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Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 17:16
par Psyricien
INFO: Ne pas rater mes deux autres messages en bas de la pages précédente (warning pour la mauvaise fois de richard, qui ne voit les questions que quand ça l'arrange)
Aller j'en remet une couche avec une exemple concret utilisant les rotation de l'espace:

soit deux système de coordonnées relié par les transformations:
\(dx' = {\rm cos}(\theta) dx %2b {\rm sin}(\theta)dy\)
\(dy' = {\rm cos}(\theta) dy - {\rm sin}(\theta)dx\)

Ci on applique les hypothèse de richard (qui ne sont pas des variables eulériennes, mais une confusion entre rotation et projection), dy=0 (projection x' sur x) et dx=0 (projection de y' sur y) ... du coup tout est égale à 0, mais on va garder le même format de notation que lui ...) ... elles deviennent:
\(dx' = {\rm cos}(\theta) dx\)
\(dy' = {\rm cos}(\theta) dy\)
Et donc celons richard, les rotation de l'espace ne conservent pas les longueurs ... énormes ... en vrai c'est juste qu'il ne voit pas qu'il est juste en train de dire: 0=0

Et donc celons richard ... les rotations de l'espace, pose les même problème que les TLs ... non mais quel cancre ...
G>, qui adore, mais adore ce genre de cas, dont la seule utilité est de montrer: "tous ce qu'il ne faut surtout pas faire" :).

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 18:31
par richard
Avec la description eulérienne, le mieux est de prendre une longueur Δx' puis de passer à une longueur infiniment petite, et de faire pareil avec le temps. Dans une TG,on a donc Δx' = Δx et Δt'= Δt; en passant aux limites on obtient dx'= dx et dt' = dt. Dans une TL, on a Δx'= K Δx et Δt' =Υ Δt; soit en passant aux limites dx' = K dx (contraction des longueurs en mouvement) et dt' = Υ dt (dilatation des durées).

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 18:47
par richard
Psyricien a écrit :INFO: Ne pas rater mes deux autres messages en bas de la page précédente
il est vrai que je lis tes messages en diagonale tant ils sont peu clairs.
Psyricien a écrit :Et donc selon richard, les rotations de l'espace ne conservent pas les longueurs ... énorme
Si tu veux dire par tes histoires de projection et de rotation dans l'espace que la contraction est réciproque, je suis entièrement d'accord, mais alors il faudrait écrire: Δx' = K Δx et Δx' = K Δx; ce qui impliquerait que K = 1 ce qui est faux; une autre possibilité serait d'introduire les longueurs —et les temps— propres, mais j'ai cru comprendre dans un précédent message que tu n'en n'étais pas partisan.

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 19:33
par Psyricien
Arrête la science richard ... tu raisonnes avec choses aussi absurde que
\(dx' = dx\)
\(dt' = dt\)
et donc \(\frac{dx'}{dt'} = \frac{dx}{dt}\) ... et oui mes amis ... chez richou, les vitesses sont invariantes par changement de référentiel ...
Et donc dans mon référentiel, je suis immobile, right ? Donc \(\frac{dx}{dt} = 0\), mais selon richard\(\frac{dx'}{dt'} = \frac{dx}{dt}\) et donc:
\(\frac{dx'}{dt'} = 0\), je serais donc immobile dans tous les référentiels :shock: :shock: :shock:, richard nie en substance la possibilité de se mouvoir dans l'espace !!!
AMAZING :lol: :lol: :lol: ...
Si il arrive à accepter se genre de négation absolu du réel, qu'espérer de lui ... rien je le crains.

Encore à confondre la projection d'un repère sur un autre avec la rotation liant deux repères (confondre une matrice avec un élément de cette matrice ... en termes d'algèbre linéaire) ... c'est triste, vraiment triste, j'aurais presque de la compassion pour toi ... j'ai bien dit presque ;).

G>, qui n'en peu plus de rire, et qui commence à avoir mal au diaphragme ...

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 19:43
par richard
Psyricien a écrit :pour chopper:
\(dx' = K dx\) qui est une projection, il faut imposer: \(dt' = 0\).
Très bien! :bravo: c'est ainsi qu'on démontre la contraction des longueurs en RR;
Pour la mesure faite dans le référentiel \(\mathcal{R'}\), on a Δt' = 0
Psyricien a écrit :pour chopper:
\(dt' = \gamma dt\) il faut imposer \(dx = 0\)
Encore bravo! :bravo: C'est comme ça qu'on calcule la dilatation des durées en RR:
Supposons que dans un référentiel \(\mathcal{R}\) deux événements se produisent au même endroit, mais à deux moments différents.

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 19:47
par Psyricien
Bah alors richou ... tu veut pas nous parler du fait que dans ta logique de transformations "mystérieuses" ... les vitesses seraient invariantes par changement de référentiel ?.

