Ça doit être pour ça qu’elles paient les actionnaires à mort, les pauvres choutes.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 19:40 57 % de dépenses publiques (comprenant les dépenses sociales) malgré la baisse de cotisation. Les cotisations salariales/patronales françaises font partie des plus importantes du monde.
Dans ce contexte, on peut difficilement parler d'aides aux entreprises mais plutôt de réduction de ponctionnement des entreprises.
Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
nikola a écrit : 22 sept. 2025, 19:47Ça doit être pour ça qu’elles paient les actionnaires à mort, les pauvres choutes.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 19:40 57 % de dépenses publiques (comprenant les dépenses sociales) malgré la baisse de cotisation. Les cotisations salariales/patronales françaises font partie des plus importantes du monde.
Dans ce contexte, on peut difficilement parler d'aides aux entreprises mais plutôt de réduction de ponctionnement des entreprises.
Les principales richesses produites par les entreprises vont aux salariés et à l'état. 1 à 2% du PIB est redistribué aux actionnaires sous forme de dividendes.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Et combien sont-ils ?shisha a écrit : 22 sept. 2025, 20:03 Les principales richesses produites par les entreprises vont aux salariés et à l'état. 1 à 2% du PIB est redistribué aux actionnaires sous forme de dividendes.
Comment est-ce partagé ?
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
La bonne question à mon sens c'est : est ce que cela profite au plus grand nombre? :
Le capital des actionnaires est utilisé pour créer des richesses qui sera majoritairement reparti par l état et les salariés.
Dans un scénario où tu leurs ponctionnes/chipes ces 2% non seulement cela ne changera pas grand chose concernant l'appétit Infini des besoin publics mais surtout tu créerais infiniment moins de richesses/et donc plus de pauvreté (car beaucoup moins d'investissement si la carotte devient beaucoup plus petite).
Ce qui ne profite pas au plus grand nombre, c'est des dépenses publiques toujours plus importantes accompagné de recettes fiscales toujours plus importantes accompagné d'un endettement toujours plus important.
Dernière modification par shisha le 22 sept. 2025, 21:03, modifié 1 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
C’est sûr que selon les p’tites frappes de l’IFRAP, 10 euroboules partagé entre 10 miyions de salariés en même temps que 10 miyions d’euroboules partagé entre 10 actionnaires, ça profite au plus grand nombre… d’actionnaires, on avait bien compris.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 20:58 La bonne question c'est : est ce que cela profite au plus grand nombre? :
On voit bien que les politiques actuelles ne profitent pas au plus grand nombre (regarde la gueule de l’hôpital, de l’école…), et que la politique que tu prônes (et les p’tites frappes aussi) est encore pire. C’est ce qu’est en train de faire Trump aux Ziouhèssa.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
1) Négatif, tu n'as pas bien compris. Dans l'intérêt de tous, il vaut mieux qu'une personne gagne 2% des richesses sur 100 unités totales même si beaucoup plus que d'autres plutôt que le scénario où cette personne ne gagne que 0,02% des richesses totales, mais qu'à la fin, il n'y ait que 97 unités, 90, 80, 70.. ou beaucoup moins de richesses créées.nikola a écrit : 22 sept. 2025, 21:031)C’est sûr que selon les p’tites frappes de l’IFRAP, 10 euroboules partagé entre 10 miyions de salariés en même temps que 10 miyions d’euroboules partagé entre 10 actionnaires, ça profite au plus grand nombre… d’actionnaires, on avait bien compris.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 20:58 La bonne question c'est : est ce que cela profite au plus grand nombre? :
2)On voit bien que les politiques actuelles ne profitent pas au plus grand nombre (regarde la gueule de l’hôpital, de l’école…), et que la politique que tu prônes (et les p’tites frappes aussi) est encore pire. C’est ce qu’est en train de faire Trump aux Ziouhèssa.
2) Non plus. Les politiques actuelles, à savoir toujours plus de dépenses publiques, toujours plus de recettes fiscales, toujours plus d'endettement, mènent en effet à une mauvaise situation économique (et son lot de conséquences).
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Ce que tu dis là est bourré de contradictions.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 08:37 2)Toutes les dépenses publiques ne sont pas forcement des investissements. Les depenses de fonctionnement n'améliorent pas le capital productif. Elles permettent de faire fonctionner l'appareil public au quotidien sans effet durable sur la croissance* (salaires des fonctionnaires, achats courants, dépenses sociale, intérêt de la dette, subvention de fonctionnement).
Du moment que tu considère que la santé et l'éducation sont des valeurs, tout ce qui les maintient, les renforce ou les créée (pour l'éducation) est de l'investissement productif.
Je dirais même plus : c'est pareil dans le privé.shisha a écrit : 22 sept. 2025, 08:37 3)Tous les investissements effectués (recherche publique, infrastructures (écoles/hôpitaux/routes etc), équipements durables, logements sociaux en constructions) ne sont pas forcement à l'origine de la croissance (c'est à dire l'augmentation de la somme des valeurs ajoutés). Mais certaines peuvent l'être.
Enfin presque.
Pour simple illustration : la principale différence entre la croissance de valeur d'un élève pendant une journée d'école et celle de marchandises dans un flux industriel est qu'elle n'est pas monétisée. Mais l'investissement est bien réel et il est clairement productif.
Pour que cette production ait lieu, il faut, comme dans toute industrie, du matériel et des fonctions support.
