Re: Véganisme et Contre-Arguments
Publié : 24 juin 2020, 15:59
J'ai vécu en véganisme un moment... mais j'ai quasi tout lâché... C'est dommage mais les "vrais" sont rares... et souvent excessifs... du coup.
Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
Sauf que j'ai jamais parlé de causalité !shisha a écrit : 24 juin 2020, 14:04 en aucun cela signifie automatiquement (lien de causalité) que cela soit du à l'éloignement des animaux morts.
Je n'ai jamais dit ça !shisha a écrit : 24 juin 2020, 14:04 Donc tenir l'éloignement de la mort 'animal comme un facteur favorisant le veganisme c'est faux...
Tu peux rien assurer du tout. La plupart des gens qui élèvent, abattent les animaux, et de ceux qui travaillent la viande ne sont pas vegé.shisha a écrit : 24 juin 2020, 14:04 Je peux t'assurer qui si demain on mettait les abattoirs aux portes de chaque ville (ou mieux, de la maison) il y aurait beaucoup + de vege compte tenu de l'éducation (contre la violence inutile) et shéma de pensé que nous avons reçu.
Plein de gens, c'est combien, 2%? 5%?Plein de gens élèvent des lapins, qu'ils tuent eux même, plein de gens sacrifie un mouton tous les ans, 1 million et demi de pêcheur en France mange des poissons qu'ils ont eux même tuer.
C'est loin d'être aussi simple que cela...C'est toi qui dit qu'il y a un lien entre "voir des animaux mourir" et "devenir vegan", et moi je te dit que si c'était vrai il devrait y avoir plus de vegan dans les régions où on tue les animaux, c'est pas le cas.
Des dizaines de millions de personnes sur la planète tuent des animaux pour se nourrir.
Bah tu te trompes, une bonne partie des gens lambda tu les emmènes à la pêche, tu leur prêtes une canne, ils pêchent.shisha a écrit : 24 juin 2020, 17:22 Oui je pense qu'une bonne partie des gens lambdas, les mêmes qui chérissent leurs animaux de compagnies, auraient beaucoup de difficulté émotionnellement parlant à tuer des animaux par eux mêmes.
oui! Et une bonne partie des gens lambda tu leur présentes le lapin qu’ils ont élevé ils te l’assomment vite fait devant leurs enfants, te l’ouvre en deux et lui enlèvent facilement la peau pour le manger le soir à la moutarde.Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 18:08 Bah tu te trompes, une bonne partie des gens lambda tu les emmènes à la pêche, tu leur prêtes une canne, ils pêchent.
Et c'est absolument pas pour la survie.
Oui !richard a écrit : 24 juin 2020, 18:27oui! Et une bonne partie des gens lambda tu leur présentes le lapin qu’ils ont élevé ils te l’assomment vite fait devant leurs enfants, te l’ouvre en deux et lui enlèvent facilement la peau pour le manger le soir à la moutarde.Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 18:08 Bah tu te trompes, une bonne partie des gens lambda tu les emmènes à la pêche, tu leur prêtes une canne, ils pêchent.
Et c'est absolument pas pour la survie.
Vous me dites que vous n’êtes pas d’accord avec moi mais vous appliquez exactement le même raisonnement que moi pour me le démontrer. C’est contradictoire.shisha a écrit : 24 juin 2020, 12:43 Tolaristo dit :Pas certain de comprendre que ce que vous voulez dire.Du coup ça n’invalide pas mon raisonnement.
Qu'est ce qui vous pousse à ne pas faire mal à un être humain? Est-ce uniquement la loi et la peur des représailles ou il y a t-il également autre chose?Pour moi aucune logique de justifier le veganisme par l’empathie. D’ailleurs souvent ce n’est pas de l’empathie vraie. C’est une projection de réaction humaine sur un fonctionnement animal comme si les deux étaient superposable.
Mais sinon plutôt que de se perdre dans des questions théoriques interminables mieux vaut revenir aux choix actuel :Quand bien même on hésiterait énormément entre qui sacrifier entre une céréale et une vache, le contexte actuel nous enlèverait tout doute car il serait question de sacrifier pour caricaturer entre une vache + 1000 céréales et 100 céréales. Donc il ne peut y avoir le moindre doute... Seule un certain degré d'indifférence ou un autre mécanisme psychologique (exemple : addiction alimentaire) peut nous faire choisir de faire sacrifier la vache inutilement.Sauf que le contexte de la nourriture ne nous incite pas à trancher entre ces deux choix mais plus entre une vache + 1000 céréales et 100 céréales.
