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Re: Distinguo.

Publié : 20 mars 2012, 12:33
par Kraepelin
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :Je me doutais qu’en mettant les mots «homosexuel» et «pédophile» dans le même paragraphe vous vous exciteriez
Je me doutais bien que vos provocs n'étaient pas accidentelles.
Ce qui ne vous a pa enpêché de vous lancer dedant à corps perdu?
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :Je cherchais à monter l’absurdité de vos arguments, illusoirement séduisants
Le désir d'une femme pour un homme est-il une paraphilie? Le désir d'un homme pour une femme est-il une paraphilie?
non
HarryCauvert a écrit :Par quel miracle le désir d'un homme pour un homme ou d'une femme pour une femme devient-il une paraphilie?
Intéressante question! Il y a de bon manuel d'histoire de la psychaitrie. Il ne faut pas vous gener de chercher. Mais cette question relève d'une autre topique. Ici, nous parlons des faiblesse méthodologiques des recherches. je remarque, que vous passez encore mes question sur le vrai sujet de cette topic. Il est peut-être plus facile pour vous de jouer les défenseurs des droits civiques que de vous creuser la tête pour répondre.
HarryCauvert a écrit : les consommateurs de cannabis aussi s'organisent et réclament la dépénalisation, et alors?
Et alors, le seul fait de revendiquer des droits n'est pas une preuve de légitimité et votre parallèle illusoirement séduisant avec la lutte des femmes ou celles des minorités visibles est parfaitement gratuit.

Re: Distinguo.

Publié : 20 mars 2012, 13:01
par Cartaphilus
Salut à tous.
Kraepelin a écrit :
Cartaphilus a écrit :
Kraepelin a écrit :Non! Tu ais simplement passé à côté d'une figure réthorique qui visait une tout autre but.
Mais dont la connotation ne m'a pas échappé...
Spéculation erronée de ta part.
Grande alors est mon erreur d'avoir interpréter, dans votre message, l'apparentement de termes évoquant, d'une part les préférences entres adultes consentants et conscients de leurs actes des homosexuels, et d'autre part les pratiques délinquantes et~ou les actes criminels des pédophiles, comme un effet, non pas de rhétorique, mais de votre opiniâtreté à vouloir rendre pathologiques le choix et le comportement des premiers.

Tout comme serait erroné d'entendre, dans le rappel de l'existence « naturelle » de la tuberculose, un écho lointain de l'ancienne évocation de cette affection comme maladie honteuse.

Re: homoparentalité

Publié : 20 mars 2012, 13:56
par kestaencordi
les homos sont aussi des humains. on ne peut les definir que par leurs orientations sexuelles. la causualite de tout effet detecte chez l'enfant eleve par des homos est discutable. etablir que l'abscence d'un genre ne peut etre ''compense'' par d'autres qualite parentale est tout un defi methodologique. au final ''penaliser'' les homos competent sur la base d'une etude discutable est discutable.

des parents incompetent qui remplisent ls criteres d'adoption c pas ca qui manque.

refuser une garde partage, ou meme complete, a un homo qui vie en couple est impensable. refuser une adoption???

un tel etude ne serait pas un grand pas pour la science.


comme dirais le celebre ex-cerbere de montreal gagnant du vezina.

''pou moi etre un pofessionnel s'est faire une etude avec une methodologie indiscutable.''

''tu veux une methodologie indiscutaable... bonne champ...''

jose.

Re: Distinguo.

Publié : 20 mars 2012, 16:52
par Kraepelin
Cartaphilus

Vous qui êtes féru de rigeure, et puisque vous vous joignez à nous, répondez donc aux trois questions:
Voici trois questions vis-à-vis lesquelles j’aimerais que vous ne vous défiliez pas (si vous en êtes capable):

1) Recruter des sujets en sollicitant un groupe d’activistes pour qu’ils fournissent la liste de membres qui leurs convient ne présente pas de risque de falsification. Oui ou non?

2) Accepter les sujets qui se proposent eux-mêmes permet de constituer un échantillon représentatif du groupe cible! Oui ou non?

3) Demander aux parents d’évaluer le développement de leurs propres enfants est une source d’information fiable. Oui ou non?
J'espère qu'elles ne vous feront pas peur ! :argh:

Re: homoparentalité

Publié : 20 mars 2012, 17:51
par Pakete
Kreapelin qui donne des leçons sur des absences de réponse... :dizzy:

Voulez vous qu'on vous remette toutes les questions que vous avez esquivé dans le sujet homosexualité et pédophilie, comme par exemple: Quels sont les critères (fantaisies imaginatives et comportements survenant de façon répétée et intense, critères du DSM IV) qui, d'après vous, mettraient l'homosexualité dans ce document ?

Allons Kreapelin, on ne critique pas les esquives des autres si on en fait soi même.

Re: homoparentalité

Publié : 20 mars 2012, 20:30
par Kraepelin
Pakete a écrit :Kreapelin qui donne des leçons sur des absences de réponse... :dizzy:

Voulez vous qu'on vous remette toutes les questions que vous avez esquivé dans le sujet homosexualité et pédophilie, comme par exemple: Quels sont les critères (fantaisies imaginatives et comportements survenant de façon répétée et intense, critères du DSM IV) qui, d'après vous, mettraient l'homosexualité dans ce document ?
Vous vous trompez simplement de topique. Ici nous sommes dans la topique sur les faiblesses méthodologiques des recherches sur l'homoparentalité. Je ne puis pas vous empêcher de parler d'autres choses, mais je me réserve le droit de ne pas répondre à des questions qui concernent d'autres topiques ou qui me sont adressées par simple boutade. J'y suis d'ailleurs un peu obligé vu le nombre de personnes qui m'interpelle simultanément. Si ca vous démange, allez me poser ces questtions dans la bonne topique ou ouvrer une nouvelle discussion, je trouverais probablement le temps de répondre et de cette façon les questions ne seront pas entremellées.

En ce qui regarde mes questions, elles sont belles et bien centrales dans la discussion sur la présente topique. Il est fort pertinant que je les répète. Vous pouvez essayer d'y répondre. Comme il suffit de dire "oui" ou "non", ça devrait être dans vos cordes.

Re: homoparentalité

Publié : 20 mars 2012, 22:48
par Ildefonse
Feel O'Zof a écrit : C'est sûr aussi qu'une personne qui éprouve une attirance forte pour les enfants mais qui réussit à se retenir et à ne jamais passer aux actes ne mérite pas d'être considéré comme un criminel mais plutôt comme la victime d'une maladie.
Bingo !!! A quel titre ?

Le fait que cet acte ne soit pas socialement accepté est il suffisant ? Tout ce qu'on peut dire sur la pédophilie, hormis la catégorisation "adulte consentant" se retrouve dans les autres sexualités. A quel titre peut on considérer cela comme une maladie ?

Le festival continue...

