Forum Sceptique

Bonsoir

mataraes a écrit:
Tout preuve de discernement dans la démonstration de ce que l’on veut émettre pour affirmer ou infirmer un fait ou une attitude ou un comportement ou bien un mode de vie doit passer par une case que je nommerai « monadiforme » qui génère une espèce de catalyseur d’idées pour ensuite atteindre une seconde case que je nommerai « formalisateur » et qui demandera de l’élaboration intellectuelle et verbale et là intervient ce que j’appelle le « consentement intrinsèque d’idée » qui lui est le fait du raisonnement scientifique et contemporain et dans le quel va puiser le dogmatisme et la vérité scientifique pure.

voilà ton évaluation globale pour ta logorrhée....

Ovide

Je dirai plutôt un dessein qu’un dessin.
La base philosophique du scepticisme nait ou apparaît dès lors que l’on demande du discernement dans l’élaboration d’un raisonnement .
Elle se maifeste face à telle affirmation ,telle idée ,telle pratique ,telle découverte ou toute autre choses de notre segment de vie.
Ce discernement qu'on applique dans l'élaboration de toute demonstration pour affirmer ou infirmer une chose doit passer par une case que je nommerai « monadiforme »( seul terme et je suis d'accord que l'on attribuera au néologisme pris de monade) .
Cette étape du discernement va générer une espèce de catalyseur d’idées ou tout va s'imbriquer puis bien se positionner et pour ensuite atteindre une seconde phase que je nommerai « formalisateur » qui demandera de l’élaboration intellectuelle et verbale et là intervient ce que j’appelle le « consentement intrinsèque d’idées » qui lui est le fait du raisonnement scientifique et contemporain .
C'est dans ce consentement intrinsèque que va puiser le dogmatisme et la vérité scientifique pure.
Il y a une autre notion que j’appellerai « le vécu personnel» (plus subjectif et moins probabiliste) qui puise simplement dans le formalisateur et mettra ainsi un frein ou accélérera plutôt la décision du consentement intrinsèque d’idées.
En dernière partie interviennent trois choses : le « relationnel réel ou virtuel » « l’échange psycho intellectuel » ainsi que le
« sentiment », ces derniers apparaissent plutôt dans la phase de la critique .

Peut etre plus clair pour les néo-sceptiques de la philosophie.

Peut etre plus clair pour les néo-sceptiques de la philosophie.

Encore plus clair et en plus court.

je crois que la pillule rouge ne peux faire effet a tous les coups.
Decrire les autres pourquoi pas. Néanmoins ça enlève un peu du scepticisme à force d'en abuser de ces pillules.
je ne sais pas si ça peut traiter les emetiques par contre.

J'aurai parié que vous étiez un fan de Matrix.

Mais comme je le disais aux ados qui fantasmaient sur ce film à sa sortie, les thèmes du monde illusoire et du messianisme sont une très très vieille ficelle.

je perçois le scepticisme comme un positivisme scientifique, reprenant le flambeau du siècle des Lumières, et donc comme une lutte contre l'obscurantisme; en ce sens ce combat me semble positif.

Ildefonse a écrit :J'aurai parié que vous étiez un fan de Matrix.

Mais comme je le disais aux ados qui fantasmaient sur ce film à sa sortie, les thèmes du monde illusoire et du messianisme sont une très très vieille ficelle.

On peut se demender quel genre de pillule matatruc lui prend quand il va sur le net.....

Red Pill a écrit :

Ildefonse a écrit :J'aurai parié que vous étiez un fan de Matrix.

Mais comme je le disais aux ados qui fantasmaient sur ce film à sa sortie, les thèmes du monde illusoire et du messianisme sont une très très vieille ficelle.

On peut se demender quel genre de pillule matatruc lui prend quand il va sur le net.....

Le pire, c'est qu'il ne prend peut-être rien...

Sinon le scepticisme c'est pour moi ne croire en rien. Ce qui m'intéresse c'est de savoir.

C'est trop court ou ça va?

dom. a écrit :Sinon le scepticisme c'est pour moi ne croire en rien. Ce qui m'intéresse c'est de savoir.

C'est trop court ou ça va?

C'est parfait......