Te rend tu compte de l'ineptie que cela constitue ?
On parie que dans deux où trois post tu nous invente une nouvelle définition contradictoire ?

G>, toujours autant mort de rire ... qui avait raison quand il disait que richard allait se lancer dans un rush de réponses débile pour "noyer le poisson" ... la seul chose de noyée cependant, c'est son encéphale ... et chacun le sait ... quand y a de l'eau dans le cerveau ... ça marche pas super ;).

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 21:33
par richard
Psyricien a écrit :Bah alors richou ... tu veux pas nous parler du fait que dans ta logique de transformations "mystérieuses" ... les vitesses seraient invariantes par changement de référentiel ?.
Ton problème c'est que tu ne veux —peux?— pas penser en variables d'Euler, que tu continues à raisonner en variables de Lagrange. Je ne peux plus rien pour toi!
:hello:

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 22:01
par Psyricien
richard a écrit :
Psyricien a écrit :Bah alors richou ... tu veux pas nous parler du fait que dans ta logique de transformations "mystérieuses" ... les vitesses seraient invariantes par changement de référentiel ?.
Ton problème c'est que tu ne veux —peux?— pas penser en variables d'Euler, que tu continues à raisonner en variables de Lagrange. Je ne peux plus rien pour toi!
:hello:
Richard, l'un de tes problèmessssssss ... c'est que tu n'arrive pas à penser tout court ;).
Ok donc tu maintiens cette affirmation:
les vitesses seraient invariantes par changement de référentiel !
Définitivement lost ... tu ne t'en rend même compte ... tu ne sais même pas quelles sont les grandeurs avec lesquelles tu joue !

Au passages tu n'utilises pas des "variables d'Euler", que tu ne comprend pas plus que le reste ;) !
Les coordonnées de l'espace sont des coordonnées de l'espace, et rien d'autre ! Elle sont associées à la définition d'un repère dans un référentiel !.
Mais comme tu est mauvais ... et que tu ne sais pas ce qu'est un référentiel ... tu te plante dans la façon de poser le problème physique !
Toujours le même soucis ... tu ne sais pas faire le liens entre des phrases et des équations ...
Tes fameux 4 postulats me font encore rire ... on serait curieux de voir ta "théorie" découler de ces 4 phrases ... extra-lol

Tu mélange une rotation (opération linéaire matricielle) avec des projections (qui ne font intervenir qu'un élément de cette matrice) ... le pire, c'est que pour ce faire tu doit tour à tour supposer, \(dt = 0\) puis \(dx' = 0\) ... et donc par extension \(dt' = 0\) et \(dx = 0\).
Tu ne comprend même pas que tu est en train de découvrir que 0=0 ... il serait temps ;).

Mais cela reste magnifique de prétendre avec autant d'aplomb que: les vitesses seraient invariantes par changement de référentiel !
A ce point de dénégation du réel, il n'y a plus rien à espérer ;).
D'ailleurs on te voit bien en peine de contrarier ma démo ... cela voudrait-il dire que tu croit que: "Les lois de la physiques dépendent du formalisme utilisé ?".
Tu ne te rend même pas compte qu'écrire
x' = x
t' = t
implique: que R est identique à R' ... puisque deux référentiels se définissent justement par les mesures qui sont faites depuis ces référentiels (un référentiel n'étant jamais qu'un cadre dans lequel prend place une mesure) !!!
Si on prend ta définition, cela implique que R et R' son in-différentiable dans le monde réel ... et donc tu nie en substance la possibilité de se mouvoir dans l'espace.

Mais bien-sur, tu vas continuer de faire le sourd ... et dans 5 pages, tu va nous redire qu'il n'y a aucune objections à ton "délirium" ... alors qu'on (moi et d'autres) en as fourni une liste longue comme le bras ;).

J'en ai déjà vu des benêt ... mais arrogant et boulet à se point rarement, les contradictions, les assertions connues comme fausses, les raisonnements absurdes ... rien ne l’effraie, il innove dans l'incompétence.
Non sérieux, tu as fait combien d'AVCs dans ta vie ? Et ça se dit ingénieur ... misère

G>, qui rigole tellement fort, que ces voisins doivent se demander se qui se passe ;).

Résumé:
Ma démo: 0 contestation
Version richard: J'ai expliqué où était la myriade d'erreurs (surtout la non maitrise de ce qu'est un référentiel et une transformée de Galilée)
Bilan -->On garde la mienne !