Publié : 20 mars 2012, 23:57
par HarryCauvert
Commençons donc, mon bon Kraepelin, par vos questions sur Bos, ce ne sera pas totalement inutile d'ailleurs :
Kraepelin a écrit :1) Recruter des sujets en sollicitant un groupe d’activistes pour qu’ils fournissent la liste de membres qui leurs convient ne présente pas de risque de falsification. Oui ou non?
Voici ce que dit le texte de Bos sur le recrutement des pères gays:
Bos a écrit :Tbe gay fathers were recruited by emailing all people on the mailing list of a Dutch interest group for gay and lesbian parents {Meer dan Gewenst). Inhere are about 1,000 email addresses on tbis list. The interest group, however, does not have any socio-demographic information about the people on their list, such as gender, whether they have children, the type of family construction, or age and number of children.
1. La mailing list d'un groupe d'entraides et de discussion pour parents gays et lesbiens devient "un groupe d'activistes"
2. Un courriel a été envoyé à toutes les personnes inscrites sur cette mailing list. Meer dan Gewenst, de plus, ne dispose même pas des détails sociodémographiques des personnes inscrites. Mais vous prétendez, vous, que ce groupe d'activistes a fourni "la liste des personnes qui leurs convient". Vous en êtes vraiment, vraiment, vraiment certain?

Alors que voulez-vous que je répondre à cette question, sinon que vous n'hésitez pas à "enjoliver" et que vous avez un certain culot de dénoncer les travers idéologiques des autres?
Kraepelin a écrit :2) Accepter les sujets qui se proposent eux-mêmes permet de constituer un échantillon représentatif du groupe cible! Oui ou non?
Satisfaisante ou pas la même méthode de recrutement a été appliqué à l'ensemble des sujets, gays comme hétéros. Ce sont tous des volontaires, aucun groupe de sujets n'est désavantagé.
Kraepelin a écrit :3) Demander aux parents d’évaluer le développement de leurs propres enfants est une source d’information fiable. Oui ou non?
J'aurais tendance à penser que non (mais psychologue point ne suis, je le rappelle). Par contre, là encore, l'ensemble des sujets répond de la même manière: il n'y a pas d'un côté des gens qui répondent ce qu'ils veulent (les activistes gays falsificateurs) et de l'autre ceux qui subissent un contrôle strict de leur vie privée pour s'assurer qu'ils n'ont pas menti (les honnêtes pères hétéros).
Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit :Le désir d'une femme pour un homme est-il une paraphilie? Le désir d'un homme pour une femme est-il une paraphilie?
non
Enfin un point d'accord... :roll:
Kraepelin a écrit :
HarryCauvert a écrit :Par quel miracle le désir d'un homme pour un homme ou d'une femme pour une femme devient-il une paraphilie?
Intéressante question! Il y a de bon manuel d'histoire de la psychaitrie. Il ne faut pas vous gener de chercher.
Donc si je plonge dans les bouquins d'histoire de la psychaitrie, je découvrirai que l'homosexualité a été classée parmi les pathologies sur la seule base de recherches méthodologiquement impeccables?
Je ne trouverai pas la moindre trace, chez les grands fondateurs de cette science, des préjugés de leur époque envers les "invertis"?

Essayons à notre tour...

Publié : 21 mars 2012, 11:18
par Cartaphilus
Salut à tous, hello Harry Cauvert, bonjour Kraepelin.

Vous me demandez, Kraepelin, de répondre à des questions de votre crû – Harry Cauvert vient d'en souligner le caractère personnel.

L'exercice est amusant, bien qu'un peu vain, en ceci qu'il ressemble aux référendums qui entraîne ipso facto l'adhésion du sujet :
« Préférez-vous être beau, jeune, riche et en bonne santé, oui ou non ? »

Il est facile de répondre oui à ce qui précède, comme il est aisé de le faire par la négative à vos trois interrogations spéculatives.

Et puisque nous sommes dans une réflexion purement théorique, je pose à votre sagacité trois autres questions en m'inspirant des vôtres.

(Tiens ! Ça ressemble vaguement à quelque chose...)

1 - Recruter des sujets en les choisissant de façon arbitraire ne présente pas de risque de falsification. Oui ou non ?

2 - Accepter les sujets qui se proposent eux-mêmes permet de constituer un échantillon représentatif d'une population générale. Oui ou non ?

3 - Demander à des investigateurs de décrire un phénomène sur des critères subjectifs est une source de connaissances fiables. Oui ou non ?

Je vous remercie par avance de votre réponse.

Re: homoparentalité

Publié : 21 mars 2012, 16:06
par Pakete
Kraepelin a écrit :
Pakete a écrit :Kreapelin qui donne des leçons sur des absences de réponse... :dizzy:

Voulez vous qu'on vous remette toutes les questions que vous avez esquivé dans le sujet homosexualité et pédophilie, comme par exemple: Quels sont les critères (fantaisies imaginatives et comportements survenant de façon répétée et intense, critères du DSM IV) qui, d'après vous, mettraient l'homosexualité dans ce document ?
Vous vous trompez simplement de topique. Ici nous sommes dans la topique sur les faiblesses méthodologiques des recherches sur l'homoparentalité. Je ne puis pas vous empêcher de parler d'autres choses, mais je me réserve le droit de ne pas répondre à des questions qui concernent d'autres topiques ou qui me sont adressées par simple boutade.
Et je me permets quand même de signaler cette improbable façon de procéder qui est de demander aux autres ce que ne vous ne faîtes pas.

A quoi bon vous répondre si vous suivez pas les mêmes "règles" ?
Ildéfonse a écrit : Bingo !!! A quel titre ?
Parce qu'il y aura toujours une distinction de la pensée aux actes.

Re: Le festival continue...