Il y a longtemps, longtemps, dans une autre galaxie .... euh du temps de ma lointaine enfance, le père d'un de mes meilleurs amis élevait de la volaille et des lapins. Nous l'accompagnions souvent pour l'aider à entretenir cette basse-cour, ce qui impliquait moult maniement de matières lourdes, sales et odoriférantes, et nous faisions fréquemment botter le dodu à la plus petite négligence qui aurait pu nuire à la santé et au confort de ces petites bêtes.richard a écrit : 24 juin 2020, 18:27 Et une bonne partie des gens lambda tu leur présentes le lapin qu’ils ont élevé ils te l’assomment vite fait devant leurs enfants, te l’ouvre en deux et lui enlèvent facilement la peau pour le manger le soir à la moutarde.
Effectivement c'est plus "l'exploitation" des animaux qu'ils détestent !Totolaristo a écrit : 24 juin 2020, 18:51 (Arrêtons de parler de la souffrance. Ça ne sert à rien. On peut très bien tuer/exploiter sans souffrance. Et pourtant ça ne change rien pour les vegans. Preuve que ce n’est pas le vrai problème.)
J'ai l'impression que dans l'inconscient collectif, il est plus facile de tuer un poisson qu'une bête a plumes ou pire encore, un mammifère.Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 18:08Bah tu te trompes, une bonne partie des gens lambda tu les emmènes à la pêche, tu leur prêtes une canne, ils pêchent.
Et c'est absolument pas pour la survie.
Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 18:08Des dizaines de millions de personnes sur la planète tuent des animaux pour se nourrir.
1.5 millions de pêcheurs en France, c'est plus que les végés![]()
Bah tu te trompes, une bonne partie des gens lambda tu les emmènes à la pêche, tu leur prêtes une canne, ils pêchent.shisha a écrit : 24 juin 2020, 17:22 Oui je pense qu'une bonne partie des gens lambdas, les mêmes qui chérissent leurs animaux de compagnies, auraient beaucoup de difficulté émotionnellement parlant à tuer des animaux par eux mêmes.
Et c'est absolument pas pour la survie.
Vous n'avez pas compris le choix. C'est pas soit 900 céréales soit une vache, c'est plutôt soit on sacrifie une vache + 1000 céréales (nourriture de l'animal) soit on sacrifie uniquement 100 céréales. Donc le cris de la carotte ne peut même pas s'appliquer.Est-ce si évident que ça que 900 céréales valent moins qu’une vache.
Oui on va tous mourir, c'est la vie. Mais cela n'a aucun rapport avec le fait tuer pour des raisons gustatives. J'accepte de mourrir de vieillesse, je n'accepte pas qu'on vienne me tuer pour des raisons gustatives.Ceci dit, ça ne m’empêche pas de tuer des êtres vivants. En fait ça ne m’embête pas plus de tuer une vache que de déraciner un arbre. Dans les deux cas j’y vois un potentiel qui s’éteint. Mais je sais aussi qu’il est impossible de nier la mort. Ça fait partie du cycle.
Qu'est qui vous fait dire cela? En consommant des animaux vous tuez plus de végétaux que les vegans...J’ai paradoxalement plus d’empathie pour les plantes que les vegans
Non, j'aimerais bien connaître les raisons qui vous poussent à ne pas porter de préjudices à d'autres humains (en dehors de la loi si il y en a).Ça répond à votre question de pourquoi je refuse de tuer un homme.
Oui et vous ne pensez pas qu'adopter l'élelave n'a pas eu des répercussion pour l'écosystème tel qu'il était avant l'élevage? L'élevage necessite une bonne partie de l'agriculture, en supprimant l'elevage tu réduis l'agrriculture. Les répercussions sur l'écosystème ne seront pas forcéments plus mauvaise, au contraire...Adopter un mode de vie vegan aurait forcément des répercussions sur l’écosystème, certaines espèces mourraient et disparaîtraient car plus adaptées. Est-ce que seulement les vegans réalisent ça ? J’ai bien peur que non !
Déjà expliqué qu'à mes yeux ce n'est pas la souffrance le plus important, si demain quelqu'un tuait un humain pour des raisons autres que la survie avec ou sans souffrance, le résultat sera le même, il est tué, et je doute que tu l'accepterais.(Arrêtons de parler de la souffrance. Ça ne sert à rien. On peut très bien tuer/exploiter sans souffrance. Et pourtant ça ne change rien pour les vegans. Preuve que ce n’est pas le vrai problème.)
Il est bien là le problème... Un caillou, une moule, un brin d'herbe et un cochon ne devrait logiquement pas vous faire dire qu'ils ont exactement la même valeur. Pour moi vous faîtes de la mauvaise foi ou manquez cruellement d'empathie, j'ai vraiment du mal à vous croire si vous me dites que vous choisirez aléatoirement qui sauver/sacrifier si la situation vous l'imposez.moi je le place entre les hommes et le reste.