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 23:09
par richard
Psyricien a écrit :Non sérieux, tu as fait combien d'AVCs dans ta vie ?
bonsoir! Je n'ai pas fait d'AVC, je n'ai fait qu'un abcès au cerveau dont les conséquences sont à peu près les mêmes qu'un AVC: décès, paralysie, troubles neurologiques, épilepsie, etc.. J'ai peu de séquelles depuis que je suis sorti du coma (artificiel): hémiparésie, spasticité, j'ai des difficultés avec mes bras( spasticité à gauche, bras cassé et tendinite à droite) mais je ne bave plus et je ne fais plus dans mes culottes, :mrgreen: et j'ai retrouvé —presque— toutes mes facultés mentales (qui étaient très importantes).

Re: réductionisme

Publié : 13 juil. 2013, 23:40
par Psyricien
richard a écrit :
Psyricien a écrit :Non sérieux, tu as fait combien d'AVCs dans ta vie ?
bonsoir! Je n'ai pas fait d'AVC, je n'ai fait qu'un abcès au cerveau dont les conséquences sont à peu près les mêmes qu'un AVC: décès, paralysie, troubles neurologiques, épilepsie, etc.. J'ai peu de séquelles depuis que je suis sorti du coma (artificiel): hémiparésie, spasticité, j'ai des difficultés avec mes bras( spasticité à gauche, bras cassé et tendinite à droite) mais je ne bave plus et je ne fais plus dans mes culottes, :mrgreen: et j'ai retrouvé —presque— toutes mes facultés mentales (qui étaient très importantes).
Au vu de ce à quoi on assiste ... au choix:
-->La proposition rouge est fausse
-->La proposition bleu est fausse
-->Les deux sont fausses
Pas d'autres possibilités hélas ... :lol:

1) Car pour utiliser des transformations qui implique que: Les vitesses sont invariantes par changement de référentiel !, il y a forcément déficience ;).
2) On remettra aussi un peu l'accent sur les defs incohérentes du genre: \({\rm d}t' = {\rm d}t\) et \(v = u.{\rm cos}(\theta)\) avec \(v = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\) et \(u = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t'}\)
3) On notera aussi que pour toi: Les rotations ne conservent pas les longueurs (tes éternels soucis d'isotropie ;))
4) Tu opère un changement de variables pour les transformations, mais pas pour l'équation d'onde ... chercher l'erreur, elle est obvious ;), c'est une histoire de mélanger des choux et des carottes ;).
5) Tu considère que changer de formalisme mathématique change les lois de la physique ... Énorme ...


On pourrait faire un listing bien plus long ... mais celles là méritent la palme !
Si, on as échoué à te faire comprendre les maths et la physique ... en même temps j'avais déjà dit qu'il était impossible d'instruire un cancre fainéant et arrogant ... J'aurais au moins réussi à t'apprendre des rudiments de \(\LaTeX\), même si tes utilisations, ce résume souvent à des copié-collé ;).
G>

Re: réductionisme

Publié : 14 juil. 2013, 11:05
par richard
Et moi je n'aurais pas réussi à te faire comprendre la différence entre les descriptions lagrangienne et eulérienne. Dommage! sinon tu saurais que l'on ne peut obtenir des dérivées partielles —et donc les équations de propagation des ondes— avec les variables de Lagrange.

Re: réductionisme

Publié : 14 juil. 2013, 11:57
par Psyricien
richard a écrit :Et moi je n'aurais pas réussi à te faire comprendre la différence entre les descriptions lagrangienne et eulérienne. Dommage! sinon tu saurais que l'on ne peut obtenir des dérivées partielles —et donc les équations de propagation des ondes— avec les variables de Lagrange.
:shock: :shock: :shock:
La phrase en gras est magique ... car toutes les équations:
-->Propagations d'une ondes
-->Maxwell
-->Relativité générale
utilisent les coordonnées de l'espace (les TGs et les TLs sont les mêmes que ce soit en description Lagrangienne où Eulérienne ... encore faut-il savoir les écrire ;) ) et des dérivées partielles ... richard invente avec allégresse ... (et il ne bite pas un cachou des équations qu'il entend manipuler ... ce qui est assez gaguesque). Richard tu connait l'analyse vectorielle ? Apparemment pas ;) ... tu as surement raté le cours ;).

Richard confond l'objet physique "coordonnées de l'espace" avec la façon d'écrire une problème de méca des fluides: "description de l'évolution de chaque particules" où "description du champs de vitesse" ... mais peu importe la façon d'écrire le problème, les coordonnées de l'espace reste le même objets physique et suivent les même lois dans les deux cas ... il nous montre ici toutes ça confusion ...

Te rend tu compte que tu est en train de prétendre qu'il est impossible de définir un gradient, un laplacien, une divergence, un rotationnel ... en fonction des coordonnées de l'espace ... tu nie ici toutes l'analyse vectorielles ... sur la base de tes fantasme et ton incompréhension !!!
Quand richard est acculé, il invente une "nouvelle loi", sortie de derrière les fagots ... mais qui constitue un dénie de réalité magnifique ! Ce genre de dissonance cognitive est magique !!!