Publié : 21 mars 2012, 16:45
par Kraepelin
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :1) Recruter des sujets en sollicitant un groupe d’activistes pour qu’ils fournissent la liste de membres qui leurs convient ne présente pas de risque de falsification. Oui ou non?
Voici ce que dit le texte de Bos sur le recrutement des pères gays:
Bos a écrit :Tbe gay fathers were recruited by emailing all people on the mailing list of a Dutch interest group for gay and lesbian parents {Meer dan Gewenst). Inhere are about 1,000 email addresses on tbis list. The interest group, however, does not have any socio-demographic information about the people on their list, such as gender, whether they have children, the type of family construction, or age and number of children.
1. La mailing list d'un groupe d'entraides et de discussion pour parents gays et lesbiens devient "un groupe d'activistes"
Non, le groupe d'activistes est celui qui gère le groupe d'entraide et de discussion et dispose de cette liste confidentielle.
HarryCauvert a écrit : 2. Un courriel a été envoyé à toutes les personnes inscrites sur cette mailing list. Meer dan Gewenst, de plus, ne dispose même pas des détails sociodémographiques des personnes inscrites. Mais vous prétendez, vous, que ce groupe d'activistes a fourni "la liste des personnes qui leurs convient". Vous en êtes vraiment, vraiment, vraiment certain?
Ils n'ont certaine pas fourni la liste qui ne leur convenait pas! Mais là n'est pas la question. Ma phrase n'implique pas nécessairement que le groupe a falsifié la liste. Ma phrase implique que n'importe quel membre de l'exécutif du groupe avait la possibilité de la faire et que Bos était bien incapable de le vérifier. En fait, Bos ne vérifie presque rien. Elle ne sait même pas si les personnes avec qui elle correspond pas courriel sont bien celles qu'elles prétendent être. C'est énorme comme trou et il faut une grosse dose de mauvaise foi pour ne pas l'admettre. D'ailleurs vous ne répondez même pas à la question "oui" ou "non".
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :2) Accepter les sujets qui se proposent eux-mêmes permet de constituer un échantillon représentatif du groupe cible! Oui ou non?
Satisfaisante ou pas la même méthode de recrutement a été appliqué à l'ensemble des sujets, gays comme hétéros. Ce sont tous des volontaires, aucun groupe de sujets n'est désavantagé.
En effet! Mais les enjeux ne sont pas les mêmes pour le groupe cible et pour le groupe contrôle et c'est ça qui fait la différence. C'est comme dans mon exemple de la recherche sur le racisme des policiers de la SPVM que l'on compare aux cols blancs de la même ville. Les enjeux ne sont pas les mêmes et la comparaison est illusoire. Les policiers sont au coeur d'une controverse publique où on les accuse d'êtres racistes. Ceux qui se proposent comme sujets ne sont pas dupes des enjeux politiques de leurs réponses. Peut-être un certain nombre de sujets policiers auront répondu avec beaucoup de franchise aux questions, mais il suffit que 15% d'entre eux se soient présentés sur une base militante et se soient forcés à donner les bonnes réponses ou que le 15% des policiers les plus racistes ait pris grands soins de ne pas se proposer, pour que les résultats soient faussés. Du côté des cols blancs, la pression publique n'existe pas. Ils n'ont jamais fait l'objet d'une controverse. Est-ce si difficile à comprendre?
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :3) Demander aux parents d’évaluer le développement de leurs propres enfants est une source d’information fiable. Oui ou non?
J'aurais tendance à penser que non (mais psychologue point ne suis, je le rappelle). Par contre, là encore, l'ensemble des sujets répond de la même manière: il n'y a pas d'un côté des gens qui répondent ce qu'ils veulent (les activistes gays falsificateurs) et de l'autre ceux qui subissent un contrôle strict de leur vie privée pour s'assurer qu'ils n'ont pas menti (les honnêtes pères hétéros).
Encore ici, les sujets ne sont pas équivalents et les enjeux ne sont pas les mêmes. Par ailleurs, même si c'était le cas la comparaison de deux groupes de mauvaises mesures n'est pas l'équivalent d'une comparaison entre deux groupes de bonnes mesures. Étirez l'exemple de la mauvaise mesure pour mieux en constater l'absurdité. Imaginez que Bos ait demandé aux parents de mesurer le développement des enfants à partir de leur poids pondéral. On ne mesure pas le développement psychologique des enfants de cette manière. Le fait que la mesure soit mauvaise des deux côtés n'y change rien. Les résultats ne veulent simplement rien dire.

Re: Le festival continue...

Publié : 21 mars 2012, 17:19
par Poulpeman
Salut Kraepelin
Kraepelin a écrit : Ils n'ont certaine pas fourni la liste qui ne leur convenait pas! Mais là n'est pas la question. Ma phrase n'implique pas nécessairement que le groupe a falsifié la liste. Ma phrase implique que n'importe quel membre de l'exécutif du groupe avait la possibilité de la faire et que Bos était bien incapable de le vérifier. En fait, Bos ne vérifie presque rien. Elle ne sait même pas si les personnes avec qui elle correspond pas courriel sont bien celles qu'elles prétendent être. C'est énorme comme trou et il faut une grosse dose de mauvaise foi pour ne pas l'admettre. D'ailleurs vous ne répondez même pas à la question "oui" ou "non".
Ca, ce n’est pas de la rigueur scientifique, c’est de la paranoïa.
Comme pour la page Wikipédia supposée d’emblée investie par les lobbys pro-gay.
Ou les associations de psychologies, elles-aussi supposées d’emblée biaisées et/ou noyautées par l’affreux complot pro-gay.
Kraepelin a écrit :En effet! Mais les enjeux ne sont pas les mêmes pour le groupe cible et pour le groupe contrôle et c'est ça qui fait la différence. C'est comme dans mon exemple de la recherche sur le racisme des policiers de la SPVM que l'on compare aux cols blancs de la même ville. Les enjeux ne sont pas les mêmes et la comparaison est illusoire. Les policiers sont au coeur d'une controverse publique où ont les accuse d'êtres racistes. Ceux qui se proposent comme sujets ne sont pas dupes des enjeux politiques de leurs réponses. Peut-être un certain nombre de sujets policiers auront répondu avec beaucoup de franchise aux questions, mais il suffit que 15% d'entre eux se soient présentés sur une base militante et se soient forcés à donner les bonnes réponses ou que le 15% des policiers les plus racistes ait pris grands soins de ne pas se proposer pour que les résultats soient faussés. Du côté des cols blancs, la pression publique n'existe pas. Ils n'ont jamais fait l'objet d'une controverse. Est-ce si difficile à comprendre?
Et pourquoi le biais serait forcément du côté des affreux lobbyistes gays ?
Après tout, les couples hétéros aussi sont informés des objectifs de l’étude. Il peut très bien y avoir des homophobes anti-homoparentalité pouvant biaiser volontairement ou involontairement les résultats.
Pourquoi ne voir que le biais potentiellement en faveur des couples homos ? Si ça ce n’est pas une vision bizarrement sélective de la méthodologie…
Kraepelin a écrit : Encore ici, les sujets ne sont pas équivalents et les enjeux ne sont pas les mêmes. Par ailleurs, même si c'était le cas la comparaison de deux groupes de mauvaises mesures n'est pas l'équivalent d'une comparaison entre deux groupes de bonnes mesures. Étirez l'exemple de la mauvaise mesure pour mieux en constater l'absurdité. Imaginez que Bos ait demandé aux parents de mesurer le développement des enfants à partir de leur poids pondéral. On ne mesure pas le développement des enfants de cette manière. Le fait que la mesure soit mauvaise des deux côtés n'y change rien. Les résultats ne veulent simplement rien dire.
Non, les résultats sont à interprétés avec précaution, comme dans toute étude comportant des biais.
On ne peut pas jeter à la poubelle une étude sur le simple prétexte que la méthodologie est imparfaite.

De toute façon, tu prends le problème à l’envers. Il n’y a pas de raison à priori de considérer que les parents homos sont plus mauvais que les parents hétéros. La littérature, bien qu’imparfaite, le confirme. Du coup, je ne vois pas trop pourquoi tu développes une soudaine obsession méthodologique, si ce n’est à cause de préjugés.
Il serait plus profitable que tu appliques ce zèle de rigueur scientifique aux principes psychanalytiques que tu défends :mrgreen:

Poulpeman

Re: Essayons à notre tour...

Publié : 21 mars 2012, 19:05
par Kraepelin
Cartaphilus a écrit : Et puisque nous sommes dans une réflexion purement théorique, je pose à votre sagacité trois autres questions en m'inspirant des vôtres.

