Salut syntaxerror,
Tu dis :
Autrement dit : il court plusieurs lièvres à la fois.Il est pluridisciplinaire...

Autrement dit : il court plusieurs lièvres à la fois.Il est pluridisciplinaire...
Non, la parapsychologie prétend étudier le Psi, c'est-à-dire des formes de transferts anormaux d'informations. Certains parapsychologues rejettent clairement l'hypothèse survivaliste pour expliquer les phénomènes médiumniques. Ils y voient de la macro-PK. C'est peut-être même l'opinion majoritaire, la minoritaire étant ceux qui croient (encore?) qu'il y a "réellement" communication avec les morts. La parapsychologie n'est pas le spiritisme.syntaxerror a écrit :On est en train de parler d'anomalies statistiques mais l'immense majorité de ce qu'avancent les parapsy sont des phénomènes de grandes ampleurs comme la télékinésie ou parler avec les morts.
De quelles expériences tu parles ici? Je veux dire, si vous parlez de parapsychologie, il faut me dire de quel protocole on discute, parce que les généralisations du niveau de "la psychologie est une science molle", c'est juste difficile d'élaborer dessus.Pourquoi une chose aussi simple a mettre en évidence que la télékinésie par exemple, n'a toujours pas été fait ou plutôt a toujours raté? Commençons par là et après on étudiera les anomalies statistiques...
Pour en revenir à la question de départ, puisque personne n'y a réellement répondu jusqu'à présent: le modèle de Walter Lucadou prédit que le Psi sera difficile à observer. Il prédit que celui-ci est élusif et donc qu'il sera difficilement réplicable. Pour donner un exemple plus concret, il prédit qu'il sera plus difficile d'observer une lévitation de table générée par un médium lorsque la lumière sera allumée que lorsque celle-ci sera éteinte.chesterton a écrit :Si quelqu'un, sur ce forum, comprend quelque chose à ce sommet de pataphysique qu'il ne se gêne pas pour éclairer les non initiés... tout cela doit bien avoir un sens (???)
À mon avis, ce sont autant des "prédictions" que les "prédictions" du "modèle" de certains créationnistes. "Postdictions" convient nettement mieux.Venom a écrit :le modèle de Walter Lucadou prédit que le Psi sera difficile à observer. Il prédit que celui-ci est élusif et donc qu'il sera difficilement réplicable
J'ai de la difficulté à deviner si vous êtes ironique. Des prédictions comme celle-là, on peut en faire à la tonne... à commencer par "les effets psi fonctionneront d'autant mieux que les mécanismes de contrôle seront relâchés"Pour donner un exemple plus concret, il prédit qu'il sera plus difficile d'observer une lévitation de table générée par un médium lorsque la lumière sera allumée que lorsque celle-ci sera éteinte
Il y a aussi que c'est faire rentrer l'arbitraire le plus complet dans l'équation: pourquoi l'appeler "psi" et non "dieu" ou "petite fée clochette"? Parce qu'on a, arbitrairement, restreint la réflexion à certains concepts et non d'autres.Il se pourrait en effet qu'il existe un phénomène - nommons le temporairement le Psi - qui existe et qui ait comme propriété ontologique d'être difficile à répliquer, à enregistrer, à observer, qui soit donc ultimement "élusif". [...]
Le problème est, comme je le disais plus haut, qu'une fois que l'on introduit cette notion, la méthode scientifique n'a plus de moyen de distinguer entre un phénomène existant et un phénomène inexistant
Je décrivais juste ce que disent les parapsychologues. Effectivement, certains diront que les effets psi fonctionnent d'autant mieux que les mécanismes de contrôle seront relâchés. Par exemple ici:Jean-Francois a écrit :J'ai de la difficulté à deviner si vous êtes ironique. Des prédictions comme celle-là, on peut en faire à la tonne... à commencer par "les effets psi fonctionneront d'autant mieux que les mécanismes de contrôle seront relâchés"Pour donner un exemple plus concret, il prédit qu'il sera plus difficile d'observer une lévitation de table générée par un médium lorsque la lumière sera allumée que lorsque celle-ci sera éteinte![]()
Euh je veux bien, mais y-a-t'il quoi que ce soit qui pousse qui que ce soit à entrer dans cette rhétorique ?Venom a écrit :Une fois qu'on rentre dans ce type de rhétorique, la conséquence directe est que les gens qui adoptent cette manière de voir les choses cherchent à altérer la science elle-même. En gros, c'est une vision du monde qui dit: "On sait que le phénomène X est réel, mais la science n'arrive pas à le prouver parce que le phénomène X est par nature élusif. Donc changeons la science elle-même afin qu'elle puisse intégrer le phénomène X comme étant un phénomène réel".