Tu n'as pas dit le contraire. Mais tu présente comme une anomalie l'énormité des dépenses de l'état en les faisant passer pour généralement improductives sans en donner le pareto qui te montrerait que cette improductivité est principalement factice.
Je suis pour que l'on réduise tout gaspillage. je l'ai dit et le répète. Un gaspillage en soit est un crime.
Mais évite d'insister dans une présentation des choses qui par leur imprécision fait passer pour gaspillage des dépenses extrêmement utiles...
Enfin, utiles dans un projet de société qui tend à écarter l'humain de sa condition initiale. En effet, si le projet est un retour à la nature de quelques millénaires avec pour seule différence le remplacement de la masse musculaire par le compte en banque, tu as tout juste. (c'est une image pour exprimer un principe, pas un épouvantail)
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
shisha a écrit : 22 sept. 2025, 21:19 Négatif, tu n'as pas bien compris. Dans l'intérêt de tous, il vaut mieux qu'une personne gagne 2% des richesses sur 100 unités totales même si beaucoup plus que d'autres plutôt que le scénario où cette personne ne gagne que 0,02% des richesses totales, mais qu'à la fin, il n'y ait que 97 unités, 90, 80, 70.. ou beaucoup moins de richesses créées.

Ce n’est pas dans l’intérêt de tous, c’est dans l’intérêt d’un seul.
Décidément, les ultralibérales p’tites frappes de l’IFRAP t’ont bien bourré le mou.
Et sans demander de payer leur part aux riches.Non plus. Les politiques actuelles, à savoir toujours plus de dépenses publiques, toujours plus de recettes fiscales, toujours plus d'endettement, mènent en effet à une mauvaise situation économique (et son lot de conséquences).
En revanche, les pauvres, la vache, qu’est-ce qu’ils prennent…
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Jean :
Shisha dit :
Inversement, une dépense d'investissement profite dans le temps aux citoyens. Par exemple les investissements passée dans le nucléaire, profitent encore aux gens d'aujourd'hui (même si il faut des dépenses de fonctionnement pour continuer à faire tourner), elles continuront à générer de la valeur.
Mon message ne voulait pas dire plus que cela. Je ne vois pas en quoi tu peux être en désaccord avec cela, peut être avait tu mal compris ce que j'ai essayé d'exprimer.
Ce que je défends est la réduction des dépenses pour avant tout réduire la pression exercée aux entreprises et que les gens puissent d'avantage choisir où mettre leurs argents.
Entre 30 et 40% de dépenses publiques me paraîtrais bien mieux que les 57% à actuels. Je suis convaincu que cela profiterait d'avantage au collectif.
Et cela va à l'encontre de ton message qui consiste à dire qu'on peut toujours augmenter les dépenses publiques du moment que c'est utile (jugé par qui?) sans prendre en compte les conséquences engendrées envers les entreprises. Il sera toujours plus facile de dépenser les sous qui viennent à la base des autres, des choses "utiles" on pourra en trouver à l'infini, au point même que l'argent des autres ne suffisent plus alors il faut prendre l'argent aux générations futures.
On peut rester je crois en désaccord sur cette deuxième partie car il y a une part de subjectivité.
Le contexte de la conversation c'était à la base dans le cadre d'une stabilisation de la dette/remboursement et donc avec une réduction des dépenses publiques (très probable) :Du moment que tu considère que la santé et l'éducation sont des valeurs, tout ce qui les maintient, les renforce ou les créée (pour l'éducation) est de l'investissement productif.
Shisha dit :
Tu as rebondis sur mon message en disant :Dans la pratique, une part non négligeable va dans de la dépense de fonctionnement qui une fois le robinet coupé ne génère plus de croissance.
Arrêter une dépense de fonctionnement publique (par exemple des salaires de fonctionnaires) dans le cadre d'une stabilisation de la dette aura pour effet de ne plus générer le service ou beaucoup moins => cela ne profitera plus aux citoyens.Redis-vois (j'ai l'impression que tu l'as déjà mentionné) ce que tu range dans "dépense de fonctionnement".
Retire-tu, ou inclue-tu, par exemple, les salaires des enseignants?
Inversement, une dépense d'investissement profite dans le temps aux citoyens. Par exemple les investissements passée dans le nucléaire, profitent encore aux gens d'aujourd'hui (même si il faut des dépenses de fonctionnement pour continuer à faire tourner), elles continuront à générer de la valeur.
Mon message ne voulait pas dire plus que cela. Je ne vois pas en quoi tu peux être en désaccord avec cela, peut être avait tu mal compris ce que j'ai essayé d'exprimer.
Quand à cette partie de ce message :Mais tu présente comme une anomalie l'énormité des dépenses de l'état en les faisant passer pour généralement improductives sans en donner le pareto qui te montrerait que cette improductivité est principalement factice.
Je suis pour que l'on réduise tout gaspillage. je l'ai dit et le répète. Un gaspillage en soit est un crime.
Mais évite d'insister dans une présentation des choses qui par leur imprécision fait passer pour gaspillage des dépenses extrêmement utiles...
Enfin, utiles dans un projet de société qui tend à écarter l'humain de sa condition initiale. En effet, si le projet est un retour à la nature de quelques millénaires avec pour seule différence le remplacement de la masse musculaire par le compte en banque, tu as tout juste. (c'est une image pour exprimer un principe, pas un épouvantail)
Ce que je défends est la réduction des dépenses pour avant tout réduire la pression exercée aux entreprises et que les gens puissent d'avantage choisir où mettre leurs argents.
