Hihi c’est un peu ça quand même

Hihi c’est un peu ça quand même
La distinction physique et métaphysique à son intérêt dans le cadre de la science.1 - Ne pas confondre fonctionnement biologique, qui repose sur des concepts scientifiques incontournables en l'état actuel des connaissances, et métaphysique. pour laquelle je te laisse la charge de la preuve, avec la démonstration qui va bien avec. Tu risques de t'amuser un moment.
La cybernétique est une réalité, je n'y peux rien, et c'est passionnant.
Ce fil de discussion n’a pas pour but d’être publié dans une revue scientifique. Précisément une spiritualité est un point de vue, une façon de percevoir, d’être dans le moment présent.2 - ça, c'est de la philo, aussi honorable soit-elle, ce n'est pas de la science. C'est intéressant, c'est un point de vue, une opinion.Il n'y a pas de dualité, en science, pas de séparation.
Exprimé et argumenté ainsi, oui.Ce fil de discussion n’a pas pour but d’être publié dans une revue scientifique. Précisément une spiritualité est un point de vue, une façon de percevoir, d’être dans le moment présent.
Non. J'ai défini le cadre, je traite de la globalité. Il n'y a aucune rupture possible entre le corps (la machinerie, les mécanismes internes) et l'esprit sur le plan scientifique, ce qui correspondrait à une méconnaissance et une aberration. Le point de vue, la vie intérieure dépendent du fonctionnement de l'esprit (les circuits de neurones mis en œuvre), qui lui-même est intrinsèquement lié au corps qui est en constantes interactions avec l'environnement auquel il appartient...Il n’y a pas de dualité ? Tu viens pourtant d’en exprimer une, entre le point de vue et la science. La vie intérieure est une réalité. Elle n’a pas besoin d’être vraie ou fausse. Si tu aimes quelqu’un, est-ce que c’est vrai ou faux ? Ni l’un, ni l’autre.
Sur le plan du fonctionnement de la pensée, oui, en passant par le langage approprié qui est une extension de la conscience (le langage est apparu après la conscience qui elle-même a émergé après l'organisation du vivant. A quel stade ? Les chercheurs n'en savent rien, et ils conçoivent être désarmés face au temps, c'est à dire qu'ils se retrouvent devant un fonctionnement, pur produit de l'évolution, qui a demandé des centaines de millions d'années à se constituer. Ce n'est pas parce qu'ils ne savent pas qu'ils vont s'efforcer de combler les "trous" en les remplissant avec n'importe quoi.La distinction physique et métaphysique à son intérêt dans le cadre de la science.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Relativ ... restreinte...La relativité restreinte a eu également un impact en philosophie en éliminant toute possibilité d'existence d'un temps et de durées absolus dans l'ensemble de l'univers (Newton). À la suite d'Henri Poincaré, elle a forcé les philosophes à se poser différemment la question du temps et de l'espace...
Bien sûr, mais je ne voulais dire que tu pensais le contraire là. Ce dont je parlais c'est de vouloir mettre de côté le ressenti, l'expérience subjective, pour des raisons de méthode scientifique.Dominique18 a écrit : 04 oct. 2022, 08:20 Non. J'ai défini le cadre, je traite de la globalité. Il n'y a aucune rupture possible entre le corps (la machinerie, les mécanismes internes) et l'esprit sur le plan scientifique, ce qui correspondrait à une méconnaissance et une aberration. Le point de vue, la vie intérieure dépendent du fonctionnement de l'esprit (les circuits de neurones mis en œuvre), qui lui-même est intrinsèquement lié au corps qui est en constantes interactions avec l'environnement auquel il appartient...
Oui et mon discours n'est pas dans le cadre la science. Ce dont je parle c'est d'une compatibilité avec la science, si je puis dire.La dualité, c'est une histoire de philosophie. Pas de science.
