Bonne volonté sans libre-arbitre à présent ? Qu'est-ce qu'on s'amuse sur ce fil !Dany a écrit : 06 avr. 2018, 23:09Eh ben voilà !... Avec un minimum de bonne volonté de la part de tout le mondeon y arrivera, au déterminisme.

Bonne volonté sans libre-arbitre à présent ? Qu'est-ce qu'on s'amuse sur ce fil !Dany a écrit : 06 avr. 2018, 23:09Eh ben voilà !... Avec un minimum de bonne volonté de la part de tout le mondeon y arrivera, au déterminisme.
Il n'est pas question d'échelle dans le déterminisme. La chaîne causale se développe depuis le Big Bang du microscopique au macroscopique sans rupture de continuité, sans aucune action extérieure qui pourrait faire dévier l'ensemble. Un système isolé est un système isolé. Enfoncez vous ça dans la tête, les gars.Dash a écrit :Dans l'absolu, oui, mais les notions « échapper/contrainte/liberté » n'ont pas leur place à notre échelle quand on tente de les relier avec des déterminants qui concernent des interactions de phénomènes ayant cours à d'autres échelles àma. C'est encore une question de concepts et de rapports pour moi.
C'est pire que ça.Dash a écrit :Si j’ai envie d’une glace au chocolat, dire que je n’ai pas le choix (et que je j’y suis contraint), car j’en ai envie (à cause de toute la chaine qui à résulté cette envie), c’est non seulement stupide et insensé, mais complètement inutile et, surtout, ça introduit l’idée que « quelque chose d’autre » en moi pourrait ne pas en avoir envie malgré que j’en ai envie (et être donc contraint).
Dash a écrit :« Hey, chérie, continue de faire ce que t'as envie de faire sinon pas de séance de sexe ce soir, qu'elle dit à Dany. Euh... mais moi, se dit-il, je veux avoir du sexe ce soir alors, merde, je perds ma liberté et suis donc contraint de poursuivre à faire ce dont j'ai envie de faire. Putain de déterminisme et d'absence de liberté! »
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C'est toute une contrainte et une absence de liberté ça!![]()
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Tu ne saisis pas bien ce que c'est que le déterminisme.LDM a écrit :Si c'était si facile ("j'ai fait cela car c'etait déterminé") à quoi servirait l'analyse d'une situation et la prise de décision qui s'ensuit? et pourquoi y aurait-il des mauvais choix?
Le bien dans la chose, c'est que tu n'as pas à t'en vouloir de te faire incendier, ni d'ailleurs à en vouloir aux autres pour leurs réponses éventuellement incendiaires. Parce que l'évènement du postage par la chaîne de causalité que tu appelles LDM n'était pas un choix et tu avais juste l'impression de peser le pour et le contre.LDM a écrit :Par exemple, je sais qu'en postant ça je vais me faire incendier. C'est peut-être un mauvais choix car je n'ai pas envie de me faire incendier. Mais j'ai pesé le pour et le contre et j'ai fait ce choix. J'aurais pu aussi faire le choix de ne pas poster, parce que j'ai déjà exprimé mon opinion sur le forum à ce sujet. Etc...
Oui j'avais saisi ça. Je ne prétends pas par contre connaitre le déterminisme tel que défini par les philosophes ou les sceptiques (j'ai toujours été nulle en philo). Mais je n'arrive pas à concevoir qu'un choix soit une impression de choix, c a dire une illusion. Peut-etre que ça me dépasse, peut-être pas.Dany a écrit : 07 avr. 2018, 13:09 Tu ne saisis pas bien ce que c'est que le déterminisme.
Déjà, quand on parle déterminisme, il n'y a rien qui sert à quelque chose, il n'y a pas non plus de mauvais choix ou de bon choix. Il n'y a tout simplement pas de choix du tout,... mais juste l'impression de faire des choix.
