Babel a écrit :De la psychologie de comptoir maintenant, vos arguments sont dignes de la pensée magique.
Vous êtes un fat, dedale, vous vous croyez gros comme le boeuf mais n'êtes qu'une grenouille (pas de bénitier je vous rassure) prenant sa minuscule mare pour le centre du monde. Continuez à coasser et à gober les mouches, c'est divertissant.
Certes, certes. Si ça peut compenser toute vôtre incapacité à débattre.
Donc, après nous avoir brillamment démontré que les explosions nucléaires de 1945 étaient de la faute des religions vous nous servez une autre théorie tout aussi remarquable. Si on suit votre pseudo logique, alors on peut aussi facilement dire que Hiroshima et Nagasaki sont la faute à Démocrite. Vraiment, vous êtes très drôle.
Vous voulez dire que les textes religieux ne sont pas obsessionnellement obnubilés par la guerre, le pouvoir, la mégalomanie?
La religion se trompe d'orifice : Elle se prend pour le nombril alors qu'elle est le trou de balle.
Le plus amusant avec vous est que votre pensée procède des mêmes évidences improuvables que celles des plus extrémistes des intégristes religieux.
Vôtre opinion ne m'inquiète absolument pas. J'explique mon raisonnement et ça suffit : Libre à celui qui le veut de rester bête, à philosopher sur des légendes, à radoter sur des doctrines moribondes.
Que la majorité des historiens considère plus que probable l'existence historique de Jésus
Cette majorité d'historiens est imaginaire.
Il n'y a que des documentaires télévisés à 3 balles qui laissent penser ça.
1 - Il n'y a pas la moindre preuve.
2 - Le NT n'est appuyé par aucun autre écrit. Pourtant il existe des récits de l'époque christique, à Jérusalem. Aucun texte d'époque ne parle de Jésus.
vous vous en carrez totalement
Vos réactions sont infantiles.
- Apprenez à demander des preuves quand il le faut, quand c'est justifié - et non pas simplement pour singer maladroitement les sceptiques, et renvoyer un jargon dont vous ne comprenez rien.
- Avez-vous totalement oublié l'esprit d'autocritique?
Jésus le Christ a existé comme Mithra, ahura Mazda, Zeus, Galu-Galu ou Outou-Babar. ce sont des personnifications mais pas des personnes.
Vous courrez derrière des chimères.
L'important pour vous est de rester dans votre vision paranoïaque.
Vous avez tout compris.
Vous vous accrochez à votre croyance comme un morpion aux poils pubiens. Je comprends que ça vous gratte et que vous préfériez vous vautrer dans les théories minoritaires qui vont dans votre sens. Vous n'irez sans doute pas voir la vidéo proposée par Henri Laborit, cela risquerait de heurter vos certitudes de ... sceptique.
Vous devriez vous calmer.
Dans cet état, on ne peut pas vous prendre au sérieux.
Vous donnez l'image d'un asticot qui se tortille au bout d'un hameçon.
Quelle différence, au fond, entre un intégriste voyant la main de Dieu derrière chaque évènement et un dedale y voyant la main de la religion ? Aucune. Les deux procèdent d'une même pensée simpliste du monde.
Simpliste parce que vous n'avez rien pompé. Vôtre seule et pitoyable ressource est de me prendre à parti.
Pourtant c'est facile de me contredire : J'apporte un simple raisonnement sans preuve, il suffit de nier ou de me contredire, en raisonnant sans preuve.
Au lieu de cela, vous me faites de ridicules scènes de ménage : j'ai égratigné vos petites croyances.
Il n'y a pas mort d'homme. Pas la peine de me faire un procès. Vous vous en remettrez.
Le fait même que vous pensiez sérieusement que sans religion le monde serait un havre de paix démontre bien votre obsession irrationnelle. Imaginez le moyen-âge sans Inquisition, dites-vous sans rire.
On serait au moins débarrassé d'une grande partie obscurantiste et violente de l'humanité.
Et les gouvernements ne seraient pas inspirés du féodalisme théocratique qui ne privilégie que les hautes castes.
Puis aussi, pas de fantasme funeste et pathologique de vouloir contrôler la destinée humaine, de sacraliser des institutions constamment dépassées par les événements, de mystifier en permanence la réalité et d'asservir ou torturer les plus humbles. Même le nazisme se cachait derrière un fantasme religieux : ils ont poursuivi le juifs comme les chrétiens en leur temps, sous le prétexte qu'ils avaient assassiné le fils de dieu. Bien sûr, cala n'a aucun rapport avec la religion. N'est-ce pas?
Vous avez zappé tous les détails révélateurs de l'histoire, pour laisser place à une croyance soporifique, si ce n'est pas anabolisante.
Vous m'avez demandé d'imaginer, donc j'imagine.
Mais si c'était juste pour retourner mes idées contre moi, c'est assez clownesque : Vous vous cassez les dents pour rien.
Au lieu de flipper comme un malade qui voit ses chimères partir en fumée, ressaisissez-vous : On ne fait qu'échanger des point de vue.
Je vous crois capable d'expliquer cette fois la guerre de cent ans par le seul biais de la religion. Allez-y qu'on rigole une nouvelle fois.
Quelle ignorance!
C'est un fait historique : Le Clergé a largement contribué à l'éclatement de ces guerres seigneuriales, surtout qu'à l'époque l'Eglise était partout à oindre rois et seigneurs, le peuple était fondamentalement croyant :
Que le roi gouverne et que dieu donne de bonnes récoltes.