Entre 30 et 40% de dépenses publiques me paraîtrais bien mieux que les 57% à actuels. Je suis convaincu que cela profiterait d'avantage au collectif.
Et cela va à l'encontre de ton message qui consiste à dire qu'on peut toujours augmenter les dépenses publiques du moment que c'est utile (jugé par qui?) sans prendre en compte les conséquences engendrées envers les entreprises. Il sera toujours plus facile de dépenser les sous qui viennent à la base des autres, des choses "utiles" on pourra en trouver à l'infini, au point même que l'argent des autres ne suffisent plus alors il faut prendre l'argent aux générations futures.
On peut rester je crois en désaccord sur cette deuxième partie car il y a une part de subjectivité.
Dernière modification par shisha le 23 sept. 2025, 11:46, modifié 2 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Nikola dit :
Les + pauvres, ils ne payent pas réellement d'impôts, une fois la redistribution sociale prise en compte, ils sont à un taux négatif.
Quand aux riches, ils payent le plus d'impôts que cela soit en valeur absolue et en pourcentage. (revenu fiscal).
Maintenant si tu ajoutes d'autres critères subjectif tel que le revenu économique (qui n'a de revenus que le nom), alors ma phrase reste vrai jusqu'au 0,1 % les plus riches.
Maintenant on peut aussi ajouter d'autres critères subjectifs, pourquoi ne pas prendre en compte également les plus values latentes des propriétés privées des citoyens ?
Sur les vingts dernière années on aurait une augmentation moyenne de 150% ou *2,5.
Là où le cac40 n aurait augmenté que de 120% (et en plus les valeurs qui diminuent beaucoup suite à une baisse de chiffre d'affaires significative par exemple peuvent sortir du CAC40 donc c'est pas très fair play vis à vis de la moyenne de l'immobilier).
En prennant en compte ces plus values latentes immobilières/"revenus économiques" (ainsi que les taxes foncières) ton pourcentage d'imposition pour les 50% des gens (qui sont donc tous propriétaires) diminuerait drastiquement.
Enfin, ce capital/plus value latente des 0,1% les plus riches pris en compte dans les revenus économiques, il sert avant tout à créer les richesses dont tout le monde profite (en particulier l'état, salariés, budget social). Contrairement au propriétés privées où seul le détendeur du capital (et sa famille éventuelle) profite du service (celui d'être logé).
Affirmer que les pauvres payent un max d'impôt et les riches rien dutout, c'est au mieux une croyance erronée.
Ok donc plus de pauvreté pour tous (ce que voulait dire la deuxième partie du message que tu as cité) est dans l'intérêt de tous d'après Nikola. À moins que tu pense que piquer ces dividendes (1 à 2 % du PIB) n'aurait aucune conséquence à la baisse sur les investissements ?
Ce n’est pas dans l’intérêt de tous, c’est dans l’intérêt d’un seul.
Décidément, les ultralibérales p’tites frappes de l’IFRAP t’ont bien bourré le mou.
Et sans demander de payer leur part aux riches.
En revanche, les pauvres, la vache, qu’est-ce qu’ils prennent…
Les + pauvres, ils ne payent pas réellement d'impôts, une fois la redistribution sociale prise en compte, ils sont à un taux négatif.
Quand aux riches, ils payent le plus d'impôts que cela soit en valeur absolue et en pourcentage. (revenu fiscal).
Maintenant si tu ajoutes d'autres critères subjectif tel que le revenu économique (qui n'a de revenus que le nom), alors ma phrase reste vrai jusqu'au 0,1 % les plus riches.
Maintenant on peut aussi ajouter d'autres critères subjectifs, pourquoi ne pas prendre en compte également les plus values latentes des propriétés privées des citoyens ?
Sur les vingts dernière années on aurait une augmentation moyenne de 150% ou *2,5.
Là où le cac40 n aurait augmenté que de 120% (et en plus les valeurs qui diminuent beaucoup suite à une baisse de chiffre d'affaires significative par exemple peuvent sortir du CAC40 donc c'est pas très fair play vis à vis de la moyenne de l'immobilier).
En prennant en compte ces plus values latentes immobilières/"revenus économiques" (ainsi que les taxes foncières) ton pourcentage d'imposition pour les 50% des gens (qui sont donc tous propriétaires) diminuerait drastiquement.
Enfin, ce capital/plus value latente des 0,1% les plus riches pris en compte dans les revenus économiques, il sert avant tout à créer les richesses dont tout le monde profite (en particulier l'état, salariés, budget social). Contrairement au propriétés privées où seul le détendeur du capital (et sa famille éventuelle) profite du service (celui d'être logé).
Affirmer que les pauvres payent un max d'impôt et les riches rien dutout, c'est au mieux une croyance erronée.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Pourquoi ne taxer que les ultra riches et non pas les moyens riches, jusqu’aux petits richards, cela remplacerait la taxe foncière.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Que l'on te taxe de têtu, oui, d'autre chose; c'est à toi de décider !richard a écrit : 23 sept. 2025, 13:24 Pourquoi ne taxer que les ultra riches et non pas les moyens riches, jusqu’aux petits richards, cela remplacerait la taxe foncière.