A part toi ? Y a d'autres personnes qui partagent tes croyances ? Une petite ref ? Non ? Parce que ici (je sais, je m'en excuse, cette ref est un peu trop technique pour ton niveau ...): http://fr.wikipedia.org/wiki/Description_lagrangienne, visiblement ils utilisent des dérivés partielles ... ;).

Parce que on aimerait bien comprendre ce qui empêche de faire des dérivés partielles ? Qu'est-ce qui empêche d'étudier les variations selon un paramètre en laissant les autres constants ? Nous sommes tout ouïe :lol: :lol: :lol:
En outre, dans la démonstration que j'ai fourni ... que tu n'as visiblement pas compris ... je démontre la conservation de l'équation d'onde via les TLs, et la non conservation via les TGs ... démonstration à laquelle ... tu n'as rien trouver à redire ...

lol ... la dérivée partielle est un "formalisme mathématique" permettant d'écrire pour toutes fonctions dérivables, \(F\), dépendant de plusieurs variables (par exemple \(x\) et \(t\)):
\({\rm d}F = \frac{\partial F}{\partial x}{\rm d}x %2b \frac{\partial F}{\partial t}{\rm d}t\)
un peu de lecture (un peu trop technique pour ton niveau, mais essayons): http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9riv ... _partielle

Peut importe les variables, peut importe ce que tu décris, comment tu le décris ... tu peut toujours introduire des dérivées partielles.
Cette formule est d'ailleurs intimement liée avec la "formule bien connue" de la dérivé, \(\frac{{\rm d}F}{{\rm d}x}\), d'une fonction dérivable de la forme \(F = u(x).v(x)\).
En effet on peut écrire:
\({\rm d}F = \frac{\partial F}{\partial u}{\rm d}u %2b \frac{\partial F}{\partial v}{\rm d}v = v {\rm d}u %2b u {\rm d}v\)
Et donc
\(\frac{{\rm d}F}{{\rm d}x} = v \frac{{\rm d}u}{{\rm d}x} %2b u \frac{{\rm d}v}{{\rm d}x}\)
Qui est la formule "bien connu des élèves de lycée" ... que tu ne connais pas encore, car tu es encore à un niveau collège ;).

Merci richard, de nous montrer encore une fois que ton niveau en math est abyssale ... et que tu ne sais pas vraiment ce qu'est une dérivé partielle ... qui n'est qu'un formalisme mathématique ... hilarant ... il n'y a rien pour te sauver ...
Psyricien le grand magnifique a écrit : 1) Car pour utiliser des transformations qui impliquent que: Les vitesses sont invariantes par changement de référentiel ![...]
2) On remettra aussi un peu l'accent sur les defs incohérentes du genre: \({\rm d}t' = {\rm d}t\) et \(v = u.{\rm cos}(\theta)\) avec \(v = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t}\) et \(u = \frac{{\rm d}x}{{\rm d}t'}\)
3) On notera aussi que pour toi: Les rotations ne conservent pas les longueurs (tes éternels soucis d'isotropie ;))
4) Tu opère un changement de variables pour les transformations, mais pas pour l'équation d'onde ... chercher l'erreur, elle est obvious ;), c'est une histoire de mélanger des choux et des carottes ;).
5) Tu considère que changer de formalisme mathématique change les lois de la physique ... Énorme ...

On pourrait faire un listing bien plus long ... mais celles là méritent la palme !
G> ... qui est hilare devant l'anti-corrélation connaissance(\(\sim 0\))-arrogance(\(\sim \infty\)) que l'on trouve chez richard !!!

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 09:25
par Eve_en_Gilles
c'est tellement beau de voir richard, 18 pages après avoir commencé à présneter n'importe comment son affaire, sortir les mots "variable eulérienne" comme nouveau bouclier anti-reflexion.
Cette nouvelle (pour richard) notion n'apparait évidemment nulle part avant, jamais.

Avant les "variable eulérienne" c'était "transformation de Galilée" son expression fétiche (richard, toujours pas compris le sens de la phrase "les transformations de Galilée sont des transformations de Lorentz" ? Allez, un effort, tu verras, c'est pas si difficile. Une partie de la réponse est même contenue dans la démo de Psyricien en page précédente).

Mhhhh, je te conseille "théorème de Rayleigh-Ritz" pour ton prochain essai de sortir des mots savants pour faire écran.

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 12:16
par richard
Psyricien a écrit :Peu importe les variables, peu importe ce que tu décris, comment tu le décris ... tu peux toujours introduire des dérivées partielles.
mais certainement, mon cher! Je t'expliquerais un jour en détails comment ça marche. Cela dit, nous ne serons jamais d'accord, nous sommes tous deux persuadés d'avoir raison, mais l'un a tort, l'autre a raison.
Cette discussion pourrait sembler stérile puisqu'elle n'a pas débouché sur un accord. Elle a eu cependant l'avantage de renforcer mes convictions et de préciser la pierre d'achoppement de nos visions respectives, et donc le point de divergence entre la théorie einsteinienne et la mienne. Je te remercie donc d'y avoir contribuée, et à la modération des Sceptiques de l'avoir permise.

