Re: Les faits ont-ils toujours raison?
Publié : 05 déc. 2017, 15:40
J’ai proposé en 2015 le premier chapitre de ma -géniale- théorie. Certains auraient mieux faits de me la demander au lieu de parler dans le vide.
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J’ai proposé en 2015 le premier chapitre de ma -géniale- théorie. Certains auraient mieux faits de me la demander au lieu de parler dans le vide.
neuneutrinos a écrit : 04 déc. 2017, 11:14Merci ABC pour la réponse donné![]()
Mais j'avoue l'adresser explicitement à Richard car dans ce qu'il pose comme vrai, il ne peut pas le résoudre.
Raphaël a écrit : 04 déc. 2017, 00:38Je ne parlais pas de Relativité. Es-tu capable de penser au temps autrement qu'à travers la Relativité ?ABC a écrit : 03 déc. 2017, 20:09Il n'y a pas de flèche du temps absolue en Relativité Restreinte, ni non plus en Relativité Générale. Il n'y a que des flèches du temps relatives.
Un autre point de vue (nettement minoritaire) est celui réaliste de Prigogine, très intéressant aussi et diamétralement opposé.Rovelli a écrit :When we say that a certain variable is “the time”, we are not making a statement concerning the fundamental mechanical structure of reality. Rather, we are making a statement about the statistical distribution we use to describe the macroscopic properties of the system that we describe macroscopically. The “thermal time hypothesis” is the idea that what we call “time” is the thermal time of the statistical state in which the world happens to be, when described in terms of the macroscopic parameters we have chosen.
Time is, that is to say, the expression of our ignorance of the full microstate. The thermal time hypothesis works surprisingly well in a number of cases
Le temps propre d'un objet semble invariant pour un observateur localisé dans le même système parce que lui-même subit une variance qu'il ne peut observer. La variance du temps n'est pas perceptible et est négligeable sur une courte période de 100 ans tout comme elle le serait si tu habites dans une mine à 4000 mètres sous terre au lieu d'habiter le sommet du mont Everest. Dans les deux cas il s'agit d'une variation dans la vitesse de déplacement.Raphaël » 04 déc. 2017, 23:44J'ai l'impression que tu ne veux pas admettre que le temps propre est invariant. Invariant signifie qu'il a toujours été le même depuis que l'Univers existe. S'il existait avant par contre on n'en sait rien.25 décembre a écrit : ↑
04 déc. 2017, 22:52
Il y a un milliard d'années notre système solaire était plus près de l'instant 380 000 ans prédéfini comme étant le point de référence. Le temps propre de la terre est le même si la terre respecte les prérequis du 1er paragraphe, mais son temps est changé par rapport à l'accroissement de la vitesse de l'éloignement du point de référence.
Quant au temps impropre c'est vrai qu'il varie mais c'est seulement un temps relatif et secondaire et amha il n'est d'aucune utilité pour comprendre l'origine du temps dans l'Univers.
ABC a écrit : 05 déc. 2017, 21:27Un autre point de vue (nettement minoritaire) est celui réaliste de Prigogine, très intéressant aussi et diamétralement opposé.
Les idées d'Ilya Prigogine
Prigogine a écrit :Sans la cohérence des processus irréversibles de non-équilibre, l’apparition de la vie sur la Terre serait inconcevable. La thèse selon laquelle la flèche du temps est seulement phénoménologique est absurde. Ce n’est pas nous qui engendrons la flèche du temps. Bien au contraire, nous sommes ses enfants.
J'ai l'impression que tu ne comprends pas très bien la notion de temps propre/impropre. Même si la durée de ta seconde était multipliée ou divisée par un million tu ne te rendrais compte de rien. C'est ça l'invariance du temps propre. Par contre si tu compares ta seconde avec celle d'un autre référentiel tu pourras constater une différence mais dans ce cas on parle de temps impropre.25 décembre a écrit : 06 déc. 2017, 00:21Le temps propre d'un objet semble invariant pour un observateur localisé dans le même système parce que lui-même subit une variance qu'il ne peut observer. La variance du temps n'est pas perceptible et est négligeable sur une courte période de 100 ans tout comme elle le serait si tu habites dans une mine à 4000 mètres sous terre au lieu d'habiter le sommet du mont Everest.
