Re: Suaire de Turin
Publié : 11 mai 2010, 12:51
Bonjour -Bruno-,
Tu dis :
De l'autre, tu as des dentistes, des garagistes des scientifiques, mais dans des domaines lointains qui nous pondent des théories tirées par les cheveux, mais qui collent à leur vision : le suaire ne peut être que la très saint relique du linceul de Jesus Christ.
Un exemple, la datation carbonne : réalisée par des spécialistes (sous l'égide du British Museum) à partir de plusieurs échantillons par des labos réputés et travaillant dans des conditions assez proches du double aveugle : résultats : une date en plein moyen age en accord avec les données historiques et artistiques.
De l'autre des gars qui n'ont aucun rapport avec les domaines de la datation et qui nous sortes des théories fumeuses : un coup, c'est parce que le prélèvement a été fait sur un réparation médiévale (trop con les spécialistes
), un coup le linceul a été contamminé par les incendies qu'il a subit, et qui aurait changé la teneur en carbone 14( celle là fait visiblement rire les spécialistes), un coup un gars nous sort une datation sur la vanilline, moyen visiblement peu fiable et que personne n'utilise pour cette raison.
Bref, deux sons de cloches, oui, mais à ne surtout pas mettre sur le même niveau.
Cordialement,
philippe
Tu dis :
Je ne suis pas trop d'accord : d'un coté tu as des spécialistes et des scientifiques intervenant dans leurs domaines de compétences (archéologues, historien de l'art, historien, spécialiste en authentification/detection de faux,...) pour qui la conclusion est : c'est un faux grossier du moyen age.Cette bataille fait appel à tellement de domaines scientifiques différents, dont les protagonistes spécialistes de ces sujets arrivent à des conclusions diamétralement opposées
De l'autre, tu as des dentistes, des garagistes des scientifiques, mais dans des domaines lointains qui nous pondent des théories tirées par les cheveux, mais qui collent à leur vision : le suaire ne peut être que la très saint relique du linceul de Jesus Christ.
Un exemple, la datation carbonne : réalisée par des spécialistes (sous l'égide du British Museum) à partir de plusieurs échantillons par des labos réputés et travaillant dans des conditions assez proches du double aveugle : résultats : une date en plein moyen age en accord avec les données historiques et artistiques.
De l'autre des gars qui n'ont aucun rapport avec les domaines de la datation et qui nous sortes des théories fumeuses : un coup, c'est parce que le prélèvement a été fait sur un réparation médiévale (trop con les spécialistes

Bref, deux sons de cloches, oui, mais à ne surtout pas mettre sur le même niveau.
Cordialement,
philippe