Re: VIOLENCE FAITE AUX FEMMES: LA FIN DES MYTHES
Publié : 05 nov. 2020, 17:40
Tu as des sources qui vont à l'encontre des miennes ?
Débattons sans nous battre !
https://forum-sceptique.com/
Tu as des sources qui vont à l'encontre des miennes ?
Je te donne un exemple que j’applique constamment dans ma vie.Cogite Stibon a écrit : 05 nov. 2020, 17:13 ...
Qui vous dit que cette personne n'a pas perçu - à tort certes - votre regard comme une offense de nature sexuelle ? Sa réaction laisse penser que c'est le cas.
Je vous ai dejà dis que :Phil_98 a écrit : 05 nov. 2020, 17:45 Je te donne un exemple que j’applique constamment dans ma vie.
Quand je vais au marché et que je suis seul, je ne fais aucune blague, aucun sourire aux femmes. N’importe quelles farces peuvent être jugées très négativement par une autre personne. C’est de plus en plus évident, et je l’ai observé sur le forum, le mot abjecte apparait facilement.
Mais quand je suis avec ma conjointe, je me permets beaucoup plus de liberté, j’aime les gens et j’aime les faire rire. Ma conjointe est une protection contre ces jugements et contre moi-même. Les mots changent de signification selon les circonstances et quelques fois il faut connaitre le point de vue de l’autre ou avoir avec nous quelqu’un qui confirme ou infirme une réaction négative.
Elle m’a bien expliqué le scénario. Plusieurs jeunes femmes entrevoient facilement la possibilité de rencontré un « creepy solitaire», peu importe s’il se montre gentil ou non. Cette culture s’est développée récemment et ce n’est pas toujours de la faute de l’homme.
Vous n'avez pas répondu.Dans le cadre d'un sondage, on ne peut connaître que le ressenti de la personne qui a été regardée, pas l'intention de celle qui regarde, donc on ne peut pas le savoir.
Faut-il pour autant s'abstenir de mesurer un phénomène tant que sa mesure n'est pas absolument parfaite ?
Je comprends facilement que les mesures sont souvent incomplètes, et qu'il ne faut pas s'abstenir de commenter.Cogite Stibon a écrit : 05 nov. 2020, 17:56 ...
Je vous ai dejà dis que :
Dans le cadre d'un sondage, on ne peut connaître que le ressenti de la personne qui a été regardée, pas l'intention de celle qui regarde, donc on ne peut pas le savoir.
Faut-il pour autant s'abstenir de mesurer un phénomène tant que sa mesure n'est pas absolument parfaite ?
Vous n'avez pas répondu.
Non, mais qu'on s'entende bien, ce n'est pas ton affirmation que je critique, mais celle qui compare l'exhibitionnisme chez les hommes et les femmes
Ce n'est pas cela le problème. Pose-toi plutot les questions : pourquoi les femmes ne participent-elles pas à ce fil et pourquoi celles qui viennent en repartent dégoûtées? ...Phil_98 a écrit : 05 nov. 2020, 18:13 Quand la mesure n'est pas parfaite, est-ce qu'on a le droit de critiquer cette étude sans se faire dire que la critique est abjecte ?
Donc vous aimeriez que l'on reconnaisse que : la violence est un fait rare, qui ne vient pas plus des hommes que des femmes, ces dernières restant volontairement auprès des hommes qui les battent. Les femmes battent leur partenaire pour d'autres raisons que pour se défendre. Et la violence ponctuelle, ne va pas crescendo"Premier mythe: La violence conjugale est endémique
Deuxième mythe: Ce sont les hommes qui sont violents
Troisième mythe: Les femmes restent prisonnières de leurs maris violents par peur des représailles si elles les quittent.
Quatrième mythe: Les femmes ne font que se défendre
Cinquièmement: La violence conduit toujours à une escalade
Les sceptiques s'intéressent aux pseudo-sciences mais aussi aux affirmations gratuites qui se déguisent en science. Une de ses manifestations est la fabrication de données. Des chercheurs et chercheuses, un peu trop "engagés", mettent sur pied des protocoles expérimentaux bidons dont la seule finallité est de produire à coup sûr les données qu'ils désirent pour défendre leur "juste cause". Les chaval de bataille des millitants de droite et de gauche sont un terrain fertile à ce genre de pseudo-science.
BIen justement, ici il est surtout question de chiffres. Pour trouver le fil intéressant, il faut comprendre la méthodode expériementale et la façon dont les chiffres sont produit et interprétés. Sinon, ce doit, en effet, être très ennuyant.
Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 20:00 ... on leur fait dire ce que l'on veut et vous le prouvez très bien malgré vous.
