Moyen de traiter quoi?DictionnairErroné a écrit : 16 mai 2019, 18:04Est-ce que les scientifiques se penchent sur ce phénomène comme moyen de traitement?
Jean-François
Moyen de traiter quoi?DictionnairErroné a écrit : 16 mai 2019, 18:04Est-ce que les scientifiques se penchent sur ce phénomène comme moyen de traitement?
Disons des dépressions ou autres troubles de comportements, le mal à l'âme comme nous disons par exemple. En gros, ce qui nécessite une psychothérapie. Jusqu'où cela pourrait être utile dans des cas de maladies chroniques du cerveau... c'est autre chose. Et je ne voudrais pas tomber à pied joint dans une tombe dans l'autoguérison par la mort! Plutôt radical...Jean-Francois a écrit : 16 mai 2019, 18:31Moyen de traiter quoi?DictionnairErroné a écrit : 16 mai 2019, 18:04Est-ce que les scientifiques se penchent sur ce phénomène comme moyen de traitement?
Jean-François
Ben, non en fait... beaucoup survivent...C’est la mort inéluctable.
Les micro-lésions ou atteintes décrites... pourraient expliquer ces fameuses transformations de perceptions bien décrites chez les ressuscités (notamment les sensations "paranormales" ou "extrasensorielles"). Car les autres phénomènes de changement de philosophie sur la vie peut s'expliquer davantage par le traumatisme psychique subi tel qu'on le retrouve dans d'autres accidents de vie.C’est le cas des lobes temporaux où se trouve l’hippocampe, structure connue pour son rôle dans la mémoire ; mais aussi le carrefour temporo-pariétal.
Partage :
On parle un peu de ça dans l'enfilade car l'article original a été proposé par Cadenas l'année dernière: Dreier et al. (2018) Terminal spreading depolarization and electrical silence in death of human cerebral cortex. Ann Neurol.83(2): 295–310 ( doi: 10.1002/ana.25147; doit demander un abonnement à la revue).
Nombreux? l'étude de Parnia rapporte 330 survivants pour 2060 cas d'arrêt cardiaque, et là-dessus il y en a une dizaine qui a eu "des expériences compatible avec les NDE". En d'autres termes, sur le nombre total de cas, on compte environ 16% de survivants et 0,5% de NDE. Et là, c'est une étude qui visait à tout comptabiliser.Si la dépolarisation FINALE crée une sorte de pseudo-épilepsie du lobe temporale (alors provoquant le vécu d'une NDE) comment se fait-il que certains (nombreux si on s'en tient aux études épidémiologiques) survivent aux NDE?
Le truc est que ça dure de l'ordre de la dizaine de minutes. Cela permet de penser que si les médecins trouvent le moyen de stopper cette dépolarisation, la dépolarisation ne sera pas finale. Maintenant:Car selon l'article, cette dépolarisation finale, est bien FINALE dans la mesure où ce dernier souffle détruit par relargage toxique de glutamate et potassium la totalité des neurones soumis à cette toxicité
À moins que la littérature ne soit pas aussi complète sur la question qu'on le pense. Surtout qu'il faut penser qu'il doit y avoir énormément de variation interindividuelle autant dans les zones affectées que dans la profondeur de l'atteinte.Ou alors, les survivants devraient avoir de sérieuses lésions cérébrales irréversibles et présenter des troubles cognitifs, moteurs, ou autres d'origine neurologique. Ce qui n'est pas le cas selon la revue de la littérature... à moins que...
Elle demande à être beaucoup mieux supportée mais pourrait tenir.RuB a écrit : 25 nov. 2019, 10:35En effet, cette explication par la vague de dépolarisation ne tient pas
Ce n'est pas "vraisemblablement" mais "à coup sûr" parce que ces expériences ont été terminales: elle portait sur des "patients with devastating brain injury that resulted in activation of a Do Not Resuscitate-Comfort Care order followed by terminal extubation"*. Il est clair que ce genre d'études pose des problèmes éthiques sérieux, ce qui les rend difficile à réaliser.Donc non, vraisemblablement, personne n'est revenu pour nous parler de son EMI - encore moins sans séquelles - après avoir vécu tout (ou partie si c'était possible) de cette vague finale...