Oui, dans une certaine mesure... l'exemple des chatons qu'on noie quand la portée est trop importante ne relève pas pour autant du mythe.Vathar a écrit : 24 juin 2020, 19:59 J'ai l'impression que dans l'inconscient collectif, il est plus facile de tuer un poisson qu'une bête a plumes ou pire encore, un mammifère.
t'arrêtes pas de changer de version tu disais :shisha a écrit : 24 juin 2020, 20:39 n France, la très grande majorité n'a jamais tué un lapin ou un cochon.
Il n'était pas question de pecher dans mon exemple, mais d'observer puis de tuer un cochon.
Et tu parlai à ce moment là d'un poulet.. T'es ensuite passé sur le cochon, mais les vegan sont contre le fait qu'on mange de la viande de poulet, de cochon, du poisson, des oeufs, etc.Si on devait nous même tuer l'animal, je pense que psychologiquement/émotionnellement on serait bien moins nombreux à être capable de le faire droit dans les yeux.
Clairement pas un mythe, je l'ai vécu aussi. Il est "intéressant" de noter que du coté de chez moi, on prenait un sac en plastique et un chiffon imbibé d'ether pour ... limiter la souffrance animale. Bizarrement c'est une préoccupation récurrente.Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 20:54l'exemple des chatons qu'on noie quand la portée est trop importante ne relève pas pour autant du mythe.
Avec l'exode rural des 50 dernières années, de moins en moins de gens sont contraints de tuer des animaux en personne, mais je doute que ça les ait rendus incapables de le faire. entre les propositions :(...)Si on devait nous même tuer l'animal, je pense que psychologiquement/émotionnellement on serait bien moins nombreux à être capable de le faire droit dans les yeux.
T'as du mal à l’accepter mais pour beaucoup de monde, il n'y a pas de problème à tuer des animaux pour les manger, ce qui pose problème à la plupart des gens se sont les mauvaises conditions d'élevages et d'abattages.
Et il y a 100 ans les gens s'en foutaient de ce que la majorité ont pour problème maintenant donc bon ...ce qui pose problème à la plupart des gens se sont les mauvaises conditions d'élevages et d'abattages.
T'as du mal à l’accepter mais pour beaucoup de monde, il n'y a pas de problème à tuer des animaux pour les manger.
Quand on pense que "en avril 2015, une majorité de Français (52 %) se déclarait favorable à son rétablissement [la peine de mort]", que c'est même pas à des fins utilitaires, et que ça fait des millénaires que certains prétendent que c'est mal de tuer son prochain, je pense que les barbecues peuvent dormir tranquille.Vathar a écrit : 24 juin 2020, 21:05 - L'observation des mœurs des derniers siècles/millénaires montre que l'humain n'a généralement pas de problème pour tuer des animaux et les manger, et en serait encore capable sans trop de remords.
Je ne pensais pas que c'était autant... Cette hausse est liée au terrorisme d'après ton article c'est donc la peur + vengence/colère, même si on peut faire des liens çà reste deux situations différentes. C'est pas dit que ces mêmes 52% humains soient moins enclins à tuer des "terroristes tueurs" par colères/peur/vengences qu'un animal innocent pour des raisons gustatives.Etienne Beauman a écrit : 24 juin 2020, 21:28Quand on pense que "en avril 2015, une majorité de Français (52 %) se déclarait favorable à son rétablissement [la peine de mort]", que c'est même pas à des fins utilitaires, et que ça fait des millénaires que certains prétendent que c'est mal de tuer son prochain, je pense que les barbecues peuvent dormir tranquille.Vathar a écrit : 24 juin 2020, 21:05 - L'observation des mœurs des derniers siècles/millénaires montre que l'humain n'a généralement pas de problème pour tuer des animaux et les manger, et en serait encore capable sans trop de remords.
Moi aussi, d'autant plus que la principale prise de conscience de ces 50 dernières années concerne la disponibilité de la viande et du poisson dans des étals de magasin et des emballages bien propres qui garantissent que la majorité de la population n'a pas besoin de penser au fait que la barbaque qu'elle (sur)consomme a bel et bien été tuée* .Vathar a écrit : 24 juin 2020, 21:05Avec l'exode rural des 50 dernières années, de moins en moins de gens sont contraints de tuer des animaux en personne, mais je doute que ça les ait rendus incapables de le faire. entre les propositions :
- L'observation des mœurs des derniers siècles/millénaires montre que l'humain n'a généralement pas de problème pour tuer des animaux et les manger, et en serait encore capable sans trop de remords.
- Une prise de conscience (?) des 20-30 dernières années a rendu les humains incapables de tuer des animaux eux mêmes pour s'en nourrir
Je choisis clairement la première.
