BeetleJuice a écrit :Jpm a écrit :La racine Rtz, décrit un mouvement ondulant, serpentiforme (pour reprendre l'objet initial du post). Ce concept semble provenir d'Egypte, ou les serpents en général sont dénommés dans la littérature médico-magique , sa-ta, terme traduisible par "fils de la terre" (cf. Le bestiaire des pharaons. par Verjus et Yoyotte). Le concept est resté ou s'est propagé. Tz, la lettre, emglobe l'idée
de début et de fin dans un mouvement.
Le terme de terre dans la Genèse, suit celui de Principe et création (in pricipio creavit) ou encore premièrement-en/dans le Principe. comment est constitué le verbe créer? BRA où la racine BR, décrit l'idée d'un fils potentiel. ((un fils réel s'écrirait Ben , BN) . l'idée de fils est générale, fils,fille, fruit, mais aussi une inclinaison une nouveau être, une nouvelle puissance.
(La langue française a retenu, sans lien apparent, le terme: fruit d'un mur pour décrire une inclinaison quelconque).
Certes, mais vous n'expliquez pas le rapport avec la diagonale du carré, qui était l'objet de mon objection.
Au final, vous êtes tout sauf clair, vous passez d'un sujet à l'autre sans qu'on puisse en cerner le raisonnement d'ensemble hormis le fait que vous semblez( et je dis bien semblez parce que l'on en est même pas certain) trouver un sens au travers d'une étude étymologique des termes.
Au final entre le sens des termes que vous mettez en évidence et l'interprétation que vous en tirez, vous ne donnez jamais l'explication de cette implication. Je vous ai déjà fait cette remarque et c'était l'une des raisons pour lequel je ne voulais pas débattre avec vous sur votre topic "la genèse par ses nombres". J'ai d'ailleurs remarqué que quand Dedale vous fait lui même des remarques similaires, sur le sens que vous donnez à vos trouvailles arithmétiques vous faites ce que vous venez de faire là, à savoir vous réfugiez dans la technique, soit mathématique, soit linguistique.
Ce réfugier dans la technique ne rend pas le besoin d'explication moins vrai.
Excusez moi, mais si quelqu'un me dit que A implique B sans plus d'explication que ça, je ne serais pas enclin à le croire sur parole.
-apparemment, vu de loin... mais est-ce vraimment pour la Genèse en écriture hébraïque?
C'est ce que je vous demande une phrase plus loin, à savoir si vous pouvez montrer que l'hébreu utilisé dans l'écriture de la Bible et plus précisément le terme qui désigne la terre est un terme religieux et non un terme courant.
C'est à vous de le montrer si vous affirmez que le mot terre possède un sens qui serait déconnecté des considérations ordinaire propre à une langue.
Tant que vous ne montrez pas que ce mot n'est pas un mot courant, mais un mot à usage religieux, donc obéissant à une codification religieuse précise et liée à la cosmogonie de l'ancien testament, je resterais sur ma réserve, doutant fortement qu'un mot du langage courant puisse avoir un sens aussi élaboré, sachant que le langage et les mots (écrit ou parlé) répondent d'abord à une question d'usage du terme. Or, un usage qui réclame une telle codification du sens et de la forme(puisque le sens et la forme, sont, selon vous, lié à des considérations mathématiques et géométrique, donc érudites) ne peut, à cette époque, qu'être issus du religieux (le religieux de l'époque étant une notion large impliquant les considérations scientifiques, philosophiques....)
-1250 environ pour la Genèse, dont l'écriture décrit l'Apocalypse très condensée dans le verset 2: Tohu bohu ou chaos. Nous pouvons approfondir ensemble le texte
Je n'en vois pas l'utilité dans la mesure où le texte cité par Remarque Simple, au début, était le texte de l'apocalypse. Que le texte de l'apocalypse se rapporte à la genèse n'empêche pas que ce n'est pas la genèse pour autant et qu'il n'a pas été écrit par un érudit hébreux du IIème millénaire av JC, mais pas un judéo-chrétien du Ier siècle.
