Re: 3ème guerre mondiale?
Publié : 15 mars 2022, 00:16
Nous n'avons plus des propagandistes conforme au bon goût comme Jean-Guy De Ghi pour l'Iran ou la Russie
La page 51 du fil est bien: j'y interviens.

Le Jean-Guy a l'air d'en tenir une sacrée couche.PhD Smith a écrit : 15 mars 2022, 00:16 Nous n'avons plus des propagandistes conforme au bon goût comme Jean-Guy De Ghi pour l'Iran ou la RussieLa page 51 du fil est bien: j'y interviens.
https://www.lepoint.fr/debats/poutine-a ... 7948_2.php...Toutefois, les contrats signés avant 2014 n'ont pas tous été honorés. Le plus célèbre et le plus visible d'entre eux, celui concernant l'achat de deux porte-hélicoptères d'assaut de classe Mistral, a bien été annulé en 2015 par François Hollande alors que la commande avait été passée par Moscou en 2010 et que la livraison était imminente. L'État français a donc estimé qu'il était dangereux et contraire à ses intérêts de livrer deux grands navires de guerre à la marine russe, la privant d'un outil qui lui aurait permis par exemple de débarquer des troupes sur les côtes de la Mer noire. En revanche, l'exportation de centaines d'équipements cruciaux pour les chars, les hélicoptères d'attaque et les chasseurs-bombardiers russes a été jugée moins dangereuse… ou moins visible.
Ce qui laisse place à une situation très anxiogène sur le déroulement de ce conflit dont nul ne semble pouvoir envisager les suites, et ce, sans garanties de quoi que ce soit....Gregory Carleton (https://upittpress.org/authors/gregory-carleton/): La plus évidente, c'est que Poutine a ruiné toute forme de bonne volonté dont bénéficiait encore son pays à l'international. L'isolement du pays se vérifie politiquement, culturellement, économiquement. C'est une nécessité malheureuse, mais la responsabilité de Poutine est écrasante. Rien ne le forçait à déclarer cette guerre ; l'idée qu'un « génocide » des populations russophones d'Ukraine ait lieu est risible. Il s'agit pourtant d'un terme utilisé dans le discours officiel russe depuis au moins 2005. Je ne vois pas de situation où quiconque sort gagnant. Poutine ne peut pas gagner, mais ne peut pas non plus se sortir du marasme dans lequel il s'est mis sans perdre la face. Aucune négociation diplomatique n'est possible dans ces conditions. C'est une situation très inattendue : la plupart des experts du monde post-soviétique, moi inclus, ne pensaient pas que nous en viendrions à ces extrêmes.
Vous dites que Poutine est le principal responsable de l'entrée dans ce conflit, côté russe. Qu'est-ce qui vous fait dire cela ?
Je n'ai pas d'accès privilégié à ce qui se passe dans la tête de Vladimir Poutine, et il semblerait qu'il existe un écart grandissant entre son état d'esprit et celui de certains de ses généraux. Il semblerait que de nombreux hauts responsables russes aient été pris au dépourvu par cette invasion. Cette surprise de l'état-major se vérifie aussi par le biais de l'impréparation de l'armée russe à la tâche qu'elle se voit aujourd'hui confiée. Beaucoup en Russie ont cru, comme moi, que toute cette rhétorique agressive n'était qu'une énième opération de propagande.
...
Pourquoi n'avoir pas cru que Poutine envahirait l'Ukraine, après la Tchétchénie, la Géorgie et la Crimée ?
Deux choses : l'échelle de l'opération et les objectifs affichés. La Tchétchénie fait partie du territoire administratif russe, les opérations militaires là-bas, pour violentes qu'elles furent, renvoyaient une autre image à la communauté internationale. Par ailleurs, l'opinion publique russe était largement mobilisée contre les Tchétchènes, à l'époque, du fait d'une série d'attentats visant des civils. La Géorgie, si elle fut une opération contre un autre État, avait des buts limités, d'ailleurs atteints en quelques jours. L'armée russe ne fit jamais le siège de Tbilissi. Idem pour la Crimée, un territoire russe jusqu'en 1954. L'objectif était limité et largement soutenu par l'opinion publique russe. Par ailleurs, les lois sur la pratique du russe mises en place au lendemain de la révolution de Maïdan avaient été vues comme une agression. Il faut aussi rappeler que les troupes russes n'étaient pas officiellement présentes, il n'y avait que des « volontaires » russes.
Hors de Russie, même si nous n'aimions pas la situation en Ukraine, il s'agissait d'un « conflit gelé », comme en Bosnie. C'était plus ou moins acceptable. Mais aujourd'hui, nous assistons à la Guerre avec un grand « G ». Il ne s'agit pas ici de prendre quelques morceaux de territoires de Géorgie ou d'Ukraine, mais bien d'attaquer tout le pays. Il devient très difficile de voir une fin rapide au conflit, ou même une paix qui convienne même marginalement à toutes les parties.