Il est question d'espace également... Vous allez monopoliser tant d'espace pour laisser paturer vos bêtes et ou avoir besoin d'un espace pour produire la nourriture des bêtes. Tous ces espaces peuvent être utiliser pour produire directement la nourriture pour les humains. Et même sans parler de l'espace, si l'on se concentrait uniquement sur la nourriture actuelle donnée aux animaux d'élevage (tourteau de soja + céréales uniquement) il resterait un énorme gaspillage.L’exemple vache/céréale ne prend pas en compte la transformation de la source de nourriture. Elle se conserve plus facilement (tant que l’animal est vivant) et est deux fois plus riche en protéine que l’équivalent en céréales. Et encore mieux, une vache mange surtout ce que l’homme ne mange pas : foin, tourteau. Ce n’est pas comme si tout ce qui sert à nourrir la vache aurait été mangé par un homme.
Un coup vous dîtes que vous classez les choses selon le degré de sentience/conscience, un autre vous dites "l'humain et le reste" (sous entendu que vous ne faite pas de distinction entre un brin d'herbe ou un grand singe si le choix de qui sacrifier/sauver vous étais imposer). Ensuite vous dîtes que vous avez plus d'empathie pour les végétaux que les végans. Bref une forme de cri de la carotte déguisée...Pourquoi vous me parlez du cri de la carotte ? Ai-je prétendu quelque part que les plantes souffraient d’être tuée ?
Pourquoi n'appliquez vous pas alors ce même pragmatisme entre les animaux intelligent/conscient et les végétaux? Le cochon a un niveau de conscience bien plus élevé que la carotte ou que des personnes handicapée mentales très lourd.Mais si une espèce atteignait notre niveau de conscience, elle passerait de l’autre côté de la ligne. C’est tout. Pas de manque d’empathie ou une peur de la loi. Juste du pragmatisme.
Vous vouliez dire de mauvais goût? si c'est le cas c'est juste que votre perception des autres animaux est justement très basse contrairement à la mienne.de très bon goût en passant
Et pourtant si, votre empathie est beaucoup + à géométrie variable, vous c'est tout pour l'humain et rien pour les autres especes, tandis que pour moi, c'est plus par degré en fonction de plusieurs paramètres.Contrairement à un vegan, mon empathie n’est pas à géométrie variable selon que l’espèce le ressemble plus ou moins
De la faune sauvage... ou de la nourriture pour humain en + grande quantité.Cet argument de l’espace monopolisé pour les pâtures me laisse circonspect. On y mettrait quoi à la place ? Ce n’est pas comme si on manquait d’espace. Si ?
En ce qui me concerne, outre les tabous culturels de la situation, je ne pourrai pas à cause de l'empathie (lié cette fois à la ressemblance physique). Deplus, ce n'est pas comme ci c'était le seul choix de "protéines".pensez vous qu’un vegan serait d’accord pour manger un cochon handicapé mental lourd en état VÉGÉTATIF ?
Ce qui serait une perception bien erronée qui ne s'appuie pas sur les travaux scientifiques.Mais peut être que j’estime que l’écart entre le cochon et nous est dix fois plus important que l’écart entre le cochon et le brin d’herbe
C'est marrant mais c'est exactement le genre de souvenirs que j'ai de mon enfance. Mes parents qui écorchaient les lapins au milieu de la cuisine (à 2 ça se fait en 2 temps 3 mouvements). Et moi et mon frère qui devions pencher la tête pour continuer à voir "Il était une fois l'homme", gênés que nous étions par nos parents dans l'axe de la TV...richard a écrit : 24 juin 2020, 18:27oui! Et une bonne partie des gens lambda tu leur présentes le lapin qu’ils ont élevé ils te l’assomment vite fait devant leurs enfants, te l’ouvre en deux et lui enlèvent facilement la peau pour le manger le soir à la moutarde.
On n'était pas des chochottes comme maintenant !Damien26 a écrit : 25 juin 2020, 08:05 C'est marrant mais c'est exactement le genre de souvenirs que j'ai de mon enfance. Mes parents qui écorchaient les lapins au milieu de la cuisine (à 2 ça se fait en 2 temps 3 mouvements). Et moi et mon frère qui devions pencher la tête pour continuer à voir "Il était une fois l'homme", gênés que nous étions par nos parents dans l'axe de la TV...
Comment ça, "ils ne se sont jamais plaint" ?Etienne Beauman a écrit : 23 juin 2020, 15:03Si la torture des animaux est interdite, c'est pas pour défendre les droits des animaux*, ils se sont jamais plaint, c'est parce que des humains, en très grand nombre, trouve cette pratique dégueulasse.
Non, je ne suis pas d'accord.le droit est un concept humain qui n'a aucun sens au delà de l'appartenance à l'espèce.
Quand on parle de droit à propos d'un sujet, il y a nécessairement des hommes que le sujet concerne.