Tu n'as pas d'émotions, de préférences, d'aspirations ? Ce n'est pas un sophisme, c'est l'essentiel du sujet ici. Nous ne sommes pas des robots insensibles. On dirait que la science serait une façon pour toi d'être un tel robot.Il n'y a pas de vie intérieure, vraie, ou fausse, ça ce sont des biais, et un beau sophisme au passage, il n'existe qu'un fonctionnement interne, présentant des particularités, et qu'une réalité observable de ce fonctionnement, abordée par la science.
Avant de vouloir le changer, je t'invite à commencer par l'accepter, de ne pas le juger comme des biais, du sophisme ou je ne sais quoi. La spiritualité est une présence à soi-même, et à ce qui se passe en nous.On peut agir sur ce dernier, le modifier. Quant à le connaître intégralement, il reste un mystère épais.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Ant%C3% ... m%C3%A1sio..Pascal Sévérac, dans Le questionnement d'un philosophe[15], compare l'approche de Damasio dans L’autre Moi-même et l'approche de Spinoza : « l’idée fondamentale de A. Damasio est que l’esprit est l’idée du corps, ce qui est la définition de Spinoza. » Mais ensuite, pour Damasio, l'esprit et la conscience ne seraient que « du cerveau », donc matériels, alors que pour Spinoza ils sont immatériels. Dans un entretien avec Pascal Sévérac, Damasio répond a cette observation en précisant que son approche, même si elle est biologique, n'appréhende pas la conscience comme une approche réductionniste matérialiste...
La conscience est une des fonctions du cerveau, oui. Le matérialisme a été décrié sans raison valable, mais par association d'idées, en supposant que la morale est immatérielle et que donc il en serait sa négation. C'est absurde, parce que les qualités humaines ne proviennent pas d'une divinité mais de nous-mêmes, de ce que nous sommes, et nous sommes matériels.Mais ensuite, pour Damasio, l'esprit et la conscience ne seraient que « du cerveau », donc matériels, alors que pour Spinoza ils sont immatériels. Dans un entretien avec Pascal Sévérac, Damasio répond a cette observation en précisant que son approche, même si elle est biologique, n'appréhende pas la conscience comme une approche réductionniste matérialiste...
Un modeste retour d'expérience, dans le cadre de mon humble pratique en arts martiaux...Les chakras et les méridiens sont-ils vrais ou faux ? Probablement faux, même si je n'ai pas en tête des références d'expériences scientifiques. Est-ce qu'ils expriment quand même quelque chose approximativement ? Peut-être. Si cela sert de support de visualisation à certaines personnes, pourquoi pas. En tout cas, je ne trouve pas que ce soit très spirituel, pas plus que les massages, même si les massages ont un effet en général bénéfique sur l'esprit.
La question reste posée pour certains.La conscience est une des fonctions du cerveau, oui. Le matérialisme a été décrié sans raison valable, mais par association d'idées, en supposant que la morale est immatérielle et que donc il en serait sa négation. C'est absurde, parce que les qualités humaines ne proviennent pas d'une divinité mais de nous-mêmes, de ce que nous sommes, et nous sommes matériels.
Le système de Newton fonctionne jusqu'à un certain niveau. Au-delà, il devient effectivement caduc.Sinon par prédiction, je suppose qu'on entend aussi la question d'avoir un modèle explicatif et ce modèle alors serait vrai, jusqu'à ce qu'on montre qu'il est faux. Sauf que le modèle n'est pas réel, c'est une construction mentale. Il n'a pas d'importance en soi. Par exemple si on parle de la gravité de Newton, on peut dire aujourd'hui qu'elle est fausse. Mais c'est tout de même une bonne approximation.
La science permet,du moins partiellement, de dépasser cette controverse.Pour moi, la controverse apparait dans ces domaines humains, quand on doit faire des prédictions ou de la spéculation. Les bases de réflexion basées sur les ressentis varient beaucoup, d'une journée à l'autre, d'une heure à l'autre, et les prédictions varieront autant.
