Jean-Francois a écrit :Laflamme a écrit :ce sont des lois, donc pas une vision, une approche, une thérapie, une théorie, une philosophie
Foutaises! Ce n'est pas parce que Hamer à baptisé son intime conviction du nom de "lois" que c'est devenu des lois. (De la même manière, ce n'est pas parce que vous uniformisez et diabolisez les médecins scientifiques en les traitant d'"inquisiteurs" que ce sont des bourreaux ou des inquisiteurs. Ca, ce ne sont que des clichés qui ne résistent pas devant les faits*.) Ce ne sont pas des lois, encore moins des lois scientifiques, c'est de la rhétorique, du jeu sur les mots. Vous devriez lire de "
L'imposture scientifique en dix leçons" de M. de Pracontal (en particulier la leçon 9, "Des pièges du langage, tu abuseras ") pour mieux comprendre la rhétorique pseudo-scientifique. De Pracontal ne parle pas particulièrement de Hamer, cela ne devrait donc pas trop vous heurter.
A mon avis, il n'y a qu'une poignée de médecins pour croire à ces "lois" et encore moins de scientifiques. Vous êtes bien naïf si vous croyez ce que Hamer prétend. Un exemple: "
En effet, selon le Dr Hamer, sa loi d’Airain est une loi biologique, empirique, fondée sur l’expérience et l’observation. Elle aurait été vérifiée sans exception dans dix mille à quinze mille cas (le nombre varie selon les sources) examinés par ses soins de 1978 à 1981. Immédiatement une question se pose : comment aurait-il pu, à lui seul, analyser autant de patients en un si court laps de temps ?".
Votre site n'est pas ma référence. On y trouve de tout et surtout des erreurs
Allez-y, montrez-en une seule. Je doute que vous puissiez y arriver parce qu'il vous faudrait commencer à utiliser des références réellement scientifiques et non ce que prétend votre Dr. Hamer ou ses disciples. (Note, je parle du 2e lien... le premier, oui, je n'y accorde pas beaucoup de crédit.)
Vous savez, malgré vos récriminations contre le double-aveugle et les compagnies pharmaceutiques*, la recherche scientifique contre le cancer a fait d'énormes progrès depuis 30 ans. Il y a de nombreux types de cancer qu'on sait réduire voire éliminer, on a développé des vaccins contre certains, on sait repousser l'échéance d'autres, on commence à avoir une bonne compréhension de ce qui se passe moléculairement parlant au sein des cancers, etc. Bien sûr, on n'a pas trouvé de panacée et il reste encore beaucoup d'inconnues et de problèmes non résolus. Mais, des progrès, il y en a! En parallèle votre fumeuse "médecine nouvelle" n'a visiblement produit qu'un édifice théorique, largement détaché de la réalité. Pas totalement, d'accord: c'est sûr que les partisans de Hamer veulent aider et guérir et qu'il ne sont pas forcément tous compètement sous le charme des idées de Hamer au point de ne pas pouvoir constater certains faits, mais dans l'ensemble le système de Hamer est parfaitement stérile.
* Grand méchant épouvantail brandit par ceux qui on une vision assez irrationnelle - "complotiste" - de la recherche médicale. Car la recheche médicale n'est pas a) que financée par Big Pharma et b) Big Pharma, malgré les nombreux et évidents défauts de ses acteurs, n'est pas dans la réalité le monstre fabuleux que vous pensez.
Mais lire les travaux demeure pour tout chercheur digne de ce nom une base, avant de dire n'importe quoi !
Vous avez beaucoup publié pour prétendre pouvoir donner des leçons de ce type? J'en doute beaucoup. En fait, vous ne faites certainement pas de recherche scientifique (de laboratoire).
Toutefois, merci pour vos "éclaircissements": il ne servent qu'à transformer mes "doutes" sur votre manque de formation médicale en certitudes. Toutefois, s'il est vrai que vous faites des études en médecine: je vous en prie, réorientez votre carrière avant de faire réellement du mal. Parce que le "système" de Hamer a déjà tué et il tuera sans doute encore tant que des naifs croieront que c'est un système valable
parce que rebelle à la médecine scientifique. Car, c'est exactement ce qui transparaît dans vos propos: le système de Hamer est bon parce qu'il fait s'"effondrer" la médecine, le système est bon parce qu'Hamer est un martyr, ou parce qu'une poignée de convaincu fait du prosélytisme en sa faveur. A ces réactions déjà irrationnelles, vous semblez ajouter une dose de rebellion adolescente: est-ce vous adulez Hamer parce que cela vous donne l'impression que vous affirmez ainsi une différence?
