Re: Vaccin coronavirus
Publié : 14 févr. 2022, 16:47
J'ai lu en diagonale ton lien et cela ne semble pas répondre à la question de Mirage. Il faut distinguer les patients des variants Deltas (et autres) d'omicron pour pouvoir répondre à la question de Mirage.thewild a écrit : 14 févr. 2022, 16:47Oui.Mirages a écrit : 14 févr. 2022, 04:56 De toutes façons: quelqu'un a-t'il une source pour déterminer le nombre de personnes en soins intensifs certifié variant Omicron ?
26% des patients hospitalisés avec covid le sont pour une autre raison. Seulement 14% en soins intensifs.
C’est vrai, lui répond son acolyte, debout face à un écran. […] Premier point spectaculaire, cela fait maintenant six jours que les admissions en réanimation baissent. […] On va faire un petit calcul, au 21 décembre 2021, on comptait 3 096 patients en réanimation. Aujourd’hui, avec un rythme de 250 000 contaminations par jour, on compte 3 852 patients. Ça veut dire qu’on a 756 patients en plus. […] Mais en même temps, si on multiplie le nombre de cas détectés par deux [pour s’approcher du nombre de cas réel, ndlr], on serait sur un ordre de grandeur de 12,5 millions de Français qui ont été contaminés. Or dans le même temps, [pour] les cas graves, on parle de moins de 800 personnes. C’est facile à comprendre […] : ce n’est pas omicron qui est responsable des hospitalisations pour cas graves, c’est la vague delta. Or delta a représenté, il y a encore quelques semaines, 20 % des cas chaque jour. Ce sont ces cas delta qui ont développé des formes graves de la maladie et se sont retrouvés dans les services de réanimation. Ce qui veut dire qu’omicron n’a pas déclenché de vagues dans les services de réanimation.»
https://www.liberation.fr/checknews/est ... XNU2R5B64/Omicron n’a-t-il vraiment conduit qu’à 200 cas en plus en réanimation (plus précisément en soins critiques) durant les trois semaines citées ? Pas vraiment. Le collègue de David Pujadas, chargé de faire la démonstration de ce chiffre, n’utilise, en réalité, pas les bonnes données. Pour déterminer ses «756 patients en plus», il soustrait du nombre total de personnes en réanimation le 16 janvier le nombre de personnes qui s’y trouvaient le 21 décembre. Autrement dit, il raisonne sur le «stock». Or, entretemps, nombre de patients en soins critiques en sont sortis, soit parce qu’elles ont guéri (70 à 75 %), soit parce qu’elles sont mortes (25 à 30 %).
Sur cette période, ce sont en réalité 8 200 personnes qui sont entrées en soins critiques en France avec un diagnostic Covid-19. Combien l’ont été avec le variant omicron ? Difficile à dire. Car le suivi par type de variant est réalisé par la Drees (cellule statistique du ministère de la Santé) et les informations sur le sujet s’arrêtent pour l’heure au 9 janvier (elles seront réactualisées ce vendredi).
Pour réaliser une estimation sur vingt-six jours, comme dans cette émission, il faut donc faire le calcul du 14 décembre au 9 janvier. Sur cet intervalle, la Drees estime à 966 le nombre de patients entrés en soins critiques avec omicron. Soit 31 % des cas sur la semaine du 2 au 9 janvier. Une proportion qui devrait augmenter dans les semaines qui viennent, omicron étant désormais ultra majoritaire en France.
Ces données, cependant, qu’elles portent sur les hospitalisations ou les entrées en soins critiques, intègrent aussi les personnes porteuses du virus, mais admises pour d’autres pathologies. Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la part des patients Covid-19 pris en charge pour une autre raison que le virus se monte ainsi, pour la semaine du 3 au 9 janvier, à 20 % pour les hospitalisations et à 8 % pour les soins critiques. On peut donc réduire de 8 % le nombre d’entrées en soins critiques avec omicron, ce qui conduit à 889 entrées sur vingt-six jours. Et non pas 200, comme l’avance David Pujadas.
Au temps pour moi, j'ai cru qu'il parlait des cas "avec" vs "pour" covid.shisha a écrit : 14 févr. 2022, 17:33
J'ai lu en diagonale ton lien et cela ne semble pas répondre à la question de Mirage. Il faut distinguer les patients des variants Deltas (et autres) d'omicron pour pouvoir répondre à la question de Mirage.
Enfin, entre le 31 janvier et le 6 février 2022, le variant Omicron concerne :
- 99 % des tests PCR positifs ;
- 96 % des entrées hospitalières conventionnelles ;
- 93 % des admissions en soins critiques ;
- 83 % des décès de patients hospitalisés avec Covid-19.
Lecture : durant la semaine du 31 janvier au 6 février 2022, les 186 entrées quotidiennes moyennes en soins critiques
relevaient pour 93 % du variant Omicron et parmi ces dernières 78 % étaient des hospitalisations pour Covid-19 et 22 % pour
un autre motif.