Je ne suis pas sûre que la seule chose qui importe soit de savoir quels points sont sensibles, cela dit c'est bien cela qui est mis en avant pour justifier l'acupuncture et l'acupressure et c'est aussi probablement par ce bout que la science va étudier la chose.Dominique18 a écrit : 14 oct. 2022, 09:54 Il existe bien un ensemble de points (très !) sensibles au niveau du corps, oui! Certains plutôt invalidants dans le genre avec effet paralysant pendant un laps de temps.Trivialement, quelques points "chatouillés" ne font pas du bien. D'ailleurs, il est bien spécifié qu'il ne faut les solliciter trop souvent.
Quant à savoir et prétendre qu'ils font partie de méridiens énergétiques, c'est une autre dimension.
Dès lors, on peut y voir un intérêt spirituel, sans pour autant que cela soit reconnu comme vrai, par la science, et par les gens qui les utilisent. Enfin comme je l'ai mentionné précédemment, là on est dans l'étude de spiritualités connues.Par contre, qu'ils puissent avoir une importance en tant que "supports" (par exemple dans le cas d'une visualisation) est indéniable.
Une des problématiques est sans doute que la question de ce qu'on classe dans la matière. La lumière est-elle de la matière ? Dans un sens élargi, oui, mais on n'a pas trop l'habitude de voir les choses comme cela. Pour cette raison, je préfère la notion de naturalisme, on inclut tout ce qu'il y a dans la Nature, que ce soit de la matière, de la lumière ou même de l'information si l'on veut.Sur un autre fil, j'ai modestement abordé cette question en indiquant qu'en l'état actuel des connaissances, avec plusieurs exemples à la clé, matériel versus immatériel n'avait guère de sens et qu'il fallait plutôt envisager de se poser des questions autrement.
Il y a une application possible, et pourtant, si on avait un autre modèle qui donnait les mêmes prédictions, mais avait d'autres concepts, et d'une certaine façon donnerait à voir une autre réalité, en fin de compte, le résultat serait le même. Le modèle est un peu comme un ensemble d'axiomes mathématiques, formulé avec des symboles, exprimé par le langage.Le système de Newton fonctionne jusqu'à un certain niveau. Au-delà, il devient effectivement caduc.
Le modèle est plus qu'une construction mentale puisqu'il permet des applications concrètes et pratiques, dans la vie courante: électronique, informatique,... C'est une construction reposant sur des critères scientifiques, avec une reproductibilité et une réfutation potentielles inhérentes.
Dernier exemple d'importance en date: la question de l'intervention de la NASA au sujet du détournement d'un astéroïde.
C'est bon à savoir, enfin personnellement, je ne discute pas trop avec un couteau, enfin tant que je suis pas en sécurité.La nouveauté, relativement récente, est que ce type d'agression se produit non plus, avec ce type d'arme, avec un seul couteau mais avec deux, au minimum, dont l'un non visible, au cas où... Ce qui incite à se montrer encore plus prudent et à éviter au maximum de jouer les matamores (du samedi!!!![]()
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).
Oui alors que veux-tu dire par croire ici ? Nous sommes tous croyants dans le sens où nous nous basons sur des croyances, y compris quand nous sommes athées. Si je vais dans un parc, c'est que je crois que le parc existe. Cela pourrait ne pas être vrai, cela pourrait être devenu un parking.C'est à dire que le cerveau, facteurs positifs de l'évolution obligent, est "programmé" pour croire (stade intuitif, de l'immédiateté cf. travaux de Thierry Ripoll) alors qu'il peut fonctionner sur le mode analytique, en décryptant, et en investiguant le monde/l'environnement auquel il est confronté.
C'est nettement plus complexe.Nous avons des informations temporaires, auxquelles nous affectons une valeur de certitude. Ces valeurs évoluent avec le temps mais on ne peut se fier qu'à nos souvenirs parce que notre perception au présent est très limitée.
Tout à fait.existence a écrit : 15 oct. 2022, 12:41 Bien sûr mais est-ce que tu vois ce que je veux dire ?
Sinon je ne sais pas ce que tu veux dire en parlant de métaphysique.
Et chacun a son fonctionnement, sa spiritualité (en tant que relation entretenue avec notre propre esprit).Dominique18 a écrit : 15 oct. 2022, 13:26 Je "fonctionne" différemment en me posant les mêmes questions, à un autre niveau, ou plutôt à d'autres niveaux.