Vous me faites penser aux négateurs du HIV/SIDA... ce que vous êtes peut-être, d'ailleurs. Le culte de la personnalité de figures marginales qui passe avant les faits.
D'ailleurs, lors de la grève générale des médecins en Israël, en 1973, le taux de mortalité dans la population a chuté de 50 %... En Afrique, dans certains États américains et en Amérique du Sud, on a observé le même phénomène
Comme vous n'offrez aucune référence et que, pire, vous me dites que c'est à moi de vérifier, je me dis que vous vous fiez à de fausses affirmations, tirées de sources biaisées et unilatérales. Si vous voulez être pris au sérieux, donnez vous-même ces références. Et pas des références aux livres de Hamer ou Guinée, des références indépendantes et objectives.
Le pancréas est considéré, au même titre que le foie, comme une glande annexe du tube digestif
En fait, en termes de "croyances", vous vous posez. Vous me ressortez le discours de Hamer (
voir figure sur cette page) qui ne correspond pas à grand chose dans la réalité embryonnaire (mais, bon, pour le savoir il faut s'y connaitre un peu en embryogenèse ce qui n'est visiblement pas votre cas; voir plus loin). Hamer n'a fait que voler des termes scientifiques pour en faire n'importe quoi.
Vous n'en êtes sans doute pas conscient mais les feuillets embryonnaires sont quelque chose d'observable, ce sont des ensemble de cellules qu'on observe dans les embryons. Ce ne sont pas que des mots placés dans un discours. On ne détermine pas la nature embronnaire d'un organe en décidant à quel portion du cerveau on a l'illusion qu'elle appartient. Quand on procède ainsi, comme Hamer le fait, on délire simplement: on ne regarde plus la nature des choses mais ce qu'on veut qu'elle soit. (A ce propos, j'ai regardé le .pdf que vous nous avez proposé: c'est très drôle** si on connait un peu la science. Quand Hamer présente un scan de cerveau avec une flèche indiquant une masse noire au niveau du lobe occipital (difficile à situer exactement mais peut-être proche d'aires visuelles secondaires) et légendant: "Flèche gauche : carcinome des testicules – conflit de perte en phase de résolution (testicule droit)" (p.7), je me dis que sa manière de procéder est vraiment de l'ordre du délire le plus total. S'il voulait montrer un carcinome des testicules, ce sont les testicules qu'il faut montrer (quitte à montrer le cerveau en plus). Vous ne croyez pas?)
Et nous sommes dans une impasse. Nous le savons ! Quand nous regardons la structure titanesque, les sommes colossales investies, le nombre effarant de ressources techniques et humaines à l'échelle planétaire, etc. remises en question par ces nouvelles lois, nous sommes renversés, totalement ! Galilée ne remettait pas grand chose en cause, en comparaison. Il dérangeait la vision du clergé.
[...] Si vous souhaitez entendre une vulgarisation destinée au grand public d'une durée de 130 minutes, que, bien évidemment, vous n'entendrez pas de sitôt dans les médias contrôlés [....]
Tant qu'à utiliser des pseudo-arguments de croyant dérangé dans sa foi, vous auriez dû ajouter que Galilée a découvert que la Terre était ronde
Usez de votre scepticisme avec intelligence et surtout, sachez faire preuve d'indépendance d'esprit
C'est toujours très amusant de voir quelqu'un qui réclame qu'on le croie sur sa parole de très convaincu (euphémisme pour rester poli) de demander qu'on fasse preuve de scepticisme et d'indépendance d'esprit. Perosnnellement, je demeure très sceptique devant vos propos. Vous manifestez une incompréhension très grande de la biologie et de la médecine basée sur les faits, et êtes complètement enfoncé dans des théories pseudo-scientifiques que vous ne remettez pas en question.
Jean-François
* Et ce n'est pas parce que Hamer se présente comme un martyr de la Seule Vraie Médecine qu'il est effectivement un martyr. Vous ne faites pas preuve de beaucoup de scepticisme quand vous gobez quelque chose comme (
http://www.pilhar.com/News/Praesentation_F.pdf): "Depuis 1986, on m’a retiré l’autorisation d’exercer la médecine pour ne pas avoir abjuré la loi d’airain du Cancer et parce que je ne me suis pas reconverti à la médecine d’école.
Depuis 24 ans, je suis pourchassé et menacé, et suis emprisonné pour la deuxième fois, et pourtant je ne suis pas fautif, n’ai commis aucun crime. Ma seule faute est d’avoir redécouvert ce qui existe déjà depuis des milliers d’années - cette merveilleuse Médecine Nouvelle avec ses 5 lois biologiques." Vous le croyez? Vous croyez qu'un tel individu est capable d'autocritique? Moi pas.