Nous sommes donc bien d'accord qu'il n'y a à priori aucune indication permettant de conclure que ce phénomène spécifique puisse expliquer les EMI : ceux qui nous racontent leur expérience ne l'ont par définition pas connu.Jean-Francois a écrit : 25 nov. 2019, 14:19Ce n'est pas "vraisemblablement" mais "à coup sûr" parce que ces expériences ont été terminales
Ces observations vont dans le sens d'un lien entre EMI et activité cérébrale. (Parce que on sait que quand le cortex cérébral est actif, il y a plus souvent qu'autrement une perception à la "première personne".) Cela n'explique peut-être pas toutes les EMI mais c'est un élément d'explication plausible pour certains aspects des récits d'EMI. Et ça s'ajoute à d'autres éléments.RuB a écrit : 25 nov. 2019, 15:45Nous sommes donc bien d'accord qu'il n'y a à priori aucune indication permettant de conclure que ce phénomène spécifique puisse expliquer les EMIJean-Francois a écrit : 25 nov. 2019, 14:19Ce n'est pas "vraisemblablement" mais "à coup sûr" parce que ces expériences ont été terminales
Vous avez une référence précise pour un cas d'EMI survenant moins de 3 minutes après un ACR? Une référence détaillée, contenant des faits vérifiés, pas un récit invérifiable basé sur un souvenir raconté 10-20 ans plus tard.En outre, celui-ci ne peut pas non plus être associé aux EMI survenant moins de 3 minutes après un ACR (puisque celui-ci se déclenche après)
Peut-être, peut-être pas. Je suis d'accord que ce phénomène n'explique pas plein de choses, dont de nombreux cas allusifs à des situations hétérogènes*. La réalité, c'est souvent complexe.ou autres vécus subjectifs connexes (OBE etc.) ne nécessitant pas un cerveau en état de stress particulier pour se manifester
Vous faites bien de vous éloigner du débat futile de la vie après la mort. Mais du même coup vous considérez l'EMI comme une hallucination, donc rien après la mort, est-ce vraiment important dans le cas d'étude en psychologie? Votre lien entre hallucination et psychose me laisse perplexe dans votre démarche. Vous voulez démontrer quoi au juste avec ça, quel est votre but, est-il déjà défini?Chercheur a écrit : 30 déc. 2020, 15:31 Je fais de la recherche pour une thèse depuis presque 6 ans essentiellement en psychologie. Je ne cherche pas à résoudre le problème de la vie après la mort. Cependant, il se trouve que je pense que l'EMI déclenche souvent les mêmes effets hallucinogènes que chez certains psychotiques...
Si vous ne l'aviez pas vu passé, vous devriez être intéressé par l'article dont je parle dans ce message.Chercheur a écrit : 30 déc. 2020, 15:31Je fais de la recherche pour une thèse depuis presque 6 ans essentiellement en psychologie
En même temps, il doit aussi y avoir le fait que la personne ne croie pas qu'il s'agisse d'une hallucination mais d'une perception de la réalité d'où l'idée que la dissociation jouerait un rôle. D'ailleurs c'est ce qu'on pourrait penser lorsqu'on lit des descriptions comme:Car justement, ce qui fait qu'une personne croit à une hallucination, c'est qu'elle est une perception avec objet et qu'elle est très structurée
Oui, ceux qui récoltent les récits des expérienceurs semblent rarement être des chercheurs mais plus souvent des agents de recherche voire des bénévoles enthousiastes. Cela fait qu'ils n'ont pas forcément une formation scientifique approfondie et un esprit critique bien "huilé".De plus, à chaque fois que je creuse et que je vais dans les détails pour les personnes qui disent prouver leur sortie du corps (exemple : avoir vu quelque chose qu'ils ne pouvaient voir), il se trouve que je suis à chaque fois très déçu et que je trouve toujours une explication autre. Il y a une nette différence entre le récit que l'on trouve dans les media par exemple, dans un livre ou ailleurs et lorsque on va enquêter sur l'expérienceur
