Publié : 05 avr. 2007, 04:32
La Mairesse Boucher et le Directeur de santé publique François Desbiens ne sont toujours pas en mesure de fournir la moindre preuve pour soutenir leur affirmation à l’effet que “la fluoration réduirait la carie de 30%”.
En fait, on peut tout aussi bien expliquer la faiblesse du taux de carie de la haute ville de Québec par une meilleure alimentation et une meilleure hygiène dentaire. Le fluorure est non seulement inutile pour combattre la carie, mais encore il contribue à la destruction des dents, des os et des articulations. Pour ceux qui sont forcés de boire une eau fluorée malgré eux, cela représente de nouvelles dépenses comme l’achat de filtre à osmose inversée (minimum de mille dollars) ou même le déménagement. La tuyauterie du système d’acqueduc de la Ville de Québec doit être remplacée régulièrement car elle est continuellement ravagée par les fluorures qui corrodent les conduits, ce qui cause l’accumulation de métaux lourds dans l’eau potable. C’est encore une fois le citoyen qui paie la facture.
Le plus récent (2006) et le plus exhaustif des rapports scientifiques portant sur les effets de la fluoration sur la santé a été produit par le Conseil National de Recherches américain, qui représente l’autorité scientifique la plus estimée au monde. Le rapport démontre que la fluoration de l’eau à 4 ppm cause la fluorose dentaire et la fluorose squelettique, deux maladies qui résultent d’une surdose de fluorure dans l’organisme. Enfin le rapport met en doute l’innocuité de la fluoration et appelle à de nouvelles recherches concernant ses effets sur la prolifération des cancers (cancer des os surtout), le système nerveux, le système endocrinien, le système immunitaire, la glande pinéale et pituitaire, la thyroïde, le foie, etc. Bref, contrairement à la position unilatéralement pro-fluoration du Directeur de la santé publique et de Santé Canada, les recherches scientifiques les plus à jour confirment qu’il y a bel et bien danger de surexposition causé par la fluoration. Pourquoi la direction de la santé publique va-t-elle jusqu’à mentir pour promouvoir la fluoration de l’eau? Pourquoi tient-elle à enlever aux citoyens le libre choix de consommer ou non de l’eau fluorée?
L’argument vedette de la mouvance anti-fluoration, les médias n’en parlent jamais. Il s’agit de LA FLUOROSE DENTAIRE ET OSSEUSE, des troubles de santé reconnus comme étant CAUSÉS par une surexposition au fluor. L’existence de ces troubles constitue la preuve irréfutable justifiant l’abandon immédiat de la fluoration. On se demande alors comment Monsieur Desbiens peut en venir à prétendre n’avoir AUCUN doute sur l’innocuité du fluor et que le fluor fait l’unanimité dans les milieux scientifiques. En fait, Monsieur Desbiens ne veut tout simplement pas admettre que la controverse SCIENTIFIQUE entourant le fluor est très réelle, il ne veut pas admettre que la fluoration de l’eau cause la fluorose dentaire et osseuse de même que des troubles des articulations (touchant plus spécifiquement les personnes âgées), et pour finir il soutient que les preuves de la dangerosité du fluor sont douteuses ou inexistantes.
Il revient à Monsieur Desbiens de nous prouver l’innocuité de la fluoration. S’il n’a vraiment aucun doute à l’effet que le fluor est ABSOLUMENT SANS DANGER, il devrait être en mesure de nous le prouver. Ce n’est pas à nous qu’il revient de prouver sa dangerosité, c’est l’inverse en réalité: il revient à ceux qui désirent imposer cette mesure à toute la population de démontrer son innocuité et d’en fournir la preuve irréfutable. S’ils échouent, le principe de précaution indique : dans le doute, abstiens-toi. Les scientifiques les plus honnêtes, s’ils ne sont pas opposés à la fluoration, admettent qu’il y a bel et bien controverse. Quelle unanimité scientifique, Monsieur Desbiens?
Montréal n’a jamis fluorée son eau en raison de la controverse entourant la question. Le principe de précaution continue de prévaloir. L’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, la France, l?Allemagne, la Grèce, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège et la Suède ont tous rejeté la fluoration de l’eau. Il est également interdit de fluorer l’eau au Japon et en Inde. Veuillez consulter la lise des pays non-fluorées : http://www.acmqvq.com/afq/pays-europe.htm
L’Association Dentaire Américaine met en garde les parents qu’il ne faut pas utiliser d’eau fluorée dans les préparations pour bébé. MAIS TOUS LES PARENTS LE FONT PARCE QUE NUL N’A ÉTÉ AVERTI DU DANGER. Que font Santé Canada et la Direction de santé publique? Ne devraient-ils pas être chargés de mettre en garde la population et les familles? Il faut s’assurer d’avertir TOUS LES PARENTS immédiatement qu’ils doivent acheter une eau embouteillée non-fluorée ou se procurer un dispendieux filtre à osmose inversée. Sinon, cela signifie qu’il faut absolument mettre un terme à la fluoration, le plus rapidement serait le mieux.