Pourrais-tu élaborer sur les avantages potentiels d'une telle* redéfinition, disons, en dehors du champ de la parapsychologie, si tu estimes qu'il y en a. De ton utilisation de "très bien" j'estime que tu penses que des avantages existent. Et sinon, quels sont les indices qui te font écrire cette possibilité ?Venom a écrit :Et en gros cela veut dire qu'il veut redéfinir la science telle qu'on la connait. Attention: il se pourrait très bien qu'il ait raison.
Les résultats obtenus par les parapsychologues. Je sais que la doxa sceptique (qui a ses mérites, entendons-nous bien), aime a représenter la parapsychologie comme un échec complet, mais quand on lit les sceptiques spécialisés dans la parapsychologie (en vrac Hyman, Wiseman, French, Blackmore, etc. - et non pour ceux qui se posent la question je ne met pas Henri Broch dans cette liste), leurs vues sont bien plus nuancées que ça! La plupart diront qu'il y a des anomalies intéressantes. En tant que sceptique, on aura tendance à penser que ces anomalies ne s'expliquent pas par le Psi (c'est comme dire qu'un cas inexpliqué en ufologie ne prouve pas l'hypothèse extraterrestre pour expliquer le phénomène ovni), mais de là à prétendre que ces anomalies n'existent pas (ou pour continuer mon analogie ufologique prétende qu'absolument tous les cas de la casuistiques ufologiques sont parfaitement expliqués), il y a un pas que personnellement, par honnêteté intellectuelle, je ne franchirai pas.Zwielicht a écrit :Euh je veux bien, mais y-a-t'il quoi que ce soit qui pousse qui que ce soit à entrer dans cette rhétorique ?
J'ai utilisé le "très bien" pour souligner qu'en tant que sceptique nous ne devrions pas juger a priori qu'il ait tort. Après tout, son modèle décrit ce qu'on observe dans la littérature parapsychologique! Son modèle est post-dictif. Pour le réfuter il faudrait à l'heure actuelle soit que les parapsychologues découvrent un protocole parfaitement réplicable avec un effet flagrant (puisque le modèle de von lucadou prédit que le Psi est par nature élusif - et le sera toujours) ou à l'inverse que l'on prouve que le Psi n'existe pas - et ça cela ne risque vraiment pas d'arriver puisqu'il est totalement impossible de prouver l'inexistence de quelque chose.Pourrais-tu élaborer sur les avantages potentiels d'une telle* redéfinition, disons, en dehors du champ de la parapsychologie, si tu estimes qu'il y en a. De ton utilisation de "très bien" j'estime que tu penses que des avantages existent. Et sinon, quels sont les indices qui te font écrire cette possibilité ?
Quelles sont, s'il y en a, les hypothèse sceptiques qui expliqueraient ces anomalies intéressantes ?venom a écrit :Je sais que la doxa sceptique (qui a ses mérites, entendons-nous bien), aime a représenter la parapsychologie comme un échec complet, mais quand on lit les sceptiques spécialisés dans la parapsychologie (en vrac Hyman, Wiseman, French, Blackmore, etc. - et non pour ceux qui se posent la question je ne met pas Henri Broch dans cette liste), leurs vues sont bien plus nuancées que ça! La plupart diront qu'il y a des anomalies intéressantes.