C'est bien ça.LDM" a écrit :Si tu dis qu'il y a seulement "impression de choix", ça veut dire que le choix n'existe pas, donc que le dilemme n'existe pas. Et que "mon mauvais choix" était en fait le seul possible, n'étant pas une option mais l'aboutissement d'une ligne totalement déterminée.
Le fatalisme, ce n'est pas une vision déterministe détachée, le fatalisme introduit un jugement de valeur.LDM a écrit :On entre alors dans la pré-détermination (pour ne pas dire fatalisme puisque ça te dérange).
Suffisant pour quoi faire ? Dire ça, c'est supposer que l'humain aurait un but qui vient éventuellement d'ailleurs. On est là et on est comme on est, c'est tout.LDM a écrit :Bah, à la limite, pas besoin de cerveau pour ça alors. Un système proprioceptif (uniquement fait de perceptions aux besoins vitaux, comme pour les plantes) serait alors suffisant.
Ben dis donc...Dany a écrit : 07 avr. 2018, 14:36 Je répondrais simplement à ça qu'on vit notre vie (même que c'est déjà pas facile, surtout pour les plus émotifs) en sachant bien qu'on a un maximum de chance de mourir, dans d'atroces souffrances, probablement vieux, dégoûtants et malades
C'est possible, mais on n'a pas de preuve non plus que ce sont les plus émotifs qui penchent le plus pour le libre-arbitre.En fait, je m'aperçois que peu de gens on pris vraiment la peine de potasser un peu sérieusement la question. Les plus réticents étant évidemment ceux qui mettent leurs émotions en avant. Ils sont forcément plus attachés à l'importance de leur liberté, de leurs mérites, mais se reprochent aussi plus leurs erreurs et de leurs échecs.
Oui. Et non. On peut aussi se dire "je suis comme ça, je ne peux rien faire contre mes déterminants" et donc se laisser aller à ses émotions et à leurs débordements en les acceptant comme irrémédiables.En ce sens, une idée du libre arbitre, disons, trop prenante pourrait être un facteur favorisant les névroses. Inversement, une réflexion sur le déterminisme peut réduire la charge émotive et apporter un peu de modération, je trouve...
En termes d'évolution, je pense qu'à un certain stade, la complexification du cerveau humain ne peut se produire uniquement en fonction des besoins de la survie. Actuellement, on aspire à un meilleur confort, une meilleure nourriture, un job et des loisirs qui nous conviennent, la conception de systèmes numériques complexes etc. Le cerveau a évolué pour pouvoir nous fournir ça. Il n'est plus question de besoins, mais de désirs. Et les désirs sont liés au libre-arbitre alors que les besoins vitaux ne le sont pas.Suffisant pour quoi faire ? Dire ça, c'est supposer que l'humain aurait un but qui vient éventuellement d'ailleurs. On est là et on est comme on est, c'est tout.
Tu es encore dans le jugement de valeur : "le déterminisme, c'est de la blague, parce que sinon, on ne sert à rien !"...
Je sais bien tout ça Dany. Tu ne piges pas de quoi je cause. Parce que ton idée est faite, tu ne cogites même pas sur ce que j'écris parce que tu estimes d'avance que ça n'en vaut pas la peine.
Ha, tiens donc! C'est exactement ce que je dis!Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14Quand on parle déterminisme, le terme "contraint" ne se réfère pas à la sphère de la psychologie...
Ben voyons!
Tu tombes exactement dans le travers que j'ai expliqué. Tu ne piges pas qu'il ne s'agit que de rapports entre de potentielles confrontations perceptibles. Perceptible en ce sens qu'ils doivent avoir incidence à l'échelle de la complexité systémique de ce qui est concerné. Quand rien ne compresse ton ressort de métal, est-il contraint, oui ou non?Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14de même, sa "liberté" ne saurait être brimée, puisqu'elle n'existe pas non plus.
