Vous faites ce qu vous voulez dans votre intimité. Mais on a pas besoin de connaître vos dérives sexuelles ici sur ce forumVite je vais me masser la rondelle avec un cristal de jouivite rechargée au soleil ça va me détendre...


Vous faites ce qu vous voulez dans votre intimité. Mais on a pas besoin de connaître vos dérives sexuelles ici sur ce forumVite je vais me masser la rondelle avec un cristal de jouivite rechargée au soleil ça va me détendre...
Pépé, j'espère que ton massage de rondelle t"a permis la libération d'endomorphine, mais surtout qu'il t'a remis un petit peu les idées en place. (Attention tout de même à ne pas donner des idées à certains, si tu y tiens à ta rondelle!)Pepejul a écrit :Amelie14 a écrit : Elle te dit merde la gourde, pour qui tu te prends non mais sans rire, quand tu auras la connaissance du domaine on pourra en discuter. Tu fais des insinuations et des suppositions, à part cela rien, incapable de trouver des arguments autres que de l'ironie.
Que tu le veuilles ou non les thérapies complémentaires entrent dans les hôpitaux et c'est certains que cette avancée n'est pas grâce à votre attitude de bas étage.
Parce que toi tu en as des connaissances dans le domaine ? tu as juste copié collé des inepties et tu n'as répondu à aucunes de nos demandes de précision...
Le jour où la lithothérapie devient une spécialité de Médecine j'avale un tube entier de granules d'Arnica pour me suicider ! Non la lithothérapie n'est pas une thérapie complémentaire, c'est une grosse supercherie pour gogos new-âge en mal de mystérieux.
Arrête de prendre tes rêves pour des réalités....
Ah la colère est contagieuse on dirait !
Vite je vais me masser la rondelle avec un cristal de jouivite rechargée au soleil ça va me détendre...
Sans doute par empirisme, à force de les côtoyer. Une fois qu'on se rend compte que certaines plantes ont un effet particulier, il n'est pas bien difficile de se dire que c'est sans doute le cas pour d'autre et de faire des test.Photon a écrit :Je me suis toujours demandée d'où venait les remèdes de grand-mère, comment nos anciens connaissaient les propriétés de certaines plantes, sans possibilité d'analyse réelle!
Pour quelqu'un qui a travaillé quelques décennies dans le milieu médical, plus particulièrement hospitalier, plus spécifiquement avec des spécialistes de la pharmacologie, de la douleur et des soins palliatifs. Quelqu'un qui est donc parfaitement au courant des prétentions des illuminés de votre genre, ainsi que des dégâts qu'ils sont capables de faire si on ne limite pas leur accès aux patients.Amelie14 a écrit : Elle te dit merde la gourde, pour qui tu te prends ...
il y a une biblio là. Ben j'fais c'que peux!LouV a écrit :ça serait bien de trouver si il y a un équivalent pour la Réunion.
Vous avez le sujet Lithothérapie pour ce genre de "discussion" les filles. Pensez aux gens qui débarquent sur ce sujet en n'ayant pas suivi le début du feuilleton ailleurs.Florence a écrit :*Règlement de compte avec Amélie*
Merci !richard a écrit :il y a une biblio là. Ben j'fais c'que peux!LouV a écrit :ça serait bien de trouver si il y a un équivalent pour la Réunion.
Tu veux dire que ce n'est pas produit au sein d'un rituel sataniste impliquant le sang d'une vierge et plusieurs tonnes de pétrole ?unptitgab a écrit :Julien une grande partie des études en pharmacopée porte sur les plantes, coraux ou autres organismes vivants, cela fait parti des bases d'un grand nombre des molécules qui constituent les traitement médicamenteux.
Il ne faut pas sous-estimer "les anciens" ou les "primitifs", qui ont souvent une excellente connaissance de leur environnement et de riches traditions. En l'absence de possibilité d'analyse au sens moderne, il existe toujours l'observation (exemple: les oiseaux dans le bassin amazoniens se gorgent de certaines argiles en périodes sèches, pour aider la digestion et l'élimination de l'excès de substances toxiques dans les fruits, il est vraisemblable que des pratiques similaires chez les humains relèvent de l'observation de ce comportement) et l'expérience ("les gens qui boivent régulièrement de la tisane de telle plante cueillie à tel degré de maturité sur tel sol se portent mieux que ceux qui n'en boivent jamais").Photon a écrit :Je me suis toujours demandée d'où venait les remèdes de grand-mère, comment nos anciens connaissaient les propriétés de certaines plantes, sans possibilité d'analyse réelle!
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Pour moi le débat si ça ne dérange personne, sera de trouver les possibilités de raisonnement qu'on pu avoir ceux qui étaient là avant les progrès technologiques permettant de le prouver.