Autre problème majeur lié à la fluoration : ses prétendues propriétés bénéfiques sont faiblement démontrées voire improuvées. Le fluor n’est pas non plus un élément essentiel ni un nutriment. Mais même si l’on admettait que le fluor avait une action bénéfique contre la carie, il demeure que l’action du fluorure est topique (il faut l’appliquer sur la dent) et non systémique, il est non INUTILE (voire dangereux) DE L’INGÉRER - et qui plus est seulement la moitié du fluorure ingéré sera éliminé! Même les tenants de la fluoration s’entendent là-dessus! Monsieur Desbiens contredit même le discours des pro-fluoration!
Aussi, François Desbiens rappelle que le fluor n’est pas toxique puisqu’on en retrouve dans l’environnement. Rappelons à monsieur Desbiens qu’on retrouve aussi de l’arsenic dans la nature et que cela n’en fait pas un élément innoffensif. Au contraire l’arsenic est l’élément LE PLUS TOXIQUE de tous.
D’autre part, s’il est déjà présent dans la nature, pourquoi en ajouter artificiellement? Monsieur Desbiens prétend enfin qu’il ne s’agit pas d’une “médication forcée”, or cette assertion est erronnée: il s’agit bel et bien d’une tentative de réduire la carie, c’est une médication ‘préventive’ forcée, et qui plus est une médication de masse. Pourquoi est-ce aux citoyens et aux groupes environnemtaux, représentés par le Front Commun Pour Une Eau Saine, de se débattre pour cesser de se faire administrer des produits chimiques sans leur consentement? La Direction de santé publique discrédite les arguments contre la fluoration en disant que c’est un “positionnement philosophique”. Or le débat éthique ne peut être écarté aussi facilement, car on fluore notre eau sans notre consentement, contrevenant ainsi à la Charte des droits et libertés individuelles.
Comme solution, si certaines familles défavorisées croient aux bienfaits du fluor, la Direction de santé publique pourrait distribuer gratuitement des tubes de pâte dentifrice, au lieu d’imposer massivement l’ajout d’un produit toxique dans l’eau de TOUS les citoyens.
En fait, on peut tout aussi bien expliquer la faiblesse du taux de carie de la haute ville de Québec par une meilleure alimentation et une meilleure hygiène dentaire. Le fluorure est non seulement inutile pour combattre la carie, mais encore il contribue à la destruction des dents, des os et des articulations. Pour ceux qui sont forcés de boire une eau fluorée malgré eux, cela représente de nouvelles dépenses comme l’achat de filtre à osmose inversée (minimum de mille dollars) ou même le déménagement. La tuyauterie du système d’acqueduc de la Ville de Québec doit être remplacée régulièrement car elle est continuellement ravagée par les fluorures qui corrodent les conduits, ce qui cause l’accumulation de métaux lourds dans l’eau potable. C’est encore une fois le citoyen qui paie la facture.
Le plus récent (2006) et le plus exhaustif des rapports scientifiques portant sur les effets de la fluoration sur la santé a été produit par le Conseil National de Recherches américain, qui représente l’autorité scientifique la plus estimée au monde. Le rapport démontre que la fluoration de l’eau à 4 ppm cause la fluorose dentaire et la fluorose squelettique, deux maladies qui résultent d’une surdose de fluorure dans l’organisme. Enfin le rapport met en doute l’innocuité de la fluoration et appelle à de nouvelles recherches concernant ses effets sur la prolifération des cancers (cancer des os surtout), le système nerveux, le système endocrinien, le système immunitaire, la glande pinéale et pituitaire, la thyroïde, le foie, etc. Bref, contrairement à la position unilatéralement pro-fluoration du Directeur de la santé publique et de Santé Canada, les recherches scientifiques les plus à jour confirment qu’il y a bel et bien danger de surexposition causé par la fluoration. Pourquoi la direction de la santé publique va-t-elle jusqu’à mentir pour promouvoir la fluoration de l’eau? Pourquoi tient-elle à enlever aux citoyens le libre choix de consommer ou non de l’eau fluorée?