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 13:53
par Eve_en_Gilles
richard a écrit :
Psyricien a écrit :Peu importe les variables, peu importe ce que tu décris, comment tu le décris ... tu peux toujours introduire des dérivées partielles.
mais certainement, mon cher! Je t'expliquerais un jour en détails comment ça marche. Cela dit, nous ne serons jamais d'accord, nous sommes tous deux persuadés d'avoir raison, mais l'un a tort, l'autre a raison.
Cette discussion pourrait sembler stérile puisqu'elle n'a pas débouché sur un accord. Elle a eu cependant l'avantage de renforcer mes convictions et de préciser la pierre d'achoppement de nos visions respectives, et donc le point de divergence entre la théorie einsteinienne et la mienne. Je te remercie donc d'y avoir contribuée, et à la modération des Sceptiques de l'avoir permise.
autrement dit
richard, s'il était honnête a écrit :Ca fait 18 pages que je raconte de la merde et que je me fait défoncer aussi bien en maths qu'en physique. Tout ce que j'ai réussi à faire c'est tenter de noyer à plusieurs reprises le poisson en me contredisant tout le temps (sur mon nombre de relecteur, sur mon diplome fantasmé d'ingénieur, sur les réponses des revues auxquelles j'ai soumis mon article, sur mes postulats, etc...) et en affichant de graves lacunes à tous les niveaux (je ne sais par exemple ni définir un référentiel, ni un postulat ni faire une équation aux dimensions ni comprendre pourquoi une TG est une TL. Je n'y connais évidemment rien en relativité restreinte. Cette liste n'est pas du tout exhaustive).
Je n'ai répondu à aucune question de fond (ou presque), et me borne à corriger les fautes d'orthographe de Psyricien pour me donner de la contenance. Heureusement qu'il en fait beaucoup, sinon j'aurais déjà fuit drapé dans ma pseudo-dignité.
Sinon je fais le sourd, heureux de m'entêter à croire que toute la merde que j'ai pondu soit en fait de l'or, et ce malgré l'odeur la consistance et la couleur.
Ma théorie continuera à me faire passer pour quelqu'un d'interessant voire d'intelligent devant des gens n'ayant pas un bagage scientifique suffisant pour comprendre quel médiocre escroc intellectuel je fais.
C'est la seule gloriole que j'arriverais à en tirer mais du fond de ma petitesse, je m'en félicite chaudement

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 14:11
par Psyricien
Aller on applaudit bien fort richou ... qui nous sort une nouvelle fuite, pour le moins lamentable montrant son un essoufflement total ;).

Richard finit donc par nous dire: "La vitesse d'un objet \(A\) est constante par changement de référentiel (\(\frac{{\rm d}x}{{\rm d}t} = \frac{{\rm d}x'}{{\rm d}t'}\))", avec \({\cal R}'\) animé d'une vitesse \(v\) par rapport à \({\cal R}\)). Et comme chacun de nous est immobile dans son propre référentiel, chacun de nous à une vitesse nulle dans tous les référentiel (selon richou), ce qui nie l'existence même du mouvement ... merci richard pour cette "révélation".

Bon on comprend toujours pas pourquoi richard s’entête à utiliser des postulats invalidés par le réel ... mais bon la dissonance cognitive est une chose merveilleuse ...
Qu'il est drôle ... mais qu'il est drôle ... voilà, la réalité viens de l'attraper ... il aura pas couru longtemps ... (Gatti fait bien mieux ...)
G>

PS: Pleurs pas trop, tu n'es pas le premier à te faire ramasser ... mais il faut dire qu'avec toutes les inepties que tu racontes ... je ne vois pas bien qui pourrait encore prêter attention à tes propos ... il faut dire que tu ne sais même pas ce qu'est: "une coordonnée" dans un espace vectoriel ... chose qui normalement est acquise dès que tu commence à faire de la géométrie ... donc niveau primaire/collège ...

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 15:19
par Eve_en_Gilles
richard a écrit :Soit R' un autre référentiel en mru par rapport à R. Si ces espaces sont liés par une transformation galiléenne leurs coordonnées sont liées, elles, en utilisant la description eulérienne, par:
x' = x
t' = t
source
Si x'=x et t'=t, on a forcément v'=v, d'où invariance des vitesse par changement de référenciel.
Psyricien a écrit :Richard finit donc par nous dire: "La vitesse d'un objet \(A\) est constante par changement de référentiel (\(\frac{{\rm d}x}{{\rm d}t} = \frac{{\rm d}x'}{{\rm d}t'}\))", avec \({\cal R}'\) animé d'une vitesse \(v\) par rapport à \({\cal R}\)). Et comme chacun de nous est immobile dans son propre référentiel, chacun de nous à une vitesse nulle dans tous les référentiel (selon richou), ce qui nie l'existence même du mouvement
Dans le genre de démonstration de l'absurdité des gribouillages de richard je crois qu'on a là le truc plus plus simple, compréhensible et efficace qu'il soit.

