Le bien et le mal ont tout a voir avec la morale. Si vous voulez parlez de phénomènes non moraux le couple souffrance/plaisir est largement suffisant, mais je voie pas l'intérêt d'une discussion à ce sujet : la souffrance et le plaisir sont des informations incitant à favoriser un comportement plutôt qu'un autre. A partir du moment où vous avez un système nerveux, un cerveau et des glandes (j'oublie quelque chose ?) qui fonctionnent normalement vous êtes concernés.hibou a écrit :Encore une fois la notion de bien et de mal, n'a rien à voir avec la morale
Quand vous parlez des actions d'un dictateur vous parlez de morale. Car vous jugez un comportement humain réfléchi , vous ne constatez pas les effets d'une quelconque catastrophe naturelle.
C'était une hypothèse pour donner un exemple de morale alternative à celle proposée par Tania. Je ne pense pas que l'Homme réfléchisse trop, et le bonheur je ne sais pas ce que sait.Tu crois vraiment qu'il n'y a que ça comme différences entre nous et les animaux?
Je ne voie pas de différence de nature entre l'Homme et les autres animaux, l'Homme est de toute évidence un animal.
C'était toujours une hypothèse. Je crois que le mal n'existe pas. Chacun en fonction de son éducation, de ses croyances, de son expérience, de son entourage, se fixe son bien et son mal.Pourquoi la conscience serait elle à l'origine du mal? Le lombric n'est pas concient, mais s'il agit mal, il se fera manger par un oiseau, ou finira déséché sur un caillou.
C'est amusant que vous créiez un moralisme pour les lombrics alors que vous n'en voulez pas pour les humains.
C'est quoi agir mal pour un lombric ? Le lombric vit sa vie de lombric et s'il lui arrive quelque chose de fatal c'est plus de l'ordre de la catastrophe naturelle imprévisible que de celui du comportement à risque, il n'a pas mal agit il ne peut pas être responsable de ce qui dépasse ces capacités d'appréhension du monde.