Re: Les sceptiques sont-ils satanistes...
Publié : 15 août 2019, 15:11
Penser par sois-même c’est surtout se défaire de l’égoïsme des autres 

Débattons sans nous battre !
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Tu n'as pas l'air d'avoir beaucoup progressé sur ton sujet de prédilection !richard a écrit : 15 août 2019, 14:39Ben c’est à toi de te poser la question. Tu n’arrêtes pas de dire que les sceptiques sont formidables et que tu as beaucoup progressé depuis que tu fréquentes le forum. Quel est l’intérêt?
Ce n'est pas par intérêt... Drôle d'hypothèse...richard a écrit : 15 août 2019, 14:39Ben c’est à toi de te poser la question. Tu n’arrêtes pas de dire que les sceptiques sont formidables et que tu as beaucoup progressé depuis que tu fréquentes le forum. Quel est l’intérêt?
On croirait que vous êtes félin pour l'autre.
Où ça veut dire que vous n'êtes pas assez malléable de nature pour avaler tous leurs bobards et vous laisser endoctriner dans leur pseudo-thérapeutique...LePsychoSophe a écrit : 15 août 2019, 15:34 Tous les psys que j'ai vu n'ont pas réussi à casser ma coquille défensive car... de leurs propres mots : "vous êtes trop rigides pour vraiment discuter avec vous". Discuter prend le sens de dialogue, dialectique thérapeutique ici...
Sur ce point, vous rejoignez la Scientologie avec Tom Cruise.Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 12:37 Quand on connait l'histoire du développement de la psychologie clinique et son absence d'une véritable base scientifique de connaissance, on s'étonne toujours de voir des gens qui puissent aujourd'hui croire qu'elle est une véritable "médecine" de l'esprit... ou du psychisme.
Ce n'est pas parce que Tom Cruise et la Scientologie critiquent la psychologie et la psychiatrie clinique que toute critique de ces disciplines deviennent assimilables à cette secte...DictionnairErroné a écrit : 19 août 2019, 13:06Sur ce point, vous rejoignez la Scientologie avec Tom Cruise.Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 12:37 Quand on connait l'histoire du développement de la psychologie clinique et son absence d'une véritable base scientifique de connaissance, on s'étonne toujours de voir des gens qui puissent aujourd'hui croire qu'elle est une véritable "médecine" de l'esprit... ou du psychisme.
Il faut être médecin pour être psychiatre, pas pour être psychologue. C'est une des nombreuses différences de taille entre les deuxHenri Laborit a écrit : 19 août 2019, 13:23
Il existe de nombreux "dissidents" au sein même de la psychologie et de la psychiatrie (Tana Dineen, Robyn Dawes, Joanna Moncrieff, Peter Breggin, David Healy, pour en nommer quelques-uns) et dans d'autres domaines (Robert Whitaker et Ray Moynihan, journalistes scientifiques, par exemple).
Vous tenez exactement les mêmes propos que la scientologie, du copier-coller à vrai dire sur la psychologie et la psychiatrie:Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 13:23 Ce n'est pas parce que Tom Cruise et la Scientologie critiquent la psychologie et la psychiatrie clinique que toute critique de ces disciplines deviennent assimilables à cette secte...
Je ne dis pas que vous êtes scientologue, je dis simplement que vous êtes du même avis sur ce point et avec le même raisonnement.Quand on connait l'histoire du développement de la psychologie clinique et son absence d'une véritable base scientifique de connaissance, on s'étonne toujours de voir des gens qui puissent aujourd'hui croire qu'elle est une véritable "médecine" de l'esprit... ou du psychisme.
Je précise d’emblée que je ne représente évidemment pas l’Eglise catholique, il n’est pas nécessaire de recourir au surnaturel pour concevoir ce qui pourrait être qualifié de " satanique ".LePsychoSophe a écrit : 14 août 2019, 13:34 Pensée par soi-même est une forme d'égocentrage, d'égoïsme qui, vu de l'Eglise catholique, est à éviter. L'égoïsme étant un pêché alors tout être libre serait le diable.
Je n'avais jamais vu le satanisme sous cet angle et je dois dire que pour cela je le trouve plutôt séduisant.![]()
Le plaisir est valorisé dans cette forme de satanisme. A nouveau pour des raisons d'égocentrisme car le plaisir en lui-même est (ou pouvant être) non-productif (au sens d'un apport à l'autre et à la société). N'étant pas un apport obligatoire pour autrui (la masturbation par exemple, ou l'oisiveté), l'Eglise y a collé la péjorativité du Mal dessus.
Ces transgenres ce sont laissé hypnotiser par les sirènes du progrès scientifique, un progrès qui laisse présumer une liberté infinie dans la transformation des corps, sans en considérer pleinement toutes les conséquences.L’hormonothérapie suivie dans le cadre d’un changement de sexe n'est pas sans danger pour la santé. Selon une nouvelle étude, les femmes transgenres présentent un risque plus important de développer une maladie thromboembolique veineuse et de faire un AVC.