J'ai écouté attentivement la vidéo de m. Barrau.#480
Message
par ABC » 03 déc. 2017, 12:07
La vulgarisation, c'est déjà une approximation (de qualité variable selon le vulgarisateur), mais quand on s'efforce de vulgariser ce que l'on a compris de la vulgarisation d'une vulgarisation...25 décembre a écrit : ↑
1-J'ai oublié de dire que la flèche du temps devrait être représentée non pas par une ligne continue mais par une ligne pointillée et un symbole de direction.
25 décembre a écrit : ↑
2-Un temps mesuré d'une heure en 2017 est plus long qu'une heure mesurée 400 000 ans après le Big-Bang.
25 décembre a écrit : ↑
3-Je parle du temps propre de l'univers en fonction de son expansion en accélération.
Lisez plutôt, Les idées d’Ilya Prigogine
et regardez la vidéo Qu'y avait-il avant le Big Bang ? Par Aurélien Barrau
Je viens de répondre à ABC sur ce sujet. Il m'avait recommandé d'écouter le film de M Barrau.Raphaël » 05 déc. 2017, 20:27
J'ai l'impression que tu ne comprends pas très bien la notion de temps propre/impropre. Même si la durée de ta seconde était multipliée ou divisée par un million tu ne te rendrais compte de rien. C'est ça l'invariance du temps propre. Par contre si tu compares ta seconde avec celle d'un autre référentiel tu pourras constater une différence mais dans ce cas on parle de temps impropre.
Ce n'est pas parce qu'il le dit que c'est vrai. Pour moi l'espace et le temps sont deux choses très différentes mais reliées.25 décembre a écrit : 06 déc. 2017, 03:49Il dit que l'espace et le temps sont en fait une seule et même chose.
Je ne vois pas quel sens on peut donner à un temps moins dense.Je déduit que le temps aussi est moins dense, et ce au fur et à mesure que l'univers s'étend.
Des secondes qui allongent ou raccourcissent à l'échelle de l'Univers ça ne veut rien dire pour moi. Ça ne change pas le monde ni l'Univers et ça n'explique rien.25 décembre a écrit : 06 déc. 2017, 04:00J'ai l'impression que tu ne comprends pas qu'il existe un temps qui influence le temps propre sans qu'il y ait besoin d'un deuxième objet autre que l'espace qui est en lui-même un objet.
Bien sur la définition du temps propre se fait en fonction du temps impropre et vice versa, les deux sont applicables à deux objets dans l'univers et sont relatifs l'un à l'autre. Je te parle d'un temps relatif à l'univers au complet qui affecte tout ce que contient l'univers.
Salutthewild a écrit : 05 déc. 2017, 18:25Je n'étais pas inscrit, j'ai droit à une séance de rattrapage non ?
Ah oui, j'ai trouvé le fil, merci !curieux a écrit : 06 déc. 2017, 08:37Pas la peine de se fatiguer avec richard et sa géniale théorie, depuis 2013, avec le fil 'réductionnisme' il a été mis échec et mat dès les 5 premières pages.
C'était exactement pour cela que j'espérais qu'il expose sa théorie : pour lui prouver qu'elle était en contradiction avec les observations.richard a écrit : 11 juin 2013, 10:23ben si je m'en rends compte! Comme tu dis rien de nouveau...Psyricien a écrit :Ta "théorie" contredit l'une des observations majeures du XXième siècle ... rien que ça, et tu ne t'en rends même pas compte
Surtout quand cette vision ne permet même pas de résoudre les paradoxes les plus simples.