Oh Papy ! Tu nous as déjà oubliés ?
deus ex Machina
deus ex Machina
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Les dividendes ne sont pas réinvestis, sinon ce ne serait pas des dividendes.shisha a écrit : 23 sept. 2025, 11:28 Ok donc plus de pauvreté pour tous (ce que voulait dire la deuxième partie du message que tu as cité) est dans l'intérêt de tous d'après Nikola. À moins que tu pense que piquer ces dividendes (1 à 2 % du PIB) n'aurait aucune conséquence à la baisse sur les investissements ?
Pour le moment, c’est surtout plus de pauvreté pour presque tous, les quelques autres, eux, voient leur capital exploser.
C’est ça que tu prônes, toi comme les p’tites frappes de l’IFRAP.
Quand aux riches, ils payent le plus d'impôts que cela soit en valeur absolue et en pourcentage. (revenu fiscal).

Non et on te l’a déjà dit.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Nikola dit :
Tu as affirmé cela aussi:
Si tu veux leurs chipper ces dividendes (1 à 2%), tu contribuerais à réduire les investissements et donc les créations de richesses, c'est mécanique. En effet, plus tu réduits la rémunération du risque moins tu favorises les investissements.
Shisha dit :
Nikola dit :
1)La phrase que tu as citée parlait des revenus fiscaux. Dans le doc qu Inso a posté, les revenus fiscaux des ultras riches (0.00..1%) sont à égalité ou un shouilla moins que les 0,1%.
2) Meme en tenant compte de manière subjective des revenus économiques, les riches ce n'est pas que les 0,1% les plus riches. Or même avec ces règles, le système est progressif jusqu'au 0,1 % les plus riches.
3) Les revenus économiques comprennent les plus values latentes ("C’est pourquoi nous choisissons de n’attribuer
aux ménages que les profits non distribués par des socié-
tés dont ils possèdent au moins 10 % des parts, " source qu'Inso a posté).
Ces revenus économiques, ne sont pas des revenus à proprement parlé car ils ne transitent pas dans le compte bancaire de l'individu. Ces richesses sont utilisées par l'entreprise (investissements) et non pour la consommation de l'individu.
4) Tu peux également de manière subjective inclure les plues values latentes immobilières de tous les Français, ce faisant tu réduits drastiquement comme par magie le taux d'imposition de la tranche (a peu près) des 50% les plus riches aux 99.9%. Et ainsi voir apparaitre une courbe d'avantage progressive (surtout si par magie tu ne choisis de ne retenir que la règle 4 plutôt que la 3, maintenant par équité, si l'on choisit la 3, il faut également appliquer la 4 car sinon c'est juste traficoter les chiffres pour leurs faire dire ce que l'on veut).
Nikola dit :
Les dividendes ne sont pas réinvestis, sinon ce ne serait pas des dividendes.
Tu as affirmé cela aussi:
Ça doit être pour ça qu’elles paient les actionnaires à mort, les pauvres choutes.
Si tu veux leurs chipper ces dividendes (1 à 2%), tu contribuerais à réduire les investissements et donc les créations de richesses, c'est mécanique. En effet, plus tu réduits la rémunération du risque moins tu favorises les investissements.
"Exploser", tout dépend quelle période tu analyses (à part si 4 à 4% est explosé). Et sinon le capital sert à créer les richesses qui sera ensuite reparti principalement pour l'état/les salariés/budget social.Pour le moment, c’est surtout plus de pauvreté pour presque tous, les quelques autres, eux, voient leur capital exploser.
Shisha dit :
.Quand aux riches, ils payent le plus d'impôts que cela soit en valeur absolue et en pourcentage. (revenu fiscal)
Nikola dit :
Négatif, vous avez uniquement parlé de revenus économiques pour les 0,1 % les plus riches.Non et on te l’a déjà dit.
1)La phrase que tu as citée parlait des revenus fiscaux. Dans le doc qu Inso a posté, les revenus fiscaux des ultras riches (0.00..1%) sont à égalité ou un shouilla moins que les 0,1%.
2) Meme en tenant compte de manière subjective des revenus économiques, les riches ce n'est pas que les 0,1% les plus riches. Or même avec ces règles, le système est progressif jusqu'au 0,1 % les plus riches.
3) Les revenus économiques comprennent les plus values latentes ("C’est pourquoi nous choisissons de n’attribuer
aux ménages que les profits non distribués par des socié-
tés dont ils possèdent au moins 10 % des parts, " source qu'Inso a posté).
Ces revenus économiques, ne sont pas des revenus à proprement parlé car ils ne transitent pas dans le compte bancaire de l'individu. Ces richesses sont utilisées par l'entreprise (investissements) et non pour la consommation de l'individu.
4) Tu peux également de manière subjective inclure les plues values latentes immobilières de tous les Français, ce faisant tu réduits drastiquement comme par magie le taux d'imposition de la tranche (a peu près) des 50% les plus riches aux 99.9%. Et ainsi voir apparaitre une courbe d'avantage progressive (surtout si par magie tu ne choisis de ne retenir que la règle 4 plutôt que la 3, maintenant par équité, si l'on choisit la 3, il faut également appliquer la 4 car sinon c'est juste traficoter les chiffres pour leurs faire dire ce que l'on veut).
Nikola dit :
Bref ta phrase est fausse du début à la fin.Et sans demander de payer leur part aux riches.
