richard a écrit :Je vais changer les notations.
Encore... voyons ce que ça va donner.
richard a écrit : Je vais prendre celles de mon article —ceux qui l'ont reçu pourront vérifier— ce sera plus clair.
Ca va surtout être plus confusant pour les autres.
richard a écrit :On a donc deux référentiels en mouvement l'un par rapport à l'autre, on va les nommer E et E1,
Mouais. Pourquoi diable désigner un
Référentiel par la lettre E ? Ah oui, c'est ta nouvelle confusion, maintenant les référentiels sont des espaces. Enfin, comme tu viens de la trouver il y a 3 ou 4 posts, celle-là, je serais bien surpris quand ton "article", tu désignes les référentiels par E. On parie ? Psyricien, tu nous dis par quelle lettre il désigne les référentiels dans son "article" ?
Sinon, pourquoi
E et
E1 plutôt que
E1 et
E2, qui serait plus consistant ? Enfin, pour l'instant, il n'y a pas d'erreur.
richard a écrit : et on suppose qu'à un instant donné, on va dire t = 0,
Bon, ça démarre déjà. t est mesuré dans quel référentiel ? Pour rester consistant avec tes notations, il faudrait désigner par t le temps mesuré dans
E et par t
1 le temps mesuré dans dans
E1.
richard a écrit : leurs origines O et O1
Ca, ça va.
richard a écrit :et deux points M de E et M1 de E1
Et patatra. Tu retombes dans la même erreur que tu refusent de comprendre depuis des pages et des pages. Les points n'appartiennent pas à des référentiels, ce sont les mesures. Répéter la même erreur en changeant la forme ne sert à rien
richard a écrit :coïncident respectivement.
Ca, c'est bon
richard a écrit :
On considère que ces référentiels sont des espaces euclidiens de dimension trois.
non, encore une fois, les référentiels ne sont pas des espaces. Ce sont des systèmes de coordonnées définis un seul et même espace.
richard a écrit :Les coordonnées de M dans E sont M = (x,y,z) et celles de M1 dans E1 sont M1 = (x1,y1,z1).
J'ai failli dire que c'était bon. Mais en fait, c'est à nouveau des notations à se tirer des balles dans le pieds, puisque le même exposant peut différencier soit les points mesurés, soit les référentiels dans lesquels on mesure.
richard a écrit : On a donc les égalités:
x1 = x
y1 = y
z1 = z
oui, à t=0 et (je suppose) t
1=0
richard a écrit :
Le point M1 fixe dans E1 donne un point mobile dans E , noté M1 de coordonnées (x1,y1,z1).
C'est le même point. Et tes notations deviennent délirantes puisqu'une mesure dans
E est maintenant suffixée par 1
richard a écrit :
Supposons maintenant que les deux référentiels soient en mru suivant l'axe des x,
OK
richard a écrit : les coordonnées de M1 s'écrivent:
x1 = x0,1 + v t
y1 = y0,1
z1 = z0,1
On arrive dans le grand n'importe quoi au niveau des notations. Tu introduis un deuxième indice sans préciser ce dont il s'agit. Je vais supposer que le 0 signifie le temps, et que t est toujours mesuré dans
E. Pour être consistant, il faudrait écrire :
x
t,1 = x
0,1 + v t
y
t,1 = y
0,1
z
t,1 = z
0,1
avec x
t,1 qui se lit "la coordonnée x du point M
1, mesuré dans E à l'instant t (dans E)"
avec x
0,1 qui se lit "la coordonnée x du point M
1, mesuré dans E à l'instant 0 (dans E) "
avec y
t,1 qui se lit "la coordonnée y du point M
1, mesuré dans E à l'instant t (dans E)"
C'est abominable à lire, confusogène au possible, mais au moins, ce n'est pas faux.
richard a écrit :
On voit mieux ainsi la différence entre les coordonnées d'Euler (x1,y1,z1) et celles de Lagrange (x1,y1,z1).
N'importe quoi. On voit la différence entre :
les coordonnées du point M
1 mesurée dans E : (x
1,y
1,z
1)
et
les coordonnées du point M
1 mesurée dans E
1 : (x
1,y
1,z
1)
Bref, à part faire se retourner Euler et Lagrange dans leur tombe, tu n'as réussit qu'à montrer, une fois de plus, que tu n'avais toujours rien compris à la notion de référentiel en physique.