Le savoir. Permet la croyance et la croyance nourrit le savoir.
L'inculture est omniprensente quelle tableau décevant.

mataraes a écrit :Le savoir. Permet la croyance et la croyance nourrit le savoir.
L'inculture est omniprensente quelle tableau décevant.

Ce genre d'aphorisme nourrit la piètre image que nous commençons à avoir de vous.

ildefonse

je reste quand meme sceptique quand à votre reponse, elle associe les autres avec le "nous"
ça rapelle un peu le comportement adolescent incertain .
vous pouvez utiliser le "je" qui est le propre de l'homme affirmé c'est plus correct intellectuellement et ça engage quand même la responsabilité de votre point de vue.
les critiques constructives servent à nourir le débat.
il faut de tout pour faire un monde..

mataraes a écrit :je reste quand meme sceptique quand à votre reponse, elle associe les autres avec le "nous"
ça rapelle un peu le comportement adolescent incertain .

Le "nous" est parfaitement justifié quand il représente l'avis de plusieurs personnes, ce qui est manifestement le cas. Cela n'a rien à voir avec l'acné juvénile dont la plupart d'entre nous sommes débarrassés depuis longtemps !

mataraes a écrit :les critiques constructives servent à nourir le débat.

Cite moi un seul cas où tu aies fait une proposition constructive qui ne soit pas un ramassis de lieux communs pontifiants ou de banalités pompeuses ?
A voir le nombre de questions que tu évacues, le dialogue constructif n'est manifestement pas ta préoccupation première.

J'ajouterais que pour toi, l'emploi du "je" est parfaitement justifié ... A plus d'un titre !:a2:

je ne crois pas aux ramassis dont vous parlez woodenali c'est votre avis et le faite d'exprimer un refus catégoriquement fou renforce mon idée sur les néo sceptiques qui en fait se nourrissent un peu dans la tourmente médiatique et qui les éloigne des fondements philosophiques quels que soient les vérités scientifiques.
Un sceptique est éduqué à construire un dialogue et un échange mais reste omnidirectionnel dans son analyse .
Je pense que votre vécu déborde largement dans vos interventions et l'impartialité manque cruellement dans vos analyses.
Je pensais que cette tribune était plutôt ouverte mais pour en rajouter je pense que votre cercle de néo sceptiques n'a que le nom ( c'est mon avis)
Merci pour votre participation a mon étude.
sans rancune.
Mataraes

mataraes a écrit : Merci pour votre participation a mon étude.

Encore un pseudo-anthropologue de plus qui s’emmêle dans ses contradictions.

En gros, vous reprocher le manque de dialogue alors que finalement vous avouez n'être là que pour nous étudier, telle de curieuses bête un peu exotique.

On ne comprend rien de vos discours logorrhée philosophico-pédantes et c'est pas un perte !

Wodden a très bien résumé la chose

mataraes a écrit :je ne crois pas aux ramassis dont vous parlez woodenali

Vous ne croyez de toute évidence pas, non plus, en la grammaire et la syntaxe...

renforce mon idée sur les néo sceptiques qui en fait se nourrissent un peu dans la tourmente médiatique et qui les éloigne des fondements philosophiques quels que soient les vérités scientifiques.

De la cladistique en passant par la sophistique, déverser un discours cyclique est le but de votre logique? Tout pour l'allitération ou l'assonance, rien pour le sens. Vous enlignez les mots* mais semblez ignorer ce que "exprimer quelque chose" veut dire.

Jean-François

* Sans point, virgule, ni pantalon.

mataraes a écrit :ildefonse

je reste quand meme sceptique quand à votre reponse, elle associe les autres avec le "nous"
ça rapelle un peu le comportement adolescent incertain .
vous pouvez utiliser le "je" qui est le propre de l'homme affirmé c'est plus correct intellectuellement et ça engage quand même la responsabilité de votre point de vue.
les critiques constructives servent à nourir le débat.
il faut de tout pour faire un monde..

Vous comprenez maintenant pour j'employais le "nous". Lorsque j'énonce une opinion que je sais partagée, pourquoi me limiterai-je au "je". Quant aux critiques constructives (et intelligible) de votre part, je et nous les attendons encore.

Mais il faut de tout pour faire un monde, même des gens comme vous.