Voici les premières réactions de JC face à Irma. Pour les rares qui ont le courage de lire jusqu’au bout, bien-entendu :
Quelques commentaires sur une réponse d’Irna la doxographe menteuse au sujet de Gizeh 2005…
par Jacques Grimault
Suite à ma récente réponse à un certain Nali, portant sur les « imprécisions » dans le film Gizeh 2005 de Patrice Pooyard, post-fleuve affiché sur les pages de l'inénarrable Irna, la doxographe menteuse, qui s’offre en prime l’idée saugrenue que j’irai me salir sur son site ou celui d’autres Trolls de son espèce, critique (?) ma réponse, pourtant dictée sans la moindre animosité par le roman-fleuve dudit Nali.
On notera donc ici 1/ qu’Irna monte au créneau pour défendre ses protégés, Trolls débutants mais désormais notoirement incapables, comme aisément démontré
2/ qu’elle utilise les mêmes subterfuges qu’eux, se bornant à ne répondre que sur la forme et non sur le fond, bien qu’elle m’accuse de déni de réalité, s’appui sur l’opinion de la majorité pour prétendre que c’est là une méthode sûre pour savoir où est le vrai, etc.
3/ qu'elle insulte de manière allusive et hypocrite et joue à la vierge scandalisée quand je lui restitue ses perfidies en direct et en clair
4/ qu’elle se prend à son tour une déculottée publique…
Las : comme d’habitude, de l’esbroufe, dans un style doucereux d’hypocrite patentée qui est sa marque de fabrique : moi, quand j’insulte – ce qui est rarissime –, je le fais avec franchise, panache et netteté, parfois avec cynisme et force, plutôt que me cacher lâchement comme elle le fait derrière un pseudonyme et d’affecter la vertu blessée alors qu’elle met le plus souvent des « poignards dans les bouquets de fleurs », comme disent les Chinois : moi, je m’en tiens à la parole directe et franche, elle, à la vérole indirecte et simili-vertueuse…
Estimant que ce morceau d’anthologie méritait - bien qu'insipide et long, mais auquel fort heureusement j'ai ajouté de la matière culturelle de bon aloi - une diffusion encore plus large, je m’empresse donc de reprendre ici sa "réponse", accompagnée de quelques commentaires entre crochets, comme à mon ordinaire. Il est évidemment hors de question pour moi de commenter la totalité de son amphigourique pseudo "réponse », d’autant que l’essentiel du contenu, où sont disséminées des insultes allusives et donc hypocrites (le courage, ça ne s’achète pas : on le possède ou non !), n’appelle pas vraiment de réponse.
Je me contenterai de quelques remarques, dans l’espoir vain que Madame Irma finira un jour par réaliser qu’elle ferait bien de moins se précipiter mais plutôt de réfléchir un peu plus et un peut mieux, et de se renseigner]
émoticône smile
[ce glyphe à la mode, une de ces figurations dactylographiques infantiles partout en usage, et cela a pour but de s’attirer la sympathie des Lecteurs : peine perdue, Madame Irna : ceux-ci ne sont plus dupes, et le seront de moins en moins, au fil des dévoilements !
Allons-y ; nous avons assez perdu de temps comme cela !
[Ça commence assez mal : Irna n’a pas compris que les critiques de quiconque qui ne s’adressent pas aux faits sont malvenues, quelles qu’en soient les formes (mais surtout les pseudo-critiques hypocrites). Ce qui signifie que ces soi-disant critiques, qu’elles soient relatives au livre ou au film Gizeh 2oo5 sont de même valeur : quasiment nulle et non avenue, comme celles qui nous visent !]