On peut penser qu'il y a une part "culturelle" au niveau de ce que fait vivre le cerveau qui dysfonctionne (cerveau façonné par l'environnement culturel) mais aussi à celui de l'interprétation que font les expérienceurs de ce qu'ils vivent et qui va teinter leur récit de l'expérience. C'est sans doute pour ça que moi je suis resté sceptique/critique lorsque j'ai vécu une OBE (qui ressemble à ce que vous décrivez plus loin sur la chambre et les détails qui ne collent pas).De plus, j'ai remarqué que souvent les personnes qui ont eu des NDE avaient déjà des sensibilités ou étaient attirées par l'ésotérisme avant ou se posaient des questions existentielles
Je n'avais pas remarqué mais maintenant que vous le dites, je ne vois pas d'exemple (ou contre-exemple) avec des animaux. Il pourrait peut-être y en avoir chez des personnes qui aiment beaucoup les animaux et croient en leur survie après la mort? Il me semble que les enfants ont aussi des EMI qui ont des caractéristiques différentes de celles des adultes, qui supporteraient l'idée que le vécu (dont la "culture") de la personne influence la teneur des récits d'EMI.Autre chose, la NDE est très égocentré sur l'Humain. Elle occulte toutes les autres espèces vivantes dont animales et dans la Lumière, pas d'esprits d'animaux
Pour répondre, l'EMI peut être une hallucination mais ce ne veut pas dire qu'il n'y ait rien après la mort. Par exemple dans le bouddhisme primaire (pas celui du Dai Lama qui est un dogme politique), l'EMI est une hallucination et le flux de la conscience survivrait d'une façon plus ou moins chaotique. Enfin, j'en suis arrivé à ces hypothèses au bout de plusieurs années de recherche. Car je veux dire que je suis très étonné de me rendre compte qu'il y ait une nette différence entre les recherches motivées souvent pas les croyances originelles des chercheurs (exemple : souvent chrétiennes ou spirites) donc très subjectives et avec les data produites avec les experieneurs qui souvent n'ont pas de sens critique du tout. Le problème est la question du Sens. Or comme pourrait le dire Niezsche, il n'y a pas de sens à la VIe. Et l'EMI donne un sens à ces personnes puisque pour elles il y a une vie après la mort avec des récompenses ou non en fonction de la compassion qu'on a eu ou pas sur Terre (soit vous évoluez, soit pas ou peu et sinon, c'est punition, retour sur terre, en gros vous repassez votre diplôme). quant à l'hallucination, tout est quelque part hallucination dès le moment où on croit à ce que l'on "voit"DictionnairErroné a écrit : 30 déc. 2020, 18:05Vous faites bien de vous éloigner du débat futile de la vie après la mort. Mais du même coup vous considérez l'EMI comme une hallucination, donc rien après la mort, est-ce vraiment important dans le cas d'étude en psychologie? Votre lien entre hallucination et psychose me laisse perplexe dans votre démarche. Vous voulez démontrer quoi au juste avec ça, quel est votre but, est-il déjà défini?Chercheur a écrit : 30 déc. 2020, 15:31 Je fais de la recherche pour une thèse depuis presque 6 ans essentiellement en psychologie. Je ne cherche pas à résoudre le problème de la vie après la mort. Cependant, il se trouve que je pense que l'EMI déclenche souvent les mêmes effets hallucinogènes que chez certains psychotiques...
Personnellement et ce n'est que pour moi, il serait plus intéressant en psychologie d'étudier l'effet sur la psyché d'une EMI. Vous en avez déjà donné sommairement des exemples. Pourquoi ces expériences peuvent-elles changer la psyché, son comportement, le sens de la vie, etc. Qu'ont-elles de si spécial pour permettre un changement aussi drastique dans la psyché? Tout psychologue et psychiatre aimerait bien être en mesure de provoquer un tel changement chez son patient en thérapie.