Tu veux sans doute dire, par DES parapsychologues.Venom a écrit :Les résultats obtenus par les parapsychologues.Zwielicht a écrit :Euh je veux bien, mais y-a-t'il quoi que ce soit qui pousse qui que ce soit à entrer dans cette rhétorique ?
Cette doxa dont tu parles n'est pas un fondement du scepticisme mais plutôt une manifestation "statistique". Quant aux points de vue des parapsychologues (ceux qui ont soit étudié dans ce domaine, ou qui y ont consacré une partie de leurs énergie ou carrière) qui se disent d'autre part sceptiques* et/ou qui sont impliqués dans des mouvements dits sceptiques, je n'ai jamais douté une seule seconde de la possibilité qu'ils puissent demeurer attachés d'une certaine façon à la parapsychologie (effet Serge Bret-Morel, que j'appellerai).. Mais je vois mal en quoi c'est une explication à ma question. Y a t-'il davantage dans cette phrase qui liste des noms qu'un appel à l'autorité ?Venom a écrit :la doxa sceptique (qui a ses mérites, entendons-nous bien), aime a représenter la parapsychologie comme un échec complet, mais quand on lit les sceptiques spécialisés dans la parapsychologie (en vrac Hyman, Wiseman, French, Blackmore, etc. - et non pour ceux qui se posent la question je ne met pas Henri Broch dans cette liste), leurs vues sont bien plus nuancées que ça!
Alors es-tu d'accord que ce "très bien" aurait pu être omis sans que ton message soit affecté négativement ? Et si on ne peut juger a priori, à partir de quand selon toi est-il possible de le faire a posteriori ?Venom a écrit :J'ai utilisé le "très bien" pour souligner qu'en tant que sceptique nous ne devrions pas juger a priori qu'il ait tort.Zwielicht a écrit :Pourrais-tu élaborer sur les avantages potentiels d'une telle* redéfinition, disons, en dehors du champ de la parapsychologie, si tu estimes qu'il y en a. De ton utilisation de "très bien" j'estime que tu penses que des avantages existent. Et sinon, quels sont les indices qui te font écrire cette possibilité ?
Remarque naïve provoquée par l'exemple de l'homéopathie : si l'on suit le raisonnement, la propriété ontologique de ce prétendu phénomène conduirait à recevoir la démonstration de son existence dans l'absence même de preuves scientifiques ; mais d'un autre côté, les tenants de cette « discipline » ne se privent pas de mettre en avant des « anomalies statistiques » comme arguments de son authenticité.Venom a écrit :Il se pourrait en effet qu'il existe un phénomène - nommons le temporairement le Psi - qui existe et qui ait comme propriété ontologique d'être difficile à répliquer, à enregistrer, à observer, qui soit donc ultimement "élusif".
Comment peut-on se réclamer de la science tout en en rejetant les critères ?L'[url=http://www.metapsychique.org/Le-psi-existe-t-il-et-pouvons-nous,337.html]IMI[/url] a écrit :Les meilleures conditions favorisant la réussite d’une expérience seraient d’employer des sujets et des expérimentateurs qui ne doutent pas de l’existence du psi. La demande des sceptiques de bannir la parapsychologie du domaine de la science doit être rejetée. C’est une science avec ses conditions spécifiques de recherche.