Penser qu’il n’existe qu’une suite mécanique provient d’une vision simpliste qui règle très facilement la question en fermant rapidement le sac avec la broche dont cause parfois Denis (il y a toute sorte de broches!). De plus, même si tu t’obstines à y voir une nuance, ta conception revient exactement au même que le fatalisme, dans le principe. Prenons un autre « objet » que la « liberté/contrainte », le chaud et le froid, P. Ex.! Scientifiquement, nous savons ce que c’est. Mais, pour nous, ce qui importe, en tant qu’être humain dans notre « cadre perceptif », c’est d’avoir ni trop chaud, ni trop froid. Quand bien même tu me dis que 22 degrés Celsius ce n’est ni chaud ni froid en réalité et qu’il ne s’agit que de trucs thermiques bla-bla-bla, ça ne change strictement rien dans le rapport qui se passe entre ce qu’a, comme incidence, un certain degré de chaleur envers ==> les terminaisons nerveuses de mon corps, ==> l’interprétation de mon cerveau, ==> mon ressenti subjectif et donc mon confort ou ma souffrance/douleur. À mon « échelle/sphère/cadre d’existence » en tant qu’être ressentant, j’ai chaud, froid ou je suis confortable et c'est très effectif et réel. Il en est de même avec le fait que quelque chose d’autre que moi « compresse » ou non le « ressort » que je suis. Parfois, c’est le cas et je suis contraint et parfois ce n’est pas le cas et je ne suis pas contraint. Tu piges? Même si tout est strictement mécanique et simpliste comme tu le prétends (admettons), l’écoulement de la chaine est dynamique et en mouvement constant! Tes « ressorts » ne sont pas continuellement, systématiquement et éternellement en état de compressions! Tu piges?Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14Penser qu'il existe quelque chose comme des "choix, des "libertés" ou des "désirs" provient des multiples constructions syntaxiques.....
Dans ce cas, puisque toute perception d'être n'est qu'illusion, qu'est-ce qui te dis que ta conception déterministe ultra mécanique ne fait-elle pas également partie de l'illusion de ta conscience qui s'illusion effectuer des réflexion illusoirement sensées sur ce sujet illusoire de cet échange qui n'a en réalité pas lieu, car nous n'existons pas en tant qu'être conscient, n'étant tout que des illusions de conscience?Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14Si on veut se dire moniste, il faut accepter (je sais, c'est dur) le fait que nous sommes juste des mécaniques qui s'illusionnent en croyant qu'elles ont des "libertés"...
Dans ce cas-ci il doit venir d'une autre enfilade (en tout cas) j'pense bien.Kant Locke a écrit : 07 avr. 2018, 14:55Disons qu'en marchant sur la rue, je me fais frappé par un zozo qui brule un feu rouge. Ou est le déterminisme ?
Comment si on n'a pas de liberté ?Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14Il n'est pas question d'échelle dans le déterminisme. La chaîne causale se développe depuis le Big Bang du microscopique au macroscopique sans rupture de continuité, sans aucune action extérieure qui pourrait faire dévier l'ensemble. Un système isolé est un système isolé. Enfoncez vous ça dans la tête, les gars.![]()
"Si on veut" ? "Il faut" ? Sans libre-arbitre ? Sans aucune liberté ?Dany a écrit : 07 avr. 2018, 12:14Si on veut se dire moniste, il faut accepter (je sais, c'est dur) le fait que nous sommes juste des mécaniques qui s'illusionnent en croyant qu'elles ont des "libertés"...
Effectivement, j'ai poussé mon analogie mécaniste trop loin. Ca nous entraîne dans une digression inutile et confusante (et tu n'as pas besoin de ça) sur la robotique. De même, les désirs de l'humain existent bien, également. Ce sont nos choix et notre liberté qui n'existent pas. J'édite ça.Dash a écrit :Ben voyons!Dany a écrit :De la même manière, "l'envie" de l'humain n'existe pas...![]()
Il n'est pas nécessaire au déterminisme que "tout" ce qui se passe dans l'Univers clos influe sur le ressort jusque la fin des temps.Dash a écrit :Au sens strictement mécanique (compressé), comme tu l'entends, est-il contraint, oui on non? Et pendant ce moment précis où il n'est pas contraint, est-ce que tout (vraiment tout!) ce qui se passe dans le reste de « l'univers clos », avant, pendant et après (de Planck, au début, jusqu'à la fin des temps), contraint~compresse le ressort au moment précis ou il n'est pas contraint~comprimé? En tant que ressort?