Je crois que nous pouvons faire le même rapprochement avec les personnes qui voie la Sainte Vierge, des extra-terrestres lorsque ceci procure un changement important dans la psyché. Qu'est-il arrivé au juste?
En plus les personnes qui vivent une EMI peuvent avoir besoin d'un soutien thérapeutique suite à leur expérience, il ne se reconnaît plus, tant pour le mieux que pour le pire. Comment traiter ces personnes?
Une thérapie basée sur la connaissance des EMI est-elle envisageable pour d'autres formes d'évènement psychique?
Je comprends mieux votre démarche et je suis du même avis lorsque vous dites, le problème est la question du Sens. Le Sens est au centre de la psyché, c'est ce quelle produit et à cause de cela je préfère utilisé le terme Vision plutôt que Hallucination, ça peut semblé banal comme remarque, mais il me semble que Vision inclus un Sens contrairement à Hallucination, et nous pouvons référer aux autres visions que la psyché produit, mais bon, ce n'est pas si important que ça. Le point est comme vous dites, le Sens.Chercheur a écrit : 31 déc. 2020, 12:06 Pour répondre, l'EMI peut être une hallucination mais ce ne veut pas dire qu'il n'y ait rien après la mort. Par exemple dans le bouddhisme primaire (pas celui du Dai Lama qui est un dogme politique), l'EMI est une hallucination et le flux de la conscience survivrait d'une façon plus ou moins chaotique. Enfin, j'en suis arrivé à ces hypothèses au bout de plusieurs années de recherche. Car je veux dire que je suis très étonné de me rendre compte qu'il y ait une nette différence entre les recherches motivées souvent pas les croyances originelles des chercheurs (exemple : souvent chrétiennes ou spirites) donc très subjectives et avec les data produites avec les experieneurs qui souvent n'ont pas de sens critique du tout. Le problème est la question du Sens. Or comme pourrait le dire Niezsche, il n'y a pas de sens à la VIe. Et l'EMI donne un sens à ces personnes puisque pour elles il y a une vie après la mort avec des récompenses ou non en fonction de la compassion qu'on a eu ou pas sur Terre (soit vous évoluez, soit pas ou peu et sinon, c'est punition, retour sur terre, en gros vous repassez votre diplôme). quant à l'hallucination, tout est quelque part hallucination dès le moment où on croit à ce que l'on "voit"Et il n'y a pas une EMI mais des EMI donc pas de dogme aussi par rapport à ça
Juste que je disais qu'il y a des EMI qui ne sont pas comptées dans les données de ces "chercheurs"
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Une illusion résulte d'un sens trompé par les signaux qui atteignent l'organe sensoriel; c'est une analyse du monde réel par un système sensoriel qui donne un résultat trompeur. Une hallucination résulte d'un dérèglement fonctionnel d'un système cérébral, qui part donc du niveau central et non des signaux qui arrivent à l'organe (même si l'organe peut parfois être impliqué). Les hallucinations sensorielles (visuelles, auditives, etc.) sont les plus aisées à reconnaitre et catégoriser mais il y a des "hallucinations" d'autres systèmes qui le sont moins (i.e., des dérèglement de systèmes associatifs qui influe sur la perception subjective des choses*).DictionnairErroné a écrit : 31 déc. 2020, 12:46Le Sens est au centre de la psyché, c'est ce quelle produit et à cause de cela je préfère utilisé le terme Vision plutôt que Hallucination, ça peut semblé banal comme remarque mais il me semble que Vision inclus un Sens contrairement à Hallucination, et nous pouvons référer aux autres visions que la psyché produit, mais bon, ce n'est pas si important que ça
Sens: non pas comme physiologie (yeux, oreille, etc...), mais philosophique: signification, le sens de, je sens (ressentir), donner du sens, trouver un sens.Jean-Francois a écrit : 31 déc. 2020, 15:36Une illusion résulte d'un sens trompé par les signaux qui atteignent l'organe sensoriel; c'est une analyse du monde réel par un système sensoriel qui donne un résultat trompeur. Une hallucination résulte d'un dérèglement fonctionnel d'un système cérébral, qui part donc du niveau central et non des signaux qui arrivent à l'organe (même si l'organe peut parfois être impliqué). Les hallucinations sensorielles (visuelles, auditives, etc.) sont les plus aisées à reconnaitre et catégoriser mais il y a des "hallucinations" d'autres systèmes qui le sont moins (i.e., des dérèglement de systèmes associatifs qui influe sur la perception subjective des choses*).DictionnairErroné a écrit : 31 déc. 2020, 12:46Le Sens est au centre de la psyché, c'est ce quelle produit et à cause de cela je préfère utilisé le terme Vision plutôt que Hallucination, ça peut semblé banal comme remarque mais il me semble que Vision inclus un Sens contrairement à Hallucination, et nous pouvons référer aux autres visions que la psyché produit, mais bon, ce n'est pas si important que ça
Et la vision (sans majuscule) est le sens de la vue, celui qui part de l'oeil.