J’aurais mieux compris cette formulation: durant la semaine du 31 janvier au 6 février 2022, dans les 186 entrées quotidiennes moyennes en soins critiques 78 % étaient des hospitalisations pour Covid-19 (parmi ces dernières 93% relevaient du variant Omicron) et 22 % pour un autre motif.shisha a écrit : 14 févr. 2022, 18:00 Oui et cela équivaut à :Lecture : durant la semaine du 31 janvier au 6 février 2022, les 186 entrées quotidiennes moyennes en soins critiques relevaient pour 93 % du variant Omicron et parmi ces dernières 78 % étaient des hospitalisations pour Covid-19 et 22 % pour un autre motif.
https://www.leparisien.fr/societe/sante ... 1481423552l’immense majorité des vaccinés atteints de formes graves ont des comorbidités
J'ai lu, je n'ai rien appris de surprenant ou induisant un changement par rapport à ce que savais. J'en sais plus, c'est tout.julien99 a écrit : 14 févr. 2022, 22:58 Le discours commence à changer :https://www.leparisien.fr/societe/sante ... 1481423552l’immense majorité des vaccinés atteints de formes graves ont des comorbidités
Rapportés à un groupe de 100 000 personnes, les taux d’hospitalisation et de décès sont nettement inférieurs à ceux obtenus chez les non-vaccinés.
Vous êtes un enfonceur de porte ouverte, et vous ne savez même pas analyser ce que vous publiez, si on doit comprendre que plus on est vieux, plus le corps est « usé », plus on est fragile, merci pour l’enseignement.julien99 a écrit : 14 févr. 2022, 22:58 Le discours commence à changer :https://www.leparisien.fr/societe/sante ... 1481423552l’immense majorité des vaccinés atteints de formes graves ont des comorbidités
Vous radotez quoi au juste ?Rapportés à un groupe de 100 000 personnes, les taux d’hospitalisation et de décès sont nettement inférieurs à ceux obtenus chez les non-vaccinés.
Conclusion de l'étude citée dans l'article du journal, étude portant sur 28 031 641 sujets (c'est moi qui souligne) :julien99 a écrit : 14 févr. 2022, 22:58 Le discours commence à changer :https://www.leparisien.fr/societe/sante ... 1481423552l’immense majorité des vaccinés atteints de formes graves ont des comorbidités
Sur la base des données nationales exhaustives de vaccination, de remboursement et d’hospitalisation, cette étude a mis en évidence la très faible fréquence des cas d’hospitalisation et de décès pour COVID-19 survenus sur la période de suivi à l’échelle de l’ensemble des personnes vaccinées en France au 31 juillet 2021. Le risque résiduel de forme sévère du COVID-19 après un schéma vaccinal complet restait fortement associé à l’âge et à la prise d’immunosuppresseurs ou de corticoïdes oraux. Ce risque augmentait fortement avec le nombre de comorbidités et les personnes vaccinées sans comorbidité représentaient une faible proportion des hospitalisations pour COVID et des décès.
Ces résultats suggèrent l’importance de la vaccination et des mesures de prévention complémentaires pour éviter un risque résiduel de formes sévères de COVID-19 chez les personnes vaccinées, en particulier les populations âgées, immunodéprimées et/ou polypathologiques.
shisha a écrit : 14 févr. 2022, 17:33J'ai lu en diagonale ton lien et cela ne semble pas répondre à la question de Mirage. Il faut distinguer les patients des variants Deltas (et autres) d'omicron pour pouvoir répondre à la question de Mirage.thewild a écrit : 14 févr. 2022, 16:47Oui.Mirages a écrit : 14 févr. 2022, 04:56 De toutes façons: quelqu'un a-t'il une source pour déterminer le nombre de personnes en soins intensifs certifié variant Omicron ?
26% des patients hospitalisés avec covid le sont pour une autre raison. Seulement 14% en soins intensifs.
Ci-dessous, par rapport à la question de Mirage et aussi par rapport aux 200 évoqués :
C’est vrai, lui répond son acolyte, debout face à un écran. […] Premier point spectaculaire, cela fait maintenant six jours que les admissions en réanimation baissent. […] On va faire un petit calcul, au 21 décembre 2021, on comptait 3 096 patients en réanimation. Aujourd’hui, avec un rythme de 250 000 contaminations par jour, on compte 3 852 patients. Ça veut dire qu’on a 756 patients en plus. […] Mais en même temps, si on multiplie le nombre de cas détectés par deux [pour s’approcher du nombre de cas réel, ndlr], on serait sur un ordre de grandeur de 12,5 millions de Français qui ont été contaminés. Or dans le même temps, [pour] les cas graves, on parle de moins de 800 personnes. C’est facile à comprendre […] : ce n’est pas omicron qui est responsable des hospitalisations pour cas graves, c’est la vague delta. Or delta a représenté, il y a encore quelques semaines, 20 % des cas chaque jour. Ce sont ces cas delta qui ont développé des formes graves de la maladie et se sont retrouvés dans les services de réanimation. Ce qui veut dire qu’omicron n’a pas déclenché de vagues dans les services de réanimation.»https://www.liberation.fr/checknews/est ... XNU2R5B64/Omicron n’a-t-il vraiment conduit qu’à 200 cas en plus en réanimation (plus précisément en soins critiques) durant les trois semaines citées ? Pas vraiment. Le collègue de David Pujadas, chargé de faire la démonstration de ce chiffre, n’utilise, en réalité, pas les bonnes données. Pour déterminer ses «756 patients en plus», il soustrait du nombre total de personnes en réanimation le 16 janvier le nombre de personnes qui s’y trouvaient le 21 décembre. Autrement dit, il raisonne sur le «stock». Or, entretemps, nombre de patients en soins critiques en sont sortis, soit parce qu’elles ont guéri (70 à 75 %), soit parce qu’elles sont mortes (25 à 30 %).
