Bonjour à tous,
résumé des épisodes précédents :
- Tout d'abord les commentaires non constructifs.
adhemar a écrit :Cela fait depuis maintenant plus de 200 ans que des gens essayent d'expliquer la gravitation, l'électromagnétisme... par des pressions exercées par des petites billes. On appelle ce genre de modèles des modèles mécanistes. Maintenant, si ils étaient très à la mode à l'époque de Newton, c'est pas mal passé, principalement à cause du manque de succès et du faible pouvoir explicatif.
Sprypilot a écrit :Le vide n'existe pas!
Toute la page 2 de cette enfilade est lisible mais pas très constructive. (c'est pourtant celle qui aborde le plus ma théorie) Je pensais au début que Preuve Ovni était un bon interlocuteur mais il se contredisait d'un message à l'autre et pensait avoir saisie le sens de ma théorie alors qu'il n'en avait éfleuré que la surface.
Jacques a écrit :Ha Kalolo ! Si tu pouvais revenir au 18e siècle ! ...
Merci encore Jacques pour la fraicheur de tes messages.
- Les banalités concernant ma théorie mais ne parlant pas de ma théorie.
curieux a écrit :kalolo a écrit :Par un calcule savant, il serait aisé de connaître la distance de cette déformation provoquée par la présence de E au sein de Eh mais je n'ai pas les compétences pour le faire.
Je pense que la moindre des choses serait de les acquerir, sinon tu dépenses ton énergie pour rien en bâtissant des théories qui ne reposent que sur des hypothèses d'hypothèses qui ne seront jamais examinées par ceux qui les ont. Pourquoi le feraient-ils ?
Tu te fais de la science une idée qui est assez bizarre.
curieux a écrit :kalolo a écrit :Mais là nous parlons de ma théorie en tant que théorie et jusque là personne n'a affirmé ou infirmé sa validité.
Quel que soit le forum ou j'ai présenté ma théorie, à chaque fois les mêmes questions et affirmations sont émises. Personne n'ose entrer dans le sujet lui-même.
ce que tu n'as pas compris, c'est le pourquoi de cet évitement.
Tu fais tout simplement partie de ceux qui pensent que la physique n'est qu'une affaire de reflexion, instaurée à coup de déduction logique.
Ce que tu n'as pas compris, c'est qu'une théorie ne prend ce nom que si on peut l'éprouver à coup d'expériences concrètes, sinon on appelle ça des hypothèses, pour ne pas dire des élucubrations, par respect.
curieux a écrit :j'avoue que je ne suis pas très familier avec les mathématique.
et bien j'avoue que ça ne m'étonne pas du tout. La physique est largement une affaire de mathématiques, ce qui te place très mal dans le palmarès des théoriciens qu'on aurait envie de lire. Cela dit sans vouloir t'offenser, c'est juste un constat, une évidence.
La citation n'était pas de moi
mais de Sprypilot. Désolé curieux.
curieux a écrit :Tu devrais faire un mémoire, parce qu'on ne peut pas appeler ça une théorie, et l'envoyer à l'académie des sciences, tu verras bien ce qu'ils en pensent. Le problème avec leur comité de lecture, c'est qu'il ne donne jamais les raisons de son rejet, le cas échéant. A toi de voir.
kalolo a écrit :Crois moi que si c'était une théorie argumenté de calculs complexes et demandant un grand savoir en mathématique, en physique et en chimie, je l'aurais fait depuis longtemps.
Mais voila, c'est tout simple et tout un chacun peut la comprendre, pour peut qu'il essaie. Et c'est bien là le drame, personne n'essaie. Comment croire qu'en partant de quelque chose d'aussi simple on puisse arriver à expliquer l'expansion de l'univers, l'électricité, l'émission de lumière et son déplacement dans l'univers ?
Aujourd'hui toute explication simple est irrecevable.
Zwielicht a écrit :Certains départements de physique reçoivent jusqu'à une centaine d'envois de théories "révolutionnaires" par jour, créées par des scientifiques improvisés, ex-ingénieurs ou d'autres professions.
Quand j'étais à l'université, j'entendais souvent les profs parler de ce genre de courrier. Par exemple, un type prétendait pouvoir prouver expérimentalement que l'éther (au sens où ce mot était utilisé au 19e siècle) existait.
- De la physique mais pas à propos de ma théorie.