Que le ressort soit en compression ou pas, sa chaîne déterministe est toujours contrainte par ce qu'elle était au temps de Planck précédent (à toute les échelles) et il en est de même en remontant tous les temps de Planck jusqu'au Big Bang.Dash a écrit :Un ressort peut donc être (dans son environnement et sa « sphère d'interaction ») parfois en étant de compression et parfois détendu! Il en est de même avec moi et toi : parfois nous sommes contraints et parfois nous ne le sommes pas.
jroche a écrit :Peut-être en effet que c'est la conséquence logique ultime du monisme voire du matérialisme (du monothéisme aussi par ailleurs).
Mais dans le déterminisme quand même si c'est poussé à l'extrême. Un hadith (authentique ou pas, peu importe, il y a eu quelqu'un pour le formuler et il y a des gens pour le croire) soutient qu'à l'instant où 'un être humain est conçu, un ange est chargé de noter son genre (ça, à la rigueur...) mais aussi comment et combien de temps il vivra et s'il finira en enfer ou au paradis.Dany a écrit : 07 avr. 2018, 20:33Dieu est extérieur au système, il modifie n'importe quelle chaîne de causalité quand il le veut. Le monothéisme suppose (oblige, plutôt) une configuration extérieure, indépendante de l'Univers de matière... qui n'est donc plus un système isolé. On est plus dans le déterminisme scientifique.
Pas mal de Musulmans considèrent cet hadith non-authentique mais y croient, oui.Jroche a écrit :Mais dans le déterminisme quand même si c'est poussé à l'extrême. Un hadith (authentique ou pas, peu importe, il y a eu quelqu'un pour le formuler et il y a des gens pour le croire) soutient qu'à l'instant où 'un être humain est conçu, un ange est chargé de noter son genre (ça, à la rigueur...) mais aussi comment et combien de temps il vivra et s'il finira en enfer ou au paradis.
Peut-être, mais en tout cas, un fatalisme pré-conçus, et un déterminisme qui ne s'inscrit que comme une suite de cause et d'effet, ça n'a pas la même dose d'absurdité amha.Et si c'est le déterminisme scientifique qui aboutit à une absurdité, il faut peut-être le reconsidérer.
Il serait super intéressant de mixer le sujet "déterminisme VS libre arbitre" avec le sujet "logique binaire VS tétravalente"...Mais je suppose que le problème vient de ce que trop de gens raisonnent en mode binaire, tout ou rien, Dieu existe ou pas (comme disait à peu près Einstein, faut-il savoir ce qu'on entend par là).
Peut-être concernant le monothéisme du désert, mais une conception de Dieu tel que Spinoza le laissait entendre, qui EST le système, peut aussi être compatible avec une forme de monothéisme. En fait, les deux sont possible. Ceci-dit, je t'accorde qu'on est plus proche d'un déterminisme scientifique chez Spinoza, évidement. Ceci-dit, je me demande si on peut déterminer si quoi que ce soit est scientifique (ou ne le serait pas, comme si c’était une évidence) dans tout ça...Dany a écrit : 07 avr. 2018, 20:33jroche a écrit :Peut-être en effet que c'est la conséquence logique ultime du monisme voire du matérialisme (du monothéisme aussi par ailleurs).
Non, pas du monothéisme.
Dieu est extérieur au système, il modifie n'importe quelle chaîne de causalité quand il le veut. Le monothéisme suppose (oblige, plutôt) une configuration extérieure, indépendante de l'Univers de matière... qui n'est donc plus un système isolé. On est plus dans le déterminisme scientifique.