Que la violence conjugale et la violence sexuelle sont des choses graves et complexes qui méritent certainement d'être comprises et corrigés, mais qui prennent des visages différent de ceux que cherchent à dessiner les idéologues. Personnellement, j'ai soigné des agresseurs et des victimes de violence toute ma carrière et le tableau qu'en donne les sociologues "engagés" ne correspond pas à la réalité que je connais et que connaissent mes camarades qui travaillent en hébergement pour «femmes victimes de violence». Si ont passait moins de temps à faire de la propagande et plus de temps à orienter les resources vers de la bonne recherche, ont avancerait peut être plus vite sur le terrain de l'égalité et de l'harmonie entre les sexes.
Ce sont les premiers mythes sur la violence conjugale qui ont été déboulonnées au début de ce fil de discussion il y a ... déjà pas mal longtemps.Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 20:00Premier mythe: La violence conjugale est endémique
Deuxième mythe: Ce sont les hommes qui sont violents
Troisième mythe: Les femmes restent prisonnières de leurs maris violents par peur des représailles si elles les quittent.
Quatrième mythe: Les femmes ne font que se défendre
Cinquièmement: La violence conduit toujours à une escalade
Oui, en partie! C'est ce que montrent les chiffres de Statistique Canada et de la revue de littérature de l'Institut de la statistiques du Québec. Passé les mensonges que restent t il, comment le comprenrde, comment le soigner?Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 20:00 Donc vous aimeriez que l'on reconnaisse que : la violence est un fait rare, qui ne vient pas plus des hommes que des femmes, ces dernières restant volontairement auprès des hommes qui les battent. Les femmes battent leur partenaire pour d'autres raisons que pour se défendre. Et la violence ponctuelle, ne va pas crescendo"
Savez vous ce qu'est le sophisme de l'épouvantaille (l'homme de paille)?Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 20:00 Alors, je le relis, encore une fois et je me dis: Ca va, une bonne baffe de temps en temps, déjà elle la mérite, en plus elles aiment ça, et surtout si on est pas violent, elles vont nous taper en premier.
Manifestement, mais je doute que votre disposition d'esprit vous permette de l'assimiler pour le moment.
Ceci est ce que j'appelle l'intension derrière le post et je trouve qu'elle est tout à fait recevable. Je suis d'accord avec l'idée globale, un petit peu moins avec la dernière phrase. Il y a quelque chose de l'ordre de la pulsion, de l'attachement que l'on met en scène dans le rapport amoureux. Et le problème n'est pas forcément la violence dans le couple mais le trouble de l'attachement et la façon dont il se manifeste dans le couple. A part quelques cas de grands pervers, ça existe aussi et là, je suis désolée de ce propos qui peut sembler rétrograde mais je constate que ça ne s'exprime pas de la même façon chez les hommes et chez les femmes.Que la violence conjugale et la violence sexuelle sont des choses graves et complexes qui méritent certainement d'être comprises et corrigés, mais qui prennent des visages différent de ceux que cherchent à dessiner les idéologues. personnellement, j'ai soigné des agresseurs et des victimes de violence toute ma carrière et le tableau qu'en donne les sociologues "engagés" ne correspond pas à la réalité que je connais et que connaissent mes camarades qui travaillent en hébergement pour «femmes victimes de violence». Si ont passait moins de temps ;a faire de la propagande et plus de temps ;a orienter les ressources vers de la bonne recherche, ont avancerait peut être plus vite sur le terrain de l'égalité et de l'harmonie entre les sexes.
+1Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 21:03
Il y a quelque chose de l'ordre de la pulsion, de l'attachement que l'on met en scène dans le rapport amoureux. Et le problème n'est pas forcément la violence dans le couple mais le trouble de l'attachement et la façon dont il se manifeste dans le couple.
En effet, les perversions ne sont pas les mêmes chez les hommes et les femmes et il se pourait que la fr.équence soitn plus grande chez les hommes.Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 21:03 A part quelques cas de grands pervers, ça existe aussi et là, je suis désolée de ce propos qui peut sembler rétrograde mais je constate que ça ne s'exprime pas de la même façon chez les hommes et chez les femmes.
Oui, les statistiques policières montrent que les femmes sont plus souvent victimes de meurtres conjugaux.Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 21:03 Enfin, j'insiste sur le fait que les femmes sont plus facilement victimes de violence physiques que les hommes. (Vous qui aimez les chiffres, vous me direz combien de femmes meurent tuées par leur conjoint et combien d'hommes tués par leur femme)
Oui, mais il y a plus a faire encore. Quels sont les profil psychologiques des femmes et des hommes qui s'enferment dans des relations conjugales vraiment violentes? À quels besoins répond cette violence chez l'un et l'autre? Comment répondre à ces besoins et à ouvrire un porte de sortie? etc.Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 21:03 Un coup même sans trace est inacceptable, gravissime et doit être considéré comme tel pour éviter l'escalade. Ce qui n'autorise en aucun cas à frapper les hommes. Mais la violence des femmes est plutôt psychologique que physique, je suis désolée de contredire vos chiffres mais c'est flagrant. Ce qu'il faut c'est continuer à apprendre à nos filles à ne jamais accepter les coups, pas le moindre. Et à nos garçons aussi, pourquoi pas. Mais aussi mieux armer les deux sexes à mieux se connaitre pour mieux comprendre ce qu'il joue avec l'autre.