Sur cette période, ce sont en réalité 8 200 personnes qui sont entrées en soins critiques en France avec un diagnostic Covid-19. Combien l’ont été avec le variant omicron ? Difficile à dire. Car le suivi par type de variant est réalisé par la Drees (cellule statistique du ministère de la Santé) et les informations sur le sujet s’arrêtent pour l’heure au 9 janvier (elles seront réactualisées ce vendredi).
Pour réaliser une estimation sur vingt-six jours, comme dans cette émission, il faut donc faire le calcul du 14 décembre au 9 janvier. Sur cet intervalle, la Drees estime à 966 le nombre de patients entrés en soins critiques avec omicron. Soit 31 % des cas sur la semaine du 2 au 9 janvier. Une proportion qui devrait augmenter dans les semaines qui viennent, omicron étant désormais ultra majoritaire en France.
Ces données, cependant, qu’elles portent sur les hospitalisations ou les entrées en soins critiques, intègrent aussi les personnes porteuses du virus, mais admises pour d’autres pathologies. Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la part des patients Covid-19 pris en charge pour une autre raison que le virus se monte ainsi, pour la semaine du 3 au 9 janvier, à 20 % pour les hospitalisations et à 8 % pour les soins critiques. On peut donc réduire de 8 % le nombre d’entrées en soins critiques avec omicron, ce qui conduit à 889 entrées sur vingt-six jours. Et non pas 200, comme l’avance David Pujadas.
Donc pour 12 millions* (au minimum, car la semaine du 14 au 21 decembre n'est pas prise en compte) de contaminés covids Omicron cela serait environ 889 entrées en soins critiques étalés sur 26 jours.
L'hopital qui se fiche de la charité...
Ceux qui lavent les planchers à l'IHU – Méditerranée Infection travaillent aussi dans "une unité d'hospitalisation covid". Cela dépend du sens que l'on donne à "travailler" et à "unité d'hospitalisation". Cela vaut donc ce que ça vaut...Cmous23 a écrit : 15 févr. 2022, 14:24Pour avoir déjà travaillé dans une unité d’hospitalisation Covid
C'est quoi les "enfermistes"? Ceux qui font la promotion de la vaccination pour diminuer les hospitalisations?Actuellement, aucune restriction n’est justifiée sanitairement, c’est de la politique, les enfermistes sont trop fiers pour admettre la réalité scientifique, ils sont dans le dogme et l’obscurantisme, c’est triste
Une piste pour étayer tes propos ?Cmous23 a écrit : 15 févr. 2022, 14:24 Dans tous les cas ce chiffre reste dérisoire. Pour avoir déjà travaillé dans une unité d’hospitalisation Covid, la part des patients dont le Covid n’était pas là pathologie principale était de bien plus de 20%, je pense également que le nombre de patients Covid positifs admis en soins critiques pour une autre raison que le Covid est sous-évalué et est bien supérieure à 8%.
Il semble que le recours à la symbolique de l'étoile jaune ait été initiée par une américaine pro-Trump, connue pour son amour inconsidéré des armes, de la manière forte, et pour sa nullité abyssale concernant les faits historiques:unptitgab a écrit : 15 févr. 2022, 21:39 Après le port de l'étoile jaune les covidiots toujours dans la symbolique puante.
Celle qui réussi à faire passer Sarah Palin pour intelligente.
Sarah Palin...unptitgab a écrit : 16 févr. 2022, 10:00Celle qui réussi à faire passer Sarah Palin pour intelligente.
Elle vient de prendre une claque dans une poursuite en diffamation qu'elle tente contre le New York Times.Dominique18 a écrit : 16 févr. 2022, 13:49Sarah Palin...unptitgab a écrit : 16 févr. 2022, 10:00Celle qui réussi à faire passer Sarah Palin pour intelligente.
Je ne me rappelais plus.
Une véritable bête de compétition.
Quel pedigree!
Pour rappel: https://www.youtube.com/watch?v=C6urw_PWHYk
Je parie ma chemise que vous n'avez pas lu l'étude et n'avez aucune idée de ce qu'elle contient.julien99 a écrit : 17 févr. 2022, 09:39 D’après une étude chinoise il y aurait altération du système immunitaire y compris avec des vaccins à virus inactivé :
https://www.nature.com/articles/s41421-021-00329-3