** Enfin, ça le serait si tous le monde voyait ce genre de pseudo-science pour ce qu'elle est. Malheureusement ce n'est pas le cas.
C'est également ce que je pense : Vous manifestez une incompréhension très grande de la biologie et de la médecine basée sur les faits, et êtes complètement enfoncé dans des théories pseudo-scientifiques que vous ne remettez pas en question !
La poliomyélite et la sclérose en plaques sont une seule et même maladie de la myéline (le système nerveux moteur est touché exactement de la même manière). Les symptômes concordent.
Maintenant, pourquoi on nous fait croire que nous avons affaire à deux affections distinctes ? Outre le fait que cela serve les intérêts de la propagande basée sur la charlatanesque théorie pasteurienne, puisque ce serait ainsi la "preuve" que la vaccination contribue à éradiquer des maladies... La première serait due à une infection virale, alors que rien n'a encore prouvé que la seconde pourrait aussi l'être ! Avouez que l'argumentation scientifique est mince ! La polio n'a pas disparu, elle est plus aiguë que par le passé et elle évolue moins chroniquement !
Sortez-vous parfois le nez de la bible médicale ?
"Vous savez, la recherche scientifique contre le cancer a fait d'énormes progrès depuis 30 ans."
Ah, oui ?
CONSIDÉRANT qu'une augmentation de l'incidence du cancer de l'ordre de 70% est prévue d'ici 2010; (
http://www.coalitioncancer.com/)
Oui, en manipulant les chiffres !
Les laboratoires pharmaceutiques investissent en moyenne deux fois plus dans la publicité et le marketing des médicaments que dans la recherche et le développement. Lisez-vous Plos ou les revues commanditées par les pharmaceutiques ?
En 2004 seulement, les laboratoires ont dépensé 57 milliards de dollars en publicité aux États-Unis.

Est-ce de la science ou de la propagande ?
Vous ne saviez pas que nous n'avons pas du tout progressé dans les faits, mais reculé ? Sur quelle planète vivez-vous ? Nous misons maintenant gros sur la prévention. Malgré toutes ces belles hypothèses scientifiques que vous encensez religieusement, on ne répond pas non plus à la question principale : pourquoi un cancer se déclare chez un individu, alors qu’un autre, dans les mêmes conditions, y échappe ?
La mode étant au "Ruban rose" (nous ne savons rien, mais donnez généreusement !), je demande à mes patientes de demander à leur oncologue : Pourquoi, Dr, c'est mon sein droit et pas mon gauche qui est atteint ? Pourquoi je ne fais de l'ostéoporose que du même côté que ce sein ? Pourquoi à la hanche et pas ailleurs ?
Euh...
On ne sait pas guérir, prévenons !!!
L’exemple du tamoxifène me servira à illustrer un questionnement critique (je sais que cela vous fait cruellement défaut et que vous préservez aveuglément le dogme) sur les soit-disant bénéfices de la chimioprévention. Au nombre des effets secondaires, on compte l’accident cérébral vasculaire, la formation de caillots sanguins aux poumons et aux veines des jambes, etc… et le cancer de l’endomètre ! Le point d’exclamation est bien placé, parce que si en tentant de prévenir un cancer en utilisant un médicament chimique, on risque d’en provoquer un, on a un sérieux problème. Son dérivé, le Roloxifène, n’induit pas de cancer, mais, en revanche, il augmente les risques de maladies tromboemboliques. « Les phyto-œstrogènes que beaucoup de femmes usent au moment de la ménopause, auraient une efficacité bien incertaine, quoi qu’en dise l’industrie pharmaceutique... » (Dr Henri Rochefort, professeur à la faculté de médecine de Montpellier I, ancien directeur de l’unité de l’Inserm « Endocrinologie moléculaire et cellulaire des cancers » et membre de l’Académie des sciences.)
Le GARDASIL® vaccin ? En 1992, Peter Duesberg et Jody Schwartz, biologistes moléculaires à l’université de Berkeley en Californie, avaient pourtant fait remarquer que le HPV n’est pas responsable de la prolifération des cellules... « Étant donné que les cellules cancéreuses sont plus menacées d’infections que les cellules normales, les virus seraient plutôt les indicateurs que les causes des proliférations anormales. » !!! Ces propos confirment les travaux d’Antoine Béchamp, selon lesquels les virus ne sont que des témoins et non les responsables des maladies, et ceux du Dr Ryke Geerd Hamer, les virus intervenant dans le processus de réparation des tissus malades. En outre, le Gardasil® contient 225 µg d’aluminium. Les effets délétères de l’aluminium sur le cerveau sont connus. Le cancer du col de l’utérus n’étant responsable que de 1 % des décès par cancer chez les femmes, est-il raisonnable de recourir à un vaccin dont la sécurité et l’efficacité sont contestables ? Le Gardasil® est commercialisé par Merck qui espère retirer au moins 2 milliards $ des ventes... Est-ce pour compenser ses pertes dues au scandale du Vioxx®, qui fut également qualifié de « remarquable »?