1 - Recruter des sujets en les choisissant de façon arbitraire ne présente pas de risque de falsification. Oui ou non ?
Oui cela présente un risque et bien pire encore. C'est, par exemple, ce dont a été accusée Charlotte Patersson. Pour une de ses recherches, elle aurait recruté ses sujets parmi ses amies dans son réseau de relatsion personnelles. Idéalement, ce qu'il faut c'est prendre des sujets tirés au hasard dans un bassin définit, comme pour un sondage.
Cartaphilus a écrit : 2 - Accepter les sujets qui se proposent eux-mêmes permet de constituer un échantillon représentatif d'une population générale. Oui ou non ?
Non!
Cartaphilus a écrit : 3 - Demander à des investigateurs de décrire un phénomène sur des critères subjectifs est une source de connaissances fiables. Oui ou non ?
Ca dépend un peu du phnomène considéré. En principe, non, mais sii le phénomène est subjectif, il est difficile de faire autrement.

Mais, je remarque que vous-même ne vous commentez pas. Trop difficiles pour vous mes questions?

Re: Le festival continue...

Publié : 21 mars 2012, 19:50
par Kraepelin
Poulpeman a écrit : Ca, ce n’est pas de la rigueur scientifique, c’est de la paranoïa.
Tien donc!
Poulpeman a écrit : Comme pour la page Wikipédia supposée d’emblée investie par les lobbys pro-gay. Ou les associations de psychologies, elles-aussi supposées d’emblée biaisées et/ou noyautées par l’affreux complot pro-gay.
Je n'invente rien et je ne crois pas délirer. Faites simplement l'exercice que j'ai proposé. Taper le nom des auteurs de ces recherches sur Google et taper le nom des membres du conseil 44 de l'APA, dont j'ai donné la référence, qui formule des prises de position de l'association sur ces questions. Vous aller constater que la plupart affichent leur homosexualité et/ou leurs prises de position "militante" face aux "droits" des couples de même sexe. On a droit d'être homosexuel ou lesbienne et il est sage et mature de l'assumer pleinement. Il est certain, aussi, que les homosexuels ne font pas de plus mauvais chercheurs que les autres. Mais ils ne font pas de meilleurs chercheurs non plus. Et lorsqu'un chercheur a un parti pris aussi manifeste, il est légitime de lui demander de quelle façon il s'y est pris pour .éviter que cela contamine ses résultats. Il ne faut pas être naïf. L'effet Rosenthal touche tout le monde et les fraudes, ça existe en science aussi. Il n'est qu'a; considéré les recherches en pharmacologie. Les métaanalyses montrent que lorsqu'une recherche en pharmacologie est financée par la compagnie, elle donnera de meilleurs résultats de plus de 30% comparativement aux mêmes recherches conduites par des équipes indépendantes. Nous sommes pourtant en pharmacologie ou la norme est la recherche comparative, randomisée à double insu. C'est supposé d'être "étanche" comme méthode. Pourtant, les préjuger des chercheurs finissent par percer quelque part dans une marge de 30%. Alors, imaginez avec des protocoles "fromage suisse" comme ceux de Bos.
Poulpeman a écrit : Et pourquoi le biais serait forcément du côté des affreux lobbyistes gays ?
Après tout, les couples hétéros aussi sont informés des objectifs de l’étude. Il peut très bien y avoir des homophobes anti-homoparentalité pouvant biaiser volontairement ou involontairement les résultats.
Si Bos avait recruté ses sujets à partir de la liste de membres d'un groupe d'intégristes religieux engagés dans une lutte anti-homo, j'aurais eu des doutes sur l'impartialité des sujets. Vous aussi je pense!

Pour le reste, si vous ne voyez pas de différences entre les deux groupes et que pour vous le biais est équivalent, alors répondez simplement: « oui, je trouve ce procédé rigoureux et fiables les données qui en découlent!»
Poulpeman a écrit : Pourquoi ne voir que le biais potentiellement en faveur des couples homos ? Si ça ce n’est pas une vision bizarrement sélective de la méthodologie…
Parce que leurs compétences parentales sont l'objet d'une controverse publique, ce qui n'est pas le cas des parents hétéro. Encore une fois, si vous ne voyez pas la différence, dites-le simplement.

J'ai la conviction d'avoir donné des explications à la fois très bonnes et très claires. En définitive, il y a donc très peu de cas de figues:
a) Soit, je suis complètement dans le champ et trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par mon penchant homophobique "inconscient" pour m'en rendre compte;
b) Soit j'ai vraiment raison et c'est vous qui être trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par votre sympathie pour couples de même sexe opprimés.

S'il y a d'autres possibilités, éclairez-moi!
Poulpeman a écrit :
Non, les résultats sont à interprétés avec précaution, comme dans toute étude comportant des biais.
Quel biais? Vous affirmer que la recherche de Bos a des biais?
Poulpeman a écrit : On ne peut pas jeter à la poubelle une étude sur le simple prétexte que la méthodologie est imparfaite.
Imparfaite? Ce n'est pas le mot que je choisirais.
Poulpeman a écrit : De toute façon, tu prends le problème à l’envers. Il n’y a pas de raison à priori de considérer que les parents homos sont plus mauvais que les parents hétéros. La littérature, bien qu’imparfaite, le confirme.
Bien, c'est justement ce que je conteste!

Faite ce que vous vouulez medames et messieurs les activistes, mais ne venez pas dire que la "science" est de votre côté. La science est mon bénitié et je n'aime pas que l'on crache dedant.
Poulpeman a écrit : Du coup, je ne vois pas trop pourquoi tu développes une soudaine obsession méthodologique, si ce n’est à cause de préjugés.
Vous me connaissez bien mal. J'ai des obsessions méthodologiques depuis longtemps et les parents de même sexe n'y sont pour rien.
Poulpeman a écrit : Il serait plus profitable que tu appliques ce zèle de rigueur scientifique aux principes psychanalytiques que tu défends :mrgreen:
Pourquoi dites-vous que je ne le fais pas?

Re: homoparentalité

Publié : 21 mars 2012, 20:43
par Cartaphilus
Kraepelin a écrit :Mais, je remarque que vous-même ne vous commentez pas. Trop difficiles pour vous mes questions?
Je vous ai fait remarqué, après Harry Cauvert, le caractère subjectif et artificiel de vos questions, formulées de façon à discréditer les études qui heurtent vos convictions.

Non, Kraepelin, vos questions ne sont pas difficiles, elles sont tendancieuses, faites pour susciter la réponse que vous voulez entendre.

Quoi qu'il en soit, je remercie d'avoir joué le jeu, et d'avoir répondu à mes questions.

Vous venez de reconnaître les fondements erronés de la psychanalyse freudienne.

Re: homoparentalité

Publié : 21 mars 2012, 20:54
par Ildefonse
Pakete a écrit :
Ildéfonse a écrit : Bingo !!! A quel titre ?
Parce qu'il y aura toujours une distinction de la pensée aux actes.
Est ce que vous pouvez développer. Je ne comprends pas cette réponse dans son laconisme.

Re: Le festival continue...