En fin de semaine dernière nous avons eu un terrible drame dans les rues de la capital. Il apparait que le meurtrier est un homme qui présente un grave trouble mentale. Il a frappé avec un sabre japonais des gens croisés au hasard dans la rue. Le drame a posé la question des soins en santer mentaux, surtout ceux qui s'adressent aux hommes.Amandine a écrit : 05 nov. 2020, 21:10 Il y a longtemps j'ai vu une expérience, vous auriez aimé ça, il y avait plein de chiffres et des pourcentage. Une maman devait attendre dans une salle avec un bébé sur les genoux. Et le plus souvent les bébés fille étaient tourné par la mère face à elle. Les bébé garçon face à la salle. Le commentateur trouvait que c'était une injustice faite à la fille qui était moins tournée vers le monde. Et moi j'ai pensé au petit garçon qui était moins tourné vers sa mère moins "protégé".
Et ça c'est un grand problème à mon avis dans l'accompagnement de la violence conjugale, l'homme est souvent privé de protection, il n'a qu'à se débrouiller, c'est un homme. Alors que l'homme est aussi, comme la femme l'adulte qui garde en lui l'enfant, ses douleurs et ses peurs. Il a le droit d'être protégé aussi.
Je pense qu'on travaille déjà beaucoup là dessus. Il y a de nouveau tabous dans notre société. Et il est possible que cela freine des mécanismes connus depuis toujours dans le lien homme/femme. Enfin je ne pense pas du tout que les tabou freinent le phénomène mais plutôt le marginalisent en le rendant inaudible. Ces mécanismes ne sont pas forcément néfaste tant qu'ils restent flexibles.Kraepelin a écrit : 05 nov. 2020, 21:20 Oui, mais il y a plus a faire encore. Quels sont les profil psychologiques des femmes et des hommes qui s'enferment dans des relations conjugales vraiment violentes? À quels besoins répond cette violence chez l'un et l'autre? Comment répondre à ces besoins et à ouvrir un porte de sortie? etc.
On ne va pas repartir sur des chiffres mais je travaille aussi en santé mental, entre autre avec un HPS, et là on a beaucoup plus d'hommes. Alors l'accompagnement plus light, à la demande, je veux bien croire que c'est plus facile d'accès aux femmes. Mais encore une fois, c'est parce que la consultation basée sur la parole est un média plus investi par les femmes. Les femmes parlent plus entre elles, se soutiennent. (ok, c'est encore des généralité, il y a des femmes mutines et plus isolées) mais il existent d'autres approches.Kraepelin a écrit : 05 nov. 2020, 21:30
Pour plusieurs raisons, les hommes consultent très peu les services dans leurs formes actuelles. Une de ces raisons et que la forme de services est calquée sur les demandes des femmes et d'ailleurs elles consultent beaucoup. Bravo pour les femmes (et bravo pour moi qui ai gagné ma vie avec ça pendant 33 ans)! Mais que faire pour les hommes? Quels formes doivent prendre les services de santé mentale pour que les hommes les exploitent? Je ne connais qu'un seul chercheur qui ait consacré sa carrière de recherche à cette question: Germain Dulac. Devinez ce qui lui est arrivé?
Oh ! Plus que super-intéressant. Amendine et Kraeplin seraient des psychiatres ? Je me sens un peu « out », mais il y aura quand même des questions plus tard, je vais faire quelques recherches.LoutredeMer a écrit : 05 nov. 2020, 19:25
Ce n'est pas cela le problème. Pose-toi plutot les questions : pourquoi les femmes ne participent-elles pas à ce fil et pourquoi celles qui viennent en repartent dégoûtées? ...![]()
Le problème avec la loi canadienne, c'est qu'elle a été modifiée justement suite au rapport ESSIMU de Bergeron. La définition d'agression sexuelle est tellement large qu'elle ne peut pas être maintenue comme telle. Ce sera la job des juges de déterminer si un regard (on ne parle pas de regard salace dans la loi), un sifflement, une caresse sont digne d'envoyer le "malfaiteur" en prison ou si on va juste lui donner une claque sur les doigts. Pour être considéré comme agression, on a juste besoin que la personne "affectée" ait subi un malaise dans une situation à "caractère sexuel" (au sens très large).Etienne Beauman a écrit : 05 nov. 2020, 16:21 Contrairement à ce qu'affirme ton compagnon du café du commerce, c'est pas Bergeron qui se fait une lubie en classant le regard salace parmi les différents cas d'interprétation du harcèlement sexuel, c'est la loi canadienne.