C’est bien joli de vouloir corriger les fautes de ses critiques, encore faudrait-il éviter de faire les mêmes... En effet, Nali ne fait ici que reprendre l’expression de M. Grimault, qui déclare à 1h 10’ 15" dans le film : « On ne montrait que des coudées en bois, alors que Champollion dit qu’il y a des coudées en pierre. » [en réalité, elles sont tellement précises, ces coudées de pierre, qu’on se garde bien de les montrer entières, préférant exposer celles qui – en bois – sont sujettes aux changements hygrométriques et calorimétriques… Cela serait bien trop précis ! Montrez-nous, savante mais perverse doxographe, une seule coudée de pierre entière, gravée des signes ordinaires de son usage en métrologie locale, et non des fragments, qui sentent l’arnaque dont vous êtes coutumière…
Par avance, je vous en remercie : vous serviriez enfin à quelque chose d’utile].
la largeur de 1,57 mètre[s]
Et non, pas la peine de rajouter un s à mètre dans ce cas : le pluriel, en français, commence à deux, pas à un virgule quelque chose
émoticône smile
[usage renouvelé de cette typographie de séduction en fin de ligne… On voit bien qu’Irna est à la recherche de l’assentiment de ses Lecteurs, grâce à ces signes de connivence pour débiles de son espèce… Utilisant par ailleurs et pour l'occasion le même style d’élision et de contorsion qu’elle, on sait par avance quelles "critiques" me seront adressés dans sa prochaine diatribe : me reprocher ce qu’elle utilise en permanence elle-même…On notera qu'Irna en profite pour lâchement escamoter le problème du mètre de hauteur, qui gène tant ses con-génères]
ce critique sans scrupules oublie de préciser que ce sont là les dimensions données par l’égyptologue Allemand Reiner Stadelmann, son découvreur et réparateur – et ce qu’il a répété face caméra lors de l’interview à l’Institut de France – ; celles aussi données par le grand spécialiste mondial des pyramides feu Jean-Philippe Lauer (architecte et égyptologue), et nombre d’autres, qui – eux – sont allés vérifier sur place jusqu’à son changement de formes et de dimensions… Ce qui a été réalisé à la sauvette sans que quiconque en soit averti !
Quelle qu’ait été la hauteur du pyramidion avant sa restauration [et hop, on évite le fond pour ne retenir que la forme : exit le mètre embarrassant ; on préfère parler de M. Stadelmann que de la présence du mètre et d’une constante mathématique dans un édifice de l’ancienne Egypte, et, évidemment, de leurs relations… avec la Terre elle-même. Encore un tour de passe-passe dans le style d’Irna ; là encore, personne ne restera dupe bien longtemps. J’ajoute que cette ‘méthode’ d’escroc n'est qu'un mensonge vicieux, qui laisse accroire que la chose est entendue, alors que tel n’est pas le cas], prétendre comme le fait M. Grimault que cette restauration aurait été faite « à la sauvette » [olé !] est un mensonge éhonté, puisque cette restauration de 2005 a été faite sous la responsabilité de Rainer Stadelmann qui signe le rapport qui la décrit page 9 : [Encore un beau mensonge, et double ! 1/ parce qu’il s’agit de la restauration initiale, et non de la restauration falsifiée 2/ sous la responsabilité ne dit pas avec la vérification de M. Stadelmann, qui n’a pas dirigé la réhabilitation lui-même mais l’a déléguée : il suffit de lire ! Une fois de plus, on surprend Irna en train d’essayer de glisser une grosse quenelle aux Lecteurs… Qu'elle en profite : ça ne durera pas !]
J’ai déjà évoqué cette question dans cet article en 2014, ainsi que dans plusieurs discussions sur le net, mais M. Grimault persiste dans le déni de réalité [tiens, c’est le même symptôme dont souffre Irna : n’est-ce pas un travers que celui d’attribuer à son adversaire ce dont on souffre soi-même ? On va en voir un très bel exemple d’ici peu !]