Publié : 21 mars 2012, 21:00
par Poulpeman
Kraepelin a écrit :
Poulpeman a écrit : Ca, ce n’est pas de la rigueur scientifique, c’est de la paranoïa.
Tien donc!
Bah oui. Tu spécules sans le moindre élément sur un éventuelle bidouillage des listes fournies et d'éventuelles instructions qui auraient être pu données aux couples homos.
Si ça n'est pas de la paranoïa, faut réviser le DSM.
Kraepelin a écrit :
Poulpeman a écrit : Comme pour la page Wikipédia supposée d’emblée investie par les lobbys pro-gay. Ou les associations de psychologies, elles-aussi supposées d’emblée biaisées et/ou noyautées par l’affreux complot pro-gay.
Je n'invente rien et je ne crois pas délirer. Faites simplement l'exercice que j'ai proposé. Taper le nom des auteurs de ces recherches sur Google et taper le nom des membres du conseil 44 de l'APA, dont j'ai donné la référence, qui formule des prises de position de l'association sur ces questions. Vous aller constater que la plupart affichent leur homosexualité et/ou leurs prises de position "militante" face aux "droits" des couples de même sexe.
Super ! Tu vas donc pouvoir nous fournir ces preuves.
Et aussi faire de même pour les deux autres associations de psychologies citées. Parce que si elles en arrivent à la même conclusion, c'est qu'elles souffrent des mêmes problèmes.
Poulpeman a écrit :Si Bos avait recruté ses sujets à partir de la liste de membres d'un groupe d'intégristes religieux engagés dans une lutte anti-homo, j'aurais eu des doutes sur l'impartialité des sujets.
Donc pour toi les seuls individus pouvant faire preuve d'homophobie et/ou de méfiance à l'égard de l'homoparentalité sont les intégristes religieux ?
Je suis content d'apprendre que la population générale ne souffre absolument pas de ce type d'intolérance. C'est vraiment une grande nouvelle.
Pour le reste, si vous ne voyez pas de différences entre les deux groupes et que pour vous le biais est équivalent, alors répondez simplement: « oui, je trouve ce procédé rigoureux et fiables les données qui en découlent!»
Je ne dirai pas ça comme ça. Mais je dirai volontiers qu'il n'y a pas de raison de penser que le biais penche dans un sens plutôt que dans l'autre.
A moins de ne voir que les biais qui confortent des préjugés.
Poulpeman a écrit : Pourquoi ne voir que le biais potentiellement en faveur des couples homos ? Si ça ce n’est pas une vision bizarrement sélective de la méthodologie…
Parce que leurs compétences parentales sont l'objet d'une controverse publique, ce qui n'est pas le cas des parents hétéro. Encore une fois, si vous ne voyez pas la différence, dites-le simplement.
Non, je ne vois pas de différence entre un enfant élevé par des homos ou des hétéros.
C'est justement amusant de voir que, pour des raisons culturelles, il y a une controverse sur l'homoparentalité et par sur l'hétéroparentalité.
Tiens, et si on faisait des études sur les enfants élevés par des ménages à trois ? Si ça se trouve on découvrirait qu'ils sont bien mieux élevés que dans les couples hétéro. On pourrait alors montrer du doigt ces affreux hétéros monogames traumatiseurs d'enfants.
J'ai la conviction d'avoir donné des explications à la fois très bonnes et très claires. En définitive, il y a donc très peu de cas de figues:
a) Soit, je suis complètement dans le champ et trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par mon penchant homophobique "inconscient" pour m'en rendre compte;
b) Soit j'ai vraiment raison et c'est vous qui être trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par votre sympathie pour couples de même sexe opprimés.
Joli faux dilemme de la part de quelqu'un qui crie au scandale au moindre sophisme.

Et oui, pour moi tes explications sont très claires. Elles sont justes pas convaincantes du tout, car presque uniquement spéculatives.
Je dirai que tu est aveuglé par ta vision traditionaliste "père-mère" de la famille (peut-être d'origine psychanalytique). Je ne pense pas qu'il y ait une quelconque homophobie derrière tout ça (si ça peut te rassurer).
Quel biais? Vous affirmer que la recherche de Bos a des biais?
Oui. Je pensais pourtant avoir répondu clairement à ce sujet.
Faite ce que vous vouulez medames et messieurs les activistes, mais ne venez pas dire que la "science" est de votre côté. La science est mon bénitié et je n'aime pas que l'on crache dedant.
Il manque un smiley ou c'est une authentique démonstration d'auto-suffisance ?

Poulpeman

Re: homoparentalité

Publié : 21 mars 2012, 22:32
par Kraepelin
Cartaphilus a écrit :
Kraepelin a écrit :Mais, je remarque que vous-même ne vous commentez pas. Trop difficiles pour vous mes questions?
Je vous ai fait remarqué, après Harry Cauvert, le caractère subjectif et artificiel de vos questions, formulées de façon à discréditer les études qui heurtent vos convictions.

Non, Kraepelin, vos questions ne sont pas difficiles, elles sont tendancieuses, faites pour susciter la réponse que vous voulez entendre.
Alors, décrivez la procédure de Bos suivent ce qu'elle vous semble être et prononcez vous! Trops difficlie encore? Houps! Trop tendanceux, je veux dire?
Cartaphilus a écrit : Vous venez de reconnaître les fondements erronés de la psychanalyse freudienne.
Vous prenez vos désirs pour la réalité.

Re: Le festival continue...

Publié : 21 mars 2012, 23:11
par Kraepelin
Poulpeman a écrit : Ca, ce n’est pas de la rigueur scientifique, c’est de la paranoïa. (...)