Poutine a donc commis une erreur ?
Il en a même commis plusieurs. Il pensait certainement que cette guerre serait comme la prise de la Crimée, simplement à une plus grande échelle. Il a sous-estimé la réaction occidentale et l'ampleur des sanctions. Il a aussi mal évalué l'impact des technologies de l'information sur les opérations : il n'est plus possible, dans un conflit de cette ampleur, de garder le contrôle de l'information, et la Russie est clairement en train de perdre à ce niveau. Enfin, et c'est lié au point précédent, si l'opinion publique russe était largement en faveur de l'annexion de la Crimée, on ne peut pas en dire autant de cette guerre.
Vladimir Poutine semble croire à ses propres mensonges ; il est enfermé dans une bulle informationnelle, entouré d'intrigants, ce qui le conduit à mal évaluer la situation
Vous dites que la guerre n'est pas populaire en Russie. Comment le savoir ?
Pour faire un parallèle, il était parfaitement vrai de dire que Trump n'était pas populaire, tout en étant soutenu par des millions d'Américains. Mais les Russes vivant dans les grandes métropoles, largement exposés au monde extérieur, qui sont aussi ceux qui ont le plus d'influence culturelle, ont plus à perdre de cette guerre et des sanctions qui l'accompagnent. Ce sont eux qui peuvent encore changer la donne en Russie même.
Pourquoi l'invasion a-t-elle eu lieu maintenant ? Pourquoi n'avoir pas pris plus de temps pour la préparer ?
Je crois que plusieurs facteurs peuvent l'expliquer. Tout d'abord, la pandémie, qui a divisé les sociétés occidentales, particulièrement aux États-Unis. Il fallait aussi que la guerre n'interfère pas avec les Jeux olympiques de Pékin. Il fallait aussi que l'invasion se déroule pendant l'hiver, afin de prendre les Européens en otage grâce à leur dépendance au gaz naturel russe. Par ailleurs, il fallait attendre un peu après la prise de la Crimée, dans l'espoir de ne pas provoquer de réactions trop virulentes de la part de la communauté internationale. Enfin, il ne faut pas oublier que Vladimir Poutine est relativement âgé. Combien de temps lui reste-t-il à exercer un pouvoir aussi absolu ? Il ne pouvait pas se permettre d'attendre encore trop longtemps. Il semble évident que beaucoup en Russie réfléchissent à l'après-Poutine.
Avec une recrudescence des activités néo-nazis viscéralement antirusses, on pourrait presque comprendre que la Russie, à temps, se sente menacée. Lorsque l’Otan fait des guerres préventives, c’est acceptable, lorsque les autres le font, c’est plus qu’intolérable.« EUROPE ET AFFAIRES ÉTRANGÈRES Mouvements néonazis en Ukraine 23223. − 10 juin 2021. − Mme Nathalie Goulet interroge M. le ministre de l’Europe et des affaires étrangères sur la situation en Ukraine. En effet, les partis néonazis développent des activités de plus en plus visibles, y compris au centre de Kiev, avec des stands de tir, des pratiques de montage et de démontage de kalachnikovs, et des bureaux d’embrigadement de jeunes dans des milices qui se revendiquent clairement de l’idéologie nazie. Des papiers d’identité de soldats nazis morts pendant la guerre, dont des membres des sonderkommandos, sont en vente libre sur la descente Saint-André. Ces activités sont conjointes à l’entraînement de miliciens de suprématie blanche qui fomentent des attentats dans toute l’Europe, au nom du tristement célèbre régiment Azov. Ces activités sont extrêmement préoccupantes et elle souhaite savoir quelle est la position du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères sur ce sujet et quelles mesures il compte prendre pour éviter la contagion de cette idéologie mortifère. »
Et parmi les vraies raisons, il y a la menace que font peser ces groupuscules néo-nazis sur la sécurité de la grande Russie ?julien99 a écrit : 15 mars 2022, 16:56 Avec une recrudescence des activités néo-nazis viscéralement antirusses, on pourrait presque comprendre que la Russie, à temps, se sente menacée. Lorsque l’Otan fait des guerres préventives, c’est acceptable, lorsque les autres le font, c’est plus qu’intolérable.
Il n’est pas question de faire de la propagande pro russe. Juste de comprendre les vraies raisons qui ont poussé Poutine à attaquer.
Si. Ils sont en Afrique, en Syrie et maintenant en Ukraine.Dominique18 a écrit : 15 mars 2022, 18:24 Chez les russes, il n'y a pas quelques chose qui s'appelle le groupe Wagner ?