Il y a un peu de métaphysique, effectivement, et une marge de manoeuvre individuelle. Me concernant, étant athée et avec une culture scientifique, la spiritualité qui m'inspire est le naturalisme. Je suis persuadée qu'il n'y a pas de dieu, alors cela ne me gêne pas d'affirmer mon point de vue, si l'on veut métaphysique, cela dit en très grande partie compatible avec les connaissances scientifiques.La spiritualité, le naturalisme, font partie de la métaphysique qui est un mode de compréhension humain, parmi d'autres.
Oui.Il n'existe pas de vérité, et encore moins insaisissable, mais un ensemble de connaissances potentielles sur tel ou tel sujet, soumis à des hypothèses. Ce qui évite, en principe, de s'égarer.
Je parlais des choses davantage au niveau de l'expérience quotidienne. Ce que je sais sur mon appartement, la ville, les moyens de transports, etc. ne provient pas d'une démarche scientifique. Si je me dirige vers la gare, c'est parce que je crois qu'elle s'y trouve encore ou que la SCNF n'est pas en grève.Quant aux informations "temporaires", c'est uniquement avec une démarche scientifique qu'on a pu démontrer un certain nombre de phénomènes, phénomènes qui durent d'ailleurs.
Ah ok, là il s'agit d'un phénomène générique.Pour me faire comprendre, prenons en considération la notion de désir.
Qu'est-ce que le désir ? Que représente t-il à l'échelle de l'existence individuelle ?
A t'il une fonction fondamentale ou accessoire?
1 - Il y a sans doute différentes façons de définir le désir. Je prends la définition suivante : le désir apparait quand une aspiration devient une volonté. Les aspirations sont tous nos besoins : subsistance, relations sociales, jeu, etc.
2 - Les aspirations n'entrainent pas nécessairement une volonté et le désir peut être mimétique, c'est-à-dire imité inconsciemment, par exemple après avoir vu une publicité ou bien une autre personne avoir un désir de quelque chose. Le désir est proche de la méthode par laquelle on souhaite répondre à l'aspiration. Une aspiration n'a pas d'objet prédéterminé pour y répondre.
3 - Si on distingue fondamental et accessoire, le désir est autant fondamental et accessoire que l'est l'aspiration à laquelle il veut répondre. Je ne suis pas convaincue qu'il y ait des aspirations accessoires, cependant il y a des méthodes qui sont problématiques ou inefficaces etc.
4 - J'ai envie de dire que pour l'individu le désir est la raison de la volonté. Spirituellement, ce que je trouve intéressant, c'est que souvent on ne sait pas d'où provient le désir, comment l'inconscient en est venu à désir tel objet[/b]. Il y a quelque chose qui dépasse l'individu, soit la volonté du corps comme dirait Nietzsche, soit le désir ambiant, qu'on appelle des fois la mode.
existence a écrit :J'ai envie de dire que pour l'individu le désir est la raison de la volonté. Spirituellement, ce que je trouve intéressant, c'est que souvent on ne sait pas d'où provient le désir, comment l'inconscient en est venu à désir tel objet
Non, là vos opinions divergent et je ne suis d'accord ni avec l'un ni avec l'autre.Dominique18 a écrit :Ce qui concrètement, se traduit par: le désir obéit à une pulsion basique, fondamentale: se maintenir en vie, et disposer des éléments pour le faire. La considération de ce processus s'exprime au niveau biologique, point 4, partie en gras.
Peut-être il y a une problématique de définitions des termes. Par désir, il me semble que tu parle des besoins physiologiques et de sécurité de Maslow que Mirages nous a partagé. Il y a d'autres besoins/aspirations qui ne sont pas liés à la survie. Sinon, nous en parlions précédemment, les humains ne sont pas centrés uniquement sur leur survie personnelle. C'est ce qu'explique Dawkins dans le Gène égoïste.Dominique18 a écrit : 15 oct. 2022, 17:24 Ce qui concrètement, se traduit par: le désir obéit à une pulsion basique, fondamentale: se maintenir en vie, et disposer des éléments pour le faire. La considération de ce processus s'exprime au niveau biologique, point 4, partie en gras.
