25 décembre a écrit :Je ne comprend pas que tous s'unissent pour répondre à Luc Ferron, c'est une perte de temps, il ne changera pas sa foi et vous ne deviendrai jamais ses disciples.
Vous avez absolument raison,toujours ce sens de la synthèse en peu de mots.
Je respecte totalement la démarche des scientifiques qui cherchent à atteindre,connaître,trouver LA VÉRITÉ en toute chose,dans tous les domaines.
Vous remarquerez qu’un homme équilibré sur le plan intellectuel et affectif a plutôt tendance a etre séduit par ce qu’il croit etre la vérité,je pense que cette démarche est très saine.
Je respecte l’ascétisme de certains scientifiques,leur rigueur intellectuel,le travail considérable qu’ils produisent et la contribution indiscutable qu’ils apportent dans de nombreux secteurs qui ont pour vocation d’améliorer le bien etre des populations.
Ils doivent admettre aussi que leur dynamique est parfois dévoyée par des autorités qui ne servent pas l’intérêt général,des dirigeants politiques ou financiers dont l’éthique et la morale sont pilotée par un orgueil,une cupidité,un égoïsme qui pourraient s’avérer collectivement suicidaire compte tenu des possibilités technologiques de destruction sans précédent qui sont offerte par les scientifiques.
C’est bien compte tenu de cette situation inédite pour l’humanité qu’une morale et qu’une éthique vertueuse pour toutes et tous doit encadrer les possibles destinées de l’espèce humaine.
La science en tant que technique,n’en est pas intrinsèquement productrice de cette éthique et de cette morale.
Cette morale et cette éthique,qui a été précisée il y a 2000 ans a aussi,dans l’histoire, été dévoyée par une Église de pouvoir,alors que le pouvoir ne doit pas etre la vocation d’une Église,cette morale et cette éthique se trouve dans les Évangiles.
Et je trouve personnellement extraordinaire,presque logique le fait que ces valeurs aient précédées l’évolution technologique,ce qui me laisse à penser qu’elles n’étaient pas déjà là par hasard.
Certains sur ce forum ont affirmés qu’un embryon qui grandit dans le ventre d’une femme n’était pas vivant, n’était pas un etre humain,pourquoi alors ne pas envisager d’expérimentation scientifiques sur ces embryons.Je répondrais qu’il ne faut pas le tenter parce que nous touchons ici aux limites d’application d’une science qui par elle-même ne possède aucune éthique.
L’avortement peut se prévenir en évitant les grossesses non désirées, pour cela il faut repenser notre manière de concevoir le couple,le sens que nous lui donnons.
Il faut revoir notre façon de vivre la sexualité,non pas en nous laissant influencer par une propagande individualiste,consumériste,hédoniste de la pratique sexuelle qui débouche trop souvent sur une situation de famille monoparentale en état de précarité,mais en misant sur la complémentarité des femmes et des hommes dans l’engagement,la stabilité,la compréhension,la solidarité,le respect mutuel,ce qui s’appelle l’amour en fait.
Qui est perdant dans la réussite de cet exercice vertueux ?