ce Zozo me rappelle ceux qui ne savent pas regarder une photo soi-disant prise sur la Lune, et montrant deux personnages sur la visière alors qu’un troisième les photographie… Je démont(r)erai ça bientôt
Là aussi, M. Grimault persiste dans l’erreur, en continuant à prendre l’ombre du photographié (Aldrin) pour celle du photographe (Armstrong), alors que l’interprétation de l’image est évidente pour tout le monde, jusqu’à ses plus fidèles suiveurs [et hop ! Il suffit d’affirmer une stupidité énorme, en se servant de la caution du nombre – ce qui s’appelle manipuler – et dire que c'est évident pour tous pour en faire une vérité : donc, selon Irna, je confondrais l’ombre du photographié et celle du photographe ? Qu’elle m’explique alors – ainsi qu’à vous – pourquoi, sur la photo entière, l’ombre du photographié va vers son avant droit, si celle du photographe va sur son avant droit à lui, c'est-à-dire à contresens de l'ombre du photographié ?] Comme je ne ferai pas l’injure à M. Grimault de le supposer trop stupide pour comprendre ce qu’est un reflet [partie doucereuse], je ne peux que supposer qu’on a là la démonstration de son incapacité absolument maladive à reconnaître la moindre erreur [partie allusive pourrie : ma réponse sera aussi simple que claire et cinglante, comme la réponse à l’insinuation précédente, laissant entendre hypocritement que je serais aussi stupide et de mauvaise foi qu’elle, ce qui n’est pas peu dire : Madame Irma, démontrez-nous d’abord ici que les deux personnages que vous citez ci-avant sont bien allés sur la Lune au moment où cette photo aurait été prise : car c’est bien par là que cette affaire commence, et il convient donc bien de commencer par là : c’est ça, être cartésien ! C'est ça être franc, direct, et méthodique ! Ce n’est pas gloser à perte de vue sur des éléments pas même démontrés come vous le faites si souvent, car, pour ma part, et d’après les propos mêmes d’un certain [édité par la modération], Aldrin (je ne parle pas là de l’insecticide, mais du cosmonaute américain, opportunément surnommé Buzz), franc-maçon notoire, a essayé de le frapper au visage lorsqu’il lui a demandé s’il était vraiment allé sur la Lune... Curieuse réaction, n’est-il pas ? Cela s’est passé dans un ascenseur à Deauville, après une conférence publique… Questionnez-le, l’[édité par la modération], il n’attend que ça !
Et on aurait – enfin – des nouvelles de lui, le dictateur mythomaniaque victimisé !]
Pas de chance, ce n’est pas cet extrait des Œuvres de Diodore de Sicile : le voici : « Les Egyptiens, profitant des conditions favorables, firent de l’astronomie leur propre science, qu’ils étudièrent les premiers. Les Chaldéens de Babylone étaient des émigrés égyptiens, qui avaient appris leur science astronomique des Egyptiens. [...] »
En dehors du fait que le texte que cite M. Grimault ne me semble pas vraiment contredire celui que citait Nali [ce dont on se fiche éperdument : « ne me semble pas » !], je note surtout que, pour une fois, il cite une source ! [ici, et une fois de plus, éclate la mauvaise foi d’Irna : j’ai répété au moins vingt fois un peu partout que les sources et autres références de textes empruntés figurent au complet dans mes livres… empêchés de paraître. Mais non : elle affecte de croire qu’il n’en est rien, mais surtout, elle pense qu’en répétant des stupidités et des mensonges de très nombreuses fois, ceux-ci deviendront des vérités et des réalités dans votre esprit, et que la phrase de Francis Bacon – « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » – pourrait s’appliquer aux faits eux-mêmes : quelle stupidité ! Ce n’est pas parce que les mensonges permanents des Trolls pourraient m’atteindre - ce qui est loin d'être le cas ! - que cela changerait quoi que ce soit aux faits, Irna, que vous vous gardez bien d’aborder, bien qu’ils n’entrent pas dans la "science" balisée des épiciers dogmatiques dont vous défendez la boutique : tout le monde attend vos analyses des apports de LRDP, tels que l’Equateur penché et ses sites énigmatiques, la distance Phi entre les divers sites d’icelui, et notamment entre Gizeh et l’Île