Re: Agriculture urbaine
Publié : 08 janv. 2021, 23:45
source wiki #JMF
Premier projet de jardin-maraîcher
C’est lors d’un voyage de deux ans au Nouveau-Mexique, où il travaille avec sa compagne Maude-Hélène Desroches dans des fermes maraîchères biologiques1, que la vocation vient aux deux étudiants écologistes. Vocation confortée par un voyage à Cuba, où ils découvrent certaines techniques agro-écologiques de maraîchage, notamment les organopónicos. De retour au pays, le couple démarre un premier projet de jardin-maraîcher sur des terres louées, et, en 2005, achète un ancien clapier localisé sur une terre de quatre hectares à Saint-Armand, dans les Cantons-de-l’est2. Ils la baptisent la ferme de la Grelinette, outil qui symbolise le travail manuel de la terre dans le respect de la vie du sol.
Développement
À partir des principes de la permaculture, le couple conçoit alors la ferme en tenant compte de techniques culturales telle que la rotation des cultures et la standardisation des espaces de production. Inspiré par les travaux de l’américain Eliot Coleman, Jean-Martin adopte alors des techniques et des outils qui lui permettent de développer un système cultural sans tracteur3. Renoncer au tracteur permet de réduire les investissements, la dépendance aux carburants fossiles et de diminuer les espacements entre les légumes sur les rangs. Ainsi, les adventices ont moins de surface pour se développer et les engrais apportés au sol profitent seulement aux légumes. Le travail, en grande partie manuel, est plus soigné et minutieux. Le nombre de cultures par an sur une même planche est plus grand. Tous ces facteurs expliquent la rentabilité décuplée de ce système qui a fait la preuve de sa viabilité sur moins d’un hectare.
En 2013, le couple nourrit 250 familles de mai à novembre par l’intermédiaire d’un projet d’« agriculture soutenue par la communauté » (ASC), l’équivalent des associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP) en France. Avec un employé à temps plein et un à temps partiel, la ferme dégage un chiffre d’affaires de 150 000 $ à l’hectare1. Selon Jean-Martin, « L’agriculture de demain sera forcément biologique, artisanale et résiliente[réf. nécessaire]. »
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ya rien de vrai, de bon là-dedans, du vent, du marketing mercantile capitaliste bas de gamme, hurluberlu, licorne, idyllique, utopiste. arnaqueuer, charlatan, menteur, abuseur, manipulateur profiteur
Premier projet de jardin-maraîcher
C’est lors d’un voyage de deux ans au Nouveau-Mexique, où il travaille avec sa compagne Maude-Hélène Desroches dans des fermes maraîchères biologiques1, que la vocation vient aux deux étudiants écologistes. Vocation confortée par un voyage à Cuba, où ils découvrent certaines techniques agro-écologiques de maraîchage, notamment les organopónicos. De retour au pays, le couple démarre un premier projet de jardin-maraîcher sur des terres louées, et, en 2005, achète un ancien clapier localisé sur une terre de quatre hectares à Saint-Armand, dans les Cantons-de-l’est2. Ils la baptisent la ferme de la Grelinette, outil qui symbolise le travail manuel de la terre dans le respect de la vie du sol.
Développement
À partir des principes de la permaculture, le couple conçoit alors la ferme en tenant compte de techniques culturales telle que la rotation des cultures et la standardisation des espaces de production. Inspiré par les travaux de l’américain Eliot Coleman, Jean-Martin adopte alors des techniques et des outils qui lui permettent de développer un système cultural sans tracteur3. Renoncer au tracteur permet de réduire les investissements, la dépendance aux carburants fossiles et de diminuer les espacements entre les légumes sur les rangs. Ainsi, les adventices ont moins de surface pour se développer et les engrais apportés au sol profitent seulement aux légumes. Le travail, en grande partie manuel, est plus soigné et minutieux. Le nombre de cultures par an sur une même planche est plus grand. Tous ces facteurs expliquent la rentabilité décuplée de ce système qui a fait la preuve de sa viabilité sur moins d’un hectare.
En 2013, le couple nourrit 250 familles de mai à novembre par l’intermédiaire d’un projet d’« agriculture soutenue par la communauté » (ASC), l’équivalent des associations pour le maintien d'une agriculture paysanne (AMAP) en France. Avec un employé à temps plein et un à temps partiel, la ferme dégage un chiffre d’affaires de 150 000 $ à l’hectare1. Selon Jean-Martin, « L’agriculture de demain sera forcément biologique, artisanale et résiliente[réf. nécessaire]. »
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ya rien de vrai, de bon là-dedans, du vent, du marketing mercantile capitaliste bas de gamme, hurluberlu, licorne, idyllique, utopiste. arnaqueuer, charlatan, menteur, abuseur, manipulateur profiteur