Jonathan l a écrit :Jean-Francois a écrit :Dites, laflamme, pourquoi vous ne signalez toujours pas vos "emprunts" textuels?
Laflamme: "Le Dr Denham Harman est d'avis que
les radicaux libres attaquent la structure des membranes cellulaires, créant ainsi des déchets métaboliques dont l’accumulation interfère avec la communication cellulaire, perturbe l’ADN, l’ARN et la synthèse des protéines, abaisse les niveaux d’énergie et entrave des processus chimiques vitaux. Le stress oxydatif demeure selon lui l’un des principaux mécanismes des maladies chroniques et du vieillissement".
Cette page: "Le Dr Harman a dépeint ses années d’expériences et expliqué comment il était arrivé à comprendre que les radicaux libres existent, quel rôle ils jouent et de quelle façon ils affectent le rythme de notre vieillissement [...]".
Les radicaux libres attaquent la structure des membranes cellulaires, créant ainsi des déchets métaboliques. Leur accumulation, toxique, interfère avec la communication cellulaire, perturbe l’ADN, l’ARN et la synthèse des protéines, abaisse les niveaux d’énergie et, généralement, entrave les processus chimiques vitaux."
A vos quelques adaptations près, c'est pareil. Vous ne savez pas utiliser les guillemets pour indiquer une citation? Ou c'est que vous vouliez éviter que l'on pense que vous vous êtes fait une "culture Google" des radicaux libres? Ben, c'est raté: votre emprunt tenu secret augmente l'idée d'une "culture Google".
laflamme a écrit :La théorie radicalaire comme bien d'autres théories suppose un lien entre une substance et ce qui est observé dans l'organisme. Les radicaux libres sont perçus comme étant la cause de maladies et de dégénérescence. Cela demeure une interprétation des observations
Au moins, il y a des observations et une interprétation qui peut être vérifiée. Dans le cas du modèle de Hamer, il n'y a rien de tel.
Jean-François
Déja qu'il est absolument incapable de faire une citation sur le forum, imagine si en plus ça vient d'ailleur.
Jonathan l a écrit :Jean-Francois a écrit :Dites, laflamme, pourquoi vous ne signalez toujours pas vos "emprunts" textuels?
Réponse = Je ne vous présente pas une thèse et je coupe les coins ronds.
laflamme a écrit :La théorie radicalaire comme bien d'autres théories suppose un lien entre une substance et ce qui est observé dans l'organisme. Les radicaux libres sont perçus comme étant la cause de maladies et de dégénérescence. Cela demeure une interprétation des observations
Au moins, il y a des observations et une interprétation qui peut être vérifiée. Dans le cas du modèle de Hamer, il n'y a rien de tel.
Jean-François
Déja qu'il est absolument incapable de faire une citation sur le forum, imagine si en plus ça vient d'ailleur.
C'est à dire ?
J'ai un dossier assez volumineux sur le sujet des antioxydants et il est vrai que je n'ai pas soumis à votre attention mes références, mais en ce cas précis elles sont directes et absolument fidèles aux propos de Harman reproduits partout. Et il faut donc prendre cette séquence comme la définition standard utilisée dans la majorité des communications scientifiques. Si vous cherchez mieux vous la retrouverez très souvent reproduite.
Selon Harman également, les antioxydants connus ne parviennent pas aux sites sensibles, les mitochondries, en quantité suffisante, ce qui fait qu’elles demeurent vulnérables aux radicaux libres. Les mitochondries, ces centrales énergétiques de nos cellules, produisent environ 90% de l’énergie nécessaire à la vie, en acheminant un flux d’électrons jusqu’à l’oxygène, mais ce processus entraîne des déchets sous la forme d’un radical libre, le superoxyde.
Toujours selon Harman, un adulte moyen en fabrique 2 kilos par an et ces déchets finissent par endommager la mitochondrie de manière irréversible. Elle produit de moins en moins d’énergie et de plus en plus de radicaux libres. Les excès et les mauvais choix alimentaires accélèrent ce processus, parce qu’on augmente ainsi le stress oxydatif, à la source, toujours selon ce chercheur, des maladies chroniques.