Personnellement, je ne sais trop s'il faut rire ou pleurer devant un tel degré d’illettrisme.
Ne riez pas, renseignez-vous, car vous débattez comme un pitre.
Les rivalités territoriales et économiques ? Non non non cela n'explique pas les guerres, c'est la faute à la religion, qu'on vous dit ! Les grandes invasions barbares qui firent s'écrouler l'empire romain d'occident ? Pareil, kif-kif bourricot, hue, haro sur la religion.
Dire que la religion n'y est pour rien, c'est comme dire que la politique n'y est pour rien.
C'est l'équivalent du raisonnement d'un plat de nouilles.
J'ose espérer que vous n'êtes pas prof d'histoire.
Si c'était le cas, vous finiriez instantanément en section de rattrapage.
Je résume donc votre thèse que vous allez sans doute publier sous peu : toutes les guerres dans le monde, à toutes les époques ont pour unique origine les religions
N'exagérons pas, il y a surement des exceptions.
Vous prenez tellement de hauteur que c'en est vertigineux
Vous devriez plutôt faire de la poésie.
On se demande bien pourquoi on écrit tous ces livres d'histoire pour tenter d'éclaircir les complexités de tout conflit puisque c'est si simple grâce à dedale.
Lisez tous ces livres et vous verrez que je n'invente rien.
La religion c'est le mal est votre mantra.
Peut être ai-je été trop loin avec vous. Vous ne parvenez pas à prendre de recul.
Vous me diabolisez comme un curé du moyen-âge.
Le système religieux n'a jamais été qu'une machine à broyer la nature humaine.
C'est une vérité que je vous montre.
Ne me regardez pas à moi, regardez cette vérité : Ouvrez les yeux, soulevez le voile.
Ou restez attelé, avec des oeillères, à cette mafia d'un autre temps.
Vous l'invoquez sur tous les tons et à toutes les sauces même et surtout les plus fades. Vous êtes un piètre cuisinier et votre rhétorique est celle d'une pensée fast-food.
Vous ne me donnez guère le choix.
Il est certain qu'on pourrait avoir un débat plus profond si vous vous éleviez au-dessus des personnes.
Si je franchis le seuil testiculaire vers lequel vous tirez tout ce que vous pouvez, j'ai peur d'éveiller le terroriste potentiel qui se cache en vous
Le plus risible de vos arguments est sans doute celui-ci que vous martelez à plusieurs reprises : Ce qui profondément grotesque, c'est justement de demander des preuves alors que n'importe qui peut constater par lui-même ce que j'ai dit. Pour un esprit qui se prétend scientifique et rationnel c'est juste tordant.
N'importe quel lombric peut se tordre.
Ces choses vous échappent.
Le scepticisme n'est pas une systématique, c'est une nécessité.
Vous voulez des preuves que la religion n'est qu'un fantasme funeste, absolutiste, de luttes pour le pouvoir, de répression, et j'en passe, tout ça bien camouflé par des propagandes anesthésiantes et cyniques? Je vous le répète : Ce n'est pas des preuves qu'il vous faut, mais une bonne cure de désintoxication et un bon retour aux sources du réalisme.
je ne prétend rien, et surtout pas être scientifique.
Défendre les religions, à nôtre époque, alors qu'on a des écoles, qu'on peut accéder facilement à l'instruction, aux sciences, ça relève d'une certaine perdition et d'une immense incompréhension. Un homme doit lui-même trouver sa voie, doit se trouver lui-même une raison d'être. Ce n'est pas évident, c'est même très difficile et plein de risques, mais c'est la seule manière de procéder.
Comme le premier intégriste venu, vous diabolisez l'adversaire.
Pour le moment, il n'y a que vous à faire cela.
D'ailleurs vous y êtes enlisé jusqu'au nez.
Voyons voir à analyser votre champ lexical sur la religion et les croyants : fanatisme congénital, raisonnement infantile, ses fantasmes pour des réalités, virus qui ne peut être éradiqué, idiots fanatiques qui font pisser le sang, misère intellectuelle...
La diabolisation de l'adversaire est une vieille antienne que vous maîtrisez parfaitement. Vous appliquez à la lettre le manuel du procurateur stalinien : caricaturer, insulter, pathologiser et surtout généraliser à outrance l'adversaire. C'est de la belle oeuvre vraiment dedale, ce ne sont pas les scrupules qui vous étouffent.
De quel adversaire parlez vous?
Et toujours cette condescendance et ce réductionnisme minable. Entre parenthèses, votre pas forcément est réellement savoureux, savez-vous ?
Quand vous vous essayez à élever un tant soi peu votre style, cela donne des phrases absurdes comme : La croyance n'est que le fantasme caricatural d'une réalité incomprise. Vous vous piquez de style, croyez-vous, mais ne déversez que des platitudes d'élève de terminale découvrant la philosophie.
Comme toujours, les croyants sont binaires. Soit on est pour eux, soit contre eux.
Si j'ai bien compris, je suis vôtre adversaire et vous considérez ou imaginez que les croyants sont les miens.
En réalité, pour être honnête, je me sens un peu à la place d'un primatologue qui observe les réactions des babouins.
Les babouins, sont-ils les adversaires du primatologue?
Toutefois, il y a un babouin qui n'est pas content de voir ce primatologue, qui est un intrus pour lui, l'observer.
Ce babouin est-il un adversaire pour le primatologue?
C'est à sens unique, c'est seulement le babouin qui croit que le primatologue est un adversaire.