Avez-vous des sources crédible pour soutenir ça? Est-ce qu'une femme portant un décolleté plongeant jusqu'au nombril peut être classée comme exhibitionniste? Et que penser des Femens? Sur les sites pornos, combien de femmes s'exhibent? Et combien d'hommes?Cogite Stibon a écrit : 05 nov. 2020, 16:59 Comment s'accorde-t'elle avec le fait que les exhibitionnistes soient plus souvent des hommes que des femmes ?
Il n'avait pas du tout l'air d'un homosexuel, ni moi non plus, et sa réaction m'a plutôt fait penser qu'il était raciste...Cogite Stibon a écrit : 05 nov. 2020, 17:13Qui vous dit que cette personne n'a pas perçu - à tort certes - votre regard comme une offense de nature sexuelle ? Sa réaction laisse penser que c'est le cas.Horus a écrit : 05 nov. 2020, 05:45 Savez-vous qu'un noir m'a fait un finger juste parce que je le regardais alors que j'étais dans la Lune? Si j'étais une femme ou un homosexuel, ce serait identifié comme une violence sexuelle de ma part à laquelle il a répondu par une autre violence sexuelle...
Tu me fais rigoler lorsque tu parles de ta copine.Phil_98 a écrit : 05 nov. 2020, 23:15
À propos de ce que tu écris, je ne comprends pas pourquoi tu dis que les femmes sont dégoutées de ce fil. Si tu veux, écris comme tu le ressens et comme tu le penses. Je vais demander à ma conjointe de lire, aussi, elle m’expliquera surement différemment de ma compréhension et je te reviens. Il y a quelque chose que je ne vois pas.
Peut être, mais le contraire n'est certainnement pas vrai. Je ne sais pas d'où le clown tire cette idée que Bergeron s'inspirerait de la loi canadienne. Les questions de Bergeron sont tirées du questionnaire de Louise Fitzgerald, une américaine qui n'en a rien à cirer de la loi CanadienneHorus a écrit : 06 nov. 2020, 05:38Le problème avec la loi canadienne, c'est qu'elle a été modifiée justement suite au rapport ESSIMU de Bergeron.Etienne Beauman a écrit : 05 nov. 2020, 16:21 Contrairement à ce qu'affirme ton compagnon du café du commerce, c'est pas Bergeron qui se fait une lubie en classant le regard salace parmi les différents cas d'interprétation du harcèlement sexuel, c'est la loi canadienne.
Sur les réseaux sociaux, c'est majoritairement des femmes qui s'exhibent. Je pense que la protection qu'offre l'écran (donc la distance physique) est un "confort" pour elles. Un homme a moins de crainte de le faire directement dans la rue, et aussi moins de risque. Il sait que peu (voir pas) de femmes vont se "jeter" sur lui.Horus a écrit : 06 nov. 2020, 05:44 Est-ce qu'une femme portant un décolleté plongeant jusqu'au nombril peut être classée comme exhibitionniste? Et que penser des Femens? Sur les sites pornos, combien de femmes s'exhibent? Et combien d'hommes?
Non !Horus a écrit : 06 nov. 2020, 05:38 La définition d'agression sexuelle est tellement large qu'elle ne peut pas être maintenue comme telle.
Sources ????MaisBienSur a écrit : 06 nov. 2020, 08:53 Sur les réseaux sociaux, c'est majoritairement des femmes qui s'exhibent
Petite précision pour Monsieur Etienne qui croit que la vie à commencé quand internet est né et qu'il a pu enfin y trouver des sources (de rien, c'est gratuitEtienne Beauman a écrit : 06 nov. 2020, 09:26Sources ????MaisBienSur a écrit : 06 nov. 2020, 08:53 Sur les réseaux sociaux, c'est majoritairement des femmes qui s'exhibent
https://www.20minutes.fr/high-tech/2479 ... otos-penis
Jamais entendu parler d'un phénomène équivalent chez les femmes.
T'as 'encore raté une occasion de te taire !MaisBienSur a écrit : 06 nov. 2020, 10:22 Parce que des photos de sexe, surtout centrées sur le "sujet", ça permet de vouloir montrer que cette partie intime, ce qui n'est absolument pas le profil d'exhibition féminine qui montre plus son corps en totalité (source : LA VIE)
https://www.msdmanuals.com/fr/professio ... itionnisteL'exhibitionnisme se caractérise par l'obtention d'une excitation sexuelle en exhibant ses organes génitaux