Vous pouvez aussi essayer d'avoir une vie gaie, enrichissante et sans croyance. Il y a de nombreuse possibilités entre l'illusion fondamentaliste de la croyance (pas toujours gaie*) et le désespoir nihilistesebauff51 a écrit : 04 déc. 2018, 08:50Je crois que le pire c'est que je préfère une vie triste et sans croyance que de croire pour être heureux

Les théisme et déisme recouvrent des idée parasitiques dont il est difficile de se défaire pour des raisons socioculturelles. Même lorsqu'on sait que la preuve devrait supporter l'existence des divinités, c'est du néant qu'on espère (parfois) sortir une preuve.mais en même temps j'ai l'étrange nécessité d'une preuve de la non existence de Dieu, ça crée une sorte de triste quête inextricable mais intéressante d'un point de vue de la réflexion.
Jean-François
* Surtout en version "nous sommes les marionnettes d'une divinité capricieuse et austère qui juge(rait) que le moindre faux-pas mène à la torture éternelle".