Tout dépend des critères permettant de juger de cet "échec". On peut effectivement juger qu'il y a eu mise en évidence d'"anomalies intéressantes", est-ce vraiment une réussite en regard des efforts et moyens investis? Si, après plus de cent ans, les parapsychologues n'ont même pas réussi à circonscrire leur sujet de recherche (le psi) avec une certaine précision, et qu'ils sont obligés de recourir à des discours emphatiques comme celui de von Lucadou (quand ce n'est pas invoquer la physique quantique comme on invoque les miracles du bon DieuVenom a écrit :Les résultats obtenus par les parapsychologues. Je sais que la doxa sceptique (qui a ses mérites, entendons-nous bien), aime a représenter la parapsychologie comme un échec complet
Qui le fait? Si nous discutons de la parapsychologie, c'est bien parce que nous reconnaissons qu'il y a quelque chose à discuter. Même Broch ne nie pas les anomalies (ce qui reviendrait à nier l'existence des parapsychologues), il nie la valeur des explications avancées par les tenants du psi.mais de là à prétendre que ces anomalies n'existent pas
Comme Zwielicht, je me demande jusqu'à quand doit-on attendre pour que cela devienne un a posteriori? Et, doit-on se retenir de souligner la stérilité de la parapsychologie, en termes de réalisation vérifiables et de progrès scientifiques, parce qu'il est possible qu'un jour il y ait quelque chose? Si oui, pourquoi avez-vous une attitude différente envers Francis Gatti qui a peut-être raison malgré toute son irrationalité... qui sait**? Et si non, pourquoi devrait-on se retenir d'offrir comme explication que cette stérilité pourrait avoir une base dans des démarches comme celle de von Lucadou? Après tout, ce qu'il dit c'est "s'il n'y a rien c'est qu'il y a peut-être quelque chose, et vice-versa, mais ça nous échappe", on fait plus édifiant comme hypothèse de rechercheJ'ai utilisé le "très bien" pour souligner qu'en tant que sceptique nous ne devrions pas juger a priori qu'il ait tort
Me comparer à Auguste Meessen ou à Benveniste comme le fait De passage sur l'autre file est consternant . je revendique ma condition d'autodidacte independant et j'en suis fier. Pour ce qui est de mon merite l'avenir est loin d'etre sombre et je n'ai rien a envier aux professeurs d'université enfermés dans un carcan de prejugés conformistes .Contrairement a eux mon travail de recherche et d'enquêtes riginal et exclusif apporte des preuves (materielles ou acoustiques qui n'autorisent pas le doute ) .Vous refusez de les examiner serieusement en laboratoire mais cela ne changera rien a leur valeur.Cartaphilus a écrit :Remarque naïve provoquée par l'exemple de l'homéopathie : si l'on suit le raisonnement, la propriété ontologique de ce prétendu phénomène conduirait à recevoir la démonstration de son existence dans l'absence même de preuves scientifiques ; mais d'un autre côté, les tenants de cette « discipline » ne se privent pas de mettre en avant des « anomalies statistiques » comme arguments de son authenticité.Venom a écrit :Il se pourrait en effet qu'il existe un phénomène - nommons le temporairement le Psi - qui existe et qui ait comme propriété ontologique d'être difficile à répliquer, à enregistrer, à observer, qui soit donc ultimement "élusif".
Si l'on ajoute à ce nébuleux concept l'hypothèse que les résultats d'une étude seraient fonction de la croyance de l'expérimentateur, on en arrive à cette conclusion, que j'extrais du site de l'Institut Métapsychique International :Comment peut-on se réclamer de la science tout en en rejetant les critères ?L'[url=http://www.metapsychique.org/Le-psi-existe-t-il-et-pouvons-nous,337.html]IMI[/url] a écrit :Les meilleures conditions favorisant la réussite d’une expérience seraient d’employer des sujets et des expérimentateurs qui ne doutent pas de l’existence du psi. La demande des sceptiques de bannir la parapsychologie du domaine de la science doit être rejetée. C’est une science avec ses conditions spécifiques de recherche.
Alors voilà un exemple archétype de la doxa sceptique. C'est un des arguments de base du sceptique dans un débat consacré à la parapsychologie. Je crois que rien que dans ce fil, il a été énoncé un nombre non négligeables de fois.Jean-Francois a écrit :Tout dépend des critères permettant de juger de cet "échec". On peut effectivement juger qu'il y a eu mise en évidence d'"anomalies intéressantes", est-ce vraiment une réussite en regard des efforts et moyens investis? Si, après plus de cent ans, les parapsychologues n'ont même pas réussi à circonscrire leur sujet de recherche (le psi)...
De quel moyens et de quels efforts parle-t-on exactement ici?en regard des efforts et moyens investis?