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 16:11
par Psyricien
Je pense que cela tiens au fait que richard confond:
-->Des coordonnées dans un espace vectoriel (distances par rapport à l'origine du repère projetées sur les axes du repère choisi)
-->Des distances dans un espace vectoriel (calculées via la différence entre les coordonnées de deux points)

J'en veux pour preuves ses confusions à répétition:
-->le coup du x'=x ... car il croit que "x" est une distance et non une coordonnée (il essaye de cacher se derrière la description eulérienne, mais qui en fait est sans rapport aucun avec ça confusion ...).
-->ça sempiternelle volonté d'exprimer les TLs uniquement en termes de projections de longueur spatiales où temporelles d'un référentiel vers un autre.

Bref, il trouve une équation, ne comprend pas les termes, ce met à imaginer ce que pourrait être ces glyphes mathématique nébuleux, et commence à fantasmer ... alors que dès le début, il confond des coordonnées avec des distances ... mais au lieu d'écouter les explications, il s'entête dans des délire incohérents ...
Tout cela saupoudré du fait qu'il ne comprend pas que des rotations dans un espace vectoriel conservent les distances dans cette espace (définition de l'isotropie de l'espace), et non dans des sous-espaces (version richard, qui ne marche pas plus en RR qu'en physique Galiléenne, comme je l'ai démontré) ...

En tout cas, on aura bien rit :).
G>

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 16:55
par Wooden Ali
Je pense que cela tiens au fait que richard confond:
-->Des coordonnées dans un espace vectoriel (distances par rapport à l'origine du repère projetées sur les axes du repère choisi)
-->Des distances dans un espace vectoriel (calculées via la différence entre les coordonnées de deux points)
Rien que pour cette confusion, un élève de seconde mériterait un bon coup de pied au cul. Alors que mérite un ingénieur, philosophe, physicien révolutionnaire qui fait la même ?

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 17:42
par richard
Eve_en_Gilles a écrit :Si x'=x et t'=t, on a forcément v'=v, d'où invariance des vitesses par changement de référenciel.
Encore une fois: oui c'est vrai dans une description lagrangienne, mais pas dans une description eulérienne. Psyricien a beau dire que les variables sont les mêmes, eh bien pas du tout! dans une description eulérienne on a bien x=x' ou plus exactement x = x' sous forme vectorielle; quand vous aurez compris ça vous aurez déjà fait un grand pas en avant, mais vous êtes excusables car, en tant que scientifiques, vous utilisez peu cette description, alors que nous, les ingénieurs, nous la connaissons bien. :langue:

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 18:53
par richard
Psyricien a écrit :Je pense que cela tient au fait que richard confond:
-->Des coordonnées dans un espace vectoriel (distances par rapport à l'origine du repère projetées sur les axes du repère choisi)
-->Des distances dans un espace vectoriel (calculées via la différence entre les coordonnées de deux points)
salut Psyricien! excuse-moi mais tu te trompes, oh! pas beaucoup: des coordonnées dans un espace vectoriel ne sont pas des distances. Par contre, dans un espace vectoriel normé, on peut définir la distance induite par la norme:
d(A, M) = n(AM).
Il faut comprendre:
1. d'abord qu'un "solide de référence" ( ou référentiel physique) est associé à un espace euclidien E de dimension trois.
2. qu'il existe un isomorphisme entre deux espaces physiques distincts E et E' (donc entre deux référentiels \(\cal R\) et \(\cal R'\) en mru l'un par rapport à l'autre) .
3. qu'on a donc bien x' = x pour les vecteurs et x' = x, y' = y, z' = z pour les coordonnées, Δx' = Δx, Δy' = Δy, Δz' = Δz, si ça te fait plaisir.

EDIT: coordonnées ici doivent être entendues comme celles d'un vecteur.

:langue:

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 19:11
par curieux
richard a écrit :
curieux a écrit :bon, et alors, ce n'est pas la même chose ?
Ben non! Je trouve qu'il y a une différence entre dire "la vitesse de la lumière dans tout système de référence est indépendante de la vitesse de sa source." et dire "Il existe une vitesse limite pour toute propagation des interactions ou signaux" je ne lis pas les mêmes mots, je trouve que le sens est différent, pas toi?
alors tu devrais revoir les bases de la RR ou apprendre à lire : je recite le postulat
Postulat N°2:
Il existe une vitesse limite pour toute propagation des interactions ou signaux, cette vitesse limite est une constante universelle, elle correspond également à la vitesse de propagation de la lumière dans l'espace vide de charges et de courants. La vitesse de propagation de la lumière dans le vide a donc la même valeur c par rapport à tout référentiel galiléen et ne dépend donc pas, en particulier, du mouvement de la source qui l'émet.
Si c est une constante et une limite alors il va de soi que l'un ne va pas sans l'autre.