Depuis toujours, les médecins savent qu’il y a des cas de rémission spontanée du cancer. Or, dans un grand nombre de ces cas, on observe que la guérison est précédée d’une violente infection bactérienne. Pourquoi ? Lorsqu’un conflit déclencheur est résolu, l’aire cérébrale affectée est restaurée, le cerveau ordonne à l’organe concerné de cesser de produire des cellules cancéreuses et déclenche alors un programme de nettoyage destiné à se débarrasser du cancer, désormais inutile. C’est alors qu’apparaissent des mycobactéries (dans la bible médicale, il est dit qu'elles nous attaquent, mais c'est une interprétation erronée de ce que l'on observe et c'est exactement comme si en observant des pompiers éteindre un incendie, on concluait qu'ils l'ont allumé ! Vous trouvez cela intelligent, vous ?), dont la fonction spécifique est de détruire les tumeurs.
« Il est folie de vouloir guérir le corps sans vouloir guérir l’esprit. »
Platon
Cela fait maintenant 32 ans que Nixon a déclaré la guerre au cancer. Depuis, on a dépensé des milliards de dollars pour la recherche et les traitements anticancéreux conventionnels, avec pour conséquence un nombre plus important que jamais de personnes mourant du cancer...
Traduction: “Quels sont les facteurs de risque du cancer? Malgré le fait que plusieurs facteurs de risque peuvent augmenter vos chances de développer le cancer du sein, on ne connaît pas exactement comment certains de ces facteurs de risque causent la cancérisation des cellules. Nous ne savons pas comment les hormones de la femme stimulent la croissance du cancer du sein. La façon dont cela survient n’a pas encore été établie … Différents cancers possèdent différents facteurs de risque … cependant, le fait d’avoir un facteur de risque, ou même plusieurs, ne veut pas dire que vous développerez la maladie. La majorité des femmes qui ont un ou plusieurs facteurs de risque du cancer du sein ne développent jamais la maladie, alors que plusieurs femmes avec le cancer du sein n’ont pas de facteurs de risque apparents. Même lorsqu’une femme avec le cancer du sein a un facteur de risque, il n’y a aucune façon de prouver que celui-ci soit la cause de son cancer.”
Source :
http://www.cancer.org (American Cancer Society)
Bref, on ne sait absolument rien, on est complètement ignorant, on a déjà dépensé des milliards de dollars, mais on est toujours dans l'impasse, à peine 30 % de nos patients survivent à nos traitements expérimentaux... mais donnez généreusement !
30 % ? Les patients qui meurent au cours d’un traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie prolongé ne sont pas comptabilisés dans les statistiques parce qu’ils n’ont pas reçu l’intégralité du traitement. Dans le groupe témoin, par contre, chaque victime est comptabilisée.
Quelques extraits de Walter Last, biochimiste et chimiste-chercheur dans les services médicaux de plusieurs universités allemandes ainsi qu’à Bio-Science Laboratories de Los Angeles, aux États-Unis. Il s’installa ensuite comme nutritionniste et naturopathe. Et ses sources ! :
"Le succès d’une méthode est généralement mesuré au pourcentage de tumeurs en régression, sans tenir compte du taux de survie des patients ; mais si l’on mesure le taux ou le temps de survie, alors cela ne concerne en général que les décès liés à la maladie traitée proprement dite. On ne tient habituellement pas compte du nombre des patients qui meurent à cause du traitement lui-même. La tendance actuelle consiste à détecter des états précancéreux très tôt et à les traiter comme des cancers. Même si cela augmente statistiquement le nombre de personnes atteintes d’un cancer, cela prolonge aussi artificiellement les temps de survie et fait diminuer les taux de mortalité, faisant ainsi paraître les traitements médicaux plus efficaces. Toutefois, il existe peut-être un facteur authentique à l’origine d’une meilleure survie, étant donné que de plus en plus de patients atteints de cancer optent pour des thérapies naturelles complémentaires. Un examen des dossiers de 1,2 million de patients atteints de cancer révèle que le taux de mortalité attribué à une cause autre que le cancer lui-même peu de temps après le traitement est supérieur de 200 % au taux auquel on aurait pu normalement s’attendre. Deux ans après le diagnostic et le traitement, ce taux de mortalité excessif était tombé à 50 %. La cause la plus fréquente de ce taux de mortalité excessif était un arrêt cardiaque ou respiratoire. Cela signifie que, au lieu de mourir plusieurs années plus tard du cancer, ces patients mouraient des effets du traitement et contribuaient grandement à améliorer les statistiques, la maladie du cancer à proprement parler n’étant pas retenue comme cause du cancer.
