purement empathique, peut-être et telle d’ailleurs lier au neurone miroir...donc à une empathie sans retour bénéfique..."une emotion altruiste" car or d'un contexte demander, c'est une réaction.
Ça serait intéressent d'en savoir plus sur ce qu'expose Henri et aussi de lire quelques sceptiques en proposé une antithèse, ou une simple critique raisonnable.
Aussi peut-être Jean-François s'y connais dans une notion de la nature innée ou acquise ou les deux de l'empathie...?
A priori la recherche des neurones miroir pencherai pour une source innée ?...mais je suis pas pro (wikipedia is my friend)
A bientôt.