Bah oui. Tu spécules sans le moindre élément sur un éventuelle bidouillage des listes fournies et d'éventuelles instructions qui auraient être pu données aux couples homos.
Si ça n'est pas de la paranoïa, faut réviser le DSM.
S'il faut être parano pour croire que des acticvistes sont près à tout y compris à effectuer des fraudes scientifiques, je suis parano! Mais je ne suis pas seul. Je reprend le principe de JJ Aulas dont j'ai donné la référence dans mon tout premier message. __ Lorsque les enjeux sont importants, on ne peut pas écarter la possibilité de fraude. __ Lui aussi apparement est paranoïaque! Et les éditeurs se la revue Lancet qui se sont présentés au laboratoire de Jacques Benveniste avec un magicien (Randi) étaient probablement des paranos. Et l'équipe de vérification l'effet de opium et du raphanus (homéopathiques) sur le rétablissement du transit intestinal consituté par de Georgina Dufoix (1985), qui ont fait mettre la clef de décodage de double insu sous scellé chez un notaire étaient aussi des parno. Je suis bien entouré en somme! Le pharmacien nous fera peut-être un prix de groupe pour nos anti-psychotiques??? :grimace:
Kraepelin a écrit :
Poulpeman a écrit : Comme pour la page Wikipédia supposée d’emblée investie par les lobbys pro-gay. Ou les associations de psychologies, elles-aussi supposées d’emblée biaisées et/ou noyautées par l’affreux complot pro-gay.
Je n'invente rien et je ne crois pas délirer. Faites simplement l'exercice que j'ai proposé. Taper le nom des auteurs de ces recherches sur Google et taper le nom des membres du conseil 44 de l'APA, dont j'ai donné la référence, qui formule des prises de position de l'association sur ces questions. Vous aller constater que la plupart affichent leur homosexualité et/ou leurs prises de position "militante" face aux "droits" des couples de même sexe.
Super ! Tu vas donc pouvoir nous fournir ces preuves.[/quote] C'est déjà fait! J,ai donné au moins deux exemples. Va relire mes précédents messages. Il y en a beaucoup d'autres faciles à trouver sur internet.
Poulpeman a écrit : Et aussi faire de même pour les deux autres associations de psychologies citées. Parce que si elles en arrivent à la même conclusion, c'est qu'elles souffrent des mêmes problèmes.
L'ACP n'est pas un ordre profesionnel. C'est une petites association de type syndicale qui n'a même pas de comité d'experts. L'autre je ne la connais pas et je ne sais pas sur quelle base elle s'est exprimée.
Poulpeman a écrit :Si Bos avait recruté ses sujets à partir de la liste de membres d'un groupe d'intégristes religieux engagés dans une lutte anti-homo, j'aurais eu des doutes sur l'impartialité des sujets. (...)
Donc pour toi les seuls individus pouvant faire preuve d'homophobie et/ou de méfiance à l'égard de l'homoparentalité sont les intégristes religieux ?
Tu tires à côté. Les pères hétérosexuels n'étaient pas interrogé sur les développement des enfants des pères gais mais sur le développement de leurs propres enfants. Ensuite, je ne crois même pas qu'ils étaient au courant du fait qu'ils seraient comparé à un groupe de pères homosexuels. Alors, comment leurs préjugés homophobes auraient-ils pu s'exprimer?
Poulpeman a écrit :
Kraepelin a écrit : Pour le reste, si vous ne voyez pas de différences entre les deux groupes et que pour vous le biais est équivalent, alors répondez simplement: « oui, je trouve ce procédé rigoureux et fiables les données qui en découlent!»
Je ne dirai pas ça comme ça. Mais je dirai volontiers qu'il n'y a pas de raison de penser que le biais penche dans un sens plutôt que dans l'autre. A moins de ne voir que les biais qui confortent des préjugés.
Patinage artistique!
Poulpeman a écrit :
Kraepelin a écrit : J'ai la conviction d'avoir donné des explications à la fois très bonnes et très claires. En définitive, il y a donc très peu de cas de figues:
a) Soit, je suis complètement dans le champ et trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par mon penchant homophobique "inconscient" pour m'en rendre compte;
b) Soit j'ai vraiment raison et c'est vous qui être trop con, trop ignorant ou trop aveuglé par votre sympathie pour couples de même sexe opprimés.
Joli faux dilemme de la part de quelqu'un qui crie au scandale au moindre sophisme.

S'il y a sophisme du «faux dilem» ici, je ne le vois pas et il va faloir me le montrer (démontrer peut-être même)!
Poulpeman a écrit :
Kraepelin a écrit :Quel biais? Vous affirmer que la recherche de Bos a des biais?
Oui. Je pensais pourtant avoir répondu clairement à ce sujet.
Non! Expliquez svp
Poulpeman a écrit : Il manque un smiley ou c'est une authentique démonstration d'auto-suffisance ?
La mégalomanie est aussi une forme de paranoïa! Et là le chapeau me fait mieux, je le concède!

Re: homoparentalité

Publié : 22 mars 2012, 03:57
par Feel O'Zof
Kraepelin a écrit :Au moins, vous êtes cohérent avec vous-même. Je ne partage cependant pas vos croyances. J'estime que l'organisation sociale implique des repères, des catégories et même des tabous. Je ne connais en tout cas pas de groupe culturel organisé qui n'en ait pas. Les repères, les catégories et les tabous ne sont pas les mêmes d'une culture à l'autre, mais chaque culture à une certaine cohérence qui lui est propre. Lorsque cette cohérence est brisée, il y a un coût psychologique et social.
Ma perception est qu'un État ou un gouvernement n'est pas le synonyme d'une culture justement. L'évolution des traits culturels devraient être permise. L'encadrement offert par la loi ne devrait servir qu'à éviter les dérives qui permettraient à un individu de porter préjudice à un autre individu. Ainsi, des institutions telles que le mariage ou la famille devraient être - du point de vue légal et fiscal - conçus de telle sorte qu'elles permettent à une vaste diversité de potentialités d'exister, dans la mesure où cela ne porte atteinte à personne. Mais forcer par les lois les citoyens à respecter une culture rigide et figée va à l'encontre du progressisme que je prône.
Ensuite il n'est souvent pas possible de tirer un comportement culturel propre à une société pour la transposer dans une autre en croyant que ça aura les mêmes implications. Les Inuites avaient des relations sexuelles devant leurs enfants sans que cela semble avoir été traumatique. Nous ne recommanderions pourtant jamais la même chose dans notre culture. En Inde, les mères de certains groupes culturels font des fellations en public à leurs nourrissons males pour les calmer. Une mère de famille de Québec ou de Paris passerait probablement en cour pour le même acte. Les transitions culturelles ne sont pas simples. Alors, je crois qu'un minimum de prudence est nécessaire.
Justement! Puisque notre culture est rendue à un état où elle accepte l'idée que deux personnes du même sexe peuvent s'aimer et élever des enfants ensemble (sauf pour quelques groupuscules religieux ou des personnes âgées conservatrices), alors il n'y a justement plus de facteur «traumatisant» pour l'enfant dans le fait d'être élevé par un couple homosexuel. De la même façon qu'il n'est pas traumatisant pour l'enfant inuit de voir ses parents baiser. Ainsi, à moins de croire que l'enfant occidental porte dans ses gènes la culture homophobe de ses ancêtres, il n'y a pas lieu de s'inquiéter qu'il ne soit choqué ou traumatisé par l'homosexualité de ses parents.
Ildefonse a écrit :
Feel O'Zof a écrit :C'est sûr aussi qu'une personne qui éprouve une attirance forte pour les enfants mais qui réussit à se retenir et à ne jamais passer aux actes ne mérite pas d'être considéré comme un criminel mais plutôt comme la victime d'une maladie.
Bingo !!! A quel titre ?

Le fait que cet acte ne soit pas socialement accepté est il suffisant ? Tout ce qu'on peut dire sur la pédophilie, hormis la catégorisation "adulte consentant" se retrouve dans les autres sexualités. A quel titre peut on considérer cela comme une maladie ?
Personnellement, pour déterminer qu'une inclination ou un comportement est une maladie mentale ou est sain, je suis porté à évaluer son impact sur le bonheur de l'individu et de son entourage. Si l'individu ayant une tendance pédophile doit choisir entre souffrir (en se retenant) ou faire souffrir (en passant aux actes), alors je puis à juste titre affirmer que cette inclination est pathologique. Mais la démarcation entre paraphilie et sexualité saine demeure subjective.

Mais mon point ici était plutôt de souligner que celui qui a une tendance pédophile n'a pas choisi d'avoir cette tendance et que, lorsqu'il réussit à ne jamais passer à l'acte, il mérite plus d'être considéré comme une victime de quelque chose sur quoi il n'a pas de pouvoir (sa tendance pédophile) que comme un criminel (puisqu'il ne fait rien de mal tant qu'il ne suit pas sa tendance). J'ai utilisé le mot «maladie» plus comme une analogie que pour réellement ranger la pédophilie dans une catégorie médicale.

