C’est peut être parce que ces associations ne possèdent pas les moyens dont dispose l’État, l’État qui, pour des raison strictement financières , a opté pour une IVG beaucoup moins coûteuse qu’une aide envers les filles mères .Inso a écrit : 28 août 2019, 16:50 Si ces association pratiquant la désinformation mettaient autant d'énergie à s'occuper des filles mères en détresse, ce serait un peu plus cohérent, mais bizarrement, ce n'est pas le cas.
Petit rappel par rapport a ces associations que vous critiquez.
https://eclj.org/la-dconstruction-de-la ... eil?lng=fr
situation toute différente actuellement , au mépris de la loi VeilSimone Veil voulait continuer à s’appuyer sur les nombreuses associations qui soutiennent les femmes en détresse :
« Il va sans dire que nous souhaitons que ces consultations soient les plus diversifiées possibles et que, notamment, les organismes qui se sont spécialisés pour aider les jeunes femmes en difficulté puissent continuer à les accueillir et à leur apporter l’aide qui les incite à renoncer à leur projet ».
Aujourd’hui, les associations qui accueillent et informent les femmes et leur proposent des alternatives à l’avortement sont accusées de désinformation et de culpabilisation des femmes, au point que le gouvernement, à la suite d’un rapport du Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes (ci-après le « Haut-Conseil à l’Égalité ») a lancé en 2013 son propre site dont le militantisme frise la paranoïa : « des freins à l’IVG subsistent, difficultés dues aux pressions de l’entourage, à la culpabilisation ou au manque d’information. […] Les tentatives de déstabilisation, de culpabilisation et de désinformation doivent être déjouées. Pour cela, la campagne encourage la libération de la parole et s’appuie sur des témoignages authentiques » ; « méfiez-vous de la désinformation » . Ce site gouvernemental invite à consulter le Planning familial, auquel un lien renvoie.