Il y a plein de propriétés démontrées "in vitro" qui ne se retrouvent pas "in vivo". Un nombre extraordinaire de substances détruisent les cellules cancéreuses "dans un tube" mais pas au sein d'un organisme vivant complet, ou alors avec un coût associé en termes d'effets secondaires.Je vais essayer de procéder méthodiquement soit:
- Associer une plante avec les préconisations de mes petits vieux
- Rappeler les propriétés démontrées de ces plantes
Toutes mes excuses, mais certaines dérives ont tendance à me faire sortir de mes gonds ...Pour le reste, je pense faire preuve de respect en essayant de suivre la règle de raisonnement du forum. J'aimerai qu'on ne pollue pas mon post avec des querelles qui ne sont pas directement en rapport avec le sujet soit la Médecine par les PLANTES.
Je vous remercie d'avance
C'est vrai que parfois tu degonnes...Florence a écrit :Toutes mes excuses, mais certaines dérives ont tendance à me faire sortir de mes gonds ...
Pouvez-vous préciser à quoi correspond cette pathologie du nourrisson ? Quels en sont les signes cliniques, comment en fait-on le diagnostic de certitude ?Photon a écrit :[...] les "saisissement" (ça signifie chez nous, les grosses peurs) pour les nourrissons.
... au risque de faire double emploi, je propose le Mesh bilingue français-anglais (traduction des principaux termes associés et arborescence).LouV a écrit :Une autre base de données utile pour ce travail (savoir quels mots anglais taper dans le moteur de recherche) [...]
Maintenant on va continuer à avancer, des pistes de reflexion il y en a toujours et ce sur tous les sujets, il suffit de savoir garder une ligne de conduite et l'emmener jusqu'au bout.Florence a écrit :Il ne faut pas sous-estimer "les anciens" ou les "primitifs", qui ont souvent une excellente connaissance de leur environnement et de riches traditions. En l'absence de possibilité d'analyse au sens moderne, il existe toujours l'observation (exemple: les oiseaux dans le bassin amazoniens se gorgent de certaines argiles en périodes sèches, pour aider la digestion et l'élimination de l'excès de substances toxiques dans les fruits, il est vraisemblable que des pratiques similaires chez les humains relèvent de l'observation de ce comportement) et l'expérience ("les gens qui boivent régulièrement de la tisane de telle plante cueillie à tel degré de maturité sur tel sol se portent mieux que ceux qui n'en boivent jamais").Photon a écrit :Je me suis toujours demandée d'où venait les remèdes de grand-mère, comment nos anciens connaissaient les propriétés de certaines plantes, sans possibilité d'analyse réelle!
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Pour moi le débat si ça ne dérange personne, sera de trouver les possibilités de raisonnement qu'on pu avoir ceux qui étaient là avant les progrès technologiques permettant de le prouver.
Je suis tout à fait d'accord, ces observations sont le fruit d'un long vécu. Je pense sincèrement que cela s'est fait sur plusieurs générations, d'ailleurs pas mal de remèdes de grands-mères sont arrivés en même temps que les différents peuples chez nous.
Il y a plein de propriétés démontrées "in vitro" qui ne se retrouvent pas "in vivo". Un nombre extraordinaire de substances détruisent les cellules cancéreuses "dans un tube" mais pas au sein d'un organisme vivant complet, ou alors avec un coût associé en termes d'effets secondaires.Je vais essayer de procéder méthodiquement soit:
- Associer une plante avec les préconisations de mes petits vieux
- Rappeler les propriétés démontrées de ces plantes
Les effets secondaires sont un des aspects que les "bonnes femmes" de bonne foi et les charlatans ne prennent quasiment jamais en compte, faute souvent de pouvoir associer causes et effets.
Soigner les petits bobos par les plantes, chez nous n'est pas un truc considérés comme réservé à des élus, mais oui, je déplore aussi les charlatans (il y en a chez nous comme partout) qui ont fait de cela un business pour certains crédules et qui croiraient en n'importe quoi. D'ailleurs jamais ils ne donnent les compositions de leur remède soit disant miracle.
Toutes mes excuses, mais certaines dérives ont tendance à me faire sortir de mes gonds ...Pour le reste, je pense faire preuve de respect en essayant de suivre la règle de raisonnement du forum. J'aimerai qu'on ne pollue pas mon post avec des querelles qui ne sont pas directement en rapport avec le sujet soit la Médecine par les PLANTES.
Je vous remercie d'avance
Chacun à le droit de réagir comme il le veut, je comprends j'ai moi aussi certains sujets qui m'hérisse, mais je rappel à l'ordre, sans animosité. J'ai juste envie que tout ne parte pas à la dérive. Lorsqu'une chamaillerie commence, c'est celle là qui reste en avant, le sujet lui finit par être oublié.
