Dans le cerveau, l'organe, il n'y a pas de partie inconsciente et de partie consciente: il n'y a que des cellules. Et si ces cellules (neurones et glies) sont soumises à des conditions anormales, elles peuvent mal fonctionner. Et si elles fonctionnent mal, elles peuvent entrainer de l'activité désordonnée dans des réseaux qui créent des impressions subjectives, ce qui se traduit en "hallucinations" (pour la personne). Il n'y a pas besoin de "chef d'orchestre". Il n'y a pas besoin de "machin (indéfini)", qui serait inconscient mais aurait quand même des propriétés cognitives suffisamment développées pour "conclure" quelque chose. Il suffit que certains de ses réseaux neuronaux s'emballent pour que quelqu'un puisse y vivre un épisode de perception subjective déréglée.LePsychoSophe a écrit : 10 janv. 2020, 15:25Le chef d'orchestre qui crée l'hallu se situe dans la partie inconsciente du cerveau. Cette capacité cognitive est donc inconsciente
Moi, j'ai l'impression que vous ne comprenez pas très bien le fonctionnement cérébral.Oui, je crois que vous avez mieux compris dans la 2° partie de votre intervention
Donc, vous l'avez vu ou pas le lien? Vous l'avez lu ou pas le message en référence (qui s'adressait à vous)? Vous pouvez offrir une réponse à ma question:Je m'excuse mais je n'ai pas trouvé le cas de cette fameuse dame...
[...]
Mais comme je ne vois pas à quel cas vous faites référence (la dame)... j'ai peur de ne pas saisir...J'ai bien essayé de lire le lien...
"Comment ça s'applique votre historie de "protection" dans son cas? Grâce à ses capacités cognitives, son "illusion du moi/soi" a compris qu'elle n'était pas vraiment en danger? "
Idéalement une réponse pertinente et sobre.
LPS a écrit :Si c'est alors un dysfonctionnement... comment peut-il être à ce point bien huilé par notre cerveau?
JF a écrit :Êtes-vous capable de montrer que cette question procède d'un raisonnement logique et structuré ou c'est une autre de vos "idées-comme-ça"?
OK. Vous n'êtes pas capable d'apporter de raisonnement.LPS a écrit :Certes mais certains témoignages contiennent bien plus qu'une simple sortie hors du corps [...]
J'ai peu lu votre lien ici mais la guéguérre entre sciento et philo ne m'intéresse pas...
Ça parlait aussi un peu de vos messages, de la tendance que vous avez à dédaigner les faits pour préférer les mots. Au point, parfois, de sortir des trucs de ce calibre:
L'article de Alder explique clairement pourquoi une telle réponse - qui n'éclaircit absolument rien (car elle ne dit rien à force de violer le vocabulaire) mais en beaucoup de mots - n'a strictement aucun intérêt pour un scientifique. (Je dis ça au cas où vous chercheriez encore un scientifique pour superviser votre doctorat; si vous cherchez un psychanalyste c'est probablement différentLe paradigme commun, qui peut difficilement ne pas être commun d'ailleurs..., est une sorte de langage commun sur lequel repose la vision globale de l'univers (du monde quoi). De sorte que nous pouvons tous comprendre ce que tous racontent.
Imaginer sortir du cadre comme certains tentent de le faire (Déthiollaz, Beauregard, Charbonnier, Petit, et une belle tripotée encore dont ma liste vient d'être incrémentée d'un biologiste renommé...) est à un certain niveau impossible, non pas ontologiquement, mais psychologiquement. Je comprends parfaitement pourquoi ces gens rencontrent toute une sorte de blocage financier, politique, idéologique, social, relationnel,...

Jean-François