J ai reposté ta video sur un forum, on m'a rétorqué que ca ne pouvait pas etre Kiev qui est privée d'electricité (on voit plein d'immeubles avec la lumiere).Qu'en penses tu ?PhD Smith a écrit : 15 mars 2022, 18:40 Allez, retour à la soucoupe volante observée à KievUne analyse par le youtubeur "UFO Sightings Daily" qui dit qu'il n'a jamais vu en tant qu'ancien de l'Air Force: https://youtu.be/kPoLx6dVTdg
J'ai la tentation de le croire![]()
Logo aux couleurs des antifas et un crane non genré. Encore un coup des wokes.
La réponse: je n'en sais rien. Ça pourrait être Kiev ou Moscou ou Lviv pour un film soi-disant daté du 5 mars. D'ailleurs l'un des commentateurs de la vidéo répond avec le même argument que toi et ajoute que cela pourrait être un drone:Mic777 a écrit : 15 mars 2022, 19:42J ai reposté ta video sur un forum, on m'a rétorqué que ca ne pouvait pas etre Kiev qui est privée d'electricité (on voit plein d'immeubles avec la lumiere).Qu'en penses tu ?
D'ailleurs, tu peux faire un tour sur le forum ufologique: https://www.forum-ovni-ufologie.com/t23 ... ion-de-panDG sous la vidéo youtubesque a écrit :are you sure it is in Kiev ? The city has much lighting for a city in war.
But the way it is flying i would say it is a drone.
( something like a Northrop Grumman MQ-8 Fire Scout ????)
https://ufo-scepticisme.forumactif.com/ ... t-afb-1968Paris Match a écrit :Or, le 24 mars 1967, en pleine guerre froide, ce dispositif serait devenu aussi inutile qu’un pétard mouillé : tôt le matin, des patrouilles ont signalé la présence d’ovnis en vol stationnaire au-dessus des silos de missiles. L’alarme s’est déclenchée et dans la minute qui a suivi, les dix missiles sont passés de l’état «alerte», permettant un lancement immédiat, à la position «No-Go». Ils étaient désactivé assure l’officier Robert Salas qui était au moment de l’incident commandant adjoint des techniciens sur la base.
C’est en grande partie grâce à lui que ce cas a été révélé dans plusieurs interviews à partir de 1996, puis dans son livre publié en 2005, «Faded Giants». Il sera présent le 19 octobre au National Press Club ainsi que ses anciens collègues de l’US Air Force, Robert Jamison, lui aussi en poste ce 24 mars 1967 à Malmstrom, et David Schindele, affecté à une autre base de missiles Minuteman, celle de Minot dans le Dakota du Nord, entre 1963 et 1968. Le quatrième intervenant est Robert Jacobs, qui en 1964, alors qu’il était photographe pour l’US Air Force sur la base de Vandenberg, aurait assisté à l’interception d’un missile en plein vol par un ovni.
Ces quatre intervenants sont des personnalités relativement connues du monde ufologique mais leurs expériences personnelles ne constitueraient que la pointe émergée de l’iceberg, aux Etats-Unis mais aussi dans le reste du monde, dans l’ex URSS notamment. Alors que les rapports entre les ovnis et l’armée font désormais la Une, cette conférence portant sur la question cruciale des interventions supposées de ces phénomènes sur les équipements nucléaires prend un relief particulier et pourrait préluder à d’autres révélations.
"Avait", il a été banni comme mentionné à la page 75 du fil. On avait en lui un bon zozo avec une adhésion sans recul à la propagande russo-perse et peut-être pro-chinoise
Balancer des informations partielles et partiales n'est toujours pas une bonne option.Réponse du Ministère de l'Europe et des affaires étrangères
publiée dans le JO Sénat du 22/07/2021 - page 4604
S'il existe des groupes néonazis en Ukraine, leur popularité et leur influence ne sont pas plus importantes que dans d'autres pays européens. Ils n'ont aucune représentation à la Rada et aucun poids au sein du gouvernement ukrainien. Au printemps 2019, les Ukrainiens ont porté M. Volodymyr Zelensky au pouvoir avec plus de 73% des voix, ce qui témoigne de la vigueur du sentiment démocratique dans le pays. Les activités des organisations néonazies en Ukraine ne reflètent donc aucunement une tendance globale du pays. Le conflit dans l'Est de l'Ukraine a effectivement mobilisé certains groupuscules extrémistes violents, mais la plupart ont, depuis, disparu. Les actes antisémites y sont moins fréquents que dans d'autres pays européens. Néanmoins, la France continue d'exercer la plus grande vigilance sur ce sujet. C'est pourquoi notre ambassade à Kiev s'associe aux actions mémorielles importantes. Ainsi, une attention toute particulière sera portée aux commémorations des 80 ans du massacre de Babyn Yar, en septembre prochain.
...qui utilise sciemment les milices Wagner.