On ne parle pas de refiler quoi que ce soit à qui que ce soit. Nous établissons une base de réflexion.Pepejul a écrit :La sensitive (Mimosa pudica)est une cousine des mimosas. Elle contient un alcaloïde toxique : la mimosine.
extrait " M. pudica se caractérise sur le plan phytochimique par la présence de tanins, stéroïdes, alcaloïdes, triterpènes et de glycosides de flavonoïdes (des C-glycoflavones). Parmi les alcaloïdes citons : la mimosine (toxique), norépinéphrine, bufoténine, tryptamine. On a isolé aussi du bêta-sitostérol, du D-pinitol, de la crocétine et des tanins.
La présence de ces nombreux alcaloïdes rend cette plante potentiellement toxique.
Les Mayas connaissaient les vertus relaxantes et antidépressives des feuilles. C'était une plante médico-magique pour les anciennes populations amérindiennes des Caraïbes.
Aux Antilles françaises, la racine est traditionnellement utilisée en décoction contre le mal de gorge et la coqueluche.
Elle est utilisée dans les systèmes médicaux traditionnels en Afrique, en Inde et en Chine." source : http://www.madipedia.com/index.php?opti ... &Itemid=44
plante médico-magique qui sert un peu à tout.... j'en filerais pas à mes gosses en tout cas !
Carthaphilus, je ne suis pas médecin, je ne fais de diagnostic déjà qu'il y en a qui se trompent en étant du métier, alors voyez vous, je n'ai pas cette prétention.Cartaphilus a écrit :Salut à tous, bonjour Photon.
Pouvez-vous préciser à quoi correspond cette pathologie du nourrisson ? Quels en sont les signes cliniques, comment en fait-on le diagnostic de certitude ?Photon a écrit :[...] les "saisissement" (ça signifie chez nous, les grosses peurs) pour les nourrissons.
Car avant de parler de thérapeutique, il faut s'assurer de l'existence de la pathologie, et de l'exactitude du diagnostic.
Photon a écrit :La sensitive était toujours préconisée comme remplacement du romarin pour les "saisissement" (ça signifie chez nous, les grosses peurs) pour les nourrissons.
Ok, maintenant qu'on est plus au clair sur ce que sont les "saisissements", peut-être faut-il chercher si la plante a des propriétés relaxantes. (Peut-être jeter aussi un coup d'oeil du côté du romarin)Photon a écrit :Par exemple suite à des évènements stressant, les nourrissons sont agités, énervés, sursautent pour rien, pleurent bref ce n'est que de l'observation et analyse d'une situation.
Mon grand-père s'est fait soigner des otites récurrentes par les remèdes naturels de l'époque en Touraine : des toiles d'araignées.Chez nous, personne ne se considère comme médecin, c'est juste des habitudes depuis le temps. Un petit bobo = un petit remède de grand mère, nous ne soignons pas les maladies!
Je trouve votre définition plutôt vague, pouvant se rapporter à de nombreuses situations (qu'est-ce qui est stressant pour un nourrisson ?), y compris à un symptômes de maladie organique.Photon a écrit :Par exemple suite à des évènements stressant, les nourrissons sont agités, énervés, sursautent pour rien, pleurent bref ce n'est que de l'observation et analyse d'une situation.
Encore faut-il établir la bénignité du bobo, en éliminant les maladies.Photon a écrit :Un petit bobo = un petit remède de grand mère, nous ne soignons pas les maladies!
Cette phrase illustre bien l’ambiguïté de la démarche : sans faire de diagnostic et sans parler de thérapeutique, « les gens ont donc appris à se soigner par les plantes », par les « remèdes de grand-mère » ou la « prescription de tisanes ».Photon a écrit :Il n'est pas ici question de thérapeutique, pour ce qui va suivre je parle en généralité, il y a toujours des exceptions: on conseille certaines choses comme je le dis pour des petits bobos, à aucun moment quelqu'un va dire, ça va te guérir!
Je suspecte qu'il s'agit en fait davantage de quelque chose de stressant pour l'entourage du nourrisson, surtout un entourage manquant des ressources, informations et connaissances nécessaires à faire la différence entre un bobo et une maladie et qui dans le doute préfère faire quelque chose, n'importe quoi, pour éviter le pire, au risque bien entendu de faire bien des bêtises ...Cartaphilus a écrit :Salut à tous, bonjour Photon.
À propos de ce que vous appelez les « saisissements » du nourrisson :
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Je trouve votre définition plutôt vague, pouvant se rapporter à de nombreuses situations (qu'est-ce qui est stressant pour un nourrisson ?), y compris à un symptômes de maladie organique.
Cette phrase illustre bien l’ambiguïté de la démarche : sans faire de diagnostic et sans parler de thérapeutique, « les gens ont donc appris à se soigner par les plantes », par les « remèdes de grand-mère » ou la « prescription de tisanes ».
il aurait été évidemment plus judicieux de parler de "soins par les plantes développés par des communautés ne disposant pas de mieux" ...Et le titre du sujet s'intitule Médecine par les plantes...
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