Cette façon trompeuse de présenter les décès liés au cancer a conduit à réclamer un peu plus d’honnêteté dans les statistiques

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Après qu’une analyse de plusieurs vastes études du dépistage par mammographie eut révélé que la mammographie conduisait à un traitement plus agressif, sans aucun avantage en matière de survie, l’éditeur de la revue Lancet lui-même fut obligé d’admettre que les vastes essais aléatoires menés n’avaient apporté aucune preuve fiable venant appuyer les programmes de dépistage par mammographie...
L’importance de cette déclaration dépasse largement cette procédure de dépistage. Les partisans de la médecine conventionnelle reconnaissent ouvertement ne disposer d’aucun moyen efficace pour aider les patients atteints d’un cancer avancé. Jusqu’à présent, le slogan a toujours été " Plus un cancer est détecté tôt, plus il a de chances de guérir ". Ces études sur l’utilité de la mammographie démontrent que le moment où le cancer est détecté n’a aucune importance ; les méthodes conventionnelles sont inefficaces et surtout unutiles à l’industrie de la cancérologie qui pèse plusieurs milliards de dollars.
Une étude canadienne réalisée sur 13 ans et impliquant 40 000 femmes a comparé des femmes ayant subi un simple examen clinique du sein et des femmes ayant subi un examen plus une mammographie. Le groupe ayant subi un examen et une mammographie a connu beaucoup plus d’ablations et d’interventions chirurgicales que l’autre, avec un taux de mortalité de 107 contre 105 dans le groupe n’ayant subi qu’un simple examen clinique.
Le carcinome canalaire in situ (DCIS) est une forme fréquente, non infiltrante, de tumeur mammaire. La plupart des cas de DCIS sont détectés grâce à la mammographie. Chez les femmes les plus jeunes, 92 % des cancers détectés par mammographie sont de ce type. Néanmoins, en moyenne, 44 % - et parfois jusqu’à 60 % - de ces tumeurs sont traitées par une mastectomie. Etant donné que la plupart d’entre elles sont inoffensives, ce traitement inutile suscite des statistiques fallacieuses.
Tandis que le diagnostic conventionnel gagne du terrain et peut contribuer à étendre le cancer, un autre genre d’examen électrodermal - le test Biofield - développé par une équipe de chercheurs issus de huit universités et hôpitaux européens, a été présenté dans Lancet comme fiable à 99,1 % pour le diagnostic de la malignité des tumeurs mammaires. Une vaste méta-analyse des résultats de la radiothérapie dans le cas du cancer du poumon a montré qu’après de deux ans, le groupe ayant subi une radiothérapie post-chirurgicale affichait 21 % de décès en plus que celui n’ayant subi que la chirurgie. L’article de Lancet rappelait que le principe retenu est bien celui de la nécessité de tuer toute cellule cancéreuse restante après la chirurgie ; dommage que les faits ne confirment pas cette théorie.
La chimiothérapie pour les enfants atteints de leucémie et de la maladie de Hodgkin affiche fièrement le succès apparent de la thérapie anticancéreuse orthodoxe. Or une étude prospective à long terme montre que ces enfants développent 18 fois plus de tumeurs malignes secondaires au cours de leur vie. Pire encore, les filles ont un risque de cancer du sein 75 fois supérieur à l’âge de quarante ans.
Vous vous prétendez sceptique ? Vous ne doutez jamais ?
L
e Dr. Donald Gould, dans un article toujours d’actualité intitulé " Cancer : A Conspiracy of Silence " (Le titre résume sa position : " Les cancers les plus fréquents sont aussi résistants au traitement aujourd’hui qu’il y a 40 ou 50 ans) affirme: On n’a aucun intérêt à prétendre que la lutte contre le cancer est en train d’être gagnée lentement mais sûrement. "Cette vérité a été délibérément cachée au grand public." Selon Gould, la raison de cette conspiration du silence n’est autre que financière. Le monde de la cancérologie doit conserver une image de gagnant aux yeux du public afin de continuer à en percevoir les subsides. L’un des scientifiques cités affirmait qu’étant donnés les dizaines de milliers de radiologues et les millions de dollars de matériel, on prescrit des rayons même si les études successives montrent qu’ils font plus de mal que de bien. Gould pense également que les patients pourraient avoir une vie confortable jusqu’à leur mort inévitable s’ils ne suivaient aucun traitement médical. Or, le traitement leur fait vivre un enfer dans une vaine tentative de retarder leur mort de quelques malheureuses semaines. Mais, bien entendu, c’est là que l’on se remplit le plus les poches. Gould a l’impression qu’on empoisonne les patients avec des médicaments et des rayons et qu’on les mutile avec une chirurgie inutile dans une tentative désespérée de traiter l’intraitable.
