Mais réfléchit deux secondes avant d'écrire des absurdités !Greem a écrit :Au hasard : le fait de priver sans aucune forme de procès
Un procès pour viol c'est une forme de procès !
Relis moi :Greem a écrit :Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans "C'est le genre de situation qu'on ne peut juger qu'au cas par cas" ? Si tu veux, je peux te donner la définition de chacun de ces mots, mais ça risque d'être long. Le plus simple serait que tu retournes à l'école, ou que tu t'abstiennes de déformer mes propos, parce tu t'indignes, tu t'indignes, mais j'attends encore que tu m'apportes les arguments qui justifieraient une telle loi.
j'ai écrit un violeur. pas tous.
Pour qu'un violeur puisse avoir le droit de voir le fruit de son crime, il faut que la loi l'autorise.
Ça veut pas dire que je croies que tu veux que sans jugement tous les violeurs aient ce droit.
Tu devrais être moins prompt à arguer qu'on écrit de la merde.
Non et non.- Un couple ont un enfant, conçu de façon tout à fait conventionnelle, selon les recommandations du pape en personne. Les années passent et puis l'amour se dégrade, jusqu'à ce que le mari viol sa femme. Là aussi, tu lui retirerais d'office le droit de voir son fils au motif qu'il a violé sa mère ?
- Un homme et une femme vivent en couple. Un jour, le mari viol une inconnue (dans le métro, le soir, l'histoire de rester dans les clichés sordides). Là aussi tu lui retirerais d'office le droit de concevoir un enfant avec sa femme et de le voir au prétexte qu'il a violé une femme ?
Qui a dit que c'était facile ?Tant de questions qui me font dire qu'on ne peut pas trancher ce genre de problème a priori, aussi simplement que tu le fais.
Je suis d'accord avec Kraepelin sur ça
ça suffit à en faire un principe, une loi.Je ne parviens pas à imaginer un cas de figure où les droits d'un père violeur l'emporteraient sur les droits de la mère à ne plus jamais entendre parler de son agresseur
Si on trouve des contre exemples on pourra toujours la modifier.

La victime n'est pas forcément au courant qu'elle est enceinte, elle peut être mineure par exemple. Tu juges bien vite, je trouve.Oh, l'enfant sera certainement victime de bien des choses : être un enfant non-désiré c'est jamais facile à vivre, avoir une mère célibataire non-plus, surtout si celle-ci n'arrive pas à se remettre de son agression et commence à développer toutes sortes de troubles psychiques. D'ailleurs, on peut se demander si la victime était elle-même bien saine d'esprit pour avoir fait le choix de garder l'enfant au lieu d'avorter.
Mais il n'a pas été victime du viol de son père, ce pour quoi son père a été jugé et condamné.
Deux l'enfant subira le stress et la peur de sa mère pendant toute la procédure.
trois l'enfant si une telle loi n'existe pas pourra toujours vivre dans la crainte qu'un jour son père fasse une demande pour le récupérer.
Bref, l'enfant n'est bien sûr pas victime du viol de sa mère, mais en plus des répercussions sur toute sa vie de cet acte fondateur, il fait partit des victimes potentiels de l'absence de loi retirant les droits parental d'un violeur sur son enfant issu de ce crime que Kraepelin feint de ne pas voir.