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 19:16
par Psyricien
richard a écrit :
Eve_en_Gilles a écrit :Si x'=x et t'=t, on a forcément v'=v, d'où invariance des vitesses par changement de référenciel.
Encore une fois: oui c'est vrai dans une description lagrangienne, mais pas dans une description eulérienne. Psyricien a beau dire que les variables sont les mêmes, eh bien pas du tout! dans une description eulérienne on a bien x=x' ou plus exactement x = x' sous forme vectorielle; quand vous aurez compris ça vous aurez déjà fait un grand pas en avant, mais vous êtes excusables car, en tant que scientifiques, vous utilisez peu cette description, alors que nous, les ingénieurs, nous la connaissons bien. :langue:
Richard continue de confondre des coordonnées avec des distances ...
Dans la mesure où tu ne définit pas ce que sont "x" et "t", ça pourrait aussi bien être un classement de films et un nombre de tomate, que autre chose ...
Le lien que tu donne, ne tien pas le propos que tu tiens ... mettre un lien pour faire genre ne marche qu'avec les gus qui ne clique pas dessus (un peu comme toi) ... pb, nous on clique ;).

Des coordonnées de l'espace sont des coordonnées de l'espace ! Elle se définissent via la position par rapport au centre du repère choisit, projetée sur les axes de se même repère ! ... elles ne dépendent pas du formalisme Eulérien où Lagrangien ! Ce qui dépend de ces formalismes c'est la façon dont on va utiliser ces coordonnées.
Et il est inepte, de croire que la "façon" d'utiliser un outils change les propriété de l'outil ! Dans les deux cas, c'est toujours le même outil (pour parler en termes plus basiques, qui seront plus accessible à richard).
lien fourni par richard a écrit :Dans la description eulérienne, on ne se préoccupe pas de savoir ce qu'il advient de chaque particule. En fait on étudie ce qui se passe, à chaque instant, en chaque point de l'espace.
Soit un point \(P\), de coordonnées \(x\) fixe (description eulérienne) et \(t\) dans \({\cal R}\), alors ces coordonnées (selon les TGs) dans \({\cal R}'\) en translation rectiligne uniforme selon l'axe \(x\) à une vitesse \(v\) par rapport à \({\cal R}\), s'écrivent:
\(x' = x-vt\)
\(t' = t\)
Cela est exact, peu importe le formalisme ! Tu nous montre que tu ne sais pas ce qu'est une coordonnée dans un espace vectoriel !
On ne peut pas être à la fois fixe dans \({\cal R}\) et \({\cal R}'\) si \({\cal R}'\) bouge par rapport à \({\cal R}\) !

cela l'aidera peut-être à comprendre (j'ai des doutes, il semble savoir écrire le français ... mais le comprendre semble hors de ça portée):
http://res-nlp.univ-lemans.fr/NLP_S_M02 ... u_13a.html
Dans l'un des cas (Lagrange) tu autorises les positions à varier ! Dans l'autre les positions sont fixent (Euler) !!! C'est tout ... la définition de la positions ne change pas pour autant ... misère !
Donc chez Euler \(x\) ne varie pas selon \(t\), mais cela ne veut pas dire que \(x'\) ne varie pas selon \(t\)\(t'\) !!! ... car si \(x'\) ne varie pas selon \(t'\) alors \(x'\) bouge dans \({\cal R}\) (par définition) ... et donc les positions \(P\) (repérée par la variable \(x\) dans \({\cal R}\)) et \(P'\) (repérée par la variable \(x'\) dans \({\cal R}'\)) ne sont plus les mêmes points et sont en mouvement l'un par rapport à l'autre ... ce qui rend leur comparaison inepte (ce que tu fait cependant) !!!
Un point fixe \(P\) de \({\cal R}\) ne peut pas être fixe dans \({\cal R}'\) si \({\cal R}'\) bouge par rapport à \({\cal R}\) ... simple définition de la notion de mouvement relatif !!!
Donc quand tu écrit ... \(x = x'\), tu parle de deux point qui potentiellement peuvent être identique à un instant \(t_0\) mais qui seront alors différents à un instant \(t_1 \neq t_0\).
Ne pas comprendre cela est grandiose !!!
En fait richard ne comprend pas vraiment c'est quoi des variables d'Euler ... il les a vu dans un livre de formules (une sorte de grimoire plein d'incantation mathématique étrange de son point de vu), éventuellement les appliquent (mal la plupart du temps) ... mais bon pour lui se sont des glyphes mathématiques obscurs et insondables ...
Rappelons que la seul différences entre des variables d'Euler et de Lagrange est:
-->Que pour Lagrange le vecteur position dans \({\cal R}\) suit l'évolution de la position d'un objet au cours du temps !!!
-->Que pour Euler le vecteur position dans \({\cal R}\) est fixe au cours du temps et on suit l'évolution du champs de vitesse en cette position !!!
Ce qui change c'est la grandeur que l'on regarde ... pas la définition des coordonnées dans un espace vectoriel !!!
Ainsi les coordonnées suivent les même transfo ... peu importe le formalisme !!!

