Ya plusieurs mal entendus entre nous, et la plus part sont de ma faute. Mais pas que je pense. J'ai pas bien compris ou tu voulais en venir avec cette histoire de déterminisme et j'ai moi même pas été clair sur le sujet. Même si je dit plusieurs fois que le seul probleme que je voit serait de mettre en application juridiquement le concept de déterminisme.
Oui. Mais la notion de déterminisme n'a pas attendu le savoir pour exister non-plus.Greem a écrit :Je dis juste que la notion de libre arbitre nous vient d'une époque où l'on ignorait tout des mécanismes de notre cerveau
Par amour du détai, dire que les origines du libre arbitre son religieuses est discutable et reste à ta charge. Surtout quand on sais qu'il est admis pars presque toutes les écoles de pensées religieuses que Dieu à crée un monde déterministe...Quant à savoir si les doctrines chrétiennes sont cohérentes entre elles, tu sais bien que non, alors à quoi bon tergiverser 107 ans là dessus ?
Non du tout, je suis en fait 100% d'accord avec toi. Je me suis exprimer par opposition en n'ayant pas compris ta position. En te jugent avant que tu ne t'explique, en fait. Dsl. Et j'ai mal exprimé la mienne.Entre punir quelqu'un pour se venger et ne rien faire, il existe une troisième option, qui me semble un peu plus intelligente : le punir pour lui faire comprendre sa faute et le dissuader (lui ou d'autres) de recommencer. C'est si difficile à admettre qu'une punition puisse avoir pour but autre chose que de faire du mal ?
J'ai bien dit que le déterminisme est important à prendre en compte dans un jugement, surtout personnelle (dans sa vie et ceux qu'on rencontre), et mes remarques à Loutre sont d'autant plus claires à ce sujet que je trouve ceux qui ne le font pas comme totalement sous influence de "tabous sociaux" tenaces.
Par contre j'ai dit qu'a mettre en application, tel quel, juridiquement, est impossible. On est obligé de punir pour influencer l'autre. Mais punir pour intégrer, oui. Pas punir pour unir, je suis d'accord.
Mais force est de constater que prendre en compte ce concept est possible surtout quand on n'est pas victime d'un incident.
Je doute que tes actes suives tes sages paroles si un jour une personne venait, par exemple, à tuer un membre de ta famille.
En tout cas, permet moi d'en douter.
A ce sujet, j'ai de temps en temps parler du concept de réinsertion dans les prisons Allemandes. Ils on bien compris ce d'on tu parle. Et c'est très efficace.
En France, on à pas compris cela, et on construit des prisons...
Moi ? non. Pour te le prouver, je te renvoie à mes réponses à Loutre...C'est si difficile à admettre qu'une punition puisse avoir pour but autre chose que de faire du mal ? Vous voulez vraiment d'une justice vindicative qui n'aurait pour but que de faire souffrir les "méchants" pour assoupir votre soif de vengeance ?
A ton tour d’exagérer mes propos.Parce que c'est le genre de remarque qui revient SYSTÉMATIQUEMENT quand on aborde le sujet : "Si on a pas de libre arbitre alors bla bla bla on laisse les criminels en liberté bla bla bla bla alors tout est permis bla bla bla".
Parceque pour toi, la "raison" ne mènerait qu'au bien-être ? Et ou s’arrête la raison ? Tu pense qu'un être raisonnable n'est que cela ? (non je pense).Encore faudrait-il que je sache ce qu'entend la personne par "se sentir coupable". En tout cas, ce qui est sûr, c'est que je ne fais pas confiance à ceux qui n'ont pour barrière morale que des illusions ou des doctrines absurdes et contradictoires plutôt que leur raison.
Il ne s'agit pas de croire au libre arbitre ou pas.Faux dilemme, ce n'est pas l'un ou l'autre. En fait, je ne serais même pas étonné d'apprendre que les gens qui ne croient pas au libre arbitre soient plus empathiques que les autres, parce que ne pas croire au libre arbitre, c'est admettre qu'on est tous "victime" de son environnement, de ses gènes ou du hasard des circonstances.
Il y à une différence entre ne pas être capable de comprendre la portée des nos actes et de la souffrance qu'on peut donner et croire ou pas en un concept...je ne met rien sur le dos des déterministe ici. Je parle juste de personnes incapable de comprendre la portée de leurs gestes, et ces gens la ne dont pas partis de mon entourage (malgré qu'ils puisse m’intéresser).
Comparaison : les croyants croient au paradis, mais font tout pour le rejoindre le plus tard possible...
L’adhésion à un concept ne fait pas une personne à lui seul.
Je pense que c'est plus clair, et que tu comprend bien ce que je veut dire puisque tu dit toi même :
Est-ce que vous vous rendez compte que ça fait de vous des tortionnaires ? Sérieusement : Vous vous rendez compte ou pas ?
Si je m'en rendait pas compte, tu pourrait m’apprécier autant que si je m'en rendait compte ? (et apprécier quelqu'un, est-ce une chose qui passe seulement par la raison ?)
Une personne incapable de ressentir un sentiment de regret, de compréhension émotive et intellectuelle, face à une souffrance d'on il est l'origine, perso, ça me fait peur. Ça me donne pas envie de lui confier des "responsabilités" et mes faiblesses.
Ça me fait autant peur que ceux qui pensent que les "méchants" sont des méchants qu'il faut emprisonner et ne sont que des méchant et pas aussi des victime de la réalité. Autant.
Perso, je trouve par exemple les réaction de Loutre asses irréaliste, et je suis bien content qu'elle ne soit pas juge...(sans vouloir te vexer loutre, je serait moi même un piètre juge je pense).
Quand au reste, sur l'empathie et la personne qui adhère au déterminisme, je suis d'accord à 100% avec toi. C'est possible que cela développe l'empathie. Pourquoi pas, si le concept est pris comme tu le prend. Mais force d'admettre qu'une mise en pratique juridique d'un tel concept n'est pas pour demain, perso j'y croit pas trop.
Note : Il y à aussi des personnes incapable d’empathie qui on d'autres base morales et sont des gens biens. Mais généralement ils on quelques petits problèmes d’insertion, et c'est pas sans raisons. Parmis ceux qui ne développent ni empathie ni système morale intellectuel, on peu craindre le pire.
Pour eux, un acte violent n'est rien, ça leurs fait rien.
Asses d'accord avec ça. Genre, très d'accord, mais j'ai pas suffisamment potassé la question pour dire à quel point. Mais "asses très" d'accordC'est voir les miséreux comme des malchanceux, et non comme des paresseux ou autres. C'est vouloir changer les choses pour que chacun ait sa chance, plutôt que de se conforter dans l'idée rassurante qu'on a que ce qu'on mérite.

Le "asses" étant juste une sécurité du au fait que je ne maîtrise pas très bien le sujet (on va pas le nier, puis tu t'en ai rendu compte).