D'ailleurs, je ne voie pas ce qu'apportent les majuscules. Surtout celle à "sens" qui ajoute une couche de flou à un terme qui est déjà très polysémique**. Si vous voulez parler des sens, parlez des sens. Et si vous pensez à sens selon la définition*** "Sens central, faculté mettant en commun et coordonnant les données de tous les sens en les rapportant à un même objet et permettant ainsi la perception de celui-ci", c'est un machin trop conceptuel pour avoir un intérêt pratique.
Jean-François
* Un faux souvenirs, par exemple, pourrait être vu comme une forme d'hallucination.
** I.e., "dans le Sens de"
*** D'ailleurs, chercheur semblait parler de "sens/direction" alors qu'en mentionnant la vision vous utilisez une autre définition.
Si la psyché de quelqu'un existe c'est autant que sa vie. Mais sans cerveau la psyché disparait comme la vie disparait sans corps. Et elles disparaissent d'autant plus facilement qu'elles n'ont jamais existé de manière tangible.DictionnairErroné a écrit : 31 déc. 2020, 18:59mais pour la psyché elle est réelle, elle est présente et existe
Je ne conçois pas la psyché comme une âme, mais comme un tout qui fait partie du corps humain, cette conscience si nous voulons utiliser ce terme, s'envole avec les cendres. Il n'y a aucune raison de croire à autre chose, si ce n'est de taire quelques peurs instinctives en utilisant cette perception de la dualité corps-âme (esprit).Jean-Francois a écrit : 31 déc. 2020, 22:33Si la psyché de quelqu'un existe c'est autant que sa vie. Mais sans cerveau la psyché disparait comme la vie disparait sans corps. Et elles disparaissent d'autant plus facilement qu'elles n'ont jamais existé de manière tangible.DictionnairErroné a écrit : 31 déc. 2020, 18:59mais pour la psyché elle est réelle, elle est présente et existe
Après tout la psyché, c'est l'âme. Autre machin imaginaire.
Jean-François
À moins que vous ne puissiez montrer (ou photographier) la psyché de Untel, voire lister les organes qui la compose, soit c'est une métaphore soit c'est un terme qui peut être remplacer par un ou des termes mieux définis ou, du moins, qui réfèrent à quelque chose de plus concret. Si c'est une métaphore, ça n'existe pas.DictionnairErroné a écrit : 31 déc. 2020, 23:38Je ne conçois pas la psyché comme une âme, mais comme un tout qui fait partie du corps humain
Probablement pas de la manière dont vous présenter le problème, àma.Comment l'expliquer? C'est une question pour les sciences
Je n'ai aucun problème à utiliser d'autres mots qui vous conviennent. Si vous vous considérez comme conscient, quels mots utiliseriez-vous?Jean-Francois a écrit : 01 janv. 2021, 00:20 À moins que vous ne puissiez montrer (ou photographier) la psyché de Untel, voire lister les organes qui la compose, soit c'est une métaphore soit c'est un terme qui peut être remplacer par un ou des termes mieux définis ou, du moins, qui réfèrent à quelque chose de plus concret. Si c'est une métaphore, ça n'existe pas.
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