Il est fortement douteux que le sens mathématique que vous essayez de mettre en lumière dans la genèse (et qui reste encore à prouver) soit parvenu à l'auteur de l'apocalypse selon saint Jean, sans que cela laisse d'autres traces dans l'histoire, ni sans que ça soit mentionné par les exégètes juifs ou chrétiens. Il y a quand même plus de mille ans d'écart entre les deux textes.
BeetleJuice:
"Certes, mais vous n'expliquez pas le rapport avec la diagonale du carré, qui était l'objet de mon objection."
-Le terme Terre ou AERTz est utilisé dans la Genèse en écriture hébraïque et passé dans le langage courant.
- Le mouvement ondulant, reptiforme finissant et recommençant constitue la définition centrale de ce terme.
- le terme terre est utitilisé dans le second verset, pour décrire le renversement d'un axe , lors d'un chaos, tohu bohu ou Apocalypse, débouchant sur mise en évidence, en lumière ou Apocalypse,
- L'auteur présumé, à l'aide des correspondances entres lettres et nombres, met par deux fois, la diagonale du carré ou racine de 2:
1. Dans les termes In Principio creavit, En (il) créa et plus précisemment: Premièrement-en-Principe (il) créa. BRASinITh BRA ,
2.
2(oo).
1(000) 3 (00) 1(o)
4 (00), il opte dans sa présentation de calcul pour les nombres réduits (en couleur) soit:
2.2.1 3.1.4 2.2.1 , le second terme (créer) étant le redoublement de la première partie du terme En Principe, il met en évidence une extraction. De là il devient nécessaire de considérer le le 1er terme constitué de deux parties i : (3.14.... 2.2.1) et 2.2.1
3.1.4 par la lettre Sin développe l'idée d'un mouvement relatif.. il s'agirait là de la constante de cycle.
(3.14 /2.21) + (4.42/3.14) /2 = 1.414. vérifiez.
A ce stade rien ne permet d'affirmer que ce résultat désigne le mot "Terre" à travers sa diagonale. De plus, ce calcul peut être le résultat d'un pur hasard ou d'un montage intellectuel.
Néanmoins: 3.14 peut représenter la diagonale d'un rectangle 3x1, et 2.21, la diagonale approchée d'un rectangle 2x1.
2. Verset 2, l'auteur débute ainsi: "Et la terre existait" OEARTz (O: conjonction de coordination) . toujours par l'utilisation des correspondances lettres/ nombres l'auteur affirme la valeur de ce terme en choisissant les nombres constituant les lettres dans leur totalité. par ex: R 200. Pourquoi? La lettre Tz de RTz, décrit le début mais aussi le terme d'un mouvement, pour exprimer cette idée, complétée dans l'écriture complète du mot: un cycle outrepassé d'une valeur équivalant à 7°30, 646/86 en notation ancienne. La lettre Tz prend donc deux valeurs 90 et 900. De là ce terme sera constitué de deux valeurs exprimant par leur somme la totalité de ce concept. Le procédé d'écriture est ce qu'il est, voyons le résultat:
OAERTz (6+1+5+200+90) + (6+1+5+200+900) soit 302+1112 = 1414.
Second hasard? second échafaudage intellectuel? cela parait improbable, ici, la somme désigne le mot "terre" et rapportée à l'idée d'un carré, elle désigne très certainement la diagonale.
"Je n'en vois pas l'utilité dans la mesure où le texte cité par Remarque Simple, au début, était le texte de l'apocalypse. Que le texte de l'apocalypse se rapporte à la genèse n'empêche pas que ce n'est pas la genèse pour autant et qu'il n'a pas été écrit par un érudit hébreux du IIème millénaire av JC, mais pas un judéo-chrétien du Ier siècle.
Il est fortement douteux que
le sens mathématique que vous essayez de mettre en lumière dans la genèse (et qui reste encore à prouver) soit parvenu à l'auteur de l'apocalypse selon saint Jean, sans que cela laisse d'autres traces dans l'histoire, ni sans que ça soit mentionné par les exégètes juifs ou chrétiens. Il y a quand même plus de mille ans d'écart entre les deux textes.[/quote]
Je rien affirmé dans ce sens, je dis: La Genèse dite de Moïse, à travers le second verset a fait l'objet d'un commentaire appelé Apocalypse , (St-Jean), sans pour autant affirmer la connaissance, par l'auteur des procédés d'écritures numérales de "Moïse".