Plusieurs journalistes et enquêteurs se sont antérieurement intéressés aux milices Wagner. Certains ne sont plus là pour en parler. Pas la peine d'entrer dans les détails, les méthodes sont connues.Un travail d’une telle ampleur, appuyé sur de nombreux documents et témoignages exclusifs, n’avait encore été réalisé ni en France ni à l’étranger.
Il est d’autant plus difficile que Wagner est une société fantôme, sans la moindre existence légale. Le nom est seulement le pseudonyme du premier chef du groupe, Dmitri Outkine, ancien soldat aux sympathies néonazies, que l’on a vu apparaître en premier lieu sur le terrain ukrainien en 2014. La société a pris une tout autre ampleur en passant sous la coupe, vers 2015, d’Evgueni Prigojine, un ancien gangster pétersbourgeois devenu un homme d’affaires important, notamment grâce à des contrats avec le ministère de la défense.
https://www.parismatch.com/Actu/Interna ... ne-1792178Dans la nuit du 30 au 31 juillet 2018, Kirill Radtchenko, Alexandre Rastorgouïev et Orkhan Djemal, trois journalistes russes, sont assassinés près de Sibut, au cœur de la Centrafrique . Ils enquêtaient sur les activités du groupe Wagner, une sulfureuse organisation russe de sécurité privée qui n’existe officiellement pas mais dont les hommes – sans insigne, le visage toujours masqué – sont pourtant déployés en Ukraine, en Syrie, en Libye, au Soudan, au Mozambique, en Centrafrique et, maintenant, au Mali. Des chiens de guerre qui défendent souvent les pouvoirs en place et n’ont de comptes à rendre à personne.
Ça va encore plaire aux comiques de service qui officient sur ce fil....On les décrit comme les hommes des basses œuvres de Moscou. Efficaces. Féroces. Sans merci. Mais avaient-ils pour mission de faire tomber celui que l’on désigne comme le dernier dictateur d’Europe ? Rien n’est moins sûr. L’arrestation, mercredi 29 juillet (2020) à Minsk, de trente-trois hommes, présumés affiliés à la milice privée russe Wagner, a plongé dans le désarroi nombre de spécialistes en géopolitique. Selon l’agence d’information liée au gouvernement biélorusse, Belta, les paramilitaires appréhendés dans un hôtel Resort, où ils n’avaient pas l’air de touristes russes, étaient dans le pays pour « déstabiliser la situation lors des élections ». Suspectés de fomenter des actions « terroristes », les hommes ont été placés en détention, provoquant l’ire de Moscou....
AZOV ! Pour vous un simple groupuscule ? hmm...thewild a écrit : 15 mars 2022, 17:06Et parmi les vraies raisons, il y a la menace que font peser ces groupuscules néo-nazis sur la sécurité de la grande Russie ?julien99 a écrit : 15 mars 2022, 16:56 Avec une recrudescence des activités néo-nazis viscéralement antirusses, on pourrait presque comprendre que la Russie, à temps, se sente menacée. Lorsque l’Otan fait des guerres préventives, c’est acceptable, lorsque les autres le font, c’est plus qu’intolérable.
Il n’est pas question de faire de la propagande pro russe. Juste de comprendre les vraies raisons qui ont poussé Poutine à attaquer.
Merci pour cette belle tranche de rigolade, vous commenciez à nous manquer !
Quid du groupe Wagner ?Le parti politique de Azov est en opposition avec le pouvoir ukrainien en place.
Oui, mais peu importe.julien99 a écrit : 16 mars 2022, 16:04 AZOV ! Pour vous un simple groupuscule ? hmm...
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gi ... eil%20noir.
C'est bien de donner un lien qui explique que ces groupes n'auraient jamais existé sans l'invasion russe de 2014.julien99 a écrit : 16 mars 2022, 16:04 AZOV ! Pour vous un simple groupuscule ? hmm...
https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gi ... eil%20noir.
Il va falloir se documenter un peu plus sérieusement en géo-politique.Avec une recrudescence des activités néo-nazis viscéralement antirusses, on pourrait presque comprendre que la Russie, à temps, se sente menacée. Lorsque l’Otan fait des guerres préventives, c’est acceptable, lorsque les autres le font, c’est plus qu’intolérable.
Il n’est pas question de faire de la propagande pro russe. Juste de comprendre les vraies raisons qui ont poussé Poutine à attaquer.
Capturer (mort ou vivant ?) changera-t-il quelque chose? À l'international, non bien sûr, un peu plus de bitchage... Par contre, une plus grande haine de la Poutine en Ukraine, elle ne sera plus dans les menus, ça c'est certain.Les membres de Wagner seraient actifs en Ukraine depuis le début de l’invasion, fin février. Quelque 400 de ces combattants auraient d’ailleurs été déployés afin de capturer le président ukrainien, Volodymyr Zelenski, selon le magazine britannique The Times.