Merci Poulpeman. On entend souvent dire d'un médicament à effet placebo chez l'humain(l'aspirine en est un exemple, employé à tort à mon avis, mais çà c'est une autre discussion)Je voulais mettre en perspective que chez l'animal, le «sentiment» de «bien-être» se rapportant au médicament placebo (homéopathique en l'occurence) n'existe pas. Lorsque tu parles de subjectivisme chez l'évaluateur, j'ai des doutes raisonnables, puisque l'objectif de quérison de l'animal ne peut se faire qu'avec l'observation objective de l'animal. L'évaluateur, quel qu'il soit, désire voir des résultats et éviter de se perdre en subjectivité. J'espère bien me faire comprendre. Je ne cherche pas à jouer sur les mots.Poulpeman a écrit :Salut pan-pan,
Le subjectivisme n'est pas chez l'animal mais chez l'évaluateur qui détermine si oui ou non il y a eu amélioration de l'état de santé de l'animal.
Ca fait partie de l'effet placebo (aussi bien chez l'homme que chez l'animal).
Je crois d'ailleurs que c'est le principal facteur de l'effet placébo en médecine vétérinaire.
Pour le psychosomatisme, il existe bel est bien chez les animaux qui somatisent, entre autres, le stress. Par exemple, les chiens développent parfois des eczémas ou autres problèmes de peau par somatisation. Le stress d'isolation entraine chez la vache une élévation du cortisol (qui pourrait affecter la qualité du lait).
Poulpeman
Ton point sur le psychosomatisme est vrai.