En revanche, les pauvres, la vache, qu’est-ce qu’ils prennent…
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Arrête ton char : les entreprises françaises sous-investissent, elles préfèrent verser des dividendes de la mort aux actionnaires, tout en se payant le luxe de délocaliser, de ramasser le pognon de l’État (sans que ce dernier ne daigne regarder ce qu’elles en font)… et de faire la morale aux salariés qui coûtent trop cher et à l’État qui coûte trop cher. Et les actionnaires, alors, ils ne coûtent pas trop cher ? Ha ben non, il paraît qu’ils sont censés investir. Mon luc.shisha a écrit : 23 sept. 2025, 20:58 Si tu veux leurs chipper ces dividendes (1 à 2%), tu contribuerais à réduire les investissements et donc les créations de richesses, c'est mécanique. En effet, plus tu réduits la rémunération du risque moins tu favorises les investissements.
On ne va pas en plus leur faire des cadeaux supplémentaires alors qu’elles ne jouent pas le jeu.
Mais bon, tu préfères lire la prose des p’tites frappes de l’IFRAP. Au fait, ils sont financés par qui ?
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
J'ai lu un doc une fois sur les "aides aux entreprises" sur le site de l'Ifrap en tombant par hasard via Google dont la source vient du sénat... Et tu me fais tout un pataquès ^^ Peut être que j'arrive aux même conclusions que l'Ifrap pour le reste de mes interventions, et on s'en fiche un peu si c'est le cas.Mais bon, tu préfères lire la prose des p’tites frappes de l’IFRAP
Je doute qu'en continuant inlassablement à répandre ton fiel (avec "petits frappes" par ci "petites frappes"par là) tu élèves ton argumentaire, mais si cela te défoules, fais toi plaisir...
Déni de réalité.Arrête ton char : les entreprises françaises sous-investissent, elles préfèrent verser des dividendes de la mort aux actionnaires, tout en se payant le luxe de délocaliser, de ramasser le pognon de l’État (sans que ce dernier ne daigne regarder ce qu’elles en font)… et de faire la morale aux salariés qui coûtent trop cher et à l’État qui coûte trop cher. Et les actionnaires, alors, ils ne coûtent pas trop cher ? Ha ben non, il paraît qu’ils sont censés investir. Mon luc.
On ne va pas en plus leur faire des cadeaux supplémentaires alors qu’elles ne jouent pas le jeu.
Les recettes fiscales de la France sont une des plus élevés au monde si ce n'est la plus élevée. Il n'y a aucun cadeau la dedans. Ce n'est pas les 10 Milliards de subventions direct qui changeront grand chose.
Tu confonds corrélation avec lien de causalité. Tu vois du capital qui augmente d'un côté (quelques pourcentages en moyenne par an pour le CAC 40 par exemple) et de l'autre le fait que les ménages n'aient pas beaucoup de pouvoir d'achat, et tu conclues à un lien de causalité, sans rigueurs.
Analyser les répartitions des valeurs ajoutées d'il y a plusieurs années avec celle d'aujourd'hui (petite entreprise avec petite, moyenne avec Moy...), cela serait déjà un peu plus pertinent comme approche pour vérifier si les salariés de ces mêmes entreprises profitent de moins en moins des richesses créées, et si c'est le cas est ce à cause d'un bénéfice plus important distribué/non distribué ou d'une cotisation/impôt plus importante?
Quelles raisons (ou autres raisons) pourraient expliquer cette différence? (Capital qui augmente de certaines entreprises et pouvoir d'achat des ménages).
Peut être un état qui prend toujours de plus en plus de pib et qui gère mal cette richesse. Peut être que de manière générale les richesses créées n'augmentent pas si vite que cela globalement (peut être à cause des taxes trop lourdes qui mettent à mal la compétitivité, les investissements etc). L'inflation peut influencer aussi selon son taux... Taux de chômage... Si variance pourquoi?
Mais je te vois venir, les riches étaient/sont et seront les coupables ^^
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Le problème est dans ce que tu exprime. (au cas où ce soit différent de ce que tu essaye d'exprimer.shisha a écrit : 23 sept. 2025, 11:05 Arrêter une dépense de fonctionnement publique (par exemple des salaires de fonctionnaires) dans le cadre d'une stabilisation de la dette aura pour effet de ne plus générer le service ou beaucoup moins => cela ne profitera plus aux citoyens.
Inversement, une dépense d'investissement profite dans le temps aux citoyens. Par exemple les investissements passée dans le nucléaire, profitent encore aux gens d'aujourd'hui (même si il faut des dépenses de fonctionnement pour continuer à faire tourner), elles continueront à générer de la valeur.
Mon message ne voulait pas dire plus que cela. Je ne vois pas en quoi tu peux être en désaccord avec cela, peut être avait tu mal compris ce que j'ai essayé d'exprimer.
Les salaires des fonctionnaires a des fins d'éducation et de santé génèrent de la valeur dans le temps. Il n'y a aucune raison de classer comme tu le fais un salaire comme non productif par principe.
Débrouille-toi avec l'OCDE et la banque mondiale et va leur expliquer qu'ils se trompent.
Les sous à la base viennent de nulle part ailleurs que du travail et ceci depuis la nuit des temps.shisha a écrit : 23 sept. 2025, 11:05 Il sera toujours plus facile de dépenser les sous qui viennent à la base des autres, des choses "utiles" on pourra en trouver à l'infini, au point même que l'argent des autres ne suffisent plus alors il faut prendre l'argent aux générations futures.