de Pâques, et leur relation avec le Nord géomagnétique : pour une fois, vous seriez (peut-être) intéressante… Hélas, ça ne viendra pas, jamais !] Certes de façon très approximative, puisqu’il agglomère dans un même paragraphe des extraits de deux livres différents, en modifiant assez nettement le sens du texte de Diodore puisque le livre V, 57 affirme que ce sont les Grecs qui auraient apporté les « théorèmes de l’astronomie » en Égypte, et que les Égyptiens n’auraient fait que s’approprier ces connaissances... Mais enfin, c’est bien une source. Qu’est-ce qui empêche donc M. Grimault de faire de même pour d’autres éléments ? par exemple pour l’opinion d’Agatharchide sur les pyramides ? [Agatharchos a été cité – entre autres – par Diodore de Sicile et Flavius Josèphe : cela ne suffit-il pas à Madame Irma ? Désolé qu’elle l’ait ignoré ! Comme déjà dit plusieurs fois ; chaque chose en son temps ! En attendant, lisons ci-après les écrits de divers auteurs, qui tous contredisent Irna, et, accessoirement, Diodore, et de la plus nette manière qui soit : n’est-ce pas Hérodote, le premier dans l’Histoire à parler des pyramides, qui écrivit : « C'est à Héliopolis que se trouvent les plus érudits des Egyptiens. Tous s'accordent à dire que grâce à leur étude de l'astronomie, les Egyptiens ont découvert l'année solaire, et qu'ils furent les premiers à la diviser en douze parties, et dans mon opinion, leur méthode de calcul est meilleure que celle des Grecs. » (Histoires. II, 2-8) ? Cet aveu n’est pas une simple opinion qui aurait échappé au Père de l’Histoire, puisqu’il insiste aussitôt : « Voici ce que les Egyptiens disent d'un commun accord. Suivant eux, ils sont les premiers qui ont trouvé l'année, et divisé en douze parties l'espace de temps et les saisons qu'elle renferme. C'est l'inspection du cours des astres qui leur a fait adopter cette division.» (op. cit. II, 4).
Si l’on conservait quelque doute au sujet de ce que les Grecs doivent aux Egyptiens, que l’on veuille bien méditer la phrase de Clément d’Alexandrie dans ses Stromates (Tissages) : « Un livre de mille pages ne suffirait point à citer les noms de mes compatriotes qui ont usé et abusé de la Connaissance Egyptienne. », et la réflexion de l’ami Jomard : « Tant d’habiles hommes [les Grecs] seraient-ils allés en Egypte pendant cinq siècles de suite s’ils n’eussent l’espérance d’y trouver des mémoires sur les sciences exactes ou des hommes instruits des anciennes traditions scientifiques ? Et si les découvertes qu’on attribue aux premiers philosophes grecs leur appartenaient réellement, si les notions des Egyptiens n’eussent été que des éléments grossiers, perfectionnés par les Grecs, pense-t-on que deux ou trois siècles après Pythagore et Thalès on eut vu leurs successeurs et des hommes tels que Démocrite, Eudoxe, Platon, Euclide, Archimède, aller tour à tour étudier en Egypte ? L’Ecole de Milet ne leur aurait-elle pas fourni plus de lumières sans qu’il fût besoin d’entreprendre de longs et pénibles voyages ? » Evident. Et de simple bon sens ! Et donc méprisable par Irna et sa clique !
Et Jomard d’ajouter aussitôt : « On ne pourra donc plus désormais regarder les Grecs comme les fondateurs de la géométrie. » Mais voici quelques témoignages des Grecs eux-mêmes, pourtant peu enclins à attribuer à d’autres ce qu’ils prétendaient assez souvent ne provenir que de leur génie propre...
« Il me semble que la géométrie, inventée dans ce pays [l’Egypte], alla ensuite en Grèce. » (Hérodote, Histoire, II-109).
« La géométrie est une invention des Egyptiens (…), on croit que cette science fut transmise d’Egypte en Grèce. » (Strabon, Géographie, XVI. 2-24).
« Les Egyptiens s’occupèrent de géométrie depuis un temps très long. » (Porphyre, Vie de Pythagore, 6).
« Il paraît que tous les théorèmes concernant les lignes viennent de là-bas [d’Egypte]. » (Jamblique, Vie de Pythagore, 158).
« La géométrie fut inventée pour la première fois en Egypte, ainsi que cela a été exposé par de nombreux historiens. » (Proclus Diadochus, Commentaire d’Euclide, 38). Bref rappel : sans géométrie ni mathématiques, pas d'astronomie...
