Inso dit :
D'autre part, tu amalgames systématiquement
Ce qui n'est pas le cas des autres intervenants
Lol
Tes interventions sont complètement biaisés et cette intervention supplémentaire le montre. Tu n'interviens pas/ne soulignes pas les biais, erreurs de raisonnement, mauvaise foi de ceux qui partagent à peu près les même convictions que toi.
Concernant la TVA :
Réponse que tu n'as pas du lire alors.
Tu ne répond pas à la question du pourquoi on fait une différence entre la TVA et les cotisations par exemple. Tu ne fais que dire la TVA est payé par les clients car la TVA est payée par les clients et ou car on enregistre pas de la même manière comptablement (alors que j'avais deja dit que se justifier de cette manière était tautologique). La variante de dire qu'un tel ou un tel le dit n'explique pas pour autant, on reste dans la tautologie.
D'un côté, on considère que le TVA n'est pas un coût pour l'entreprise et que les clients la payent.
Et de l'autre, pour les cotisations sociales par exemple, on considère que c'est un coût directe pour l'entreprise et donc que les clients ne la payent pas.
Or augmenter ou diminuer cette tva/ces cotisations, auront à peu près les mêmes conséquence pour les entreprises, individuellement (très peu voir pas de conséquences sauf au moment de la transition) et globalement (aura des conséquences sur les entreprises globalement).
Es tu d'accord avec ce "or" ?
Expliquer ces éventuelles différences sur les conséquences me convaincrait peut être. Personnellement j'ai du mal à voir des différences.
À partir du moment où l'on s'accorderait pour dire que ces baisses/augmentations ont à peu près le même impact sur les entreprises (augmenter/diminuer le prix du produit, impacte le pouvoir d achat et donc les entreprises globalement), à peu de chose près, alors faire un scission/schisme entre d'un côté dire que c est les clients qui payent (TVA)et de l'autre que c'est l'entreprise (cotisations) me semble trop exagéré/pas correct.
Pour le moment, cette différence (entre TVA et cotisations sociales, coût de l'entreprise ou non coût, payé par les clients ou non) traduit plus pour moi
l'expression d'une convention fiscale plutôt qu'une réalité économique.
La TVA sur le produit vendu par l'entreprise est perçue par l'entreprise. Suivant ton raisonnement, ce serait donc non pas une charge mais un bénéfice supplémentaire (invisible des impôts en plus).
Le raisonnement que je tiens est : L'entreprise effectue des recettes en vendant des produits/services. Le prix de ces produits inclus tout un tas de choses dont la TVA/salaire brut/bénéfice/coût fournisseur etc.
Les achats clients sont nécessaires pour payer les produits/services, incluant la tva (mais aussi les salaires bruts, avant fournisseurs, benefice, impôt) et les entreprises sont indispensables pour produire ce service et produit.
Elle est fixe pour une famille de produit / service. Elle ne dépend pas de paramètres liés à l'entreprise.
Elle est fixe en fonction des familles de produits ok. Mais la TVA reversé à l'état dépend aussi des paramètres liés à l'entreprise comme le choix/quantité de matière première acheté et vendu. Le montant de la TVA collecté, à déduire et à reverser dépendent entièrement de la stratégie/paramètres liés à l'entreprise. Elles vont agir sur la trésorerie.
Elle n'est pas reconnu comme un coût par convention fiscale mais concrètement elle a beaucoup d'effet similaires.
sans parler de ton autre erreur grossière de cumuler l'IS avec les IR/ID
C'est un fait que le dividende reversé est un bénéfice de l'entreprise qui a
déjà été taxé.
Dire que la finance permet d'échapper aux taxes comme l'affirme Jean est une erreur grossière (mais pour souligner cette erreur grossière, il ne faut pas compter sur toi apparemment).
Que cela apparaisse dans deux cases différentes ne change pas le fait que le bénéfice est taxé deux fois.
Quand t'es un ultra riche et que tes sources de revenus sont principalement liés aux bénéfices de l'entreprise, il me semble pertinent de rappeller que l'IS (impôt sur le bénéfice de l'entreprise) n'est pas comptabilisé dans l'IR. Il n'y a pas d'erreur dans ce rappel, je ne fais que rappeller un fait.
Et pourquoi le rappeller, me dirais tu peut être car
Les bénéfices d'une entreprise sont la part de la valeur ajouté appartenant aux propriétaires de l'entreprise. Alors bien sûr, cet argent pourra être réinvesti comme on les sait déjà.
Les ultras riches participent via
leurs entreprises, à payer indirectement l'IS.
D'autre part, tu amalgames systématiquement toutes les entreprises / entrepreneurs. Ce qui n'est pas le cas des autres intervenants qui font bien la distinction entre la majorité des entrepreneurs (qui participent "normalement" à l'économie) et les ultra-riches qui profitent bien trop d'un système capitaliste mal contrôlé (cf la citation sur ce post)
C'est le même système. Tu voudrais piquer encore plus ceux qui gagnent beaucoup alors qu'ils participent déjà Infiniment plus que toi ou moi à l'effort collectif fiscalement parlant.
Par contre quand une entreprise fait faillite et ou gagne trois franc six sous, cette logique de faire partager les pertes/faibles revenus des entrepreneurs n'apparaît pas, comme c'est étrange... (Je ne dis pas qu'il faut que cela soit le cas).