Ta théorie est en contradiction avec les observations => elle est fausse. CQFD.richard a écrit : 06 déc. 2017, 14:38Ce n’est pas tant que les faits aient tort, mais plutôt qu’ils sont perçus à l’aune des théories et que cette perception peut varier énormément d’une théorie à l’autre.
Ce temps expliquerait à différence entre 13,8 milliards de distance pour 45 milliards de temps535
par Raphaël » 06 déc. 2017, 01:37
Ce n'est pas parce qu'il le dit que c'est vrai. Pour moi l'espace et le temps sont deux choses très différentes mais reliées.
Je ne vois pas quel sens on peut donner à un temps moins dense.
En théorie ça nous conduit à l'instant, avant le Big Bang, sans espace sans temps selon la théorie d'Einstein. Et a un univers en expansion infinie avec un temps infinie selon m. Barrau.#536
par Raphaël » 06 déc. 2017, 02:19
Des secondes qui allongent ou raccourcissent à l'échelle de l'Univers ça ne veut rien dire pour moi. Ça ne change pas le monde ni l'Univers et ça n'explique rien.
Le problème est qu’il n’y a pas d’observations pures, il n’y a que des interprétations d’observations.thewild a écrit : 06 déc. 2017, 15:07Ta théorie est en contradiction avec les observations => elle est fausse. CQFD.
Alors à toi de proposer une interprétation de ces observations que ta théorie ne contredit pas.richard a écrit : 06 déc. 2017, 15:34Le problème est qu’il n’y a pas d’observations pures, il n’y a que des interprétations d’observations.
De quoi parlez-vous? Quelles sont les dimensions de 13,8 milliards de distance 45 milliards de temps ? Et que représentent ces valeurs pour vous ? Il faut vous expliquez...25 décembre a écrit : 06 déc. 2017, 15:18 Ce temps expliquerait à différence entre 13,8 milliards de distance pour 45 milliards de temps
Richard a une vision onirique de l'univers, il est incapable de comprendre que ce sont les faits qui permettent de bâtir une théorie et non l'inverse.thewild a écrit : 06 déc. 2017, 09:40Je suppose que c'est parce que, comme ce fil le laisse entendre, sa théorie a raison et les faits ont tort...
Sur ce, je crois que tout est dit, non ?
Quand on écoute beaucoup de vidéos de vulgarisation on trouve des choses.Christian » 06 déc. 2017, 11:20
De quoi parlez-vous? Quelles sont les dimensions de 13,8 milliards de distance 45 milliards de temps ? Et que représentent ces valeurs pour vous ? Il faut vous expliquez...
Je tiens à dire que j’ai le plus grand respect pour Einstein et que la théorie de la relativité était pour moi comme l’Everest pour un alpiniste. Cela dit je cite cette remarque au sujet de la construction des théoriescurieux a écrit : 06 déc. 2017, 19:02Richard est incapable de comprendre que ce sont les faits qui permettent de bâtir une théorie et non l'inverse.
Notons que la méthode scientifique ne repose jamais explicitement sur l’induction : elle énonce des principes généraux puis tente de les mettre en défaut par l’expérience.[/url]Les principes sont considérés comme valides tant qu’ils ne sont pas ainsi réfutés, selon la méthode énoncée par Karl Popper. [...] On voit que l’activité scientifique procède par conjecture (on pose un principe), déduction, et réfutations (ou tentative de réfutations). Cependant il est clair que c’est souvent par une induction que l’on émet la conjecture initiale.[...] Il semble donc que l’induction joue un rôle, non seulement dans la vie quotidienne mais dans l’activité scientifique, d’où l’idée de lui chercher une justification. Or c’est précisément en cherchant une telle justification que le philosophe Karl Hempel est tombé sur un problème, aujourd’hui connu sous le nom de paradoxe de Hempel ou problème de l’induction. Pour certains la conclusion de ce paradoxe est tellement inadmissible qu’elle rend injustifiable l’utilisation de l’induction. Voyons donc de quoi il s’agit.