Et belle unanimité, et tout au long de l’Antiquité…
Ce qui n’empêche pourtant pas Jean-Philippe Lauer d’écrire, en prédécesseur de Jean-Pierre Adam et en totale contradiction avec son préfacier, feu M. Jean Leclant : « A l’époque même de la construction des grandes pyramides, la géométrie ne semble pas avoir dépassé le stade d’un empirisme intuitif et utilitaire. » Clair, net, définitif ! Quant à Jean-Pierre Adam, désormais connu comme il convient depuis notre film, son diagnostic est sans appel (Le Passé recomposé, éd. du Seuil, Paris 1988, p. 175) : « Il faut savoir que, de toutes les civilisations de l’Antiquité, de la Chine à Rome, l’Egypte a certainement été la plus indifférente à la recherche et particulièrement à la recherche mathématique. Si la Mésopotamie nous a livré des milliers de tablettes cunéiformes traitant de géométrie et d’algèbre, l’Egypte, dans toute son histoire, ne nous a retransmis que sept documents abordant ce sujet, dont un seul du reste, le papyrus de Rhind, a quelque importance. » Fermez le ban ! Terminé ! Tout est dit !
Mais il y a là un gros problème… peut-être dû au fait que toutes ces connaissances – la Connaissance égyptienne, comme disait Clément d’Alexandrie – étaient uniquement et exclusivement transmises à des gens vertueux, de manière cryptée et sous le sceau du secret, c’est-à-dire – et je le précise pour Irna, dure d’oreilles – il s’agissait d’un savoir fermé, ou encore, ésotérique, réservé pour ceux du dedans : ceux mis dans la confidence, et pas pour les autres...
En effet, au témoignage de ce même Clément (op. cit. Livre V, chap. 4-19), n’en déplaise à Irna : « C’est d’une manière secrète et comme vraiment fermée (…) que les Egyptiens nous donnèrent à entendre la doctrine absolument sacrée, celle qui est réservée dans le sanctuaire de la Vérité, et cela à l’aide de ce qu’ils nomment les choses impérissables. »
Les choses impérissables ! Que voici une élégante métaphore pour désigner les nombres et ce qui va avec...
Etait-ce là ce qui justifiait le serment de silence des Pythagoriciens et celui d’Hérodote ?
Et ce qui obscurcissait le regard et l’entendement des « chercheurs » tels que la clique des Trolls avec Irna en tête, qui savent tout sur tout et mieux que tous ? Passons !]
Là, la démonstration que l’on a affaire à un crétin absolu est donnée, et par lui-même évidemment, donc pas de réplique possible sur son crétinisme profond de menteur professionnel : en effet, comme vous le voyez sur l’image où l’on voit ma main, il est question des « conduits d’aération » de la chambre haute dont il est question, celle dite chambre du roi… Or notre nabot fleurit de présomptions aussi débiles que lui parle des investigations du robot Upuaut 2, qui furent menées dans les conduits d’aération de… la chambre médiane !
Là c’est vraiment le sommet [ben non, puisque c'est la chambre médiane ! Confondre le sommet et la moitié de l'édifice, quelle monstruosité, Madame Irna !] ! M. Grimault ose se moquer de Nali, qui aurait confondu la chambre du roi et la chambre médiane... Sauf que celui qui mélange tout, c’est bien M. Grimault lui-même ! [faux et mensonger : allez voir vous-mêmes sur le site d’Irna la menteuse : l’image montre ma main désignant la chambre haute (toujours appelée chambre du roi, afin de coller aux inepties égyptologiques habituelles) alors qu’il est question des investigations des « conduits d’aération (!?) » de la chambre médiane]. Contrairement à ce qu’il affirme, les investigations du Projet Upuaut ont bien concerné tous les conduits, c’est-à-dire ceux des deux chambres. Plus précisément, c’est le robot Upuaut 1 (et non Upuaut 2, dont Nali ne parle pas) qui a exploré la totalité des conduits supérieurs, ceux de la chambre du roi, durant la campagne de mai 1992 de Gantenbrink [menées par… Rainer Stadelmann]. Les relevés faits par Gantenbrink pour ces deux conduits sont disponibles ici pour le conduit nord et là pour le conduit sud, et les chiffres confirment ceux donnés par Nali dans son article : la partie horizontale du conduit nord de la chambre haute mesure 2,63 mètres, et celle du conduit sud 1,72 mètre [pourquoi alors ne parlez-vous pas des ‘coudes’ qu’elle effectue, cette ‘partie’ horizontale du conduit nord, qui déterminent une partie rectiligne d’un mètre ? Trop dur à avouer ?]. Avant de traiter son adversaire de crétin, il faudrait être sûr de savoir de quoi on parle, n’est-ce pas M. Grimault ?