Le fait d'être médecin ne confère pas une compétence scientifique ipso facto. Des médecins membres du collèges des médecins soutiennent l'homéopathie, par exemple.Mirages a écrit : 19 août 2019, 14:05
Il faut être médecin pour être psychiatre, pas pour être psychologue. C'est une des nombreuses différences de taille entre les deux![]()
Tu n'as pas encore compris que " les sciences " psy, sont encore toutes nouvelles dans l'histoire de l'humanité ?Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 21:55Le fait d'être médecin ne confère pas une compétence scientifique ipso facto. Des médecins membres du collèges des médecins soutiennent l'homéopathie, par exemple.Mirages a écrit : 19 août 2019, 14:05
Il faut être médecin pour être psychiatre, pas pour être psychologue. C'est une des nombreuses différences de taille entre les deux![]()
Le grand reproche que l'on peut adresser à la psychiatrie et à la psychologie clinique, c'est de ne pas travailler de manière fondamentalement scientifique.
Voici un bel exemple d'un troll pseudo-sceptique-scientiste.Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 21:55 Le grand reproche que l'on peut adresser à la psychiatrie et à la psychologie clinique, c'est de ne pas travailler de manière fondamentalement scientifique.
Ça, c'est l'argument fétiche des adeptes de la psy, dès que l'on questionne la pertinence scientifique de la psychologie.Curieux_ a écrit : 19 août 2019, 22:35 Tu n'as pas encore compris que " les sciences " psy, sont encore toutes nouvelles dans l'histoire de l'humanité ?
Qu'il va peut-être falloir des centaines, des milliers d'années pour comprendre les mécanismes de la conscience ?
Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 23:06Ça, c'est l'argument fétiche des adeptes de la psy, dès que l'on questionne la pertinence scientifique de la psychologie.Curieux_ a écrit : 19 août 2019, 22:35 Tu n'as pas encore compris que " les sciences " psy, sont encore toutes nouvelles dans l'histoire de l'humanité ?
Qu'il va peut-être falloir des centaines, des milliers d'années pour comprendre les mécanismes de la conscience ?
Mais si vous connaissiez vraiment l'histoire plus que centenaire de la psychologie (à ce titre, c'est une discipline plus vieille que la génétique ou les neurosciences, qui, elles, ont donné autrement plus de résultats dans la compréhension de l'être humain) vous sauriez que c'est un argument bidon, puisque cette histoire nous fait parfaitement comprendre qu'elle n'en a jamais été véritablement une:
La psychologie peut être (j'en sais rien véritablement même si ça ne m'étonnerait pas). Mais pour la psychiatrie tu parles seulement des interactions humaines entre patients et soignants ou aussi de son élaboration en temps que discipline ? parce que là je serai étonné : on donne bien des médicaments qui sont loin d’être de l'homeo par exemple...Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 21:55
Le grand reproche que l'on peut adresser à la psychiatrie et à la psychologie clinique, c'est de ne pas travailler de manière fondamentalement scientifique.
Trois petites citations, et vous tombez dans l'attaque personnelle, gratuite, sans fondement... Et c'est moi que vous traitez d'enragé???!!!Curieux_ a écrit : 19 août 2019, 23:36 Mais vous avez l'air de tout mélanger, sans rien connaître des tenants et aboutissants des pathologies psychiatriques.
Vous semblez bien enragé, il s'est passé quelque chose ? Un moi défaillant ? Problème d'estime de vous ?![]()
Pour comprendre la fraude du médicament psychiatrique, il faut non seulement lire sur l'histoire du développement de l'antidépresseur, très peu soutenu par la littérature scientifique, mais il faut comprendre la synergie psychiatrie/big pharma, une alliance qui profita non seulement à l'industrie, mais à la branche la plus moribonde de la médecine à ce moment, la psychiatrie.Mirages a écrit : 20 août 2019, 00:10 Mais pour la psychiatrie tu parles seulement des interactions humaines entre patients et soignants ou aussi de son élaboration en temps que discipline ? parce que là je serai étonné : on donne bien des médicaments qui sont loin d’être de l'homeo par exemple...
2 raisons à cela. J'avais de bons mécanismes de défenses imparables à l'époque. & étant psychologue clinicien moi-même, quelques interférences d'égo et de chapelles n'étaient pas à exclure (étant d'approche cognitivo-comportementale, je n'ai (paradoxalement) confié mon esprit qu'à des thérapeutes d'orientation analytique...Henri Laborit a écrit : 19 août 2019, 12:37 Où ça veut dire que vous n'êtes pas assez malléable de nature pour avaler tous leurs bobards et vous laisser endoctriner dans leur pseudo-thérapeutique...
Quand on connait l'histoire du développement de la psychologie clinique et son absence d'une véritable base scientifique de connaissance, on s'étonne toujours de voir des gens qui puissent aujourd'hui croire qu'elle est une véritable "médecine" de l'esprit... ou du psychisme.
Fonctionnels pour qui? Pour la Nature? Pour le dessein intelligent? Pour la reproduction?Aggée a écrit : 19 août 2019, 18:39 je pense a des individus qui éprouvent des problèmes avec leur identité de genre et qui se lance dans des chirurgies lourdes, mutilantes pour leurs corps, destructrices d’organes sexuels parfaitement fonctionnels, pour se retrouver avec d’autres problèmes de santé.
https://www.pourquoidocteur.fr/Articles ... vasculaireCes transgenres se sont laissés hypnotiser par les sirènes du progrès scientifique, un progrès qui laisse présumer une liberté infinie dans la transformation des corps, sans en considérer pleinement toutes les conséquences.L’hormonothérapie suivie dans le cadre d’un changement de sexe n'est pas sans danger pour la santé. Selon une nouvelle étude, les femmes transgenres présentent un risque plus important de développer une maladie thromboembolique veineuse et de faire un AVC.
Je pourrais continuer les exemples mais j’arrête ici.