Techniquement, je vois difficilement comment on pourrait qualifier l'homosexualité de maladie sans faire de même pour l'hétérosexualité. En fait, soit toute pulsion sexuelle est une maladie mentale, soit on utilise un critère quelconque pour départager ce que l'on choisit (subjectivement) de considérer comme maladif ou comme sain. Moi j'ai choisi d'utiliser le critère du bonheur. D'autres pourraient prendre le critère de la reproduction, et donc considérer que l'homosexualité, l'avortement et la contraception sont des comportements pathologiques, mais ça serait à mes yeux très «téléologique». Comme si la vie avait un but (se reproduire), alors que c'est plutôt un état de fait de l'évolution - ce qui se reproduit perdure, le reste disparaît - sans qu'il n'y ait de but derrière ça, ou de plan dont l'on pourrait diverger.

Re: Le festival continue...

Publié : 22 mars 2012, 04:52
par HarryCauvert
Kraepelin a écrit :Ma phrase n'implique pas nécessairement que le groupe a falsifié la liste. Ma phrase implique que n'importe quel membre de l'exécutif du groupe avait la possibilité de la faire
Non, votre phrase n'était pas aussi prudente que vous le prétendez maintenant, et de loin. De plus vous ne ciblez (en termes assez vifs) que les gays/lesbiennes (accusation récurrente et généralisée d'activisme, de lobbyisme, et bien sûr les soupçons de fraudes...)
J'ai pensé un moment que le français n'est peut-être pas votre langue maternelle, mais comme vous semblez avoir des problèmes en anglais également je rejoins plutôt l'avis de Cartaphilus.

Ayant abordé vos questions sur une étude inutile parmi cent autres tout aussi inutiles (*), je me permets de réitérer mes questions de béotien:
HC a écrit :Par quel miracle le désir d'un homme pour un homme ou d'une femme pour une femme devient-il une paraphilie?
à laquelle vous avez répondu par... ah pardon vous n'avez pas répondu :
HC a écrit :
Kraepelin a écrit :Intéressante question! Il y a de bon manuel d'histoire de la psychaitrie. Il ne faut pas vous gener de chercher.
Donc si je plonge dans les bouquins d'histoire de la psychaitrie, je découvrirai que l'homosexualité a été classée parmi les pathologies sur la seule base de recherches méthodologiquement impeccables?
Je ne trouverai pas la moindre trace, chez les grands fondateurs de cette science, des préjugés de leur époque envers les "invertis"?
(*) J'attends avec une impatience difficilement contenue les études sur les compétences parentales des amateurs de pizza aux anchois comparées à celles des amateurs de pizza à l'ananas...

Re: Le festival continue...

Publié : 22 mars 2012, 09:49
par Poulpeman
Kraepelin a écrit :S'il faut être parano pour croire que des acticvistes sont près à tout y compris à effectuer des fraudes scientifiques, je suis parano!
Oui. Dans ta tête : associations gays = activistes.
C'est du grand n'importe quoi.
Kraepelin a écrit :C'est déjà fait! J,ai donné au moins deux exemples. Va relire mes précédents messages. Il y en a beaucoup d'autres faciles à trouver sur internet.
[...]
L'ACP n'est pas un ordre profesionnel. C'est une petites association de type syndicale qui n'a même pas de comité d'experts. L'autre je ne la connais pas et je ne sais pas sur quelle base elle s'est exprimée.
Moi je te demande la preuve que ces associations (ou syndicat, appelle ça comme tu veux) sont biaisées car composées d'homos et/ou d'activistes comme tu le prétends depuis le début sans le prouver (note : la présence d'un homo ou d'un pro-gay ne suffit pas).
Mais je ne m'attends pas à ce que tu le fasse. Depuis le début tu spécules à ce sujet et tu fuis cette question (en renvoyant aux recherches google par exemple).
Tu tires à côté. Les pères hétérosexuels n'étaient pas interrogé sur les développement des enfants des pères gais mais sur le développement de leurs propres enfants. Ensuite, je ne crois même pas qu'ils étaient au courant du fait qu'ils seraient comparé à un groupe de pères homosexuels. Alors, comment leurs préjugés homophobes auraient-ils pu s'exprimer?
Dans tout étude les participants doivent (c'est la loi) être informés de l'étude, son déroulement, ses objectif (sauf cas particuliers), monsieur le super-spécialiste de la méthodologie :clown2:
Donc oui, on ne peut pas exclure que les couples hétéro aient, consciemment ou non, sur-vendu leurs compétences de parents.
C'est quand même incroyable qu'un tel biais ait pu échapper à un passionné de méthodologie comme toi :D
Kraepelin a écrit :
Poulpeman a écrit :Je ne dirai pas ça comme ça. Mais je dirai volontiers qu'il n'y a pas de raison de penser que le biais penche dans un sens plutôt que dans l'autre. A moins de ne voir que les biais qui confortent des préjugés.
Patinage artistique!
Si "patinage artistique" = "réponse moins bêtement binaire que les propositions de Kraepelin", alors oui.
kraepelin a écrit :S'il y a sophisme du «faux dilem» ici, je ne le vois pas et il va faloir me le montrer (démontrer peut-être même)!
Tu proposes deux options idiotes. Je t'en ai proposé une troisième.
C'est la définition même du faux dilemme.
Là aussi tu vas t'enfoncer dans le déni, histoire de perdre le peu de crédibilité qu'il te reste ?
Non! Expliquez svp
Je l'ai fait 10 fois. La fiabilité des résultats d'une étude dépend de sa qualité. Si l'étude de Bos comporte des biais, alors la fiabilité des résultats s'en trouve affectée. Mais ce n'est pas pour autant qu'il n'ont aucune valeur comme tu le prétends.
La mégalomanie est aussi une forme de paranoïa! Et là le chapeau me fait mieux, je le concède!
Là aussi il manque un smiley ? Ou t'as vraiment pété une coche parce qu'on malmène tes certitudes à deux balles ?

Poulpeman

Re: homoparentalité

Publié : 22 mars 2012, 11:55
par Kraepelin
Feel O'Zof a écrit :
Kraepelin a écrit :]Ensuite il n'est souvent pas possible de tirer un comportement culturel propre à une société pour la transposer dans une autre en croyant que ça aura les mêmes implications. Les Inuites avaient des relations sexuelles devant leurs enfants sans que cela semble avoir été traumatique. Nous ne recommanderions pourtant jamais la même chose dans notre culture. En Inde, les mères de certains groupes culturels font des fellations en public à leurs nourrissons males pour les calmer. Une mère de famille de Québec ou de Paris passerait probablement en cour pour le même acte. Les transitions culturelles ne sont pas simples. Alors, je crois qu'un minimum de prudence est nécessaire.
Justement! Puisque notre culture est rendue à un état où elle accepte l'idée que deux personnes du même sexe peuvent s'aimer et élever des enfants ensemble (sauf pour quelques groupuscules religieux ou des personnes âgées conservatrices), alors il n'y a justement plus de facteur «traumatisant» pour l'enfant dans le fait d'être élevé par un couple homosexuel. De la même façon qu'il n'est pas traumatisant pour l'enfant inuit de voir ses parents baiser. Ainsi, à moins de croire que l'enfant occidental porte dans ses gènes la culture homophobe de ses ancêtres, il n'y a pas lieu de s'inquiéter qu'il ne soit choqué ou traumatisé par l'homosexualité de ses parents.