j’ai moi-même fais les relevés locaux
Mais bien sûr, ces relevés, meilleurs que ceux de Dormion, ne sont pas visibles... [ils seront offerts libéralement dans mes livres : quand on ne sait pas, on ne parle pas, Irna ! Quant à ceux de M. Dormion, ils ont été mis à disposition de manière tellement confidentielle que je vous mets au défi de les communiquer en vos pages ! Ce serait pourtant un utile service à rendre à tous - enfin ! - surtout s'ils y apparaissaient en grande taille et lisiblement. Wait and see ! Moët Hennessy !]
Si vous aviez lu ses livres, à Grimault (empêchés de diffusion par le Gollum, sur lequel – c’est bizarre – vous n’enquêtez jamais), vous auriez appris de quel livre il s’agit.
Peut-on faire plus ridicule ? Si vous aviez lu les livres que je n’ai pas publiés vous sauriez de quoi je parle ? [voir plus loin : on se moque de vous !] Je constate en tout cas que les velléités de M. Grimault de donner des sources précises n’étaient que cela, des velléités [je constate qu’une fois encore, Irna se défile lorsqu’il s’agit d’enquêter sur l’Arlésienne, dite aussi le Gollum : pourquoi ? C’est pourtant là le fond de l’affaire, et là, clairement, il s’agit d’un déni de réalité ; n’est-ce pas, Irna la Bouse ?]. On remplace ce qui est clair tant en intention qu’en énoncé par des débilités qui tendraient à faire accroire que Patrice Pooyard – le seul scripteur de Gizeh 2oo5 – serait tenté par les niaiseries complotistes
La phrase concernée (« Borcha[r]dt [ne sait même pas recopier !], lorsqu’il va à Abu Ghurab, il en fait un ouvrage. Est-ce que vous trouvez cet ouvrage dans une librairie ? Jamais »), à la quarante troisième minute du film, c’est Jacques Grimault qui la prononce, pas Patrice Pooyard. C[e n]’est pas très sympa de tenter de rejeter la responsabilité sur ses petits copains, M. Grimault... [comme je n’ai pas visionné le film, « c’est » pas sympa, Irna, d’accuser sans savoir, mais puisque c’est l’une de vos habitudes… Et l'affirmation reste vraie : on ne trouve pas les ouvrages de Ludwig Borchardt en librairie... Allez, cherche, mon chien, cherche !]
C’est la même chose pour la diorite, elle est composée d’un mélange de minéraux de dureté différente [jolie, l’absence du pluriel !]
Hum... la dureté des minéraux, et non les duretés des minéraux... [désolé ; et bien si : les duretés des minéraux, ignare !] Encore une fois, quand on veut donner des leçons aux autres il vaut mieux éviter de dire des bêtises [alors ne les dites pas, Irna (du grec irené : pet – paix ?) !] !
caca boudin : je n’ai jamais lu un seul livre de ce terrible Graham Hancock !
Je veux bien le croire [c'est ce qu'elle préfère : croire, plutôt que s'enquérir sur place, s'aider des opinions, expérience et démopnstrations de gens de terrain et de métier, de vérifier et savoir]: M. Grimault s’est probablement contenté de recopier une mauvaise traduction de Hancock citée sur un forum [et bis repetita : Madame Irna préfère inventer que vérifier ! Elle ne supporte pas le vide, sauf le sien bien sûr, sidéral et apocalyptique, pas plus qu’elle ne supporte d’avoir tort ! Pas de chance ; je ne vais pas – comme elle – picorer des niaiseries insipides et creuses sur Internet... Pas de Hancock dans mon carnet d’adresse, donc pas de copie de ce quidam, quelles qu’en soient les qualités !]