L’argument vedette de la mouvance anti-fluoration, les médias n’en parlent jamais. Il s’agit de LA FLUOROSE DENTAIRE ET OSSEUSE, des troubles de santé reconnus comme étant CAUSÉS par une surexposition au fluor. L’existence de ces troubles constitue la preuve irréfutable justifiant l’abandon immédiat de la fluoration. On se demande alors comment Monsieur Desbiens peut en venir à prétendre n’avoir AUCUN doute sur l’innocuité du fluor et que le fluor fait l’unanimité dans les milieux scientifiques. En fait, Monsieur Desbiens ne veut tout simplement pas admettre que la controverse SCIENTIFIQUE entourant le fluor est très réelle, il ne veut pas admettre que la fluoration de l’eau cause la fluorose dentaire et osseuse de même que des troubles des articulations (touchant plus spécifiquement les personnes âgées), et pour finir il soutient que les preuves de la dangerosité du fluor sont douteuses ou inexistantes.
Il revient à Monsieur Desbiens de nous prouver l’innocuité de la fluoration. S’il n’a vraiment aucun doute à l’effet que le fluor est ABSOLUMENT SANS DANGER, il devrait être en mesure de nous le prouver. Ce n’est pas à nous qu’il revient de prouver sa dangerosité, c’est l’inverse en réalité: il revient à ceux qui désirent imposer cette mesure à toute la population de démontrer son innocuité et d’en fournir la preuve irréfutable. S’ils échouent, le principe de précaution indique : dans le doute, abstiens-toi. Les scientifiques les plus honnêtes, s’ils ne sont pas opposés à la fluoration, admettent qu’il y a bel et bien controverse. Quelle unanimité scientifique, Monsieur Desbiens?
Montréal n’a jamis fluorée son eau en raison de la controverse entourant la question. Le principe de précaution continue de prévaloir. L’Autriche, la Belgique, le Danemark, la Finlande, la France, l?Allemagne, la Grèce, l’Italie, le Luxembourg, les Pays-Bas, la Norvège et la Suède ont tous rejeté la fluoration de l’eau. Il est également interdit de fluorer l’eau au Japon et en Inde. Veuillez consulter la lise des pays non-fluorées : http://www.acmqvq.com/afq/pays-europe.htm
L’Association Dentaire Américaine met en garde les parents qu’il ne faut pas utiliser d’eau fluorée dans les préparations pour bébé. MAIS TOUS LES PARENTS LE FONT PARCE QUE NUL N’A ÉTÉ AVERTI DU DANGER. Que font Santé Canada et la Direction de santé publique? Ne devraient-ils pas être chargés de mettre en garde la population et les familles? Il faut s’assurer d’avertir TOUS LES PARENTS immédiatement qu’ils doivent acheter une eau embouteillée non-fluorée ou se procurer un dispendieux filtre à osmose inversée. Sinon, cela signifie qu’il faut absolument mettre un terme à la fluoration, le plus rapidement serait le mieux.
Autre problème majeur lié à la fluoration : ses prétendues propriétés bénéfiques sont faiblement démontrées voire improuvées. Le fluor n’est pas non plus un élément essentiel ni un nutriment. Mais même si l’on admettait que le fluor avait une action bénéfique contre la carie, il demeure que l’action du fluorure est topique (il faut l’appliquer sur la dent) et non systémique, il est non INUTILE (voire dangereux) DE L’INGÉRER - et qui plus est seulement la moitié du fluorure ingéré sera éliminé! Même les tenants de la fluoration s’entendent là-dessus! Monsieur Desbiens contredit même le discours des pro-fluoration!
Aussi, François Desbiens rappelle que le fluor n’est pas toxique puisqu’on en retrouve dans l’environnement. Rappelons à monsieur Desbiens qu’on retrouve aussi de l’arsenic dans la nature et que cela n’en fait pas un élément innoffensif. Au contraire l’arsenic est l’élément LE PLUS TOXIQUE de tous.
D’autre part, s’il est déjà présent dans la nature, pourquoi en ajouter artificiellement? Monsieur Desbiens prétend enfin qu’il ne s’agit pas d’une “médication forcée”, or cette assertion est erronnée: il s’agit bel et bien d’une tentative de réduire la carie, c’est une médication ‘préventive’ forcée, et qui plus est une médication de masse. Pourquoi est-ce aux citoyens et aux groupes environnemtaux, représentés par le Front Commun Pour Une Eau Saine, de se débattre pour cesser de se faire administrer des produits chimiques sans leur consentement? La Direction de santé publique discrédite les arguments contre la fluoration en disant que c’est un “positionnement philosophique”. Or le débat éthique ne peut être écarté aussi facilement, car on fluore notre eau sans notre consentement, contrevenant ainsi à la Charte des droits et libertés individuelles.
Comme solution, si certaines familles défavorisées croient aux bienfaits du fluor, la Direction de santé publique pourrait distribuer gratuitement des tubes de pâte dentifrice, au lieu d’imposer massivement l’ajout d’un produit toxique dans l’eau de TOUS les citoyens.