Florence a écrit :qui se réfère aux enfants dont l'indiscipline (je ne parle même pas d'obéissance), l'agitation, l'inattention et les échecs sont attribués par des parents aussi vaniteux qu'incompétents (et trompés par les imbécilités proférées par de soi-disant experts de la "douance") à des "dons" non pris en compte par un système scolaire et des enseignants chargés de tous les maux.
Mes parents ne sont pas trop vaniteux je pense, un peut, (sauf si vous les abordez avec un jugement à posteriori) et quand à l'incompétence je ne serait en juger. Un enfant n'est pas livré avec un mode d'emploi et ne devient pas forcement ce que les parents veulent qu'il devienne...
Mon meilleur ami à eu une enfance chaotique et douloureuse (ses parents l'on rejeté puis re-accepté avant de le déscolariser pour en faire une sorte de servant...il à "fugué" à la demande de sa grand-mère qui était dans un autre pays se sont rejoint, il y à appris la langue en 3/4 mois, et à fini ces études)...il est devenu extrêmement débrouillard, il gagne bien sa vie, il est asses cultivé, très intelligent et est calme...il fut perturbé, certe, mais à fini ces études.
Perso, j'ai eu des parents aimant, souvent présent mais pas envahissant, qui m'on poussé vers le sport (du basket au tir à l'arc en passant par le vélo), l'art (dessin/peinture) et les sciences/technologies. J'ai totalement chié ma scolarité et ai vécus quelques déconvenues (comme bcp d'entre nous), j'ai quasiment zéro diplôme ... ce que je veut dire, c'est que ma "réussite" est toute relative quand je compare mes "difficultés visibles" à celles, bien "hardcores et même pas furtives", de mon ami et ce qu'il en est actuellement malgré nos parcours si différents.
Les parents sont hautement responsable de leurs enfants, mais c'es vraiment usant de voir d'entendre autant de monde croire qu'ils serait des garants quasi-omniscient de leurs bien être et de leurs évolution vers le "succès" tout en reprochant à ceux qui échouent d’être vraiment trop cons et arrogants de ne pas accepter le sentiment de culpabilité qu'ils méritent...
Ceci-dit, je suis d'accord que les parents on leurs responsabilités. C'est bien pour ça qu'avant ce commentaire, je n'ai pas hésité à me moquer d'eux (et de leurs vanités, souvent reflet d'une anxiété voir d'un désespoir concernant leur descendance ou face à la réalité de l’échec de leur méthodes d’éducation voir de leurs propre personnalité + ou - inadapté à la fibre éducative [qui n'est pas si "naturelle" que ça]...)
Tout ce que je veut dire, c'est que tout cela me parait plus complexes que le simple "responsable" VS "pas responsable".
En gros, je suis d'accord avec vous mais peut-être plus relativement