Peu de choses ont changé depuis que Gould a écrit cet article en 1976. Dans une édition récente de The Moss Reports, nous pouvons lire que la survie à long terme après des cancers courants, tels que ceux de la prostate, du sein, du poumon ou encore le cancer colorectal, " a à peine bougé depuis les années 1970 !
En résumé, cela signifie qu’il n’y a pas eu d’amélioration significative dans ce domaine au cours de ces 70 à 80 dernières années.
Il est également intéressant de connaître la base scientifique de l’autorisation des médicaments anticancéreux. La plupart de ces médicaments viennent au départ des Etats-Unis. Par le passé, une compagnie devait soumettre deux vastes essais aléatoires favorables pour obtenir l’autorisation de la Food and Drug Administration (FDA). " Favorable " signifie qu’il doit y avoir un certain taux de régression des tumeurs pendant au moins un mois. Il n’était pas nécessaire de démontrer une prolonagation de la vie pas que de faire état des résultats défavorables issus d’autres essais. Ces directives " scientifiques strictes " ont été assouplies sous l’administration Clinton et les laboratoires pharmaceutiques peuvent désormais obtenir l’AMM sur la base de légers essais préliminaires, même si un vaste essai randomisé peut s’avérer défavorable...
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Vous ne savez pas lire une scannographie cérébrale sans produit de contraste et cela s'entend. C'est une spécialité très exigeante, monsieur ! Au Canada, une seule personne est dûment habilitée à le faire : Ilsedora Laker.
Pour votre gouverne, à la suite de la vérification de le loi d'airain du cancer, par le professeur Birkmayer à Vienne le 9 décembre 1988, 27 patients inconnus du Dr Hamer lui ont été présentés à Munich les 4 et 5 mars 1989 par 15 médecins allemands, français, italiens et autrichiens, qui ont confirmé par leur signature qu'il y avait eu vérification sans ambiguïté de cette loi au triple niveau psychique, cérébral et organique.
Le texte du protocole signé par les 15 médecins, est pratiquement identique à celui signé par le grand patron de la cancérologie autrichienne, le Pr. Birkmayer, sauf que le nombre des patients examinés est passé cette fois de sept à vingt-sept.
Tout ce dont disposait le Dr Hamer sur les 27 pateints inconnus de lui était : leur scannographie cérébrale, leur sexe et leur latéralité.
"Copie Certifiée Conforme
Protocole de la conférence de Médecine
du 4 et 5 mars 1989
Munich
Le 9 décembre 1988, les médecins soussignés ont procédé conjointement à la vérification de la reproductibilité de la LOI D'AIRAIN DU CANCER à Munich.
Au total, 27 patients ont été examinés et chaque cas a été documenté avec précision. Cet examen avait pour objectif de déterminer si l'ensemble des protocoles de maladie et observations médicales, de ces patients atteints de cancers, ou équivalents du cancer vérifiaient nettement et sans ambiguité la LOI D'AIRAIN DU CANCER.
Ce fut à l'évidence le cas et ce, aux trois niveaux: psychique, attesté par les patients présents (anamnèse); cérébral, démontré par les scanners; et organique, confirmé par les radios et résultats cliniques.
Le Dr. Hamer ne connaissait pas les patients qui lui ont été présentés.
Les relations de cause à effet se sont avérées convaincantes.
Dr.med. Ina v. Foris
Dr. Christiane May
Dr.med. Renate Wackernagel
Dr. Peter Wackernagel
Dr.med. Thomas Ertner
Dr. Petra Marialke-Kandaouroff
Dr.med. Christian Helmrich
Dr.med. Michael Roschger
Dr.med. Rainer Etzei
Dr.med. Tanchette Marc
Dr. Bernardino Bianchi
Dr.med. Gertrud May
Dr. Rosemarie May
Dr.med. Walter Kaphahn
Dr. Ryke Geerd Hamer
Notaire: Dr. Helmut Wirner
(Ces médecins sont allemands, français, italiens et autrichiens)
Autres vérifications ?
http://medecinenouvelle.com/verifications/
Continuez à défendre le dogme, à ridiculiser et attaquer ce savant, vous continuerez seulement à réfuter l'irréfutable. Les médecins ne sont pas tous aveuglés comme vous l'êtes. Ceux de votre trempe se reconnaissent facilement à leur absence de jugement critique et à leur prodigieuse faculté à réciter ad nauseum les versets des gourous de la médecine qui tirent leurs enseignements des industriels du médicament et reçoivent la bénédiction du gouvernement.