Oui, effectivement. Notre pensée consciente vient après divers processus inconscients. Nous constatons consciemment notre désir après qu'il se soit formé.Ce qui dépasse et occulte la conscience puisque l'apparition du vivant a précédé l'émergence de la conscience qui d'une structure simple, basique, a évolué vers des formes très complexes.
Qu'entends-tu par sociétal ? Le point 1 est en grande partie biologique. Les aspirations/besoins sont la motivation fondamentale, que l'on ne choisit pas, et qui proviennent de notre nature biologique. Le point 2 est psycho-social, pourrait-on dire, selon le modèle biopsychosocial.Les points 1, 2, 3, 4 répondent à une analyse sur le plan sociétal.
Oui enfin on peut communiquer, avoir une représentation de l'esprit de l'autre, ce qui est appelé théorie de l'esprit.Le plus absurde, du moins en l'état des possibilités actuelles, c'est que nous ne pouvons pas exactement savoir ce qui se passe dans la tête de l'autre, et réciproquement. Ce n'est pas prévu au programme, pour l'instant.
Cela par exemple ne répond pas au besoin de survie. Et pourtant, on ne le ferait pas si nous n'avions pas d'aspirations (sociales, de jeu, etc.)Le point positif c'est que nous pouvons digresser à loisir, philosopher, nous livrer à des joutes langagières, délirer... nous occuper l'esprit
C'est un des sujets de la spiritualité. Notamment, on peut y répondre autrement qu'en promettant la vie éternelle.Nous sommes peut-être arrivés à un point, dans l'histoire de l'humanité, où avec tous les outils dont nous pouvons disposer, nous avons la possibilité de considérer que l'évolution, aussi sympathique soit-elle, ne manque pas d'ironie, et que c'est une belle blague pour notre cortex associatif "supérieur".
Oui c'est a peu près ce que j'ai dit avec d'autres mots. Le besoin/aspiration est à la source, on peut dire biologique, de notre volonté. Et le désir est une volonté, ce qu'on ne réprime pas comme cela effectivement. On peut cela dit amener le désir à évoluer en comprenant les aspirations/besoins sous-jacents, parce qu'il peut y avoir diverses façons de répondre à un besoin.LoutredeMer a écrit : 15 oct. 2022, 19:44Le désir est probablement le plus achevé des trois : besoin, envie, désir. Le besoin, il est biologique en effet. L'envie, on la réprime facilement, elle peut etre biologique (un besoin spécifique de nourriture précise), mais aussi psychologique (j'ai envie de.. une voiture rouge hop).
Effectivement, notre esprit peut être animé d'un désir dont la réalisation peut nous sembler problématique ou inefficace. Si l'on prend l'exemple des richissimes, avoir un grand yacht peut être une façon de répondre à l'aspiration de l'accomplissement de soi et aussi de relaxation. Cela dit, c'est inefficace si l'on considère la quantité de ressources nécessaires.Mais selon moi la spiritualité dans ce cas tient aux fait de pouvoir définir, cadrer et redéfinir ce désir de manière qu'il produise quelque chose de positif s'il peut se réaliser, et non délétère s'il ne peut pas se réaliser, car un désir peut etre destructeur si on le laisse prendre le dessus, pour soi ou pour les autres (je pense par ex que les richissimes en voulant toujours plus sont esclaves de leur désir de fortune et de puissance).
tu pourrais aussi leur mettre une bonne note tant que tu y aies! Genre 18/20.
Un souci?richard a écrit : 16 oct. 2022, 12:05tu pourrais aussi leur mettre une note sur 20 tant que tu y aies! Genre 18/20.
Ah bon! J'ai eu peur. Tu me rassures.richard a écrit : 16 oct. 2022, 12:11 Salut Dominique ! Non rien d’autre, juste cette remarque, j’espère qu’elle te déplaise.
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