curieux a écrit :Là où tu fais erreur, c'est de penser que les physiciens attribuent les mérites de la cohésion atomique à ces charges. Si c'était le cas, il faudrait se demander pourquoi l'electron ne 'tombe' pas sur le noyau, qu'est-ce qui le maintient à distance ?
Le problème n'est pas nouveau, et seule la mécanique quantique, le principe d'exclusion de Pauli et d'autres joyeusetés ont réussi à rendre compte de cette cohésion sans introduire les contradictions des autres théories.
Albert_einstein09 donne une très bonne précision.
- Les éclairecissements ou ajouts à ma théorie.
En fait ma théorie a cela de particulier que depuis que l'hypothèse que des particules aient put être chargées positivement et négativement et que cette hypothèse ait été accepté par la communauté scientifique, qu'aucune autre théorie n'a osée revenir sur cela. Il semble, de nos jours, tellement évident que ce sont les charges positives et négatives qui rende l'atome cohérent qu'un simple effet mécanique, voir ici exprimé uniquement en thermes volumétriques, ne puisse en faire autant.
Mon idée première n'était pas, loin de là, de revenir sur ces forces ni de vouloir les unifier. Je n'avais fait qu'imaginer un support matériel dans lequel une onde (la lumière en l'occurrence) pourrait se déplacer sans subir trop de "frottements". Je me suis basé sur les ondes sonores qui se transmettent de proche en proche sans qu'il y ait de "déplacement du support" dans lequel elles évoluent. On peut très bien se faire une "représentation visuelle" d'une onde sonore sans pour autant avoir fait de longues études et le support que je propose convient tout à fait au déplacement d'une onde.
Mais voila, la lumière est une onde électromagnétique et les ondes électromagnétiques traversent la matière. Il fallait donc que mon support soit "plus petit" que les atomes. J'ai donc due réfléchir, sans dénaturer mon support, à quel niveau se trouverait ce support par rapport aux atomes et quelles seraient les conséquence que la présence de ce support aurait par rapport à ces même atomes.
Au début, en supposant qu'un atome d'hydrogène ne soit fait que d'un proton et d'un électron sans considérer la nature du proton ni de l'électron mais en ne tenant compte que de leur "volume", c'est simple et ce n'est que de la géométrie. C'est à ce moment là que je me suis aperçue qu'il n'était pas utile de rajouter une force supplémentaire pour que cet atome soit cohérent. C'est aussi à ce moment là que la "source" des ondes électromagnétiques m'est apparue et que cette source était, tout comme la propagation de ces ondes, d'origine "mécanique". C'est au moment de vouloir quantifier ces observations que je me suis heurté à la limite de mes connaissances.
Ma théorie aussi démontre que l'électron ne tombe pas sur le noyau car il ne peut mécaniquement pas le faire.
Ma théorie montre aussi que ce que l'on appelle des charges ou des couleurs différentes pour les particules n'est en fait qu'une erreur d'interprétation.
La fonction de la force xPh pourait être celle-ci

ou celle-là

le diagrame corespondant

elles ne sont pas de moi,
je les ai demandées sur un forum traitant de mathématique.
Vous voyez bien que, pour peu que l'on s'y intéresse de plus près, cette théorie fait apelle aux mathématiques.
x est la distance d'éloignement entre les Ph.
ce qui dérange le plus dans ma théorie c'est que je parle de billes pour définir mes particules. (terme lourd de significations mais néanmoins bien pratique lorsque l'on veut se représenter une particule)
Voyons voir ce que l'on peut faire pour remédier à cela.
Pour ceux qui n'avait pas compris, ce qui importe dans ma théorie n'est pas de quoi sont composées les particules mais comment elles se comportent.
À partir de là, libre à vous de définir la nature d'une particule. Tant que cette nature n'entre pas en conflit avec son comportement, tout est possible; onde, corpuscule, onde ou corpuscule, point temporel ou intemporel, émergence provenant d'une autre dimension, et j'en passe.
J'espère avoir bien résumé cette discution au jour d'aujourd'hui. Je m'excuse auprès de ceux que j'ai trop ou pas assez cité si cela les froisse.