La différence entre l’Homme, l'Animal et l’Intéligence Artificielle
La théorie de l’information met sur le même plan les communications entre hommes, animaux ou
machines. Suivant sa conception, la création cognitive ,qui a permit l'évolution civilisationel de l'humanité, est vue comme une sorte de mystérieuse boîte noire, un processus occulte et incompréhensible pour une utilisation pratique déduco logique formel. Dans Cybernétique et société, Wiener écrit : « A un niveau plus élevé, les inventions doivent être presque certainement considérées, dans un certain sens, fortuites et accidentelles.
Ce sont des événements trop rares dans un système pour que nous puissions lui appliquer sans défiance des notions comme celles de la probabilité et de la statistique. »
L'extropie et les question Transhumanisme ma passionne depuis longtemps. Cependant, étant devenu au fil de mes lectures un zozo leibnizien, je n'est absolument pas la même approche que vous face a l'IA.
Comment pouvez vous affirmer que l'Homme est une "machine" ? Si par machine on entend système complexe ok, mais si vous entendez par machine "ordinateure" ou tout autres conceptualisations humaine, cela n'as strictement aucun sens non? Une machine conceptualisé par l'humain n'est que le reflet d'une interprétation, d'un modèle scientifique (axiome) donné (donc peut-etre temporaire) que ce fais l'Homme des lois de l'univers. Alors que l'humain et ca créativité cognitive acquerie par l'évolution est le résultat même des lois physique de l'univers. N'es ce pas la une différence fondamental?
L'IA n'apportera jamais par elle-même des découvertes scientifiques fondamentales car elle est par définition coincé dans l'axiome de son créateur. Elle ne poura tout au mieux que complèté par empirisme déduco-logique les modèles déja existants. La créativité cognitive de notre espece, (qui a fait le grand saut de l'évolution biologique a l'évolution culture/civilisationelle amorcé par les mammifères,) n'a rien a voir avec le pure empirisme déduco-logique de l'IA aussi puissant soit'il ni même l'intélligence animal.
La biologie nous indique des différences très importantes entre l’homme et les primates, qui sont les animaux les plus proches de nous. L'homme moderne se distingue biologiquement des autres mammifères et des autres primates par un retard dans le développement de la taille du cerveau. L'homme naît avec un cerveau complètement immature. A la naissance le cerveau humain représente à peine 25 % de sa taille adulte. Il n’atteint 80 % de sa taille adulte qu’à l’âge de quatre ans. Sa croissance se poursuit au moins jusqu’à l’âge de 10 ans. C’est durant cette longue période que l'enfant, interagissant avec le monde extérieur, acquiert des capacités cognitives complexes, notamment le langage. (on pourrais l'appeler la trasmition des gênes culturel)
Les autres primates présentent un modèle très différent de développement cérébral. Chez le chimpanzé, le volume du cerveau représente déjà à la naissance la moitié de celui de l'adulte et sa croissance est pratiquement terminée en deux ans.
Pour illustrer cette différence prenont par exemple la réaction humaine a une catastrophes. Dans un moments de peur notre encéphale primitif reptilien réagie chimiquement dans une orgie hormonal. Or contrairement aux sauriens (a part quelques exeception) et autres bestioles dénué des réflexes Pavlomiens, l'Homme comme les mammifère et les oiseaux on la capacité d'apprendre en fonction d'expériences répétées donc, de réagir "culturellement".
Le cortex a en éffet un pouvoir bien réel sur le complexe amygdalien qui permet alors la reconnaissance et l'évaluation de la valence émotionnelle face au accuis "culturel"
Les oiseaux et mammifères ont des zones bien plus performantes dans le cerveau pour la mémorisation à court et long terme des informations reçues que les animaux plus primitif.
Le comportement face au stress, est plus ou moins sous le contrôle d’un facteur biologique préprogrammé chez l'Homme. Notre « instinct de survie » que tout les animaux possèdent, n'est qu'un stimulie bio-chimique prédéterminé or chez les mammifère et oiseux la fonction culturel (donc l'électro-plasma du cortex) peut, grace au complexe amygdalien interféré grandement sur le déterminisme bio-chimique.
C'est la que rentre en compte un aspect fondamental de l'humanité qui est le perfectionement du sentiment moral. Ce que l'on appele la Vertu est propre au trait culturel de l'Homme. La civilisation ne tient qu'a cette construction mental qui repousse la problématique des émotions animal avec sa construction moral et intellectuel. Sans elle, il n'y aurais pas de civilisation. En faite la Vertu "universel" ne sert qu'a assurer le progres civilisationel du mieux vivre ensemble.
La culture peut induire différentes sortes de réactions à la perception d’une catastrophe. Il existe en effet une grande différence entre par exemple, d’une part, les effets manipulateurs et paralysants produits par un films d’horreur et, d’autre part, les effets sublimes et motivants suscités par une tragédie grecque classique.
Outre la tragédie, les Grecs ont aussi maîtrisé l’utilisation de l’ironie artistique dans le même but, c’est-àdire prendre conscience d’un pouvoir inattendu de résoudre une contradiction, un paradoxe.
Toutes deux – tragédie et ironie – ont un principe d’« ordre » mais qui est bien différent de la structure d’ordre de la théorie de l’information. En étudiant l’Univers, l’homme a appris il y a longtemps à distinguer l’ordre harmonique supérieur de celui immédiatement visible. Ce fut
le début de la science. (Relire De La docte ignorance de Decues)
Le concept illusoire appelé "intelligence artificielle" est selon moi simplement une dérive philosophique.
La faille axiomatique des thèses trans-humanistes, (la même que celle de l'intelligence artificielle), est de croire qu'un cerveau fonctionne comme un calculateur informatique, et de rejetter le paradoxe de la créativité humaine pour faire tenir la théorie debout.
On confond pour ce faire logique et créativité, et l'on fait croire que les inventions proviendraient d'un rigoureux "calcul" des idées "simples", comme tente de s'en convaincre Descartes dans son Discours de la méthode. (que j'ai lu et relue puis jeté a la poubelle)
Or, un ordinateur est strictement et par nature incapable de comprendre ce qu'est une idée. Une idée est de l'ordre du continu, du principe, alors que l'intelligence artificielle, qui n'est finalement que le nouveau nom que l'on donne aux processus de calcul des "métiers à tisser" modernes - nos ordinateurs, descendants en droite ligne des machines à calculer de Pascal, Leibniz, Joseph Marie Jacquard et Charles Babbage -, ne travaille que dans la variété discrète.
Procédant à partir d'opérations simples, d'algorythmes et de données apportés par l'opérateur (les programmes et les données), ces machines ne sont que des esclaves aveugles et inertes, comme l'est un marteau ou un tournevis.
Les ordinateurs contemporains ne sont que des versions compactes des machines mécaniques d'antan, dont la puissance de calcul a été démultipliée par les possibilités de l'électronique.
Un ordinateur est incapable de processus soi-réflexif volontaire, il est incapable de voir un paradoxe, il ne peut que montrer à l'opérateur une limite de calcul, comme dans le cas du calcul de Pi, ou d'une simple racine carrée.
Je pense que n'importe quel nourrisson est d'un domaine d'intelligence infiniment supérieur au plus puissant calculateur informatique : un nourrisson naît mentalement libre sans théorie anxiomatique prédéfini.
A lire, la Réflexions sur la métaphysique du calcul infinitésimal de Lazare Carnot
http://books.google.fr/books?id=S-U3AAA ... &q&f=false