Généreuse idée! Mais la réalité n'est pas aussi simple, malheureusement. Une culture est une architechture plus complexe que vous ne semblez l'imaginer. Par exemple, dans ma régions, nous assitons à une explosion du nombre de "Trouble de la personnalité" et surtout de TP Borderline depuis un quinzaine d'années dont nous n'expliquons mal les causes. Rares dans les années 70, ces cas représentent maintenant le plus gros la clientèle des cliniques externes. Ca semble le cas dans toute les sociétés occidentales à des niveaux plus ou moins prononcés. Nous connaissons en parti les causes développementales individuelles du TPB. Elles sont surtout liées aux problèmes d'attachement, de "miroring" et d'encadrement éducatif. Mais nous ne comprenons pas bien pourquoi il est en augmentation fulgurante. Il nous faut chercher du côté des causes sociales concomitantes. Qu'est-ce qui, dans notre société, a changé à grande échelle pour modifier massivement a façon d'élevé les enfants de manière traumatique? Oublions le chomage ou le revenu familial qui sont ssez stables et ont même tendance à s'améliorer depuis des décénies. La pauvreté n'est pas une nouveauté pour nos sociétés. Le Québec a connu de bien pires périodes au court du siècle. C'est plutôt du côté des boulverssements survenues dans les familles qu'il faut chercher. C'est de ce côté que des changements importants sont survenues et ce sont eux qui ont changé les conditions du couvoir sur une grande échelle. Les recherches montrent à la pièces le rôle de certains facteurs transitifs mais aucun n'est assez important pour expliquer à lui seul ce qui se passe. Par exemple, les garderies en bas âge (avant 12 mois) augmentent le risque d'attachement insécurisant de 9%. Mais les cas d'enfants placés en garderie avant 12 mois n'est pas très important (peut-être 20% dans notre région) et multiplié par le 9% (2% des enfants), on est loin du compte. C'est plus probablement une addition de facteurs entourant le couvoir qui explique le résultat final.

Et les parents plus libéraux en matière d'éducation sexuelle ne s'en tirent pas nécéssairement mieux que les autres. Les traumatismes ne proviennent pas seulement, ni même principalement, du fait qu'un comportement est considéré "acceptable" à une période donnée. Se promener nu devant ses enfants est devenu acceptable dans les années 70. C'était même considéré comme une conduite manifestant un libéralisme de "bon ton" dans certains milieux. Malheureusement, cela a parfois eu des conséquences facheuses sur le développemejnt des certains enfants. Sans conséquences en Afrique centrale, cette conduite est lié à une augmentation des troubles paraphiliques chez les garçons dans notre société. C'est qu'un corps nu n'a pas la même signification dans nos sociétés et que l'invisible la petite différence de signification culturelle finit par avoir une grande influence sur le développement.

Re: homoparentalité

Publié : 22 mars 2012, 13:49
par Cogite Stibon
Juste un point "méthodologique" en passant :
Kraepelin a écrit :Par exemple, dans ma régions, nous assitons à une explosion du nombre de "Trouble de la personnalité" et surtout de TP Borderline depuis un quinzaine d'années dont nous n'expliquons mal les causes.[...] Par exemple, les garderies en bas âge (avant 12 mois) augmentent le risque d'attachement insécurisant de 9%. Mais les cas d'enfants placés en garderie avant 12 mois n'est pas très important (peut-être 20% dans notre région) et multiplié par le 9% (2% des enfants), on est loin du compte.
Votre argument ne vaut rien si vous ne donnez pas les proportions d'enfants atteints de ces troubles. Par exemple, si cette proportion est passée de 1% à 2% en quinze ans, les 2% liés aux garderies en bas age dont vous parlez expliquent plus que largement cette augmentation. Mais pas du tout si la proportion est passée de 10% à 20%.

Re: homoparentalité

Publié : 22 mars 2012, 15:00
par Kraepelin
HarryCauvert a écrit :
Kraepelin a écrit :Ma phrase n'implique pas nécessairement que le groupe a falsifié la liste. Ma phrase implique que n'importe quel membre de l'exécutif du groupe avait la possibilité de la faire
Non, votre phrase n'était pas aussi prudente que vous le prétendez maintenant, et de loin.
Vous semblez moins chercher à comprendre ce que j’explique que de chercher à me prendre en faute. Peut-être est-ce la raison pour laquelle vous tardez tant à comprendre.
HarryCauvert a écrit : De plus vous ne ciblez (en termes assez vifs) que les gays/lesbiennes (accusation récurrente et généralisée d'activisme, de lobbyisme, et bien sûr les soupçons de fraudes...)
Qui devrais-je cibler, l'association des cultivateurs de maïs de la Saskatchewan? Encore une fois vous perdez vos énergies à me chercher des poux inutilement.

Le sujet de cette topique est précisément les allégations de «preuves empiriques» de chercheurs activistes qui recrutent leurs sujets auprès de groupes activistes de parents de même sexe. C'est bien d'eux qu'il est question. Les activistes de ce milieu ne sont pas pires que les activistes des autres milieux activistes (fédéralistes, souverainistes, syndicats, féministes, intégristes chrétiens, etc.) . Ce sont des activistes et les activistes sont parfois prêts à tout. Je suis issu de ce milieu et ai milles exemples à vous donner à propos des abus auxquels sont près à se livrer les militants convaincus de se dévouer la "LA CAUSE".
HarryCauvert a écrit : Ayant abordé vos questions sur une étude inutile parmi cent autres tout aussi inutiles (*),
????? C'est parce que l'objet de cette topique concerne justement ces études. Si ca ne vous plais pas, il y a d'autres discussions ouvertes sur ce forum.
HarryCauvert a écrit : je me permets de réitérer mes questions de béotien:
HC a écrit :Par quel miracle le désir d'un homme pour un homme ou d'une femme pour une femme devient-il une paraphilie?
à laquelle vous avez répondu par... ah pardon vous n'avez pas répondu :
HC a écrit :
Kraepelin a écrit :Intéressante question! Il y a de bon manuel d'histoire de la psychaitrie. Il ne faut pas vous gener de chercher.
Donc si je plonge dans les bouquins d'histoire de la psychaitrie, je découvrirai que l'homosexualité a été classée parmi les pathologies sur la seule base de recherches méthodologiquement impeccables?
Je ne trouverai pas la moindre trace, chez les grands fondateurs de cette science, des préjugés de leur époque envers les "invertis"?
Les deux questions sont proches et intéressantes, mais j'ai choisi de ne pas les entremêler dans cette topique, car ça conduirait à plus de dérapages et il y en a déjà beaucoup trop. Comme je l'ai dit à un autre interlocuteur, si vous voulez en discuter ouvrer une autre topique. Je participerais.