Tom a écrit :Abel Chemoul a écrit :La vache 30 000 euros l'apparition de pièces de monnaie,
Non, non, les 30000 euros, ce n'est pas pour l'apparition de pièces de monnaie, mais pour l'enregistrement d'une conversation téléphonique brouillée pendant laquelle une pièce est sensée apparaître chez un des interlocuteurs
Tom
GATTI : Pour la petite histoire je voudrais quand même ramener les interlocuteurs de cette file a plus de retenue quant a leur attaques Narquoises porteuse d'obscurantisme.a bande enregistrée LJ a vraiment beaucoup de valeur. Et il ne faudrait pas me confondre avec les petits trous du cul et les grands emmerdeurs patentés qui sévissent ici pour assouvir je ne sais quelle tare psychologique.
Les poltergeist sont une affaire sérieuse et les recherches faites par William ROLL sont importants mais insignifiants a côté des travaux de CASAR.
Contrairement a CASAR William Roll n'a pas proposé d'explication théorique fondamentale
Extrait de l'ouvrage 130/…"Les chants de l'invisible" de Bernard MARTINO EDITION J'ai lu 1992 qui devrait faire réfléchir les gens qui ici se moquent des poltergeist .
-------------------------------------------------
William ROLL , Psychologue, professeur d'université est reconnu par les parapsychologues comme un des plus grands spécialistes mondiaux des phénomènes poltergeist. Il enseignait la parapsychologie dans le cadre du département psychologie au "West Georgia College" de Carrollton (Atlanta)
(Page 193 et suite)
William Roll: C’est le cas poltergeist le plus récent que j’ai pu observer. J’ai amené TINA , la fille de 14 ans chez moi et le phénomène a continué.
Apres je l’ai amenée à Durham.
Il y avait là Edward Kelly et Steve Baumann…
L’intensité du phénomène avait diminué, on a essayé de le réactiver avec de l’hypnotisme et les objets ont bougé alors que nous étions trois à observer Ia fille et qu’elle ne pouvait pas interférer avec les objets cibles, certains étant dans une autre pièce. Je voulais filmer mais la femme de l’un d’entre eux s’y opposait pour des raisons éthiques : parce que la fille était mineure, parce qu’on était des hommes, ce genre de bêtises ! J’ai dû laisser tomber...
Bernard Martino - Non mais là donc vous avez vu les objets bouger ?
William Roll - Pas tout à fait parce que je surveillais la fille, j’entendais le bruit, je me retournais et l’objet cible était déjà par terre... Parfois il m’a semblé le voir tomber mais je n’ai jamais vu le début du phénomène puisque je ne quittais pas la fille des yeux
Bernard Martino - Ah je comprends, d’où l’intérêt de pouvoir filmer. Combien de cas poltergeists avez-vous observés en tout ?
William Roll- Disons que les cas dont je suis raisonnablement sûr qu’ils n’étaient pas provoqués, ça doit être entre sept et dix.
Bernard Martino - Mais les objets bouger, deux fois seulement en trente ans !
William Roll - Oui, mais c’est intéressant parce que quand vous voyez les objets bouger vous n’avez plus aucun doute ! C’est très rare, mais c’est pas vraiment difficile à observer ; il faut se trouver là, devenir un membre de la famille, ne plus être un simple observateur et là ça se produit, sous votre nez ! Les gens chez qui ça arrive sont paniqués, ils ne comprennent pas ce qui se passe. Si vous leur expliquez que ce n’est ni bon ni mauvais, que ça peut arriver parfois, ils se calment, ça les aide...
Bernard Martino - Pourriez-vous me raconter ça deux fois ?
William Roll - Eh bien... les deux phénomènes ont eu lieu dans une petite maison, dans un endroit appelé Olive Hill, dans le Kentucky. Tôt dans la soirée, un certain nombre d’objets étaient tombés d’une commode de la chambre à coucher. Je l’avais examinée et remis les objets à leur place, pour voir s’il y avait des forces qui s’exerçaient ou autres, mais tout semblait normal. Et puis, plus tard ce soir-là, je me trouvais dans l’embrasure de la porte de la chambre, face à la commode, sur laquelle il y avait un flacon d’eau de Cologne. Il y avait deux autres personnes à proximité :1 agent - le jeune homme qui était au centre de ces phénomènes -, un garçon d’environ douze ans, se tenait dans une autre pièce sur ma droite, tandis que sa sœur et moi nous trouvions dans la chambre où il y avait la commode. Sa sœur se tenait debout juste derrière moi. II n’y avait personne d’autre que nous dans cette chambre à coucher. Alors que je regardais le flacon d’eau de Cologne, il a bougé, a décrit une trajectoire d’environ un mètre vingt et est tombé sur le sol. J’étais alors la personne la plus proche de ce flacon. Je l’avais examiné antérieurement, je l’ai réexaminé ensuite ainsi que la commode, et je n’ai trouvé aucune explication ordinaire à ce qui avait pu se produire. J’ai donc pensé qu’il s’agissait probablement un cas de psychokinèse spontanée.
Bernard Martino - Vous en avez observé un autre m’avez vous dit ?
William Roll - Un peu plus tard, ce même soir, je marchais derrière ce garçon, et je ne le quittais pas des yeux, pour être sûr qu’il ne pouvait toucher aucun objet. A un moment, il se trouvait dans la cuisine, entre l’évier et la table - où nous nous étions assis un moment auparavant pour prendre le café... C’était une table de cuisine américaine classique, avec une surface en formica et contre-plaqué et des pieds métalliques, autour de laquelle étaient disposées quatre chaises. Ie garçon s’est retourné et m’a fait face. Il pouvait être à deux mètres cinquante ou à trois mètres de moi. A ce moment précis, la table s’est soulevée de plusieurs dizaines de centimètres en l’air, puis a tourné de quarante-cinq degrés et s’est écrasée sur le dossier des chaises qui étaient autour. Donc elle s’était beaucoup soulevée, puisqu’elle est retombée au-dessus des chaises. Les tasses, le pot de café, tout ce qui se trouvait sur la table a été renversé à terre