Re: Suaire de Turin
Publié : 22 juin 2010, 09:30
Cher Rolland :
Dommage que vous n'avez pas de temps pour répondre à mon dernier commentaire. J'espère que vous en retrouverez et ajouterez quelque argumentation plus substancielle que celles de votre dernier écrit, que malheuresement n'ont ajouté rien de nouveau. Plutôt vous revenez sur des choses que j'avais deja expliqué.Voyons ça :
1. Justement je vous avais expliqué comment il n'y a rien d'unanimité à l'heure de rejeter la preuve du C-14 même dans le camp sindoniste. Bien sûr qu'il existe une fausse unanimité: tous sont d'accord en ne pas vouloir accepter les résultats de 1988. Mais ils ne sont pas d'accord du tout en savoir pourquoi. Pour quelques-uns il s'agit des raisons statistiques. Pour d'autres à cause d'une confabulation maçonnique et sceptique à la fois (oui, ça aussi). Il y a qui pense à une couche bioplastique hypothètique. Par la on croit au rapiéçage invisible. Par ici à la contamination par monoxide. Etc. Et les uns critiquent parfois âprement aux autres. Alors, où est l'unanimité? Seulement dans le désir de base qui renvoie à une croyance de préférance religieuse: le «Saint Suaire» est authentique.
2. Rien de malheur pour moi parce que le link que vous ajoutez sur la «bibliographie» du «french weaving» nous renvoie justement au bouquin dont je vous parlais à mon dernier commentaire: comme je vous disais il s'agit d'un petit manuel sans auteur qui donne des instructions pour faire le rapiéçage et qui ne dit rien de rien sur la question de l'invisibilité ni précisions de type historique. Je sais parce que je l'ai lu. Vous pouvez le lire vous-même ici. C'est toute la bibliographie qu'on dispose? Bien maigre!
3. Je vois clairement trois versions différentes de la provenance des échantillons de Garza-Valdés et Rogers qui ont provoqué la dés-autorisation vaticane. Je voulais dire ça tout simplement. Et je ne vois pas quel rôle joue ici Wikipedia que je ne consulte que très rarement. Sur la position du Vatican je ne vois pas quel intérêt il a à faire échouer les essaies de valider le «Sainte Suaire». Je crois que son intérêt est justement le contraire puisqu'il en extrait d'importants profits «spirituels» (et matériels aussi au moins pour larchevêché de Turin). Pour le critère de manifestation «au contraire» je tiens à lui donner ma confiance quand il dit qu'il n'y a pas d'échantillon valable que ceux qui sont en son pouvoir.
D'autre part, tout ce que vous avez fait comme argument contre les témoignages que je présentais est d'ajouter un adjectif valoratif derrièe chaqun d'eux. Avec ça vous ne faites pas une argumentation, mais simplement une manifestation de vos croyances.
Dommage que vous n'avez pas de temps pour répondre à mon dernier commentaire. J'espère que vous en retrouverez et ajouterez quelque argumentation plus substancielle que celles de votre dernier écrit, que malheuresement n'ont ajouté rien de nouveau. Plutôt vous revenez sur des choses que j'avais deja expliqué.Voyons ça :
1. Justement je vous avais expliqué comment il n'y a rien d'unanimité à l'heure de rejeter la preuve du C-14 même dans le camp sindoniste. Bien sûr qu'il existe une fausse unanimité: tous sont d'accord en ne pas vouloir accepter les résultats de 1988. Mais ils ne sont pas d'accord du tout en savoir pourquoi. Pour quelques-uns il s'agit des raisons statistiques. Pour d'autres à cause d'une confabulation maçonnique et sceptique à la fois (oui, ça aussi). Il y a qui pense à une couche bioplastique hypothètique. Par la on croit au rapiéçage invisible. Par ici à la contamination par monoxide. Etc. Et les uns critiquent parfois âprement aux autres. Alors, où est l'unanimité? Seulement dans le désir de base qui renvoie à une croyance de préférance religieuse: le «Saint Suaire» est authentique.
2. Rien de malheur pour moi parce que le link que vous ajoutez sur la «bibliographie» du «french weaving» nous renvoie justement au bouquin dont je vous parlais à mon dernier commentaire: comme je vous disais il s'agit d'un petit manuel sans auteur qui donne des instructions pour faire le rapiéçage et qui ne dit rien de rien sur la question de l'invisibilité ni précisions de type historique. Je sais parce que je l'ai lu. Vous pouvez le lire vous-même ici. C'est toute la bibliographie qu'on dispose? Bien maigre!
3. Je vois clairement trois versions différentes de la provenance des échantillons de Garza-Valdés et Rogers qui ont provoqué la dés-autorisation vaticane. Je voulais dire ça tout simplement. Et je ne vois pas quel rôle joue ici Wikipedia que je ne consulte que très rarement. Sur la position du Vatican je ne vois pas quel intérêt il a à faire échouer les essaies de valider le «Sainte Suaire». Je crois que son intérêt est justement le contraire puisqu'il en extrait d'importants profits «spirituels» (et matériels aussi au moins pour larchevêché de Turin). Pour le critère de manifestation «au contraire» je tiens à lui donner ma confiance quand il dit qu'il n'y a pas d'échantillon valable que ceux qui sont en son pouvoir.
D'autre part, tout ce que vous avez fait comme argument contre les témoignages que je présentais est d'ajouter un adjectif valoratif derrièe chaqun d'eux. Avec ça vous ne faites pas une argumentation, mais simplement une manifestation de vos croyances.