Voici un message d'une journaliste, reçu la semaine dernière sur un autre cas que le Dr Hamer. Elle cite aussi Twain

:
Si vous ne connaissez pas Beljanski, l'une des victimes de la fumeuse loi française anti-secte, citée par Me Joseph
http://www.onnouscachetout.com:80/temoi ... aux-sectes...
Talentueux chercheur biochimiste français, Beljanski a mis au point des médicaments enfin efficaces et non toxiques permettant de soigner le cancer au début des années 1980. Infirmant les positions établies du dogme biologique et médical sur cette maladie, sa recherche fut frappée d’un ostracisme implacable. Ses découvertes, pourtant parfaitement fondées scientifiquement, permirent la guérison de milliers de patients avant que les pressions de l’establishment médical et de la justice aient raison de l’espoir de les voir mis à la disposition du public.
Fait notable : Il perdit son emploi au début des années 70 pour avoir démontré scientifiquement que l'on peut reprogrammer son ADN, tandis que son supérieur immédiat, Jacques Monod, recevait le prix Nobel pour avoir proposé l'immuabilité de l'ADN !
En 2008, la pseudo-science réfère encore à l'immuabilité de l'ADN pour servir les intérêts de recherches obscures, financées par les pharmaceutiques et les gouvernements occultes, sur le décodage des gènes (Genome Project), comme si ceux-ci étaient à la source des maladies. Or, on sait que la maladie transforme le gène et non l'inverse !
La chimiothérapie est une thérapie par défaut : devant les échecs pour trouver un véritable médicament anticancéreux, on se résigne à empoisonner le patient. En toute logique, une telle pratique doit disparaître le jour où l’on découvrira de vrais médicaments anticancéreux sans effets secondaires et qui, surtout, ne feront pas mourir la patient (LE TAUX DE SUCCÈS EST DE 2 À 3 % , selon les vraies statistiques*; selon nos recherches, les patients qui survivent ont reçu le traimenet à la fin de la phase de guérison de leur cancer), auquel on donne encore de faux espoirs. Mais on ne veut pas de cette découverte et encore moins de celle du Dr Ryke Geerd Hamer (ses cinq lois biologiques), prouvant l'inutilité des traitements, les manifestations physiques survenant lors de la phase de guérison du cancer...
* En oncologie, si un protocole de chimiothérapie comprend huit traitements et que le patient meurt en cours de traitement, donc avant d'avoir subi tous les traitements prévus, ce qui est fréquemment le cas, il n'est pas inclus dans les statistiques...
"Il y a trois types de mensonges: les mensonges, les foutus mensonges et les statistiques". (Mark Twain)
LM
"Le Professeur Mirko Beljanski (1923-1998), biochimiste et biologiste, a travaillé pendant 28 ans à l’Institut Pasteur de Paris, dix ans à la Faculté de Pharmacie de Châtenay-Malabry et dix ans dans un laboratoire privé. Il a consacré de très longues années aux mécanismes de régulation cellulaire, dans la cellule saine et dans la cellule cancéreuse. En 1983, il publia un livre en anglais (The Regulation of DNA Replication & Transcription) consacré à ces mécanismes, où il expose entre autres, un mécanisme inédit conduisant à la cancérisation de la cellule. Il met en évidence un changement de conformation de l’ADN (la déstabilisation progressive et cumulative de l’ADN cellulaire), sous l’effet des cancérogènes et polluants, déstabilisation qui conduit à la cancérisation de la cellule. A noter que la déstabilisation de l’ADN des cellules cancéreuses a été plus récemment confirmée.
Grâce à un test biochimique d’évaluation du potentiel des molécules, l’ Oncotest, Mirko Beljanski put sélectionner certaines molécules naturelles anticancéreuses et dépourvues de tout effet toxique vis à vis des cellules saines. Il consacra alors de longues années aux études in vitro de ces substances puis à leur action chez des animaux greffés par différentes cellules cancéreuses. Il étudia les caractéristiques toxicologiques et pharmacologiques de ces produits et surtout leur capacité à détruire toutes sortes de cellules cancéreuses.
Ces recherches le conduisirent à proposer une nouvelle approche thérapeutique du cancer(voir aussi article paru dans Nexus). Ultérieurement, M.Beljanski montra que l’une des deux substances possède également un large spectre antiviral. Il se pencha alors sur la lutte contre certains virus, notamment le virus VIH, virus du Sida.