Les moyens investis - clairement - sont dérisoires.en regard des efforts et moyens investis?
Cela, c'est ce que je surnomme la doxa sceptique, c'est-à-dire ce qu'on dit aux sceptiques débutants, c'est un peu comme les "mensonges aux enfants" qu'utilise les instituteurs à l'école primaire, quand ils expliquent par exemple que les couleurs de l'arc-en-ciel se forment lorsque la lumière traverse les gouttent de pluies, alors qu'évidemment les processus à l'oeuvre sont plus complexes que cela...On peut effectivement juger qu'il y a eu mise en évidence d'"anomalies intéressantes", est-ce vraiment une réussite en regard des efforts et moyens investis?
C'est le fait qu'on ne vous accordes aucun crédit sur la véracité de vos recherches qui vous fait dire que les "professeurs d'université sont enfermés dans un carcan de prejugés conformistes".Gatti a écrit : je revendique ma condition d'autodidacte independant et j'en suis fier. Pour ce qui est de mon merite l'avenir est loin d'etre sombre et je n'ai rien a envier aux professeurs d'université enfermés dans un carcan de prejugés conformistes
Autant examiner ça...Gatti a écrit : .Contrairement a eux mon travail de recherche et d'enquêtes riginal et exclusif apporte des preuves (materielles ou acoustiques qui n'autorisent pas le doute ) .Vous refusez de les examiner serieusement en laboratoire mais cela ne changera rien a leur valeur.
Sacrebleu!Gatti a écrit :Dans ces conditions, même l'IMI se met le doigt dans l'oeil
Ceux enseignent les cours optionnels de parapsycho au programme de psycho à l'université d'Edimbourg sont-ils payés par des sources différentes de celles qui payent les profs qui enseignent des cours non-reliés à la parapsycho ?Venom a écrit :Il y a actuellement combien de laboratoires de parapsychologie dans le monde? Peut-être 3, 4 à tout casser (Edimbourg, celui de l'institut pour la Science Noétique, ...), qui fonctionnent tous avec des financements privés.
Selon ce site web, http://www.koestler-parapsychology.psy. ... ching.html , les mécanismes de financement pour poursuivre des études graduées dans une optique parapsychologique à l'université d'Edimbourg ne sont pas différents des autres programmes: http://www.scholarships.ed.ac.uk/Venom a écrit :Pour rappel, il n'y a pas de bourses de recherches qui vont en parapsychologie. Tous les financements sont privés. Si tu veux avoir une bourse pour faire un doctorat en parapsychologie, c'est simple: tu peux faire une croix dessus.
KPU a écrit :Postgraduate
Students accepted onto some MSc and PhD degree programmes offered by the University of Edinburgh's department of Psychology can study parapsychology either through Taught or Research-based routes.
Funding
Information about funding opportunities can be found here.
Selon moi, c'est parfaitement faux. En fait, cette histoire de "sous-financement" m'apparaît elle-même une belle excuse-en-cas-d'échec. On peut voir les fonds comme dérisoires seulement si on pense que de tels fonds devaient entretenir une recherche active et fertile, assise sur des bases solides. Mais, ils ne sont certainement pas dérisoires si on les prend dans l'optique qu'ils doivent encore aujourd'hui* servir à établir les bases de la discipline.Venom a écrit :Les moyens investis - clairement - sont dérisoires
Le gros problème, celui dePar exemple, il est maintenant possible de faire des recherches en parapsychologie avec des fmri parce que ce genre de techniques ont été développés ailleurs (en neuropsy)
Je ne le nie pas: il vaut mieux aller voir les expériences, etc. Mais, ce n'est pas parce que le résumé de l'argument paraît simpliste qu'il l'est ou qu'il est faux... il est peut être simplement succinct.Je comprends l'utilité sociologique de ce genre d'arguments basiques, pour ne pas dire simplistes, mais à un moment je pense que certains sceptiques, ceux qui veulent vraiment allez au fond des choses, doivent les dépasser.
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