Forum Sceptique

Eve_en_Gilles a écrit :

mauricemaltais a écrit :Bonjour

J'ai lu quelque part que chez l'homme contrairement à la femme si on enlève disons la prostate le changement selon un médecin dont on l'avait enlevé que le changement du désir avait été radical. On dit que chez la femme même si on enlève tous ces organes sexuels le désir est toujours là.

Maurice

J'ai lu quelque part ailleurs que des médecins avaient décidé il y a 5 ans de retirer la prostate d'une femme.
Aux dernières nouvelles, ils y sont encore.

Salut Nicolas!


Ça me semble assez évident que la dimension psychologique joue un grand rôle dans le désir, en particulier dans le désir sexuel. Je crois qu'une partie de la difficulté consiste à rendre objectives des notions traditionnellement subjectives. Par exemple, la conscience est une notion plutôt philosophique dans son sens général. Pour la rendre objective (bien qu'il puisse logiquement que ce soit impossible de la rendre purement objective), le plus possible du moins, il semblerait qu'il fasse la « fragmenter » en plusieurs notions précises (comme le centre d'attention dans le cerveau, mais même dit comme cela, il manque encore de précision).

Bref, il faut un travail de construction et d'élaboration de concepts scientifiques. Avec un peu de recherche, on peut trouver (sur le net) quelques-uns de ces concepts. Du coup, c'est moins spectaculaire, car on plonge dans une sorte d'ontologie qu'il faut s'approprier (ça demande parfois de consacrer sa vie entière à l'étude des observations et de la gigantesque quantité d'informations pouvant être recueillies) pour entrevoir des réponses possibles qui permettraient idéalement d'établir des modèles prédictifs.

Je ne dis pas qu'il n'est pas possible de trouver des principes qui simplifieraient d'une heureuse façon toute cette complexité envisagée (par rapport aux connexions neuronales par exemple), mais je n'ai pas la capacité pour te donner des réponses satisfaisantes. J'aimerais bien, comme vous aussi, trouver ces réponses. C'est assez passionnant. Je pourrais tout de même dire qu'il devient de plus en plus certain, avec les études scientifiques, que notre « esprit critique » dépend de (et est construit) selon l'expérience sensible vécue.


Aussi, beaucoup d'aspects psychologiques peuvent être le résultat d'une certaine activité émergente faisant intervenir l'ensemble du cerveau par exemple, et non une zone spécifique. Ainsi, on ne peut pas toujours corréler une activité physique précise observable directement avec une activité psychologique précise. C'est même rarement le cas, je dirais. Ainsi, puisque ce n'est malheureusement pas aussi simple, le principe d'émergence faible est pratiquement inévitable pour une orientation féconde des études que demandent de tels questionnements. (Le principe d'émergence forte demeure plutôt philosophique étant souvent contesté dans la communauté scientifique.)


J'aimerais aussi dire (j'en avais d'ailleurs déjà fait la remarque auparavant) qu'il n'est pas vraiment scientifique de dire, par exemple, que l'animal s'accouple AFIN d'assurer la survie de l'espèce. La science (heureusement) ne s'occupe pas de trouver le but, la finalité des choses (qui est tout de même différente du (ou des) sens possible de la vie), puisque cette dernière demeure largement subjective, spéculative ou teintée d'anthropocentrisme.

En philosophie, le but de la vie est le bonheur (personnellement, j'aime bien la nuance « moins de malheur »). En science, savoir « quel est le but de la vie » n'est pas un questionnement tout à fait valable (qui a un sens) scientifiquement. Un scientifique crédible ne dira pas que le but de la vie est la survie (de l'espèce) ou quoi que ce soit d'autre.

La préposition « AFIN » dans le langage scientifique demeure surtout un raccourci, une vulgarisation (qui peut cependant créer une certaine incompréhension du questionnement scientifique qui est sous un mode différent et plus strict que celui en philosophie). En gros, la science s'occupe principalement de produire des connaissances objectives, de comprendre le fonctionnement des mécanismes observables et, idéalement, d'établir des modèles prédictifs à l'aide de théories cohérentes et en accord avec les observations.

