Milo Yiannopoulos is trying to convince colleges that hate speech is coolTalisker a écrit :Lesquels, du coup?
Article dont le titre est totalement à charge et mettant Milo Yiannopoulos dans le même sac que Richard Spencer!
Je l'ai lu il n'y a pas de nuances, mais des tentatives d'associations, de raccourcis et de gros manques de précisions.Talisker a écrit :Je rappelle le titre de l'article de Mother Jones
Le problème est que tu sembles bien tomber dans le travers des associations, peu importe si Richard Spencer n'est pas un compagnon de route de Bannon et de Milo Yiannopoulos et même pas de Donald Trump. Peut importe si la misogynie de Donald Trump n'est rien d'autre que celle d'un vieux Golden Boy bien beauf dont rien n'indique qu'il soit pire qu'un Bill Clinton qui se faisait fumer le cigare sous son bureau. Non il faut associer par raccourci tout ce petit monde afin de pouvoir qualifier de raciste et de misogyne ce camp du mal ainsi définit. Problème si ce genre de diabolisation n'atteignait pas un niveau tel qu'elle génère de violences et de l'hystérie en lieu et place de débats constructifs, on en rigolerait, hélas on a vu les violence en question et Milo Yioannopoulos ne peut pas s'exprimer sur un campus car des hystériques usent de violences car croyant combattre la renaissance du fascisme en agissant ironiquement eux-même que des fascistes. Cela commence à me fatiguer car cela est nuisible et stupide.Talisker a écrit :C'est vrai qu'il ne faut pas généraliser trop vite, mais personne ne prétend que l'ensemble des supporters de Trump ou des militants de l'Alt-Right sont racistes ou misogynes. Trump lui est clairement misogyne en revanche, et des gens comme Spencer sont clairement racistes. Si Breitbart et Bannon soutiennent des personnes racistes et misogynes il faut pas pleurer après si on les assimile à ces derniers... non?