Wooden Ali a écrit :Pour me démentir, je te propose qu'on se concentre sur le rayonnement, sa nature et ses caractéristiques.
Salut Wooden,
C'est un vrai cadeau de Noël tes questions, mille merci! Prends mes réponses pour des cadeaux alors!
Wooden Ali a écrit :Au préalable, on doit souligner que pour savoir qu'il y a effet Doppler, il faut connaitre la valeur exacte de la longueur d'onde à vitesse nulle.
Peux-tu faire une hypothèse de la façon dont un atome pourrait connaitre et stocker un tel paramètre ?
Un atome possède déjà un rayonnement de fréquence spécifique qui ne varie pas et est indépendant de sa vitesse de déplacement, et s'il fait face à un atome de fréquence identique, il n'a qu'à accélérer pour annuler l'effet Doppler.
Wooden Ali a écrit :Tu n'as jamais non plus répondu de façon convaincante au cas des atomes et particules isolées. Dans ton modèle, un spectro de masse, par exemple, n'existe pas. Pourtant, on s'en sert tous les jours !
Wooden Ali a écrit :Si le rayonnement est le même pour tous les atomes, le mécanisme tient mais alors comment expliquer qu'il existe des atomes de masses différentes ?
La lumière que les deux atomes échangent viendrait de l'interaction entre leurs composants, qui doivent accélérer des millions de fois les uns envers les autres pour justifier une seule accélération beaucoup plus longue entre les atomes, et dont l'intensité lumineuse est beaucoup plus importante. C'est donc la résistance à l'accélération entre les composants qui justifierait la masse des atomes, et celle entre les atomes justifierait la masse qu'ils perdent lors de leur liaison, leur énergie de liaison quoi. S'il y a deux fois plus de composants, leur résistance à l'accélération est deux fois plus importante.
Wooden Ali a écrit :Ou alors que chaque atome ne réagisse qu'à un autre atome de la même espèce.
S'il n'y a jamais eu de poussée sur les deux atomes, leur accélération sera nulle, mais dès qu'il y a poussée, ils seront forcés d'accélérer à chaque impulsion incidente s'ils veulent continuer de demeurer synchronisés. S'ils s'agit de deux atomes de fréquences différentes, ils devront donc faire un compromis de part et d'autre pour s'accorder ensembles.
Wooden Ali a écrit :Tu considères toi-même que l'Effet Menfin se fait entre atomes voisins. Admettons. Mais, une question cruciale apparait alors : quid des alliages ?
J'utilise deux atomes voisin pour faciliter la compréhension du principe mais, dans ma thèse, un atome particulier accélère simultanément par rapport à toutes les lumières incidentes qu'il perçoit, et la grandeur de son accélération en direction d'une lumière particulière dépend de l'intensité de cette lumière. Dans le cas des alliages entre molécules, leur interaction dépendrait des possibilités de coordination qu'elles auraient entre elles, qui dépendent elles-mêmes des accélérations entre leurs atomes.
Wooden Ali a écrit :On connait énormément de choses sur l'émission et l'absorption de photons par les atomes. Comment se situerait ce rayonnement dans ce contexte ? As-tu une hypothèse approximative sur sa longueur d'onde (IR, visible, UV, RX) ? Ce rayonnement est-il le même pour tous les atomes ou bien est-il spécifique ?
La lumière de l'interaction entre les atomes s'échappe de leurs accélérations quand je les désynchronise en leur donnant une poussée, et celle de l'interaction entre leurs composants s'échappe simultanément de leurs propres accélérations parce qu'ils sont eux aussi désynchronisés lors de cette même poussée. C'est donc la lumière en provenance des fréquentes accélérations entre les composants qui justifie plus tard l'accélération moins fréquente entre les atomes, et c'est le temps que prends la lumière pour franchir la distance entre les atomes ou les composants qui détermine la longueur de leurs accélérations. Plus la distance est courte, plus les accélérations sont fréquentes, mais je ne saurais préciser d'avantage.
Wooden Ali a écrit :S'il est spécifique pour chaque espèce atomique, on doit alors expliquer comment chaque atome stocke les longueurs d'onde associés aux différentes espèces ? En toute logique il devrait pouvoir en stocker autant que la table de Mendeleïev en contient ! Ou alors que chaque atome ne réagisse qu'à un autre atome de la même espèce. Mais alors ce rayonnement devrait être très pénétrant (cas des alliages dilués). Pourquoi ne pourrait-il alors sortir du solide et être détecté ?
Comme tu as pu le voir, les atomes ne stockent pas les informations, ils s'accordent aux fréquence des autres autant qu'ils peuvent. Quand l'appariement est parfait, la liaison est forte, sinon elle dépend de la configuration du noyau de chaque atome. La question de la non détection est analogue celle du non rayonnement de l'électron lorsqu'il est sur un niveau stable. Les physiciens n'ont pas encore de réponse à ce sujet, mais ma réponse, c'est que les atomes absorbent la lumière de l'autre atome par interférence quand ils accélèrent pour annuler l'effet Doppler. Vu dans l'alignement des deux atomes, l'absorption est forte, vu de travers, ou bien la lumière en provenance d'un atome est dirigée directement vers l'autre, ou bien les accélérations décalées des atomes annulent presque totalement les franges d'interférence, ou bien cette lumière sert à des liaisons latérales particulières.
Wooden Ali a écrit :Ton stéréotype démagogique du gros con de chercheur, fainéant et trop payé, sclérosé et sans imagination, si répandu chez les petits commerçants et les députés de droite, ne correspond à rien de réel.
Je ne vois pas où tu as été chercher ça. Tu t'es monté un bateau toi même là. Je n'ai jamais considéré la communauté scientifique comme tu le dis. Ce que j'ai fait, c'est me défendre contre ceux qui disaient ici que ma proposition n'était pas scientifique, mais jamais en les ridiculisant. Comment veux-tu que je me sente ridiculisé tout en ridiculisant les autres. On m'a même traité de pleurnichard parce que je répondais aux insultes en me plaignant. Si j'avais eu le réflexe de ridiculiser les gens, je ne serais probablement plus ici pour en parler.