Re: 11 Septembre 2001
Publié : 15 janv. 2011, 19:54
@ TOUS...
Dans l’affaire du 9/11, il existe suffisamment d’éléments de preuve accessibles à toute personne s'appuyant sur son seul bon sens, sa seule raison, pour réaliser que l’explication des faits la plus étrange, - la plus soumise à une extraordinaire série de coïncidences et d’anomalies en tout genre - est (hélas) l’explication officielle.
Pouvez-vous me dire, maintenant, à quoi sert d'argumenter à perte de vue - et, ce faisant, de prêter le flanc à toutes les manoeuvres de diversion imaginables... à quoi sert, donc, d'analyser au microscope les manoeuvres d'approche de l'engin qui a percuté ce damné Pentagone, les lampadaires, et tutti quanti... alors que l'on dispose d'un élément concret, solide, un indice clair, irréfutable, établissant qu'aucun avion bi-réacteur n'a jamais percuté la façade, pour la bonne raison que le mur, de part et d'autre du trou d'entrée - un trou de 5 à 6 mètres de côté - est resté intact (il s'est écroulé ensuite, mais pour une raison qui n’a rien à voir).
Il faut mettre les tenants de la Version Officielle au pied du mur : on n’a retrouvé qu’un seul réacteur beaucoup trop petit pour être celui du prétendu avion de ligne : le diamètre des Pratt et Whitney du vol 77 est de 2.50 mètres, et chaque moteur pèse plus de 2T500.
Il n’y avait pratiquement aucun débris sur les lieux (cf le témoignage du Lt-Col. Kwiatkovski :
http://www.militaryofficersfor911truth.org et (en français) : http://www.vigli.org/PDF911/4-Plus_de_1 ... e_11-9.pdf (je vous recommande instamment la lecture de ce dossier)
D’autre part, les moteurs, vu le niveau de l’impact, auraient labouré la pelouse bien avant de percuter la façade : il y a six mètres entre le dessus de l’avion et le ventre des réacteurs.
La queue culmine à 13.60 m... sa hauteur propre est de 7 mètres, sa largeur à la base est de 6 mètres... où est-elle passée ?
Mais avant tout : les deux RÉACTEURS... il n’y en avait pas, et il n’y en a jamais eu... puisqu’il n’y a pas les points d’impact correspondants. Il n’y a qu’une muraille INTACTE. C’est la clé de voûte d’un argumentaire sur l’affaire du Pentagone : on ne nous a pas dit la vérité.
Il faut que les tenants de la VO s’y fassent : ce combat, ils l’ont perdu d’avance. Nous ne devons à aucun moment l’oublier. Nous n’avons plus que 9 mois, à peine. Nous DEVONS aboutir. Il faut construire ce dossier, le faire court et ne mettre en avant que des arguments irréfutables... sans nous attarder à des combats d’arrière-garde qui ne sont que vaine dépense d’énergie... notre objectif étant d’éveiller l’intérêt, l’enthousiasme, la solidarité.
Notre cause est belle. Puisque c’est la cause de la vérité : nous voulons simplement savoir pourquoi cette histoire n’est qu’un bric-à-brac de mensonges. Nous voulons une enquête sérieuse. Voilà tout notre délire.
Nous nous battons pour la vérité. Nous voulons que les gens qui ont laissé leur vie dans ces tours - et d’autres encore dans la poussière toxique (où ils ont travaillé souvent par pure générosité) - ne soient pas morts pour rien. Nous nous battons pour mettre un terme à la mégalomanie des responsables de ce massacre sordide... un massacre qui leur a servi de tremplin pour déclarer la guerre à l’Afghanistan, puis à l’Irak. Une mégalo qui se développe un peu plus tous les jours avec pour décor un Titanic financier qui commence, là, sous nos yeux, à nous engloutir.
Les responsables, qu’il s’agisse des tours, des guerres au Moyen-Orient ou de la débandade financière, sont les mêmes.
Et dans cette entreprise, cette partie d’échecs, le Pentagone n’est qu’une des pièces. Il y en a beaucoup d’autres, tout aussi pertinentes. Entre autres :
- les délits d’initiés,
- les détournements d’avion avec extinction du ‘transponder’ tous menés à bien sans aucune interception,
- la pulvérisation instantanée, magique, des tours jumelles : 200 000 tonnes d’acier et 650 000 tonnes de matériaux désagrégés en une douzaine de secondes,
- les flaques d’acier en fusion,
- les 115 (ou +) témoignages des pompiers, et même d’un directeur du FBI, qui ont entendu de nombreuses explosions, etc...
- le WTC 7 qui s’écroule « spontanément », laissé sans enquête ! Délibérément ignoré !
Au total, que d'énergie contreproductive dépensée en vain : ainsi du Pentagone, où l’on néglige une preuve en béton - c'est le cas de le dire - qui permettrait de régler la question d'une manière inattaquable, définitive au lieu de s’épuiser, de se perdre dans des arguments subsidiaires qui, quoique intéressants (en ce qu'ils étayent l'argument central), épuisent les lutteurs les plus résolus.
Prenons appui sur les indices les plus solides, les plus évidents, les plus inattaquables. Nos motivations - VÉRITÉ, la CLARTÉ, la PROBITÉ - doivent être constamment défendues avec le sourire... l’humour est la plus sûre source d’énergie. Cherchons-en le diapason ensemble.
Il nous faut une approche cohérente, stratégique. Une dénonciation clairement motivée de la mauvaise foi officielle et des invraisemblances de son scénario.
Entrons dans la danse ! Car nous jouons en ce moment l’avenir de nos sociétés, la liberté de nos enfants.