Le libre arbitre est à la causalité ce que le corps est à la physique
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Comme par hasard, tu tombes sur les p’tites frappes qui tiennent le même discours que toi.shisha a écrit : 23 sept. 2025, 21:59 J'ai lu un doc une fois sur les "aides aux entreprises" sur le site de l'Ifrap en tombant par hasard via Google dont la source vient du sénat... Et tu me fais tout un pataquès ^^ Peut être que j'arrive aux même conclusions que l'Ifrap pour le reste de mes interventions, et on s'en fiche un peu si c'est le cas.
Tu as le droit de le faire, j’ai le droit de le signaler.
C’est pourtant ce qu’ils sont.Je doute qu'en continuant inlassablement à répandre ton fiel (avec "petits frappes" par ci "petites frappes"par là) tu élèves ton argumentaire, mais si cela te défoules, fais toi plaisir...
Je lis en bas de leur page de bienvenue :
Déductible des impôts ? Ben tiens, et après ça va chouiner parce qu’il n’y a pas de sous dans les caisses de l’État.Soutenir la Fondation IFRAP
Dédiée à la recherche sur les politiques publiques, la Fondation IFRAP est financée par la générosité privée déductible des impôts. C’est ce financement privé qui la rend libre de parole, libre de ses axes de recherches et libre de ses propositions de réformes.
https://www.marianne.net/economie/l-ifr ... ra-liberal
Encore une fois, la Sécurité sociale n’est pas l’État.Déni de réalité.
Les recettes fiscales de la France sont une des plus élevés au monde si ce n'est la plus élevée. Il n'y a aucun cadeau la dedans. Ce n'est pas les 10 Milliards de subventions direct qui changeront grand chose.
https://www.editionspoints.com/ouvrage/ ... 2757888322Mais je te vois venir, les riches étaient/sont et seront les coupables ^^
https://www.seuil.com/ouvrage/comment-l ... 2021552508
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
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Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Shisha dit
57% dépenses publiques en pib
Et plus de 50% de recette fiscales en pib
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381414
Etat ou budget social, on s'en fiche un peu, dans les deux cas c'est de l'argent qui part de l'entreprise (avec ces conséquences plus ou moins importante selon son poids). L' INSEE les considère comme des recettes fiscales.
Çà chouine dès qu'il y a un discours qui sort un peu de ta ligne.
Marianne d'après le chat :
Nikola dit :Les recettes fiscales de la France sont une des plus élevés au monde si ce n'est la plus élevée
INSEE dit :Encore une fois, la Sécurité sociale n’est pas l’État.
57% dépenses publiques en pib
Et plus de 50% de recette fiscales en pib
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381414
Etat ou budget social, on s'en fiche un peu, dans les deux cas c'est de l'argent qui part de l'entreprise (avec ces conséquences plus ou moins importante selon son poids). L' INSEE les considère comme des recettes fiscales.
https://www.editionspoints.com/ouvrage/ ... 2757888322
https://www.seuil.com/ouvrage/comment-l ... 2021552508

Lol entre le service public, les subventions et les associations qui vont proner un discours totalement à l'opposé (plus de recette, plus de dépense etc)de manière majoritaire...le tout financé par nos impôts...Déductible des impôts ? Ben tiens, et après ça va chouiner parce qu’il n’y a pas de sous dans les caisses de l’État.
https://www.marianne.net/economie/l-ifr ... ra-liberal
Çà chouine dès qu'il y a un discours qui sort un peu de ta ligne.
Marianne d'après le chat :
En résumé :
Oui, Marianne bénéficie d'aides publiques sous diverses formes : subventions directes, aides fiscales, soutien à la distribution, et aides pour la modernisation numérique. Cela lui permet de continuer à fonctionner dans un environnement économique difficile pour la presse écrite
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
La Sécurité sociale n’est pas l’État, donc ses recettes ne viennent pas de l’impôt.shisha a écrit : 24 sept. 2025, 08:21 INSEE dit :
57% dépenses publiques en pib
Et plus de 50% de recette fiscales en pib
https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381414
Sauf que cet argent revient dans ses caisses par exemple grâce à des salariés en bon état.Etat ou budget social, on s'en fiche un peu, dans les deux cas c'est de l'argent qui part de l'entreprise (avec ces conséquences plus ou moins importante selon son poids). L' INSEE les considère comme des recettes fiscales.
Mais bon, il faut voir un peu plus loin que le bout de son nez pour le comprendre.
Chaton.![]()
Tu n’as pas dû écouter souvent le service public de radio et de télévision, toi.Lol entre le service public, les subventions et les associations qui vont proner un discours totalement à l'opposé (plus de recette, plus de dépense etc)de manière majoritaire...le tout financé par nos impôts...
Sauf qu’eux ne sont pas contre l’État, au contraire.En résumé :
Oui, Marianne bénéficie d'aides publiques sous diverses formes : subventions directes, aides fiscales, soutien à la distribution, et aides pour la modernisation numérique. Cela lui permet de continuer à fonctionner dans un environnement économique difficile pour la presse écrite
C’est bête, hein ?
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
-+- Cavanna, François -+-
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
La sécu n’est pas l’état !