Richard ne comprend toujours pas ce qu'est un changement de référentiel, ni des coordonnées.
INFO: Dans une équation de propagation d'une onde on dérive par rapport aux coordonnée de l'espace utilisé.
Rappelons que dans la notion de \(\frac{\partial F(x,t)}{\partial x}\), on étudie les variations de \(F\) selon les variations de \(x\) pour \(t\) constant ! ... et donc dans ce cas comme on ne fait pas varier \(t\) durant se processus ... on n'a naturellement une équivalence entre les deux approches: Lagrangienne (\(x\) à \(t\) constant, donc suppression des variations de \(x\) avec \(t\) qui est constant) et Eulérienne (\(x\) indépendant de \(t\), puisque \(x\) fixe).
La nuance, qui échappe à richou se trouve ici:
Pour Euler:
\(\frac{\partial F(x,t)}{\partial x} = \frac{{\rm d} F(x,t)}{{\rm d} x}\)
hors pour Lagrange:
\(\frac{\partial F(x,t)}{\partial x} \neq \frac{{\rm d} F(x,t)}{{\rm d} x}\)
C'est surement cette relation que richard interprète à tord en nous sortant des âneries comme \(x'=x\) ... alors que heureusement quand un référentiel bouge par rapport à un autre, alors un point fixe dans l'un des deux, ne peut pas être fixe dans l'autre
Wooden Ali a écrit :Rien que pour cette confusion, un élève de seconde mériterait un bon coup de pied au cul. Alors que mérite un ingénieur, philosophe, physicien révolutionnaire qui fait la même ?
Et le pire c'est qu'il s'enfonce tout seul !!!
D'ailleurs de nouveau, il a été incapable de contre-dire ma démonstration ... donc pour lui, les lois de la physique dépendent du formalisme !!!
Mais bon pour richard un point \(P\) peut être immobile (\(x=x'\)) dans deux référentiels en même temps, lesquels sont en mouvement l'un par rapport à l'autre ... si ça c'est pas énorme !!!

Quel gag ambulant ... tenir un propos du genre: "Les vitesse sont invariantes par changement de référentiel" ... il faut vraiment être à la masse ;).
G>

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 19:22
par Psyricien
richard a écrit :
Psyricien a écrit :Je pense que cela tient au fait que richard confond:
-->Des coordonnées dans un espace vectoriel (distances par rapport à l'origine du repère projetées sur les axes du repère choisi)
-->Des distances dans un espace vectoriel (calculées via la différence entre les coordonnées de deux points)
salut Psyricien! excuse-moi mais tu te trompes, oh! pas beaucoup: des coordonnées dans un espace vectoriel ne sont pas des distances.
Dans leur assertion en physique ... si (puisque tu définit directement une distance par ces coordonnées) !
Il faut comprendre:
1. d'abord qu'un "solide de référence" ( ou référentiel physique) est associé à un espace euclidien E de dimension trois.
2. qu'il existe un isomorphisme entre deux espaces physiques distincts E et E' (donc entre deux référentiels \(\cal R\) et \(\cal R'\) en mru l'un par rapport à l'autre) .
3. qu'on a donc bien x' = x pour les vecteurs et x' = x, y' = y, z' = z pour les coordonnées, Δx' = Δx, Δy' = Δy, Δz' = Δz, si ça te fait plaisir.
Sans rapport avec la discutions ... qui consiste en un recopiage de wikipédia ... où est l'intérêt ? ... noyer le poisson ? On avait remarqué !!!

G>

Re: réductionisme

Publié : 15 juil. 2013, 20:03
par richard
Je croyais avoir rappeler la notion de distance qui semble —toujours— mal comprise par certains intervenants. On appelle distance sur un ensemble \(E\) une application de\(E\times E\rightarrow\mathbb R\)+ telle que :
* \(\forall x,y\in E, \,d(x,y)=d(y,x);\)
* \(d(x,y)=0\Leftrightarrow x=y \,;\)
* \(d(x,z)\leq d(x,y)+d(y,z)\) (inégalité triangulaire).