Il ne faut pas se laisser piéger par les mots. Dans le cas de ton hadith, appelle ça la Volonté Divine, plutôt.jroche a écrit :Mais dans le déterminisme quand même si c'est poussé à l'extrême. Un hadith (authentique ou pas, peu importe, il y a eu quelqu'un pour le formuler et il y a des gens pour le croire) soutient qu'à l'instant où 'un être humain est conçu, un ange est chargé de noter son genre (ça, à la rigueur...) mais aussi comment et combien de temps il vivra et s'il finira en enfer ou au paradis.
Il n'y a pas à le reconsidérer, c'est la base du matérialisme. Tu peux évidemment le négliger tant que les neurosciences ne l'auront pas prouvé et vivre ton libre arbitre comme tu l'entends. Mais alors, tu ne peux pas très facilement te dire moniste : tu es un plutôt un dualiste mitigé (entre deux chaise, quoi), c'est à dire que pour toi, l'Univers de matière n'est pas un système définitivement isolé. Il existerait, en plus, un monde immatériel et transcendant qui n'obéit pas au lois de la matière.jroche a écrit :Et si c'est le déterminisme scientifique qui aboutit à une absurdité, il faut peut-être le reconsidérer.
Là, tu m'intéresses!Nicolas78 a écrit : 07 avr. 2018, 21:11
Il serait super intéressant de mixer le sujet "déterminisme VS libre arbitre" avec le sujet "logique binaire VS tétravalente"...
Mais, il l'écrit noir sur blanc, absolument tout serait prévisible pour une intelligence capable d'absolument tout connaitre et tout calculer. D'où l'ironie facile de Paul Watzlawick. On ne peut d'ailleurs pas prouver qu'il n'en est pas ainsi, on peut juste constater que s'il en est ainsi on n'a rigoureusement aucun choix, jamais, et il est absurde d'inviter les autres à faire le choix d'une conception qui exclut absolument les choix. D'où l'ironie facile de Frédéric II.Dany a écrit : 07 avr. 2018, 21:22Mais dans le déterminisme de Laplace, il n'y a aucune volonté. Rien ni personne n'écrit quoi que ce soit.
Avec une nuance quand-même. On a aucun choix, mais on a aucun moyen de s'en apercevoir.jroche a écrit :On ne peut d'ailleurs pas prouver qu'il n'en est pas ainsi, on peut juste constater que s'il en est ainsi on n'a rigoureusement aucun choix, jamais, et il est absurde d'inviter les autres à faire le choix d'une conception qui exclut absolument les choix.
Et avec tout ça on fait le choix de soutenir qu'on ne peut faire aucun choix...Dany a écrit : 07 avr. 2018, 22:58Avec une nuance quand-même. On a aucun choix, mais on a aucun moyen de s'en apercevoir.
Pour moi (lire Watzlawick là-dessus, Les cheveux du Baron de Münchhausen en particulier) il y a absurdité (parfois dévastatrice) dès lors qu'une assertion prétendant tout englober ne s'englobe pas elle-même, et la personne qui l'énonce avec. http://pagesperso-orange.fr/daruc/divers/paradoxe.htmNicolas78 a écrit : 07 avr. 2018, 21:11Peut-être, mais en tout cas, un fatalisme pré-conçus, et un déterminisme qui ne s'inscrit que comme une suite de cause et d'effet, ça n'a pas la même dose d'absurdité amha.
Autant dire une conscience, non ? Ou alors, quelle différence ? Une IA, autant qu'on sache, c'est purement un système ressort, à la rigueur avec une composante aléatoire (comme pour un logiciel de jeu qui "peut" choisir entre des coups de force à peu près équivalente selon ses calculs).unptitgab a écrit : 08 avr. 2018, 08:23Dany il y a tout de même une différence que tu oublies entre un système ressort et un système capable de réflexion
Il faut en effet une part prépondérante de déterminisme, sinon rien n'est prévisible, mais pas tout sinon il ne sert plus à rien de prévoir.unptitgab a écrit : 08 avr. 2018, 08:23c'est l'anticipation des conséquences, ce qui n'est possible que dans un cadre déterministe,
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