Totolaristo a écrit : 26 juin 2021, 08:51
Et c’est une erreur de séparer la chimiothérapie de la phytothérapie.
Le premier n’est bien souvent qu’une extension du second comme le faisait remarquer Inso.
C'est à dire ?
Je ne comprends pas très bien.
Un exemple : De mémoire, je ne sais plus où je l'ai lu, dans un article sourcé, scientifique: le millepertuis, qui pourrait avoir des effets légers au niveau d'un état psychologique de dépression, est absolument déconseillé d'usage complémentaire dans le cas d'une chimiothérapie, du fait d'interactions potentielles indésirables. Il faut éviter les "mélanges" intempestifs.
Ce que Florence précise avec une grande acuité dans son post. Difficile de se montrer plus explicite.
La grande entourloupe de l'essor, en occident, de la médecine chinoise, remonte aux années Mao.
Le despote a proprement enfumé son monde, avec une forte valeur idéologique (les relais maoïstes dans les années 70 étaient multiples en occident), en se faisant le promoteur de la médecine traditionnelle chinoise.
Comme il y avait également des devises à faire rentrer...
La réalité était toute autre, sur le terrain : les structures chinoises étaient incapables d'offrir une gamme de soins décents à sa population. Alors, avec un bon tour de passe-passe, relayé par les idiots de service...
Jusque dans les années 90, la Chine était confrontée à un stock d'épidémies conséquentes, récurrentes : typhoïde, peste,...
Alors la médecine traditionnelle...
Aucune étude scientifique digne de ce monde au sujet des méridiens énergétiques, des chakras et autres curiosités exotiques ne semble exister.
A part celles à considérer au même titre que les publications sur la "mémoire" de l'eau....