Mais c’est l’état qui gère et contrôle (mal) la sécu via les URSSAF, tu joues sur les mots !

Mais c’est l’état qui gère et contrôle (mal) la sécu via les URSSAF, tu joues sur les mots !
Le saviez-vous ?
La Sécurité sociale gère un budget équivalent à une fois et demi celui de l’État.
L'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) et le réseau des Urssaf collectent et gèrent les ressources de la majorité des organismes de protection sociale.
Русский военный корабль, иди нахуй !


Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Nikola :
L'imposition/prélèvements sociaux ont des conséquences sur les investissements et compétitivité et donc sur le volume de création de richesse.
- Investir/acheter des actions c'est pêcher mais il faut qu'il y ait des recettes fiscales à partir de ces derniers et il faut aussi que les autres investissent.
- 1 à 2% de PIB de rémunération en dividendes, c'est trop. Mais en même temps tu veux que les actionnaires investissent d'avantage tout en voulant supprimer ou considérablement réduire leurs rémunérations.
- Il faut que les actionnaires récupèrent leurs dividendes pour pouvoir taxer rapidement une deuxième fois le bénéfice (is puis dividendes) et donc augmenter les recettes fiscales. Mais en même temps, cela occasionnerait une réduction des investissements de l'entreprise ou de ses filiales/filles.
- Il faut que les entreprises investissent notamment à partir de leurs bénéfices et après il faut s'insurger que le capital augmente (alors que les deux sont liés). De même, si des actionnaires sont prêts à investir/acheter des actions à un prix plus cher et donc faire augmenter la valeur de l'action, il faut s'insurger (car par exemple projection/confiance sur l'avenir de l'entreprise, augmentation projetée du CA et bénéfice en valeur absolu, car bon positionnement sur le marché par rapport à la concurrence grâce aux investissements initiaux/stratégie etc).
- Il faut que les actionnaires n'investissent pas à l'étranger mais en même temps il faut tout faire pour les pousser à le faire en voulant augmenter constamment l'imposition sur les revenus issus du capital et bientôt sur le capital directement.
.
...
Appliques ce conseil à toi mêmeSauf que cet argent revient dans ses caisses par exemple grâce à des salariés en bon état.
Mais bon, il faut voir un peu plus loin que le bout de son nez pour le comprendre.
L'imposition/prélèvements sociaux ont des conséquences sur les investissements et compétitivité et donc sur le volume de création de richesse.
Cela reste une recette publique.La Sécurité sociale n’est pas l’État, donc ses recettes ne viennent pas de l’impôt.
Le discours ambiant sur les aides aux entreprises, imposition, la faute des riches avec leurs fortunes, dépenser toujours plus et imposer toujours plus comme la solution, oui je le vois souvent, y compris dans les réseaux sociaux. Le discours prônant une baisse des dépenses publiques et recettes publiques est plutôt rare. Et il y a une raison possible à cela c'est que les médias, politiques etc dépendent de ces recettes publiques, vouloir le diminuer c'est baisser leurs propres pouvoirs.Tu n’as pas dû écouter souvent le service public de radio et de télévision, toi.
Arrête ton char : les entreprises françaises sous-investissent, elles préfèrent verser des dividendes de la mort aux actionnair
Ta prose est décousue, au travers de tes différentes affirmations (pas uniquement celles que je viens de citer) tu affirmes tout et son contraire :eux, voient leur capital exploser.
- Investir/acheter des actions c'est pêcher mais il faut qu'il y ait des recettes fiscales à partir de ces derniers et il faut aussi que les autres investissent.
- 1 à 2% de PIB de rémunération en dividendes, c'est trop. Mais en même temps tu veux que les actionnaires investissent d'avantage tout en voulant supprimer ou considérablement réduire leurs rémunérations.
- Il faut que les actionnaires récupèrent leurs dividendes pour pouvoir taxer rapidement une deuxième fois le bénéfice (is puis dividendes) et donc augmenter les recettes fiscales. Mais en même temps, cela occasionnerait une réduction des investissements de l'entreprise ou de ses filiales/filles.
- Il faut que les entreprises investissent notamment à partir de leurs bénéfices et après il faut s'insurger que le capital augmente (alors que les deux sont liés). De même, si des actionnaires sont prêts à investir/acheter des actions à un prix plus cher et donc faire augmenter la valeur de l'action, il faut s'insurger (car par exemple projection/confiance sur l'avenir de l'entreprise, augmentation projetée du CA et bénéfice en valeur absolu, car bon positionnement sur le marché par rapport à la concurrence grâce aux investissements initiaux/stratégie etc).
- Il faut que les actionnaires n'investissent pas à l'étranger mais en même temps il faut tout faire pour les pousser à le faire en voulant augmenter constamment l'imposition sur les revenus issus du capital et bientôt sur le capital directement.
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...
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Ta citation ne dit pas que le budget de la Sécurité sociale fait partie de celui de l’État.Lambert85 a écrit : 24 sept. 2025, 11:04 La sécu n’est pas l’état !![]()
Mais c’est l’état qui gère et contrôle (mal) la sécu via les URSSAF, tu joues sur les mots !Le saviez-vous ?
La Sécurité sociale gère un budget équivalent à une fois et demi celui de l’État.
L'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) et le réseau des Urssaf collectent et gèrent les ressources de la majorité des organismes de protection sociale.