Quand on explore les données scientifiques du monde entier, pour une seule et même substance, on trouve des études qui en vantent les mérites et d’autres qui mettent en relief leur dangerosité. Il y a aussi que selon leur spécialité, les chercheurs n’ont pas tous la même optique ni les mêmes raisonnements ni ne visent les mêmes objectifs. Puis, certains sont très ouverts et d’autres très conservateurs. Mais ce qui ressort à l’analyse des différentes données disponibles, dans une spécialité aussi complexe que la nutrition, ce sont encore les questions de dosages et d’équilibre.
Le ralentissement du développement de tumeurs cancéreuses ne relève pas non plus seulement des nutriments antioxydants, malgré le fait qu’ils contribuent au renforcement des communications intercellulaires.
Les radicaux libres sont hiérarchisés selon leur potentialité à créer des dommages. Selon les chercheurs, les radicaux hydroxyle et superoxyde arrivent en tête de liste. En considérant qu’il existe de multiples radicaux libres, un éventail conséquent d’antioxydants devient nécessaire pour les éliminer.
Des expériences faites en Californie sur des rats âgés ont confirmé le pouvoir rajeunissant de substances qui protègent les mitochondries. Après un mois d’une cure d’antioxydants, les rats âgés avaient recouvré les attributs de la jeunesse, une énergie équivalente à celle des jeunes rats, et plus de mémoire. Des effets similaires sont aujourd'hui observés chez l'humain. La supplémentation des rats était une association de coenzyme Q10, de L. carnitine et d’acide alpha lipoïque dont l’action s’est exercée à la fois sur les fonctions cardiaque, musculaire, cérébrale et immunitaire.
Mais est-ce que cela empêchera le développement d'un cancer ou de d'autres maladies ? La réponse est non !
Ce que nous observons est que les personnes qui suivent ces indications ont une plus grande facilité à gérer l'impact du choc émotionnel, donc à l'atténuer au départ.
Nous observons aussi que les gens mieux nantis et s'alimentant mieux font moins de cancers que les "pauvres" ayant une alimentation déficiente, plus sujets à vivre des chocs émotionnels importants. Cette étude américaine attestant cela a été publiée dans le
Medical News Today en février 2008. Aux États-Unis, les pauvres n'ont pas accès à un régime d'assurance privée. Selon cette étude, de mémoire, car je ne l'aie pas devant moi, les populations les plus concernées sont les noirs, les hispanophones et les personnes à faible revenu, donc celles qui vivent le plus de chocs conflictuels : écroulement d'existence (syndrome CCR, canaux collecteurs du rein), conflit du réfugié, conflit d'abandon, de perte, peur du manque, conflit du "morceau" (pas assez vite pour attraper le "morceau" ou laisser aller, le morceau étant = biens, argent, relations, etc.)
Nos patients se remettent également plus vite quand ils observent les principes d'une saine alimentation. Je sais que François Leduc qui a également une formation avancée en herboristerie prépare des alcoolatures assez puissantes, dont une de rhodiola. On a découvert que trois phénylpropanoïdes : rosavine, rosine et rosarine, qui sont des glucosides, se retrouvaient uniquement chez l’orpin rose.
Ne pas oublier tes sources, Lucas !!!
Les cultures médicinales canadiennes, Ernest Small, chercheur
scientifique principal, et Paul M. Catling, chercheur scientifique, 281
pages, 2000, Édition brochée, ISBN-13 9780660963808, CNRC 42253
29,95 $CAN
The Rhodiola Revolution Transform Your Health With The Herbal
Breakthrough of the 21st Century! By Richard P. Brown, M.D, Patricia L. Gerbarg, M.D. with Barbara Graham Rodale Ed. 2004
Le Dr Hamer a oeuvré bénévolement dans des bidons villes de Rome. Paracelse en est un autre qui quittait souvent l'hôpital pour aller soigner les indigents. Autrefois, c'était les bien portants qui se déplaçaient, donc les médecins, pas les malades, et les hôpitaux sont nés en temps de guerre.
Lucas