Mirko Beljanski fit nombres de découvertes fondamentales, présentées au fil de 133 publications parues dans des revues scientifiques à comité de lecture. Il fut l’un des premiers à étudier les rôles divers et parfois déterminants des petits ARN dans le fonctionnement cellulaire. En particulier, il mit au point une ingénieuse technique permettant de se procurer des petits ARN-fragments (connus aujourd’hui sous le nom de ReaLBuild©). Ces ARN-fragments stimulent la formation de globules blancs et de plaquettes sanguines, notamment chez les patients immunodéprimés de façon congénitale ou consécutive à la chimiothérapie ou la radiothérapie. Ces ARN-fragments ne génèrent que des cellules saines et rétablissent l’ équilibre de la formule sanguine que les chimiothérapies avaient perturbé.
Grâce à un contrat avec l’Armée, Mirko Beljanski put étudier également l’effet des radiations et la radioprotection. Il démontra que les ARN-fragments et un troisième extrait végétal, le Gingko©, permettent de se prémunir en grande partie des effets nocifs des radiations.
Ses découvertes, extrêmement novatrices, sont pour la plupart consignées dans les publications du chercheur dont certaines figurent sur PubMed.
L’utilisation des produits Beljanski en Europe a valu au chercheur d’être l’objet d’une véritable persécution relatée dans un ouvrage « Mirko Beljanski ou la chronique d’une Fatwa scientifique ». Le chemin de croix du chercheur a eu raison de sa santé. Suite à l’arrêt de la production des produits, de nombreux malades ont en vain défilé dans les rues de Paris et de Lyon pour réclamer l’accès libre aux produits Beljanski «efficaces et non toxiques ». Enfin l’affaire fut portée devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) et le 7 Février 2002, un arrêt rendu à l’unanimité prononça la condamnation de la France. Il est intitulé: Beljanski contre France.
Depuis le décès du chercheur, les produits sont maintenant mis au point aux Etats-Unis par la société Natural Source International Ltd, qui déploie de très grands efforts afin de poursuivre la recherche et réaliser des essais cliniques hospitaliers.
Aujourd’hui la consécration posthume du travail de Mirko Beljanski vient d’Amérique :
En 2006 l’équipe scientifique du Dr Aaron Katz de Columbia Université a publié une très intéressante étude concernant les propriétés anticancéreuses de l’un des extraits Beljanski, le Rauwolfia vomitoria, publication parue dans International Journal of Oncology. Un résumé en français du Professeur Henri Boiteux en reprend les principaux éléments.
Une étude scientifique similaire sur le Pao Pereira (Pau Pereira) est terminée et la publication est en préparation.
Une étude clinique de phase I concernant une population d’hommes avec un taux de PSA élevé et donc présentant un risque de cancer à court terme, porte sur les deux extraits anticancéreux, Pao et Rauwolfia combinés. Cette étude réalisée dans le Département d’Urologie Holistique du Dr A. Katz arrive bientôt à son terme. Un essai clinique de Phase II est d’ores et déjà planifié au vu des excellents résultats obtenus.
Par ailleurs, le Cancer Treatment Centers of America (CTCA) vient de terminer un important essai clinique de Phase I concernant les ARN-fragments. La population visée porte sur des malades cancéreux soumis à différentes chimiothérapies. Grâce aux ARN-fragments dénués de toute toxicité, ces malades recouvrent leur immunité et parviennent à supporter des protocoles thérapeutiques lourds. Les résultats feront l’objet d’une publication prochaine. "
http://www.beljanski.com/france/beljanski.html
J'ai des milliers d'exemples dans tous les domaines de la science. Un vieil ami écoeuré de mon radotage pseudo-scientifique avait cessé de discuter avec moi mais il me bombardait littéralement de cas ! À un moment donné, j'en suis venu à me poser des questions face à tous ces savants maudits "excommuniés". En dehors de la secte, point de salut ! Le dogme est intouchable !
Un cliché, cette nouvelle Inquisition ?
Mais vous rêvez ma foi ! Où est votre discernement ? Constellation planante ? Je serais curieux de voir votre scannographie cérébrale... Votre comportement est biologiquement associé à de la peur dans le territoire et de la survie ! Mode attaque !
Et nuance essentielle = Je ne diabolise pas les médecins, déjà que j'en suis un, je diabolise les têtes dirigeantes de ce système à trois têtes et dans l'ordre = les fabricants de potions chimiques, l'État et... vous et moi et les autres, le dernier échelon !
Vous allez me dire qu'autrefois, il y avait des méchants, mais qu'aujourd'hui il n'y a que des purs ? Un petit air de harpe avec cela ?
Vous n'êtes pas sceptique, si vous continuez à délirer sur ces chimères, vous êtes un con vaincu attaché solidement au vieux paradigme...
Amen !
Lucas