Vous êtes prêts à écrire n’importe quoi – à l’arrachée, à l’esbroufe, au culot, à l’entourloupe – pour convaincre les Zozos qui comme vous ne savent pas lire ni regarder [ceci est valable pour tous les Trolls, dont Irna, évidemment].
C’est admirable cette conscience de ses propres défauts chez M. Grimault ! [quelle contorsion, Irna, pour échapper à la dénonciation de vos méthodes trolliformes grotesques et – à terme – inefficaces, parce mises à jour au fur et à mesure… Ce qui est aussi l’objet de ces aimables et profitables échanges : vous dévoiler et démasquer vos manières de procéder, manipulatoires et perverses].
vous n’êtes pas des critiques, vous êtes des Trolls de basse qualité, sans culture véritable (abus de Wikipedia et de Google)
En conclusion, je ne saurais trop recommander à M. Grimault d’avoir de temps en temps recours à Wikipedia et Google, ça lui éviterait peut-être certaines bévues... [bévue concerne une vision déficiente ou une perception altérée, ce qui ne saurait que vous concerner, et pas moi puisque je ne vais pas regarder là-dedans : ces cloaques pseudo-culturels et simili-savants où Irna et ses amis vont rechercher des
« preuves » de ce que Wikipedia et Google ne connaissent pas encore, et les étalent comme de la confiture sans même comprendre que la science ce n’est pas cela ! On notera là cette galipette vicieuse, bien dans la mentalité de cette Troll dite Irna : prendre sur Internet plutôt que sur le terrain ; prendre les opinions des geek maladifs ‘fabriquants’ de pages Internet plutôt que l’expérience des gens de métier et de terrain ; préférer inventer que questionner ; confondre doute raisonné et suspicion systématique, etc… Irna ! Qui n’a jamais mis les pieds en Egypte mais qui se permet de critiquer ceux qui vont sur place pour vérifier !
A-t-elle seulement rencontré M. Reiner Stadelmann, M. Leclant, M. Adam, Madame Irna, comme nous l’avons fait, en respectant leur style et leurs opinions, et en les diffusant pour entrer décemment dans une controverse ? Non ! Et de donner des leçons de vocabulaire, de grammaire, de syntaxe, de politesse, de comportement, d'épistémologie et de science ici et là ! Mais le pire n’est pas encore atteint : c’est le retournement de situation qui s’opère de lui-même, au détriment d’Irna et de ses raisonnements simili-logiques : en effet, et pour cela je me dois de poser la même question qu’elle ; « Peut-on faire plus ridicule ? » : elle prend des références sur Wikipedia et Google afin de juger mes apports, mais cela ne saurait en rien concerner lesdits apports, puisque ceux-ci ne figurent ni dans Wikipedia ni dans Google ! Cherchez le paradoxe ! Tout dans l’esbroufe : c’est bien cela, Irna !
Nous en sommes arrivés à ce que décrivait Thoth il y a très longtemps : que le savoir, vers la fin des temps, serait enlevé aux sages et livré aux bateleurs d’estrade : nous y sommes ! Irna c’est ça : du pseudo pour du pseudo : pas de synthèse, des analyses d’apparence nette, mais en réalité floues tant dans le fond que dans la forme si l’on s’y intéresse de plus près, ce que ne peuvent faire la plupart des Lecteurs faute de temps (d’où ses ‘articles’ au kilomètre) ; bref : de l’esbroufe pure et simple ! Du kraskerisme de base, à peine édulcoré…
Avec l’animosité en plus, due à la jalousie maladive de n’avoir rien apporté d’elle-même ou par elle-même à qui que ce soit, malgré des études tâtonnantes, laborieuses et inefficaces (ben, oui, inefficaces ! Elle n’a strictement rien découvert, elle ! – elle dira qu’elle à trouvé, voire même prouvé, que je serais un falsificateur; mais on doit s’y attendre, ce n’est là qu’une attaque gratuite et facile de plus, qui n'a pour but que d'essayer de mettre les rieurs de son côté : c'est pas gagné, Irna !).
A la prochaine, donc, Trolle confuse et sans conscience, qui semble tant apprécier les fessées publiques, en plus ! C’est gentil de parler de nous et de notre travail, même de cette manière stupide et infructueuse qui vous dénonce… Bel été !