Re: timide mais
Publié : 11 sept. 2011, 16:43
@Jean François
Oui, je comprend ton point de vue, et je suis en accord avec. Ce qui me laisse un peu patoit, c'est simplement que la parapsychologie (autant que la psychologie elle même) sont des domaines souvent rejetté. Cela ne fait que très peu de temps que de consulter un psychologue est bien vue, mais encore, il y a beaucoup de rejet social. Ce sont des domaines mal connues et comprenant beaucoup de préjugé. En plus, les résultats de certains checheurs, étant mauvais ou subjectifs, noircient encore plus ce champ d'étude. Je crois que, s'il y aurait moins de préjugés, que si des chercheurs* sérieux s'y penchait et que s'il y ait un respect de la discipline, il y aurait des résultats. Pausitif ou négatif, il y aurait une réponse claire.
* Je parle de plusieurs chercheurs, car des fois, il y a des résultats pausitifs qui ne sont pas reproduit pour prouver la véracité du faits - un exemple, Philipe le fantôme.
Si je rêve un peu, imaginez vous si on trouverais la partie du cerveau (bon j'imagine ...) qui serait la cause de la télépatie. Je crois que la science exploiterait cette découverte et tout fonctionnerait avec la pensé: débarrer une voiture, écouter la télévision, lire un livre. Bref, rêver c'est rêver.
@ viddal26
La meilleur objectivité est de savoir que nous sommes subjectif. Dans N'IMPORTE quel domaine (para-, comme la sociologie, la bio-mécanique, la chimie, l'histoire, les méthodes quantitatives... tout). Quand nous voulons trop, il y a un biais des résultats. C'est pour cela que, quand nous entrons dans un laboratoire (ou autre lieu d'étude scientifique) il faut laisser ses volontés à l'extérieur. Ceux qui ne le font pas ne sont pas des scientifiques. On peut être déçu ou charmé, cela de dois en aucun cas, ou, au pire des cas, le moins possible, changer le résultat.
@ invité
Oui, certains on cette attitude. Par contre, comme le sujet n'est pas assez défriché, je crois que cela pourrait tourner à l'avantage des chercheurs et de la recherche. "on dégage de l'énergie négative" disons, ou même "l'énergie ne passe pas dans [cette] situation". si on Contrôle ce genre de chose (dans notre exemple, on pourrait diminuer le nombre de personnel près du sujet et augmenter le nombre de caméra, ou donner un "canal" pour son énergie que les chercheurs fabrique [et non le sujet]) cela pourrait donner des résultats négatifs ou pausitif. Si négatif, les chercheurs pourraient dire "voila, nous nous sommes plier aux exigences et cela n'a rien donné". Si pausitif : "nous nous sommes pliés aux exigences et nous avons découvert qu'il pourrait y avoir un fluide énergitique éventuel qui, lui, reste à prouver dans une autre étude"
J'ai un exemple plutôt drôle pour la situation:
Une copine a un de mes ami voulait faire des boulettes de hamburger pour une soirée BBQ. dans la recette, on disait qu'une boulette devrait pèser 150 grammes. Elle trouvait que c'était beaucoup et décida d'aller voir dans le guide alimentaire canadien et trouva que 30 g./boulettes est ce qui est recommendé. Elle fit comme le guide et imaginez la grosseur des boulettes ! Il en falait trois pour recouvrir la surface du pain et 3 autres pour aller chercher la bonne hauteur. Quand nous ne savons pas, je crois que suivre la recette pourrait nous mener à de meilleur résultat.
Oui, je comprend ton point de vue, et je suis en accord avec. Ce qui me laisse un peu patoit, c'est simplement que la parapsychologie (autant que la psychologie elle même) sont des domaines souvent rejetté. Cela ne fait que très peu de temps que de consulter un psychologue est bien vue, mais encore, il y a beaucoup de rejet social. Ce sont des domaines mal connues et comprenant beaucoup de préjugé. En plus, les résultats de certains checheurs, étant mauvais ou subjectifs, noircient encore plus ce champ d'étude. Je crois que, s'il y aurait moins de préjugés, que si des chercheurs* sérieux s'y penchait et que s'il y ait un respect de la discipline, il y aurait des résultats. Pausitif ou négatif, il y aurait une réponse claire.
* Je parle de plusieurs chercheurs, car des fois, il y a des résultats pausitifs qui ne sont pas reproduit pour prouver la véracité du faits - un exemple, Philipe le fantôme.
Si je rêve un peu, imaginez vous si on trouverais la partie du cerveau (bon j'imagine ...) qui serait la cause de la télépatie. Je crois que la science exploiterait cette découverte et tout fonctionnerait avec la pensé: débarrer une voiture, écouter la télévision, lire un livre. Bref, rêver c'est rêver.
@ viddal26
La meilleur objectivité est de savoir que nous sommes subjectif. Dans N'IMPORTE quel domaine (para-, comme la sociologie, la bio-mécanique, la chimie, l'histoire, les méthodes quantitatives... tout). Quand nous voulons trop, il y a un biais des résultats. C'est pour cela que, quand nous entrons dans un laboratoire (ou autre lieu d'étude scientifique) il faut laisser ses volontés à l'extérieur. Ceux qui ne le font pas ne sont pas des scientifiques. On peut être déçu ou charmé, cela de dois en aucun cas, ou, au pire des cas, le moins possible, changer le résultat.
@ invité
Oui, certains on cette attitude. Par contre, comme le sujet n'est pas assez défriché, je crois que cela pourrait tourner à l'avantage des chercheurs et de la recherche. "on dégage de l'énergie négative" disons, ou même "l'énergie ne passe pas dans [cette] situation". si on Contrôle ce genre de chose (dans notre exemple, on pourrait diminuer le nombre de personnel près du sujet et augmenter le nombre de caméra, ou donner un "canal" pour son énergie que les chercheurs fabrique [et non le sujet]) cela pourrait donner des résultats négatifs ou pausitif. Si négatif, les chercheurs pourraient dire "voila, nous nous sommes plier aux exigences et cela n'a rien donné". Si pausitif : "nous nous sommes pliés aux exigences et nous avons découvert qu'il pourrait y avoir un fluide énergitique éventuel qui, lui, reste à prouver dans une autre étude"
J'ai un exemple plutôt drôle pour la situation:
Une copine a un de mes ami voulait faire des boulettes de hamburger pour une soirée BBQ. dans la recette, on disait qu'une boulette devrait pèser 150 grammes. Elle trouvait que c'était beaucoup et décida d'aller voir dans le guide alimentaire canadien et trouva que 30 g./boulettes est ce qui est recommendé. Elle fit comme le guide et imaginez la grosseur des boulettes ! Il en falait trois pour recouvrir la surface du pain et 3 autres pour aller chercher la bonne hauteur. Quand nous ne savons pas, je crois que suivre la recette pourrait nous mener à de meilleur résultat.