L'exemple de l'enséité ne m'aide en rien mais vos dernières interventions font que je pense mieux comprendre comment vous cherchez à encourager le dialogue. Je suis d'accord sur le principe mais un dialogue qui ne conduit pas à trancher sur une position risque de s'enliser dans un débat éternel.Guillaume Vivicorsi a écrit : 06 mars 2022, 20:01J'ai mis l'exemple de l'enséité pour éclaircir ce que tu me demandais. Est ce plus clair ?
Je veux bien que ça soit une approche plus diplomatique - surtout parce qu'elle laisse place à la possibilité de l'existence de Dieu malgré sa non-intervention - mais cela ne change rien au problème fondamental qui est soulevé: les croyants affirment l'existence de Dieu.Dire que Dieu ne fait rien et plus efficace pour attaquer nos prémisses que l'existence de Dieu. La preuve, les vidéos intitulées "La Science peut-elle vraiment prouvée l'inexistence de Dieu ?" fleurissent plus que celles intitulées "Dieu cause-t-il qqch selon la Science ?"
Plus votre problème est large, moins les croyants vous entendront
C'est bien mon impression et c'est pourquoi je disais dans mon premier message sur cette enfilade, en réponse à votre "question 2 : Quelle science étudie le Dieu des croyants ?": [JF:] "À mon avis, aucune. La rhétorique religieuse ne sert pas à étudier Dieu mais à protéger l'idée qu'il est un sujet d'étude malgré que rien ne l'indique".Ensuite je suis d'accord avec toi, les théologiens disent du vent mais attention, pas parce ce qu'ils disent est entièrement idiot, mais seulement parce que leur structure rationnelle n'offre aucune autre recherche que la recherche théologique. Nous avons créé une bulle
Je ne m'inquiète pasNe t'inquiète pas, je m'occupe de mes coreligionnaires

Jean-François