Je vous salue bien,
Ganapatrak (en clair : Patrick Lafourcade)
Dans l’affaire du 9/11, il existe suffisamment d’éléments de preuve accessibles à toute personne s'appuyant sur son seul bon sens, sa seule raison, pour réaliser que l’explication des faits la plus étrange, - la plus soumise à une extraordinaire série de coïncidences et d’anomalies en tout genre - est (hélas) l’explication officielle.
Pouvez-vous me dire, maintenant, à quoi sert d'argumenter à perte de vue - et, ce faisant, de prêter le flanc à toutes les manoeuvres de diversion imaginables... à quoi sert, donc, d'analyser au microscope les manoeuvres d'approche de l'engin qui a percuté ce damné Pentagone, les lampadaires, et tutti quanti... alors que l'on dispose d'un élément concret, solide, un indice clair, irréfutable, établissant qu'aucun avion bi-réacteur n'a jamais percuté la façade, pour la bonne raison que le mur, de part et d'autre du trou d'entrée - un trou de 5 à 6 mètres de côté - est resté intact (il s'est écroulé ensuite, mais pour une raison qui n’a rien à voir).
Il faut mettre les tenants de la Version Officielle au pied du mur : on n’a retrouvé qu’un seul réacteur beaucoup trop petit pour être celui du prétendu avion de ligne : le diamètre des Pratt et Whitney du vol 77 est de 2.50 mètres, et chaque moteur pèse plus de 2T500.
Il n’y avait pratiquement aucun débris sur les lieux (cf le témoignage du Lt-Col. Kwiatkovski :
http://www.militaryofficersfor911truth.org et (en français) : http://www.vigli.org/PDF911/4-Plus_de_1 ... e_11-9.pdf (je vous recommande instamment la lecture de ce dossier)
D’autre part, les moteurs, vu le niveau de l’impact, auraient labouré la pelouse bien avant de percuter la façade : il y a six mètres entre le dessus de l’avion et le ventre des réacteurs.
La queue culmine à 13.60 m... sa hauteur propre est de 7 mètres, sa largeur à la base est de 6 mètres... où est-elle passée ?
Mais avant tout : les deux RÉACTEURS... il n’y en avait pas, et il n’y en a jamais eu... puisqu’il n’y a pas les points d’impact correspondants. Il n’y a qu’une muraille INTACTE. C’est la clé de voûte d’un argumentaire sur l’affaire du Pentagone : on ne nous a pas dit la vérité.
Il faut que les tenants de la VO s’y fassent : ce combat, ils l’ont perdu d’avance. Nous ne devons à aucun moment l’oublier. Nous n’avons plus que 9 mois, à peine. Nous DEVONS aboutir. Il faut construire ce dossier, le faire court et ne mettre en avant que des arguments irréfutables... sans nous attarder à des combats d’arrière-garde qui ne sont que vaine dépense d’énergie... notre objectif étant d’éveiller l’intérêt, l’enthousiasme, la solidarité.
Notre cause est belle. Puisque c’est la cause de la vérité : nous voulons simplement savoir pourquoi cette histoire n’est qu’un bric-à-brac de mensonges. Nous voulons une enquête sérieuse. Voilà tout notre délire.
Nous nous battons pour la vérité. Nous voulons que les gens qui ont laissé leur vie dans ces tours - et d’autres encore dans la poussière toxique (où ils ont travaillé souvent par pure générosité) - ne soient pas morts pour rien. Nous nous battons pour mettre un terme à la mégalomanie des responsables de ce massacre sordide... un massacre qui leur a servi de tremplin pour déclarer la guerre à l’Afghanistan, puis à l’Irak. Une mégalo qui se développe un peu plus tous les jours avec pour décor un Titanic financier qui commence, là, sous nos yeux, à nous engloutir.
Les responsables, qu’il s’agisse des tours, des guerres au Moyen-Orient ou de la débandade financière, sont les mêmes.
Et dans cette entreprise, cette partie d’échecs, le Pentagone n’est qu’une des pièces. Il y en a beaucoup d’autres, tout aussi pertinentes. Entre autres :
- les délits d’initiés,
- les détournements d’avion avec extinction du ‘transponder’ tous menés à bien sans aucune interception,
- la pulvérisation instantanée, magique, des tours jumelles : 200 000 tonnes d’acier et 650 000 tonnes de matériaux désagrégés en une douzaine de secondes,
- les flaques d’acier en fusion,
- les 115 (ou +) témoignages des pompiers, et même d’un directeur du FBI, qui ont entendu de nombreuses explosions, etc...
- le WTC 7 qui s’écroule « spontanément », laissé sans enquête ! Délibérément ignoré !
Au total, que d'énergie contreproductive dépensée en vain : ainsi du Pentagone, où l’on néglige une preuve en béton - c'est le cas de le dire - qui permettrait de régler la question d'une manière inattaquable, définitive au lieu de s’épuiser, de se perdre dans des arguments subsidiaires qui, quoique intéressants (en ce qu'ils étayent l'argument central), épuisent les lutteurs les plus résolus.
Prenons appui sur les indices les plus solides, les plus évidents, les plus inattaquables. Nos motivations - VÉRITÉ, la CLARTÉ, la PROBITÉ - doivent être constamment défendues avec le sourire... l’humour est la plus sûre source d’énergie. Cherchons-en le diapason ensemble.
Il nous faut une approche cohérente, stratégique. Une dénonciation clairement motivée de la mauvaise foi officielle et des invraisemblances de son scénario.
Entrons dans la danse ! Car nous jouons en ce moment l’avenir de nos sociétés, la liberté de nos enfants.
Je vous salue bien,
Ganapatrak (en clair : Patrick Lafourcade)