Il y a une nuance entre dire, par exemple, que l'un des rôles (fonctions ou caractéristiques) du foie est la destruction de toxines, et dire que le foie existe afin de détruire les toxines.

Bonjour

À Daves, je crois qu'en premier il y a une cause physique que cela soit dans la sexualité où la santé en générale. Ensuite le psychique peut invervenir en bien ou pas. Ainsi le stress ou linquiétude peut dimininuer le désir. Ce qui prouve que le physique a d'abord droit de cité parce que sans le désir il peut après des provocations de part et d'autre des deux conjoints il peut se produire du sexe.

Jusqu'à date il me semble que la médecine n'a jamais expliqué pourquoi certains ont une forte vitalité sexuelle et d'autres une moins forte . Seuls les sexologues qui ont très peu de connaissances médicales ont parlé de pulsions comme si c'était notre psycologie concernant le sexe qui commande la vitalité sexuelle.

Maurice

Plus ca va, je me m'informe et plus je pense que c'est de multiples facteurs qui servent de multiples "raisons"...et tout se complique...
C'est pas comme de debunker le 911 ptain

Par contre Maurice, si je ne m'abuse, une forte libido peut aussi (plus rarement) être causé par le stress ou l’anxiété...la recherche du plaisir étant une réponse à se stress, la libido s'active.

Dave : ta réponse je croie, remet les chose en raille...
J’espère que la philosophie et la science trouverons un chemin commun pour permettre a certains "concept" de devenir scientifique.

Concernant la vulgarisation...toujours se probleme, et de plus la science ne vulgarise telle pas en partie l'explication de la realité objective en posant des mots dessus ?

A bientôt.

Bonjour

La découverte qu'on a fait il y a déjà vingt ans pour combattre le ronflement et qu'une étude a été faite pour vérifier sa véracité cela va aidé à mieux comprendre la sexualité. Parce qu'en plus d'e renforcer les muscles de la gorge ce genre d'exercice peut être aussi anti-vieillissement , jusqu'à un certain point anti- maladie et et peut également augrnenter considérablement la vitalité sexuelle. Vu que déjà 60% des gens après quarante ans ronflent pratiquement presque tout le monde tôt ou tard va renforcer sa capacité respiratoire.

Maurice

mauricemaltais a écrit :Bonjour

La découverte qu'on a fait il y a déjà vingt ans pour combattre le ronflement et qu'une étude a été faite pour vérifier sa véracité cela va aidé à mieux comprendre la sexualité. Parce qu'en plus d'e renforcer les muscles de la gorge ce genre d'exercice peut être aussi anti-vieillissement , jusqu'à un certain point anti- maladie et et peut également augrnenter considérablement la vitalité sexuelle. Vu que déjà 60% des gens après quarante ans ronflent pratiquement presque tout le monde tôt ou tard va renforcer sa capacité respiratoire.

Maurice

À chaque fois que je lis une de vos interventions, je renforce ma capacité hilaratoire, ça doit compter dans le vieillissement non?

Le meilleur remède anti maladie et anti vieillissement, c'est le Bifidus Actif© !
Zetent nazes les gars....

Sérieusement, l’affirmation est ridicule, mais pourtant j'ai du mal a me dire qu'une personne stresser, anxieuse et déprimer vieillira de la même manière qu'une personne souriante, épanouie et active...
Le stress ca aide pas tout de façon...
Simplement si on est déprimer est qu'on se force à rire, ca marche pas nomplu

bonjour

À Nicolas78, ceux qui vont se servir d'une exercice pour combattre des ronflements vont voir leur capacité respiratoire augmenter et quel est le premier résultat qu'ils vont remarquer c'est l'augmentation de la vitalité sexuelle . Pourquoi que ce premier bénéfice est si important pour l'organisme. Je pense que sans bonheur d'une sorte ou d'autre le physique ne pourrait pas fonctionner. Pourquoi le Christ ne demandait pas à ses apôtres de jeuner. Il savait qu'aimer son prochain comme soi-même ils s'avaient assez mortifié. et ils devaient essayer de trouver du bonheur dans des plaisirs que la vie peut procurer.

Maurice