La Sécurité sociale, en tout cas, gère mieux les cotisations que les mutuelles privées : les frais de fonctionnement sont moins importants dans la Sécurité sociale que dans les mutuelles.
La compétitivité nécessite d’abord des salariés en bon état.shisha a écrit : 24 sept. 2025, 11:21 L'imposition/prélèvements sociaux ont des conséquences sur les investissements et compétitivité et donc sur le volume de création de richesse.
Et arrête de parler d’investissements quand les entreprises françaises sous-investissent au profit des actionnaires, et je ne parle même pas des subventions comme le CICE qui ont été données sans contrôle. Bizarrement, les chômeurs sont contrôlés, eux.
L’homme descend du singe, or l’homme est fait à l’image de Dieu. Donc Dieu est King Kong.
-+- Cavanna, François -+-
-+- Cavanna, François -+-
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Jean dit :
Deplus, le travail ne produit pas forcément de la Va. Dans le privé, tu peux travailler tout le temps que tu veux, produire tout le bien et service que tu veux, si tu ne vend pas, il n'y a pas de valeur ajoutée. Le travail a déjà été utilisé dans le passé comme moyen de torture, en obligeant des prisonniers à travailler puis à recommencer éternellement pour ne rien realiser dutout.
Dans le public la va est calculée à partir du coût, pas dans le privé (c'est le marché). "La gratuité" a ses avantages mais aussi ses inconvénients. Enfin, la va produite dans le public peut se faire au détriment du privé, et en fonction du dosage, la va globale peut être impacter à la baisse comme à la hausse.
Prenons une entreprise privée produisant de l'alimentation.
L'entreprise a un tracteur et 10 employés en 2025. Le tracteur et les dix employés participent à la création de richesse.
En 2026, tu dois réduire tes dépenses, tu passes à un tracteur et 8 employés. Les employés ne produisent plus autant de richesse. Les deux employés partis ne produisent plus de va. Alors on pourra rétorquer que leurs services/bien produits en 2025 auront peut être un impact sur le long terme par effet papillon pour les consommateurs de l'année 2025 (et cela peut être vrai dans un certain sens) mais comptablement parlant, ils ne produisent plus de va, ils ne sont plus là.
Le tracteur est rangé dans le bilan, dans les actifs. Il continuera à la participation de création des richesses. Les salariés sont "rangés" n'ont pas en tant qu'actif mais dans le compte de résultat (dépense de fonctionnement, et plus précisément charge d'exploitation), ils nécessitent constamment une dépense.
Pas que. Les compétences, la chance, la prise de risque, répondre aux besoins des autres aussi.Les sous à la base viennent de nulle part ailleurs que du travail et ceci depuis la nuit des temps.
Deplus, le travail ne produit pas forcément de la Va. Dans le privé, tu peux travailler tout le temps que tu veux, produire tout le bien et service que tu veux, si tu ne vend pas, il n'y a pas de valeur ajoutée. Le travail a déjà été utilisé dans le passé comme moyen de torture, en obligeant des prisonniers à travailler puis à recommencer éternellement pour ne rien realiser dutout.
Dans le public la va est calculée à partir du coût, pas dans le privé (c'est le marché). "La gratuité" a ses avantages mais aussi ses inconvénients. Enfin, la va produite dans le public peut se faire au détriment du privé, et en fonction du dosage, la va globale peut être impacter à la baisse comme à la hausse.
Ce n'est pas parce qu'ils produisent de la VA qu'il faut les ranger dans la case investissements/actifs pour autant.Les salaires des fonctionnaires a des fins d'éducation et de santé génèrent de la valeur dans le temps. Il n'y a aucune raison de classer comme tu le fais un salaire comme non productif par principe.
Débrouille-toi avec l'OCDE et la banque mondiale et va leur expliquer qu'ils se trompent.
Prenons une entreprise privée produisant de l'alimentation.
L'entreprise a un tracteur et 10 employés en 2025. Le tracteur et les dix employés participent à la création de richesse.
En 2026, tu dois réduire tes dépenses, tu passes à un tracteur et 8 employés. Les employés ne produisent plus autant de richesse. Les deux employés partis ne produisent plus de va. Alors on pourra rétorquer que leurs services/bien produits en 2025 auront peut être un impact sur le long terme par effet papillon pour les consommateurs de l'année 2025 (et cela peut être vrai dans un certain sens) mais comptablement parlant, ils ne produisent plus de va, ils ne sont plus là.
Le tracteur est rangé dans le bilan, dans les actifs. Il continuera à la participation de création des richesses. Les salariés sont "rangés" n'ont pas en tant qu'actif mais dans le compte de résultat (dépense de fonctionnement, et plus précisément charge d'exploitation), ils nécessitent constamment une dépense.
Dernière modification par shisha le 24 sept. 2025, 12:18, modifié 1 fois.
Re: Instabilité géopolitique, crise climatique, fiscalité, taxes, quotas et règlements
Nikola dit :
C'est ce que je disais, ça chouine qu'il y ait moins d'investissement tout en ayant un discours qui fait tout pour que les investissement se réduisent...La compétitivité nécessite d’abord des salariés en bon état.
Et arrête de parler d’investissements quand les entreprises françaises sous-investissent au profit des actionnaires, et je ne parle même pas des subventions comme le CICE qui ont été données sans contrôle. Bizarrement, les chômeurs sont contrôlés, eux.
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